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EAN : 9782253937272
688 pages
Le Livre de Poche (12/07/2023)
4.19/5   75 notes
Résumé :
Sur une planète baignée de lumière et écrasée par la chaleur, Yumi est une yoki-hijo, une prêtresse qui invoque les esprits pour venir en aide à son peuple. Dans une cité froide entourée de ténèbres perpétuelles, Peintre repousse chaque jour les manifestations physiques des cauchemars des habitants grâce à ses pinceaux. Tout les oppose, ils ignorent même jusqu'à l'existence du monde de l'autre. Pourtant, leurs destins vont littéralement s'entremêler le jour où ils c... >Voir plus
Que lire après Yumi et le peintre de cauchemarsVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (22) Voir plus Ajouter une critique
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☯️ Chronique☯️

« Ce qui possède une forme peut être compris. Ce qui possède une masse peut être détruit. »

Mais est-il possible de comprendre un rêve, un art, ou un esprit?
Est-il possible de détruire un cauchemar, une vocation, une machine?
Qu'est-ce qui donne de la substance à ces masses ou à ces formes, pour qu'elle vienne perturber avec un seul Lien, deux mondes que tout oppose…Les cauchemars prennent forme et vie dans ce monde de ténèbres tandis que dans celui de la lumière, une machine dévie et déforme les esprits…Mais l'Art est là, comme lien, comme pont, comme bouée de sauvetage…Dans les deux mondes. Mais n'est pas artiste qui veut. Et qui le pourra quand on est si proche du chaos, -ici comme là-bas-, est-ce qu'on a encore la force de le comprendre et de le sauver, envers et contre tous?
La nouvelle aventure des Projets secrets de Brandon Sanderson est puissante, sans doute sa meilleure et sa/ma préférée, et la vôtre par la même occasion? En tout cas, c'est une véritable coup de coeur pour l'univers onirique teinté de romantisme et l'intention de bienveillance qui transparaît de cette histoire. Complètement sous le charme de ce duo atypique et de leurs liens, mais encore et toujours aussi fan de la plume incroyable et sensationnelle de cet auteur! Et même si vous êtes un peu paumés, attendez que je vous explique la magie de ces pages…
Yumi et Peintre vont se retrouver mêlés, corps et esprit, dans une aventure au-delà du réel. Et si rien n'est facile pour eux, il faudra bien qu'ils s'adaptent à la volonté de ces êtres éthérés qui décident de leur mener la vie dure…Peindre ou Empiler, c'est un art, mais quelle est la valeur de l'art? Est-ce le coeur ou l'esprit qui le dirige? Toutes ces questions, elles vont traverser les mondes et leurs consciences au fil de l'intrigue mais surtout, éblouir nos yeux que ce soit la nuit ou le jour, il n'y aura plus qu'à apprécier le voyage! Et plus si affinités…Car la magie est toujours de la partie. L'horreur côtoie la beauté, le devoir regarde l'émotionnel, et les esprits font leurs boulots de hantise, mais ne sont jamais clairs…Et ces deux jeunes doivent gérer, en plus, des problèmes inhérents de leurs sociétés, leurs propres émotions. Leurs solitudes. Leurs désarrois. Leurs nouveaux duos. Mais jusqu'où on peut aller, à deux, relier par un lien qu'ils ne peuvent comprendre, détruire? Est-ce que l'acceptation et la tolérance ne serait pas INESTIMABLE en pareille situation?
Je ne vais pas en dire plus, pour ne gâcher le plaisir, mais c'est une pépite, ce livre! Entre les illustrations sublimes, et les jolies valeurs défendues, sans réitérer encore le fait que j'adore les univers imprégnés et enchanteurs de Brandon Sanderson, cette lecture est précieuse à mes yeux. Je compte, d'ailleurs, le relire avec ma fille, qui en ce moment se passionne pour les mangas, et y trouvera sans doute son compte avec l'influence de la culture asiatique qui transparaît…
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Je suis une fan de la première heure de Brandon Sanderson que je ne pourrai jamais assez remercier d'avoir donné une fin à La Roue du temps, probablement mon cycle de fantasy préféré. Je l'ai aimé dans cette reprise, tout comme dans chacun de ses projets solos, du moins ceux que j'ai lu jusqu'à présent. Je ne pensais donc pas que ce serait avec Yumi et le peintre des cauchemars que j'aurais une semi-panne de lecture…

