AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782070197859
176 pages
Gallimard (25/08/2016)
1.82/5   14 notes
Résumé :
À la fin des années 60, quelques étudiants d’extrême gauche partirent s’établir en usine. Dix ans plus tard, Bernard et Marie les suivirent, tentant de croire encore à la révolution. Bernard resta quelques années ; Marie, elle, y est encore.
Leur fils Pierre, qui a été élevé par Bernard parce que Marie un jour s’est brusquement éloignée, ne s’intéresse pas à sa mère ni à cette expérience de l’engagement. Il a grandi silencieusement dans cette distance qu’il ... >Voir plus
Que lire après Nos lieux communsVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
Merci à Babelio et aux éditions Gallimard...

Ils se rencontrèrent à l'usine, à la fin des années 60. Bernard était à la soudure, Marie à la sellerie (si c'est bien comme ça qu'ils s'appellent). Lui n'y restera que 2 ans (à peu près), elle continuera dans cette voie (elle y est sûrement encore). Il se sont aimés sur fond de résistance. de cet amour est né Pierre. Malgré lui, Marie s'en est allée, laissant Bernard élever seul leur fils. Aujourd'hui, la petite amie de ce dernier va tenter de comprendre pourquoi Marie est partie...

Chloé Thomas nous offre un roman quelque peu déstabilisant, fouillis et confus. L'écriture un peu lourde, le style pompeux et ampoulé ainsi que ces nombreuses parenthèses et virgules n'arrangent en rien la compréhension. Bien au contraire. Cela manque de linéarité, de précision (sur le fond, je m'entends, pas sur la forme) et au bout du compte, l'on peine à saisir le sens, le but et le fond de ce roman. L'on ne s'attache même pas aux personnages qui manquent de consistance. Bref, une grosse déception que ces lieux communs...
Commenter  J’apprécie          556
« Étrangers à ces lieux qu'ils prétendaient habiter » . Est ce là un des lieux communs qu'investissent les personnages du premier roman de Chloé Thomas ?  
Premier roman donc et qui en cette rentrée littéraire ne laissera aucun lecteur indifférent.
Avec ou sans. Avec étonnement pour ma part. Sans partie pris également.
Découverte donc.
Quelle écriture...J'avoue que les mises entre parenthèses récurrentes tout au long du récit ont été quelque peu déstabilisantes pour moi. Question de rythme je crois.
Mais je ne suis pas encore habituée au style Thomas, à sa musique, à son tempo.
Il y a « une phrase » Thomas.
Je me suis surprise à penser à Marguerite Duras sans être capable de m'expliquer cette association.
Un style singulier ,innovateur, peut être ? ou alors comme une voix qui marcherait le long des voies de faits des personnages...Car ce n'est pas sur la structure de la phrase qu'il faudra chercher cela. Peut être dans le regard…Le côté caméra, chambre noire. Questions restant à développer….
Peut être d'autres que moi diront mieux cette impression. Je ne sais pas.
Si j'ai un un peu de mal à suivre parfois cette écriture, cela ne m'a pas empêcher d'aimer cette galerie de portraits qui, selon moi, nous sont ,à tous, familiers.
La France des trente glorieuses, la France post soixante-huitarde. Celle qui vint après. Celle qui a le sentiment de n'avoir été à la hauteur d'aucun rôle, parce que tous les rôles avaient été déjà tous distribués à leurs aînés. Une génération née dans le no man 's land de l'Histoire. Entre deux lignes de front, une génération bien sympathique, qui n'a jamais eu tord ni même raison.
Chloé Thomas ose un regard très intéressant sur cette génération, génération presque perdue, non advenue. Celle là même précisément qui nous gouverne, investit, entreprend encore.
Cette génération qui n'ayant pas connu la guerre, ni 68, cette génération qui au yeux de leurs ainés et même de leur descendance n' a jamais vraiment « mérité », sans même pourtant n'avoir jamais vraiment démérité.
Une génération à blanc. Ni guerre, ni révolution. Et qui pourtant est projetée sur son histoire.
C'est la première fois que je rencontre le non-phénomène de cette génération évoqué dans un roman.
Chloé Thomas a la plume incisive en dressant le portrait de cet «  impossible devenir ouvrier de jeunes gens rêvant à la virilité des prolétaires ».
En évoquant « ce grand stage ouvrier des classes dirigeantes » , nul doute de Chloé Thomas va en irriter plus d'un. Plus d'une et d'un de cette génération tardive qui « pensant penser » dans le bon sens a finalement finit par rallier un « entre soi disant » et autre « bien pensant » ( qui donne la nausée) de toute bonne sociale démocratie bien élevée dont on hérite.
...Et l'on en vint à épeler les générations comme d'autres s'était mis à compter les guerres…générations nés sous X, sous Y, Z,...illettrisme d'un futur ?... Et vint le jour où tous les groupes sociaux constatèrent ( plus aucun contestataire ne devant lever son museau, ni même son poing... ), que nous partagions belle et bien une humanité commune. Commun à la racine non communautaire et de plus en plis communautariste. Pas méchant, pas gentil, pas salop, pas formidable. Sans classe. Moyen. Des lieux communs envahissent notre maison commune.
Individuellement- passablement...détestables ?
Ce n'est pas une méritocratie, ni médiocratie, juste une « moyennocratie »... Une société devenue moyenne, un entre deux, un entre soi. Ni chaud, ni froid, de la tièdeur lourde d'une mangrove...
Nos lieux communs. Habitables par tous, insupportables pour tous. Limite...létales.

