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sur 15143 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
La jeune Amélie est ravie d'être embauchée pour une durée d'un an par Yumimoto, une grande société japonaise. Il faut dire qu'Amélie aime le Japon, pays dans lequel elle a vécu enfant. En connaissant les usages (du moins, le croit-elle) et la langue, c'est pour elle une façon de rendre hommage à ce pays qui l'a tant marqué. Mais au pays du Soleil Levant, il n'est pas si simple pour une stagiaire belge de prendre ses marques et de se fondre au milieu d'un personnel d'entreprise régi par des codes très différents de ceux en usage en Europe.



J'ai toujours dit que je ne voulais pas mourir bête. Alors, il m'arrive d'essayer des choses pour lesquelles je ne suis pas très convaincue : le Tai Chi Chuan, le poisson cru, ou les chaussures à talon aiguille. Des fois, je suis ravie, j'aime beaucoup le Taï-Chi. Des fois, je n'arrive pas à prendre le "truc" pour marcher à 10 cm du sol, et je n'aime pas le gout prononcé et la texture du cru.

Côté lecture, je me dis aussi qu'il faut que j'essaie. Alors de temps en temps, je tente : Musso, Coehlo, plus récemment Gounelle. Ce coup-ci, c'était Amélie Nothomb. Après tout, les avis sont partagés : il y a ceux qui détestent, et ceux qui adorent, mais en tout cas, ce qui est sûr, c'est qu'elle est lue et qu'elle fait parler d'elle. J'ai donc voulu savoir si finalement, je me positionnerai parmi les "pour" ou parmi les "contre" (bon ok, j'avais quand même une idée sur la question mais comme je dis toujours : celui qui n'essaie pas ne se trompe qu'une seule fois !). Je me suis donc lancée dans la découverte de son roman le plus connu (enfin, je crois ?) : Stupeur et tremblements.

Sans surprise pour ceux qui me connaissent, je n'ai vraiment pas aimé.

Je n'ai pas aimé le fond : le choc des cultures, ça m'intéresse toujours, ça ouvre l'esprit à d'autres pratiques, etc… Là, pour le coup, j'ai trouvé les propos surtout caricaturaux et limite désobligeants pour les habitants du pays du soleil levant (bon, carrément désobligeants même !). Je n'ai pas adhéré au "positionnement" de l'héroïne qui semble surtout hésiter entre affirmer sa culture occidentale et son désir de se comporter comme une bonne japonaise. En gros, quel que soit son modèle de référence, elle choisit exactement et systématiquement celui qui est le pire à la situation présente. Maladroite, Amélie, ou plus simplement masochiste (ou en manque d'inspiration ? tsssssssssss je suis mauvaise langue !) ?? Et puis, enfin, en terme de contenu, soyons honnête, il n'y a pas grand-chose, ça sonne creux, pas que quoi caler une dent ni même combler une petite envie de lecture facile et rapide pas prise de tête.

Je n'ai pas accroché à la forme non plus. Si l'écriture est très imagée, j'ai trouvé les images inappropriées ou gratuites ; par exemple, Amélie, pour son premier jour, se fait "cracher" par l'ascenseur à l'étage de Yumimoto ; une image un peu abusive d'autant que, contextuellement, n'ayant pas commencé à travailler, elle est sur un petit nuage ! Pour continuer (rapidement) sur le chapitre, eh bien, des chapitres, il n'y en a pas. le texte est "rythmé" par des paragraphes. Ça se veut drôle (je semble insensible à ce genre d'humour de situation) mais je trouve que c'est surtout verbeux, bavard.