Troisième tome de son projet secret écrit pendant le Covid qui en regroupe 4, je pensais que Yumi avec son univers japonisant et asiatique serait mon préféré. Ce fut mon calvaire d'une semaine… Première fois depuis fort fort longtemps que je n'arrivais pas à entrer dans une histoire et à fortiori première fois que la plume de Brandon Sanderson ne m'immergeait pas dans son univers. Que s'est-il passé ?

L'objet est pourtant fort joli – oui j'ai bien sûr pris la version reliée et illustrée… – mais ça ne suffit pas. L'univers était attrayant et chatoyant avec son histoire asiatique et manga, comme l'auteur en témoigne dans la postface. Oui, il y a un système de magie et même des mécanismes de narration fantastique qui me donnaient envie. Mais l'ensemble est tombé à côté, la mayonnaise n'a pas prise, l'émulsion n'a pas eu lieu et j'en suis la première déçue.

Je n'ai pas retrouvé la plume percutante et incisive de l'auteur. Il m'a bercé et souvent endormie pour ne pas dire ennuyée. Je n'ai pas retrouvé sa verve non plus, ses personnages sont gentils mais beaucoup trop lisses. Je n'ai pas retrouvé sa narration immersive et ses systèmes de magie ultra chiadés, remplis de descriptions de comment ça fonctionne et je suis donc restée grandement sur ma faim.

Je ne peux pas dire pourtant qu'il n'y a pas de bonnes idées. J'ai beaucoup aimé la construction du récit en duo avec d'un côté une espèce de prêtresse archi choyée et couvée qui invoque des esprits à coup de tours incertaines de cailloux, et de l'autre un jeune peintre dilettante pas reconnu qui lui aussi travaille avec les esprits mais ceux des cauchemars grâce à son art. Je trouvais très intéressante l'interpénétration de leur monde réciproque mais de manière non parallèle, Nikaro le peintre prenant la place et le corps de Yumi quand il était dans son monde, devenant la prêtresse en titre, tandis qu'elle avait sa propre existence et que lui était un fantôme quand ils allaient dans le sien. J'ai aimé partir à la recherche de la vérité avec eux, pour essayer de comprendre cet échange et leurs mondes, ainsi que le fonctionnement des esprits, mais que cela a tardé à venir.

Il y a vraiment un problème de narration dans cette histoire qui ne donne pas envie d'y revenir dès qu'on fait une pause. L'auteur passe énormément de temps à mettre en place la relation et les échanges des deux héros. Mais surtout il s'attarde sur tout un tas de détails inutiles qui ne servent pas vraiment à les construire, c'est le cas notamment sur tout l'aspect vestimentaire qui est décrit en long en large en travers à de multiples reprises. Pire qu'un magazine de mode ! Et pendant ce temps-là, nous qui aimerions avoir des détails sur leurs « pouvoirs » on n'en a pas. L'auteur reste extrêmement en surface. de la même façon, j'ai trouvé ses héros très linéaires, avec une évolution très réduite et surtout archétypale, rappelant les kdrama fantastique qu'on peut voir sur les écrans coréens. Je m'attendais à mieux de la part de Sanderson.

Il évoque une influence des mangas et des jeux vidéos, en dehors des archétypes qu'il utilise pour peindre à grands traits ses héros et leurs mondes, c'est très très léger. le parallèle entre Hikaru no go, dont il dit s'être inspiré, et son roman est encore à trouver ou alors c'est très tiré par les cheveux. On est plutôt dans un nouveau trip de l'auteur qui s'amuse à développer et faire des liens avec son grand maître univers : le Cosmere, mais comme je ne lis pas le monsieur pour ça, que je ne respecte pas l'ordre de ses parutions et que j'ai plein de trou dans sa bibliographie, ça ne m'intéresse absolument pas, voire ça pollue ma lecture, empêchant de la rendre fluide à plusieurs moments ^^!