Donc même si à certains moments je n'adhère pas totalement à « l ' écriture Chloé Thomas » – cela par manque d'éducation de mon oreille -, ( cela ne m'empêche pas toutefois de saisir pleinement le potentiel extrêmement prometteur de cette nouvelle auteure) - je retiendrai de cette lecture  la pertinence de son sujet alliée à l'impertinente intelligence du ton, , qui peuvent ouvrir les portes d'un débat qui nous permettraient justement de sortir de « nos lieux communs », où, reconnaissons le, notre société a de moins en moins d'aisance à justifier le manque d'oxygénation de sa pensée. Dire cela est un lieu commun puisque cela est partagé par bon nombre d'entre nous. Et déjà se forme à l'horizon un autre lieu commun... Décidément...
Donc : bienvenue à Chloé Thomas, merci à elle pour ce coup de plume extrêmement singulier qui permet au Éditions Gallimard en partenariat avec Babelio de nous offrir cet étonnant rafraîchissement en cette rentrée littéraire !

Astrid Shriqui Garain
Commenter  J’apprécie          150
Bernard et Marie, étudiants de la fin des années 1960, se rencontrent à l'usine. Ils s'y sont fait embauchés pour suivre leurs aspirations marxistes. Si Bernard en est sorti, Marie elle est restée dans le système du travail à la chaîne (usine ou resto autoroutier, même combat). C'est Bernard qui a élevé leur fils et l'amie de celui-ci va essayer de comprendre pourquoi Marie les a quitté, il y a si longtemps.
Ne tournons pas autour du pot plus longtemps : je n'ai pas, mais alors vraiment pas aimé ce roman. Je n'ai pas réussi à le terminer non plus, peut-être que celle-ci est bien, mais il faudra le lire par vous même pour le savoir.
L'intrigue n'est ni bonne ni mauvaise, c'est somme toute assez classique (ce n'est pas un reproche). En revanche, je n'ai pas, mais pas du tout accroché à l'écriture. Sans doute a t-elle fait l'objet de recherche, d'essais de la part de l'auteur. Mais n'est pas Jean-Luc Lagarce qui veut : formuler et faire reformuler la parole jusqu'à la phrase juste, ça marche quand l'action avance et là, il faut dire qu'elle est poussive, elle n'avance pas. Et surtout, ça ressemble beaucoup à du bavardage, ce qui est bien dommageable quand le roman parle du silence entre les différents membres d'une famille (car tous se taisent, personne n'explique rien. On ne sait pas pourquoi Marie est partie, et ni son ex-mari ni son fils ne lui posent la question). Pour rester dans la comparaison de style littéraire, c'est plutôt vers l'épure d'Annie Ernaux qu'il faudrait aller voir (d'autant que les thèmes sont assez proches, surtout sur la sortie de son monde pour aller plus haut). Et pourquoi l'auteur s'adresse t-elle aux lecteurs ? Surtout pour leur annoncer des évènements qui n'arriveront que bien plus tard (d'ailleurs tellement tard qu'à la moitié du roman, ils n'étaient pas advenus) ?
Bref, trop de choses ou de recherche de style se téléscopent et ne s'en échappent que de l'ennui (pour moi).
Il y avait longtemps qu'un roman m'avait à ce point ennuyé et j'en suis d'autant plus triste qu'il s'agit d'un premier roman.
Je remercie Babelio et les éditions Gallimard pour cet envoi (et m'excuse du retard de publication de la critique).
Commenter  J’apprécie          131
Thomas Chloé – "Nos lieux communs" – Gallimard/NRF, 2016 (ISBN 978-2-07-019785-9)