Ça ne sert à rien d'épiloguer sur le sujet (307 critiques sur Babelio !!), je suis contente de pouvoir dire aujourd'hui : Amélie Nothomb ? Je connais, mais ce n'est pas pour moi ! Allez, zou, j'oublie tout ça et je passe à autre chose !
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Ce joli petit bouquin et sa jolie petite auteur méritent-ils leur succès planétaire ? Deux attitudes, toutes deux idiotes, tentent le commentateur, l'attaque ou la défense. Soit on adhère corps et âme, comme les milliers d'adolescentes qui ne jurent que par Amélie Nothomb, soit on rejette tout en bloc parce que quand un bouquin marche, c'est qu'il est mauvais, le peuple étant un animal qu'on n'abreuve qu'à coup de débilités. Si l'on cherche à être juste avec Stupeur et tremblements on se doit cependant, ouf, de nuancer. le livre est agréable à béqueter. Il ne tombe pas des mains. Il séduit. Cool ! Mais force est de constater que cette petite descente comique aux enfers n'est pas renversante pour un lecteur sensible à une certaine épaisseur dans les textes. le style Nothomb est joli, rigolo, mais jamais véritablement beau. On sourit mais on est loin de son compatriote Toussaint, dormir dans les ordures et enlacer un ordinateur étant moins drôle, sous la plume d'Amélie Nothomb, qu'arroser les plantes vertes ou jouer aux fléchettes chez Jean-Philippe Toussaint. On se surprend, en lisant, à espérer les mêmes éléments sous la plume d'un autre. On reste sur sa faim. On garde constamment l'impression de lire un bouquin, un bon bouquin même, pour adolescents. Mais on se dit aussi que c'est peut-être ça qui, justement, fait l'intérêt d'Amélie Nothomb, cette naïve simplicité adolescente dans la description d'un monde adulte pas tout à fait absurde mais en tout cas hors de portée de l'héroïne. On n'apprend certes pas grand chose sur la vie d'entreprise au Japon, mais on découvre un monde intérieur sympathique et un style un peu simplet mais néanmoins original. de là à faire de ce petit bouquin un chef-d'oeuvre, il y a un pas qu'on ne saurait cependant franchir.
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Mon premier Nothomb. J'avais de gros doutes quant au style d'un auteur capable de "pondre" un roman mince comme un cale-porte tous les 12 mois avec une régularité déprimante de métronome et mes doutes ont été plutôt confirmés.

Un style qui ne m'a ni fascinée, ni charmée, ni même intéressée. Une narration ampoulée et imbue d'elle-même ; un personnage peu attachant qui ne m'a pas donné envie de compatir à ses mésaventures. Un récit que j'ai été contente de finir vite.

Un message philosophique fort est sans aucun doute (bien) caché au coeur de ce roman mais si subliminal qu'une pauvre cervelle comme moi ne pouvait faire autrement que passer à côté sans le décrypter...

Chat échaudé craint l'eau froide... mais en même temps, il paraît que seuls les imbéciles ne changent pas d'avis. Just wait and see !
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« Si l'absurde ne te tue pas, il ne peut que te grandir », et dans le cas de l'auteure, une source facile pour son septième roman.
Que dire de cette lecture rapide, facile, un rien dérangeante mais néanmoins truffée d'humour, si ce n'est qu'elle n'a pas été pour moi aussi transcendante que celle de la « Métaphysique des tubes » !
Dans ce court roman, mais ceux d'Amélie le sont toujours, l'auteure, pour se plier à la mentalité nippone et à son code d'honneur, n'hésite pas à se rabaisser tout du long, et c'est perturbant. Dérangeant d'autant plus qu'étant née dans ce monde, elle en connaissait bien les règles.

Accepter un poste dans une grande entreprise nipponne pour voir de l'intérieur que la vie des fonctionnaires japonais est tout sauf une vie, il faut du courage ; accepter les insultes et rester en place pour ne pas perdre la face, une forme d'abnégation ; en sortir un roman qui recevra le Grand Prix du roman de l'Académie française en 1999, une bonne farce.

Une vision très réductrice de la société japonaise, un aperçu tellement négatif qu'il ne peut qu'être exagéré, un instantané qui ne donne pas envie du tout de découvrir le Japon… Un peu triste quand même.
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Sans ressentir d'engouement pour cette auteure, cette histoire a pourtant éveillé ma curiosité.
Amélie est employée dans une firme japonaise. Chargée de tâches subalternes, elle va vite apprendre à ses depens les règles imposées par la hiérarchie nippone. Si l'on enfreint les règles, si l'on se permet la moindre remarque, que l'on tente de faire preuve d'esprit d'initiative, la rétrogradation tombe comme un couperet.
Une lecture que j'oublierai assez vite
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Mais ça c'était avant
Avant de le relire :

Il est difficile de dire du mal d'Amélie Nothomb, parce qu'on aime tous cette écrivaine, autrice à la verve et au verbe dynamique, rapide, pertinent. Je n'ai pas lu tous ses romans et je n'ai pas aimé tous ceux que j'ai lus.
Stupeur et tremblement est mon préféré.
1- Parce que je suis pratiquant d'une des escrimes japonaises (le Kendo)
2- Parce que j'ai un amour pour ce pays qu'est le japon, depuis que j'ai dévoré les films de Kurosawa (Sensei pour les intimes)
3- Parce que je ne fais pas d'illusions sur la rigidité des japonais (j'ai lu le dernier E. Todd – mais aussi j'ai un certain nombre d'ami qui ont épousé des japonaises).

Et Amélie Nothomb parvient dans un petit roman, rapide, partant de sa propre expérience à me restituer toutes mes ambiguïtés sur l'amour que j'ai du japon.
Et puis dans le film notre sensei y joue un tout petit rôle.