Malgré toute la bonne volonté du monde, je me suis donc sacrément ennuyée pendant plus de la moitié de ma lecture. J'ai sorti les rames dès les premières pages. J'ai eu un regain d'intérêt lors de leur rencontre à tout deux, mais je suis vite ensuite tombée dans une routine vestimentaire et mode qui m'ennuyait. L'intérêt est revenu quand on a commencé à voir des liens, mais ce ne fut pas assez creusé pour soutenir mon attention. Et si la fin s'est lu avec bien plus d'appétence dans le dernier tiers, cela n'a pas suffit à sauver l'oeuvre. Même le final, n'a pas le coup d'accélération et la suspension d'étonnement que me fournissent d'habitude les romans de l'auteur. C'était long, trop gentil et fade. Dommage.

Malgré un bel objet, de beaux dessins, un univers qui avait tout pour me plaire, je suis restée la majeure partie du temps hermétique à cette lecture. Elle m'a pris un temps fou, ce qui n'était pas arrivé depuis longtemps. Je n'avais pas envie d'y revenir quand je m'arrêtais, une première chez l'auteur ! Contrairement à ses habitudes et malgré de belles promesses, l'univers asiatique bien que poétique et trop survolé, idem pour les personnages et leurs magies personnelles. Pour un auteur que je mets toujours en avant en matière de worldbuilding, je ne sais pas ce qu'il s'est passé. Je vais donc aller avec d'énormes pincettes vers les deux autres romans de ce projet dont les résumés me tentent moins car j'ai peur de revivre le même moment de solitude ^^!
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Avec Yumi et le peintre des cauchemars, Sanderson signe son 3e projet secret parmi les 4 annoncés. Tress s'était révélé sympathique et proposait une revisite de Princess Bride dans le Cosmère (oui), le Sorcier Frugal était un isekai en deçà de ses livres habituels (même si j'ai personnellement apprécié la lecture, j'admets volontiers qu'il est largement dispensable), et qu'en est-il alors de Yumi ?

Yumi présente deux points communs avec Tress : l'histoire s'intègre de nouveau dans le Cosmère, dans un coin que nous n'avions pas encore visité, et elle est racontée par l'inénarrable Hoid (qui n'est toutefois pas un personnage en tant que tel ici pour des raisons indépendantes de sa volonté). Mais les points communs s'arrêtent ici.

Yumi est une jeune yoki-hijo vivant dans la ville de Torio, d'inspiration Corée médiévale. Elle est une prêtresse capable de susciter les hijo (des esprits), afin qu'ils aident son peuple à survivre dans des conditions très difficiles, ceci grâce à un art très précis et presque mathématique, dans lequel les émotions et l'improvisation n'ont aucune place. Sa vie est entièrement tournée vers son devoir, lui imposant une rigueur extrême et l'impossibilité de choisir par elle-même, pour autant, elle est fière de ce qu'elle fait.

Nikaro/Peintre est un peintre des cauchemars, une profession essentielle mais pas très bien payée (toute ressemblance, toussa), vivant dans la ville de Kilahito, d'inspiration Japon moderne, cette fois. La vie de Nikaro est à l'opposée de celle de Yumi : son art en appelle aux émotions, mais il a perdu sa passion et vit une vie morne malgré le confort que lui offre sa société.

Bien évidemment, ces deux vies vont se retrouver chambouler et vont se mélanger, chacun devant apprendre de l'autre, que ce soit à un niveau artistique ou personnel. (C'est d'ailleurs l'une des rares vraies romances proposées par Sanderson).

Là comme ça, ça ne ressemble pas forcément à un Sanderson. D'ailleurs, l'auteur ne s'en cache pas, il tire ses inspirations dans des oeuvres asiatiques, jeux vidéo et mangas et animes notamment (et un en particulier, mais il devrait vous sauter aux yeux à la lecture^^).

Mais je vous rassure, on est bien chez Sanderson. On est même tellement chez Sanderson qu'il y a des mentions au Cosmère de partout. Je pense toutefois que le livre est parfaitement compréhensible même si vous n'avez pas lu les autres oeuvres du Cosmère (il y a une allusion à Elantris, et des notions surtout vues dans Roshar, y compris Eclat de l'Aube. du coup, je suis bien contente de retrouver Mélanie Fazi à la trad'). Il y a bien sûr des détails que vous ne saisirez pas, mais ce n'est pas très important dans ce roman en particulier.