Une fois n'est pas coutume, la quatrième de couverture expose fidèlement la trame principale de ce roman (voir rubrique Babelio).

Indéniablement, la thématique centrale de ce roman présente une certaine originalité : en effet, l'auteur ne s'attache pas à relater une fois de plus (voir quelques références ci-après) l'affligeante histoire de ces intellectuels d'origine modeste qui furent amenés au nom d'une illusion politique (le marxisme-léninisme maoïste – prônée dans les années post-soixante-huitardes par des gourous bien installés dans leur carrière universitaire) à "s'établir" en usine, non, ici l'auteur s'attache à montrer les dégâts qu'engendrèrent ces croyances dans la génération suivante, celle des enfants de ces "établis".

Avec un cruel réalisme, Chloé Thomas dresse un double constat.
D'une part, elle exhibe les conséquences, sur le fils Pierre, de cette "libération" des moeurs accompagnant cette idéologie du militantisme, qui amena certaines femmes à abandonner sans autre forme de procès leur progéniture : même lorsque cela se fit dans les pseudo excellents conditions (la mère étant remplacée par une nouvelle compagne du père, qui assume la fonction de substitution) ici relatées, l'enfant en reste profondément affecté, et c'est sa compagne et non lui-même qui entreprend de fouiller ce passé pour tenter de comprendre.
D'autre part, elle montre cruellement et sans fard comment la plupart des intellectuels furent amenés à mettre fin à cet engagement pour reprendre le fil d'une vie ordinaire, voire – pire – exploiter sans vergogne leur passé pour faire carrière, ce reniement que l'enfant observe passivement pour se refuser d'en penser quoi que ce soit une fois devenu adulte.

Ayant côtoyé ces gens, je glisse ici une petite anecdote en passant : dans son édition du 6 mai 2017, le quotidien de la gauche caviar-bobo "Le Monde" publie un article de Jean-Pierre le Dantec, d'emblée présenté comme "l'ex-directeur du journal d'extrême-gauche La Cause du peuple" : oui, oui, il s'agit bel et bien de celui pour lequel (aux alentours du 27 mai 1970) des jeunes gens "de basse extrace" se firent embarqués sans ménagement superflu par les forces de l'ordre...
Le Dantec annonce ici à grand bruit, et à grand renfort de logorrhée verbale, son soutien à ce Macron qui incarne (jusqu'à l'archétype !) le fric, le mépris de la France d'en bas, l'arrogance immonde de cette élite gavée qui parasite et détruit le pays depuis bientôt quatre décennies. Est-ce le journal ou ce cuistre qui signe lui-même ? Toujours est-il que la signature de fin d'article justifie à elle seule le roman dont il est ici question :
"Jean-Pierre le Dantec est écrivain, ancien directeur de l'ENS d'architecture de Paris La-Villette et ancien militant révolutionnaire" : en matière de cuistrerie, on peut difficilement faire pire !
Mais il est vrai que les exemples de gauchistes devenus chefaillons abondent, de Geismar (inspecteur de l'Education Nationale ! hantant les strapontins ministériels), Cohn-Bendit (qui n'oublie jamais de faire carrière, soutenant lui aussi le Macron) ou Serge July (le Murdoch aux petits pieds), ou le Badiou (poursuivant imperturbablement son prêchi-prêcha en jouissant de stables revenus fournis par le contribuable) ; à l'inverse, Michel le Bris, lui aussi ex-directeur de la Cause du peuple, sut ne pas trahir ses idéaux...