ET...
Et on relis...
Catasrophe, ce qui semblait léger devient lourd.
Je ne sais pas quand je me suis détacher de ce style Amélie Nothomb, toujours ironique sans satyre, juste un ton aquoiboniste des années 90, très esprit canal de cette époque, Rien ne vaut la peine de Rien, et y'a qu'a en rire et à se moquer de ceux qui tente un autre chemin que l'ennui et la consommation de l'autre !
Je n'aurais pas du le relire !
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La Nothomb, on l'aime ou on ne l'aime pas. Je ne connais personne qui soit ‘tiède' à son égard.

Perso, les auteurs qui changent de prénom, de lieu de naissance et de date de naissance, tout en soutenant mordicus le contraire, n'ont rien pour me plaire à priori. Quand je les vois parader dans les salons, toujours sous leur chapeau, et la longue file de midinettes qui les attend, mon degré de perplexité augmente.

Cependant, étant donné que j'avais fort apprécié le film avec Sylvie Testud et comme on préfère toujours le livre au film, cela flairait le bon bouquin. Enfin, les thèmes du Japon et du monde du travail me sont chers. Et 23.780 lecteurs !

Et puis patatras… je termine le livre déçu…

A.N. écrit fort bien mais rien à faire, la sauce ne lie pas, la crème ne monte pas – un cheveu dans la soupe, quoi !

Tout est là, tous les voyants sont au vert, mais cette obnubilation vers le moi, cet autocentrisme font retomber le soufflé.

NB : j'avais bien (enfin tout est relatif) aimé ‘Le crime du comte Neville' et je vais continuer à lire épisodiquement ses bouquins, enfin les emprunter à la bibliothèque, pas les acheter…
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La narratrice, Amélie, est belge et nul ne saurait ignorer qu'elle est un avatar de l'auteure. Passé ce premier constat, voici l'histoire. En 1990, Amélie est embauchée dans l'entreprise japonaise Yumimoto, au 44° étage. Comme elle le dit elle-même, « après tout, ce que j'avais voulu, c'était travailler dans une entreprise japonaise. J'y étais. » (p. 14) Après tout ? Oui, parce que le beau rêve d'Amélie tourne vite au réveil doux-amer. L'entreprise Yumimoto est soumise à des codes abscons pour les Occidentaux et à une hiérarchie totalement verrouillée. Pour avoir osé défier, sans le vouloir ni le savoir, sa supérieure directe, la magnifique Fubuki Mori, Amélie va connaître tous les échelons de l'humiliation. « le Japon est un pays qui sait ce que ‘craquer‘ veut dire. » (p. 60) Alors qu'elle briguait une place d'interprète, elle finit responsable des toilettes du 44° étage. Toutefois, dans un esprit tout japonais d'honneur, elle ne démissionne pas et se soumet. « J'avais à présent sous les yeux l'horreur méprisante d'un système qui niait ce que j'avais aimé et cependant je restais fidèle à ces valeurs auxquelles je ne croyais plus. » (p. 134)
Amélie apprend donc l'humiliation auprès de la belle et perverse Fubuki Mori. Seule femme cadre de l'entreprise et décidée à ne pas perdre son poste. Fubuki représente le mur sur lequel se brisent les espoirs et les ambitions d'Amélie qui rappelle que, « dans l'ancien protocole impérial nippon, il est stipulé que l'on s'adressera à l'Empereur avec ‘stupeur et tremblements‘. » (p. 172) Dans une comédie plus ou moins sincère, c'est ainsi qu'Amélie quitte l'entreprise et le Japon.
Ce roman n'est pas mal écrit, le style est enlevé et je lui reconnais une fluidité certaine. Mais – comme diraient certains critiques avisés – sans plus. J'ai tout de même apprécié les quelques pages où la narratrice décrit les conditions de vie des Japonaises : c'est toute une leçon de féminité, certes particulière pour des yeux étrangers, mais riche en enseignements. le fantasme récurrent de la défenestration est assez original, de même que cette envie de se répandre sur la ville nippone et d'être enfin absorbée par ce grand-tout. Dommage que cela ne soit pas davantage mis en avant. Lirai-je encore un roman d'Amélie Nothomb ? Il s'agit là d'un deuxième essai et je pense que cela suffira.
Le film d'Alain, Corneau, avec Sylvie Testud dans le rôle principal, est assez intéressant. Il reprend au mot près les phrases du titre. L'échevelée Sylvie Testud s'oppose violement à l'actrice qui incarne Fubuki, toujours impeccable et inaccessible. L'image met clairement en évidence que, dans la société nippone, la hiérarchie est source d'humiliation, mais également de souffrances. Bref, un moment plaisant, mais – encore une fois – sans plus.