Et bien sûr, on retrouve un système de magie particulier, sur lequel je vais rester assez vague pour ne pas risquer de spoil. du côté de Yumi, les personnages peuvent attirer des esprits grâce à l'art pour accomplir des tâches (et au passage, je suis triste d'écrire aussi lentement, parce que cette idée figure dans mes romans T_T), et chez Peintre, c'est un peu plus compliqué. On a d'abord les hions, une sorte d'énergie visible à l'oeil nu qui se manifeste par des lignes duales bleu sarcelle et magenta, qui remplace notre électricité. Et les cauchemars, qui sont des créatures… ben… de cauchemar, que l'on peut combattre grâce à la peinture (je n'en dis pas plus).

Mais comme toujours, les personnages ne sont pas en reste, loin de là. L'univers et l'intrigue m'ont rappelé la structure d'un oignon, parce qu'il y a plusieurs couches thématiques qui se découvrent au fur et à mesure. L'intrigue est surtout là pour donner un squelette à l'histoire et surtout ç leur histoire, puisque pendant une bonne partie du roman, elle consiste surtout pour les personnages à essayer de comprendre ce qu'il se passe et à essayer de se mettre dans la peau l'un de l'autre. Ainsi, sans entrer dans les détails, le livre parle de différences de visions de l'art et de la pratique créative ((technique VS émotion), ce qui me parle vu que j'écris aussi), le libre arbitre et le devoir, la passion et la monotonie, la vision que l'on a de soi et celle que les autres ont de nous, la solitude et les difficultés relationnelles etc.


Pour finir, un petit mot sur la version collector puisque c'est celle que j'ai achetée : on retrouve la couverture cartonnée et les repères de couleurs habituels, et les illustrations signées Aliya Chen sont magnifiques et conviennent parfaitement à l'atmosphère du roman.

Bilan
Brandon Sanderson est l'un des auteurs dont j'achète les nouvelles sorties les yeux fermées, sans même me renseigner dessus avant. du coup, j'ai eu plusieurs bonnes surprises avec celle-ci, puisque je pensais qu'il serait indépendant du Cosmère et que je ne m'attendais pas à ces inspirations japonaise et coréenne (et il se trouve que j'adore les mangas/anime et les K-Drama). On retrouve les univers fascinants dont nous a habitués l'auteur, mais le roman est plus intimiste que d'habitude, une atmosphère qui convient particulièrement aux personnages et aux thématiques, plus léger aussi, peut-être, ce qui n'est pas pour me déplaire, surtout en ce moment. En ce qui me concerne, c'est mon projet secret préféré pour le moment.
Lien : https://limaginaerumdesympho..
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Tout d'abord, merci à Babelio pour l'opération masse critique et la maison d'édition de m'avoir permise de lire ce phénomène ! Je ne pensais pas que j'en serai gâtée ! Je ne suis pas du tout habituée à lire de la SFFF entremêlée. Fantasy sans souci, je m'en mange par dizaines chaque année mais un mix ? Je ne m'attendais pas ainsi à apprécier ce mélange d'univers si atypique et étrange.

Avec un démarrage assez lent pour bien nous imprégner dans les mondes de Yumi et du Peintre, j'ai fini par dérouler ma lecture en très peu de jours car j'avais hâte de savoir la suite de mes suppositions de fin et j'ai beaucoup aimé le parti pris de l'auteur qui a su rester à la fois réaliste et doux rêveur. C'est en fait ça ce Lien qui unit nos 2 héros si différents. En se rencontrant, ils ont fait exploser leur train-train quotidien si strict d'un côté et si morose de l'autre par un regard réaliste mais aussi artistique.
Franchement, c'était bien dosé ces 650 pages et je peux vous dire que je ne pensais pas pouvoir le finir avant ma deadline perso (des bébés à faire naître, on ne choisit jamais vraiment leur deadline XD).