Ces exemples témoignent de la pertinence du propos de Chloé Thomas : que penser de ces Judas ???

En revanche, il faut reconnaître que le type d'écriture mis en oeuvre dans ce roman ne contribuera pas à son succès : on se croirait dans du Modiano de la pire veine, les personnages centraux (Jeanne et Pierre) ne sachant ni qui il sont, ni où ils vont, ni où ils vont...
Pour ma part, face au désastre engendré par ces gens-là, je comprends que l'auteur se soit mise à distance de son sujet, pour s'en protéger sans doute...

Un livre à lire pour les ex-soixante-huitards...

PS : Sur le même sujet, quelques titres à recommander, entre autres : Morgan Sportès "Maos" ; Milner Jean-Claude - "L'arrogance du présent : regards sur une décennie 1965-1975" ; Sichère Bernard – "Ce grand soleil qui ne meurt pas" ; Robert Linhart - "L'établi" et Virginie Linhart – "Le jour où mon père s'est tu"
Commenter  J’apprécie          21
«La littérature est maîtresse des nuances. » écrivait Barthes.

Eux ce sont Bernard, Marie et leur fils Pierre. Et puis Jeanne.
Jeanne, celle qui va écouter...
Quatre prénoms qui vont faire le livre.
Quatre prénoms dans le temps des années 70.

Mai 68. le fameux-fumeux brasier s'est éteint.
«Un grondement parallèle et raté».
La lutte engagée doit continuer.
Les intellectuels « maos », armés de lectures « parfois mal mises à jour », endossent la panoplie d'avant-garde révolutionnaire et décident d'aller travailler en usine pour propager l'idée d'une révolution.
C'est «l'établissement».
Il faut comprendre la réalité pour la transformer. Instruire la classe ouvrière et s'en instruire. «Il fallait donc s'établir et voir advenir la révolution.»

Bernard était à la soudure et Marie à la sellerie. C'est là qu'ils se rencontrent. A l'usine.
Ils étaient jeunes et gavés d'illusions. Bernard étudiant en classe préparatoire et Marie étudiante en philosophie. A cette époque là les conversations étaient vibrantes et semblaient infinies.
Le début à l'usine est dur, très dur. Avilissant, abrutissant.
Les «établis» vont découvrir le monde ouvrier.
Ses cadences infernales, ses petits chefs autoritaires.

Bernard et Marie vont se perdre dans la crasse, le bruit et l'odeur de la chaîne infernale.
Pierre arrive.
«C'était compliqué, on a eu ce gamin un peu vite...»
Et Marie va partir...sans rien dire...comme ça...Bam !
«J'ai été con, j'ai rien vu venir.»
Bernard se retrouve avec un petit Pierre de 3 ans dans les bras.
Pourquoi ?
« ...le fantasme de faire table rase...sa petite insurrection personnelle... »
C'est Jeanne qui va écouter...tout raconter...
«Dans la vie, souvent, Jeanne fait ça: elle écoute, garde les traces...»
C'est Jeanne qui va se raconter aussi.
Tous se racontent, tout se raconte.
Le style de Chloé Thomas fait la part belle aux parenthèses, aux incertitudes et aux hésitations. de longues phrases ondées de nuances, parfois surabondantes, quelquefois maniérées.
Loin de l'intouchable lyrisme et du commun dissolvant, près du touchant égoïsme et de la tendre intimité, un roman à l'écoute de ses personnages.
Chloé Thomas, confidente, sans jamais juger (la littérature ne démontre pas, elle montre) sait nous raconter des histoires.
Un premier roman que je vous engage à lire...

