Stupeur et Tremblements

Eh bien, ce ne fut pas le meilleur livre que j'ai lu. Il est écrit roman, mais c'est plus comme une autobiographie - fictive ou non je l'ignore. C'est long avant qu'on embarque dans l'histoire et beaucoup trop descriptif. Par chance, la lecture n'est pas lourde, sinon j'aurais débarqué bien avant la fin. le seul point positif c'est qu'on comprend un peu mieux le côté honneur des traditions japonaises. Par chance, ce n'était pas mon premier Nothomb, car si je n'avais pas déjà lu Les Combustibles, je me serais demandé ce qui fait d'elle une si grande réputation.

C'était mon premier Nothomb. Il ne m'a pas donné envie de poursuivre avec d'autres ouvrages. Pour autant, la lecture est agréable, des touches d'humour sont présentes mais la fin est bâclée. L'industrie nippone y est décrite de manière très clichée.

J'ai aimé découvrir les us et coutumes en entreprise japonaise, ce décalage entre les habitudes Occidentales et Orientales. Mais j'ai trouvé ce roman plat, pas de surprise, pas de rebondissements, il ne passe pas grand chose. La narratrice subit, et voilà, ça se termine le jour où cela doit se finir. Bref, pas un coup de coeur.

Stupeur et tremblements est un récit autobiographique qui observe le choc des cultures belge-française et japonaise. Dans son récit, Amélie Nothomb examine entre autres la différence des cadres et des statuts homme-femme dans une entreprise figée dans ses traditions.

Rempli d'auto-dérision, ce livre se moque de l'incompréhension, de l'humiliation et de la régression des compétences japonaises de son héroïne. Les propos caricaturaux et désobligeants de ce roman ne m'ont malheureusement pas impressionnée.

Les thèmes de soumission consentie, de statut social et professionnel, de mode de pensée différent, et d'abaissement semblent avoir été développés que pour but de choquer. Je n'arrivais pas à comprendre l'héroïne qui s'avérait toujours à choisir systématiquement le comportement le plus maladroit devant chaque situation délicate. Contrairement aux autres romans que j'ai lus d'Amélie Nothomb, Stupeur et tremblements n'était seulement pas fait pour moi.

Un livre qui peut-être très ennuyant à certains moments, on a limite envie d'arrêter. On dit du livre qu'il va être drôle , non on a surtout honte pour elle ou gênée mais pas de là à être drôle. Facile et rapide à lire. Je suis très contente de l'avoir fini parce que c'était tellement chiant à lire.

Archi surcoté. Décidément, je n'y arrive pas avec elle. J'ai lu ce livre uniquement parce que je suis fan du Japon. Je ne m'attendais pas à retrouver tous les clichés possibles et imaginables. En plus, je n'aime vraiment pas son style archi forcé.

Il n'est jamais trop tard pour le lire mais suffisament tôt pour ne pas le faire, je déconseille fortement !

Je suis fan de Nothom... mais ce livre du début de sa carrière, je ne l'ai pas trop apprécié. Je l'ai relu récemment sans être mieux convaincu. L'auteure s'est forgé son style et sa méthode avec le temps. Bon, il y a mieux dans son oeuvre.

Dommage, ce petit roman aurait pu être sympa si notre geisha (au fait, Fabienne, on se fout complétement que tu sois née en Belgique plutôt qu'au Japon) n'éprouvait pas le besoin de nous prouver qu'elle n'est finalement pas aussi nulle que les nippons le pensent. Du coup, le récit n'est plus vraiment cohérent, et on navigue entre un truc bobo à la Beigbeder (en mieux quand même) et du mauvais Kafka (en nettement plus mauvais en fait). L'écriture est à l'avenant, un peu pompeuse et artificielle, style populaire « brillant ».
Le titre est bon par contre : je stupe et tremble quand je pense que ce livre est devenu un succès planétaire.

A.Nothomb raconte là un extrait de sa vie quand au Japon elle trouva un premier travail où elle se trouva réduite à nettoyer les toilettes… Sans grand intérêt, pour une fois…