Premier roman que je lis de l'auteur ! Si j'en ai la possibilité, je me perdrai bien de nouveau dans ses écrits secrets à pavé.
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Avec Yumi et le peintre de cauchemars, j'ai voyagé dans de nouvelles contrées, ri, pleuré, détesté, accepté, compati et rêvé. Il m'était impossible de poser le livre et je n'arrivais plus à me détacher de nos deux merveilleux protagonistes. Je n'avais qu'une hâte, connaître la fin de l'histoire.

Yumi et Peintre ne se sont jamais rencontrés. Ils appartiennent tous les deux à des mondes différents et ont une vision opposée de celui-ci. L'un est devenu peintre par passion et, tel un héros, met sa vie en jeu toutes les nuits pour assurer la sécurité de sa ville. L'autre a grandi en faisant toujours passer le devoir en premier sans s'allouer distraction ou plaisir. Pourtant, le doute s'insinue peu à peu en eux et les mensonges qu'ils se répètent pour se protéger de la vérité sont de plus en plus durs à croire.

Dès le début, j'ai été saisie par l'histoire et son worldbuilding. L'univers est fortement inspiré de l'Asie, notamment du Japon et de la Corée, et les magnifiques dessins qui accompagnent la lecture donnent vie à ce monde. Brandon Sanderson a été influencé par de nombreuses oeuvres asiatiques pour écrire ce livre dont Your Name, chef d'oeuvre de l'animation japonaise.

Comme dans Tress de la mer émeraude, l'histoire est narrée par Hoid. Moins impliqué que dans le livre précédent, il apporte sa touche d'humour et sa vision du monde à l'histoire de Yumi et Peintre. Même si cette aventure se passe dans le Cosmère, on en fait très peu mention ou de façon suffisamment subtil pour que ce ne soit pas dérangeant.

Au cours de l'histoire, Yumi et Peintre apprennent à se connaître, à dépasser les préjugés et apparences et grandissent ensemble. Leurs interactions sont touchantes et naïves, on s'attache rapidement à leurs problèmes, leurs crises existentielles et leur relation particulière. Les messages que leur histoire communique sur l'acceptation de soi, la pression sociale et le regard des autres touchent juste.

La fin est magnifique et bien écrite. . En atteignant la derrière page du livre, je n'ai pu m'empêcher de le serrer dans mes bras, voulant passer encore quelques instants dans ce monde et me remettre de l'ensemble des émotions que ce livre m'a procurées.

L'histoire est belle, bien écrite, rafraichissante, prenante et met en scène des héros attachants évoluant au fur et à mesure du livre. Foncez les yeux fermés.
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critiques presse (1)
Elbakin.net
07 septembre 2023
C’est un récit agréable à suivre, dans un univers visuellement riche.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
Je vous suggère, si vous en avez la possibilité, d'éviter de soutenir le regard fixe d'un Cryptique. Leurs traits. quand ils ne sont pas déguisés, font plier l'espace et le temps, et il est arrivé qu'ils provoquent des accès de folie aiguë chez ceux qui tentent de les déchifrer.
D'un autre côté, qui n'a jamais eu envie d'envoyer balader la continuité linéaire de temps en temps?
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Une vieille blague affirme que les objets perdus se trouvent généralement là où on les cherche en dernier. À l'inverse, les présages semblent étrangement apparaître au premier endroit où les gens les cherchent.
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C'est une erreur courante de partir du principe qu'une personne est faible parce qu'elle est conciliante. Si c'est ce que vous pensez, vous êtes peut-être le genre de personne qui ignore totalement combien il faut d'efforts - et de force - pour supporter vos inepties.
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Mais... j'ai toujours eu l'impression de me tenir de l'autre côté d'une grande fenêtre. Je voyais le monde défiler derrière elle, je pouvais même faire semblant de lui appartenir. Mais cette barrière était toujours là. Et me séparait de tous les autres.
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Vous auriez certainement pris Peintre pour un Védène. Traits similaires, mêmes cheveux noirs, mais avec la peau plus pâle que beaucoup d'habitants de Roshar. Cette comparaison l'aurait interloqué, car il n'avait jamais entendu parler de tels endroits. En réalité, son peuple ne se demandait que depuis tout récemment s'il était seul dans le Cosmère.
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