(A déguster accompagnés des romans du genre, «Les visages écrasés» de Marin Ledun et «L'établi» de Robert Linhart.)

Commenter  J’apprécie          20


critiques presse (1)
Telerama
21 septembre 2016
Aucun cliché dans son écriture, et si une impression de déjà-vu fourmille entre les lignes, c'est parce qu'elle rappelle Patrick Modiano, ce qui, pour un premier roman, en jette assurément.
Lire la critique sur le site : Telerama
Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
On venait à l'usine pour découvrir la vraie vie; c'est très adolescent, tu sais, tu connais peut-être ça, cette idée que la vraie vie est ailleurs. La vraie vie n'est jamais autre chose que l'autre vie, celle à laquelle on n'est pas destiné. L'usine ou les voyages, pour les étudiants; les études ou bien la richesse, pour les ouvriers.
Commenter  J’apprécie          250
Elle connaît tous les signes de sa présence et le creux laissé dans le lit quand il n'est pas là, le son de sa voix et la couleur de ses silences.
Commenter  J’apprécie          141
Bernard prenait le temps de choisir ses mots, faisait semblant de prendre le temps ; ses mots, ils étaient prêts depuis longtemps. Faut-il rappeler qu'ils n'ont jamais été écrits ; et ils arrivent à Jeanne, à son écoute attentive, dans toute leur fraîcheur d'inédits. Pourtant, à elle, ils paraîtront toujours un bégaiement lointain, une citation éculée, une réminiscence qu'elle ne situera jamais tout à fait ; c'est là sa propre nostalgie, la nôtre (mais peut-être aussi bien ne nous est-elle pas propre) : que toute parole répète, évidemment, répète.
Commenter  J’apprécie          20
Il y a des histoires qui ne se racontent pas.
Commenter  J’apprécie          190
On a les vanités que son époque mérite.
Commenter  J’apprécie          160

Video de Chloé Thomas (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Chloé Thomas
L'insomnie et la littérature vont souvent de paire : nombreux sont les écrivains insomniaques, qui trouvent l'inspiration dans leurs nuits blanches. Les autrices Chloé Thomas et Marie Darrieussecq sont les invitées du Book Club pour évoquer leurs deux livres qui explorent l'absence de sommeil.
#bookclubculture #sommeil #litterature __________ Venez participer au Book club, on vous attend par ici https://www.instagram.com/bookclubculture_ Et sur les réseaux sociaux avec le hashtag #bookclubculture
Retrouvez votre rendez-vous littéraire quotidien https://youtube.com/playlist?list=PLKpTasoeXDrqL4fBA4¤££¤6L'insomnie15¤££¤ ou sur le site https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/bienvenue-au-book-club-part-2
Suivez France Culture sur : Facebook : https://fr-fr.facebook.com/franceculture Twitter : https://twitter.com/franceculture Instagram : https://www.instagram.com/franceculture TikTok : https://www.tiktok.com/@franceculture Twitch : https://www.twitch.tv/franceculture
+ Lire la suite
autres livres classés : silenceVoir plus
Les plus populaires : Bande dessinée Voir plus

Autres livres de Chloé Thomas (2) Voir plus

Lecteurs (41) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (2 - littérature francophone )

Françoise Sagan : "Le miroir ***"

brisé
fendu
égaré
perdu

20 questions
3667 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , littérature française , littérature francophoneCréer un quiz sur ce livre

{* *}