Lien : http://www.desgalipettesentr..
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Je connaissais Amélie Nothomb de nom seulement. Je l'avais vue, entre autres, dans une entrevue télévisée. J'avais bien l'intention de la lire et ce fut le cas avec « Stupeur et tremblements ».

Ce qui me surprit le plus en me procurant le bouquin à la bibliothèque c'est sa petitesse : environ 170 pages seulement. À cette ampleur, il peut presque s'agir d'une grosse nouvelle littéraire, car le format des caractères est très imposant également. Ça m'a laissé perplexe sur le coup. Comment, si exigu, est-il parvenu à contenir une oeuvre aussi grande, selon les dires de certains? Je me demandais alors s'il était question d'une autre auteure populaire sans réelle substance, ni originalité ou d'un génie qui réussit à nous ébahir qu'avec quelques phrases.

C'est original, certes, mais c'est moyen comme anecdote. Je suis assez mitigé sur mon avis, car les attentes étaient haute vu la popularité du roman. La raison est que cette histoire n'aurait pu être qu'un petit essai sur la vie en entreprise au Japon. On retrouve ici une aventure autobiographique de l'auteur, c'est inintéressant pour le commun des mortels. C'est bien écrit, on y entre facilement, on rigole parfois, mais c'est tout. J'aurais préféré qu'il s'agisse d'une invention, au moins, elle aurait eu l'avantage d'avoir créé quelques choses, mais… c'est simplement un évènement dans sa vie qu'elle relate, point.

Ce qui est, en revanche, captivant, c'est l'immersion dans la culture fermée nippone. le monde des affaires et du travail est différent là-bas. Quoiqu'il soit courant de connaître la rigidité des entreprises nippones, il devient intéressant d'avoir eu un avis de l'intérieur. Par contre, il faut se poser la question : s'agit-il vraiment de la réalité? A-t-elle nuancé le tout comme une vengeance face à ses anciens patrons?

En résumé, j'ai aimé le style et l'immersion, mais j'ai détesté le récit ainsi que le format. Lorsque l'histoire est en fait une grosse bulle d'égocentrisme de l'auteur, je décroche. Évidemment, elle écrit bien, et c'est tant mieux. Qu'elle soit tombée amoureuse de sa supérieure immédiate, qu'elle ne soit pas parvenue à faire ce qu'on lui demandait dans son travail et qu'elle ait des problèmes d'estime de soi ne mérite pas un livre, à mon avis. Encore moins une adaptation cinématographique.

À lire quelques critiques sur la toile, il y en a qui détestent l'auteure, allant même jusqu'à l'insulter, tandis que d'autres l'adorent à l'encenser. Pour l'instant, ce roman m'emmène vers une certaine neutralité, mais nous verrons à l'avenir si elle réussit à obtenir quelques points avec ses autres bouquins.

Donc, 4 sur 10 pour sa qualité stylistique et son humour, mais pas pour le récit qui en soit, ne mérite peut-être pas autant de visibilité.

On m'a beaucoup conseillé : Hygiène de l'assassin. Je crois m'y mettre bientôt. En espérant qu'il soit meilleur que celui-ci.
Lien : http://www.sergeleonard.net/..
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Amélie Nothomb Stupeur et tremblements

Il s'agit de mon premier Nothomb. Comment survivre socialement si je n'essayais pas de lire au moins l'un de ces romans tant vantés et primés ?
Quand on apprend ensuite que, non contente d'avoir vécu au Japon et d'en avoir appris la langue, l'auteur commet une oeuvre autobiographique, j'aurai aimé un travail plus fouillé, abouti. Tout reste à la surface des choses.
Cette forme d'écriture semble être adaptée au rythme du métro, boulot, dodo. Simple, facile à lire, pas trop de choses à noter ou à comprendre.
En 1999, le Grand Prix de l'Académie française aura donc couronné un écrivain sans épaisseur, sans relief au talent moyen pouvant être lu par tous, sans dictionnaire, sans attention. Un écrivain moyen à la dimension de la médiocrité de notre siècle. Intéressant de noter c'est aussi en 1999 qu'a été déclaré vacant le siège de Jean Guitton, un des plus beaux esprits du siècle.
Si l'on est sûr d'une chose au moins c'est que le style, la finesse de caractère des personnages, l'utilisation des situations ne nous feront pas trembler de stupeur.

Lisez le livre, vous en aurez pour vos 4,5€. Vivez les aventures d'une jeune occidentale dans une grande entreprise japonaise. Votre petit voyage sera agrémenté. Ensuite lisez Une odeur de gingembre de Oswald Wynd. La traduction française rend honneur à un écrivain de talent.


Lien : http://quidhodieagisti.kazeo..
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Stupeur et tremblements

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