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4,39

sur 2476 notes
Il y a longtemps qu'un roman ne m'a pas fait battre autant mon coeur. « Guerre et Paix » n'est pas un coup de coeur … il est plus que cela ! Ce livre m'a extasié.

J'avais vu la version avec Audrey Hepburn que je n'avais pas aimé, par conséquent le roman ne m'intéressais pas. Il aura donc fallut que je regarde récemment la série de la BBC pour me décider enfin de le lire et c'était une excellente décision. Comme quoi il ne faut jamais rester sur un à priori.

« Guerre et Paix » est une grande fresque historique dépeignant la Russie lors des guerres napoléoniennes. Ainsi, nous sommes plongés dans le monde militaire. Ces derniers donnent leurs impressions sur Napoléon qui est craint par certains et admiré par d'autres. En réalité, les militaires se rêvent en Napoléon (d'où cette detestation ou fascination). D'autre part, nous déambulons dans les palais moscovites et petersbourgeois. Nous suivons les intrigues, les passions, le quotidien de l'aristocratie qui se trouve loin des considérations de la guerre.

Mais le titre « Guerre et Paix » ne fait pas seulement référence à l'image factuelle qu'elle renvoie. Elle apparaît également dans les sentiments des personnages qui sont en conflit intérieur. Ex : Natacha qui vit différentes tribulations du coeur. Pierre qui se bat entre l'oisiveté et la religion, désirant être un être sans tache. Ou bien le Prince André qui recherche la gloire des hommes tout en les évitant et les méprisant.

Mes personnages préférés sont le Prince André Bolkonsky et le comte Pierre Bézhoukov. Toutefois j'admet avoir un certain faible pour le Prince André. En réalité, j'aime tous les personnages même les « méchants » car ils sont tous bien traités. Évidemment, la Russie est un personnage à part entière du roman. Les personnages battent pour la Russie.

Un des passages m'ayant le plus plu est la discussion entre Pierre et André sur la vie d'un point de vue philosophique/théologique.

En conclusion, je ne pensais pas que je pouvais aimé plus « Guerre et Paix » que l'excellent et pas des moindres « Anna Karénine ». Malheureusement, je n'ai plus de place sur mon île déserte mais « Guerre et Paix » y figure désormais. Maintenant, je vais faire une pause avant de me lancer dans le deuxième volume que j'espère être aussi formidable que le premier.

Suis-je plutôt Dostoyevsky ou Tolstoy ? Et bien Professeur Steiner, je suis décidément Tolstoy. George Steiner : https://www.youtube.com/watch?v=zBB2bWubhak
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J'ai adoré lire Tolstoï, j'ai adoré ses visions sur l'histoire où les "grands" personnages sont réduits à n'être que de simples étiquettes comme sur des bouteilles de vin, ils ne sont pas le contenu de la bouteille, ils ne savent même pas ce que contient vraiment la bouteille.
A cette conception qui m'amuse, je préfère celle de Thucydide et sa description du général spartiate Gylippe, par exemple. Notre monde occidental a été modifié par la défaite d'Athènes à Syracuse et d'une certaine façon ce général arrivé avec très peu de moyens, quelques soldats tout au plus, a montré que oui, le génie militaire existe. Napoléon n'en était pas dépourvu.
Dans ce livre de Tolstoi, j'aime le fait qu'il développe sa thèse, qu'il laisse libre cours à sa réflexion et nous la fasse partager.
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(...)
(...) Et je dois dire que j'ai été agréablement surprise, car j'ai trouvé que c'était très accessible, finalement. Alors oui, il y a foison de personnages, dont beaucoup ont un nom à coucher dehors (du point de vue d'un lecteur non-russe, s'entend ^^), mais si je compare au Trône de Fer, par exemple, c'était parfaitement jouable 😆

Des descriptions, il y en a aussi, mais la plume est agréable, alors ça passe plutôt bien. Même les récits de campagnes militaires ne sont pas trop indigestes et il y en a moins que ce que j'aurais cru. Il n'y a finalement que 2 passages que je n'ai pas aimés (et sur 668 pages, c'est peu): l'un concerne la franc-maçonnerie et m'a ennuyée à mourir; l'autre une chasse à courre qui m'a révulsée, bien que ce ne soit pas trop explicite.

Pour ce qui est de l'histoire, j'ai eu l'impression qu'elle racontait à la fois rien et beaucoup de choses ^^ Oui je sais, c'est paradoxal, mais je ne saurais pas mieux exprimer ce que j'ai ressenti pendant ma lecture. Les personnages sont très nuancés, comme dans la vie, ce qui fait qu'on s'attache à eux pour certains aspects de leur personnalité, mais qu'on les déteste pour certains autres. Il n'y a pas de héros à proprement parler, mais des protagonistes dont l'intérêt repose sur les relations qu'ils ont entre eux, sur leurs réflexions et leurs actes plus que sur eux-mêmes.

De cet auteur, je n'avais lu qu'une nouvelle présente dans un recueil sur le thème des vampires et je l'avais énormément aimée. Ce 1er tome de la Guerre et la Paix a su également me convaincre, même si c'est une lecture plus exigeante, je l'ai trouvé aussi très addictive. S'il m'a fallu plus d'un mois pour en venir à bout, c'est essentiellement parce que mon édition propose une mise en page très dense: c'est écrit tout petit et les interlignes sont minuscules, ce qui est très fatigant visuellement. Si vous avez envie de vous lancer dans ce livre, je vous conseille de choisir une édition avec un meilleur confort de lecture ^^

Ce livre me faisait très peur, mais il était beaucoup plus accessible et addictif que je l'imaginais. Au final ç'a été une bonne lecture et j'espère lire le tome 2 très bientôt 🙂
Lien : https://bienvenueducotedeche..
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J'avoue que lorsque je suis sortie de la bibliothèque avec mes 2 volumes de plus de 1000 pages chacun de "La guerre et la paix" de Léon Tolstoï, je me suis dit : "ma DD, dans quoi tu t'es encore lancée ?". Et puis j'ai commencé à lire, et puis voilà...

Nous sommes au début du XIXème siècle, dans la Russie de l'empereur Alexandre 1er. Entre Moscou et Petersbourg, la haute société passe son ennui entre les diners, les bals et les salons. Il y a le fier prince Bokonsky, droit comme un i avec ses principes ; le fantasque comte Bézoukhov, fils bâtard rendu légitime et donc immensément riche ; la famille Rostov, avec le passionné officier Nicolas et sa soeur la jeune et insupportable Natacha ; et également toute une ribambelle d'autres personnages qui nous font découvrir cette riche société. Mais plus si loin que ça, le fourbe ennemi français se rapproche lentement, et va bientôt bouleverser tout ce bel équilibre...

Ce que j'ai aimé dans ce livre, c'est tout d'abord l'écriture : fine, ciselée, mais pourtant hyper facile et agréable à lire : un régal ! L'autre point fort est la trame même de cette fresque, qui mélange la grande histoire (les campagnes napoléoniennes vers Moscou) et la petite (la vie des personnages ci-dessus, qui permet de découvrir la Russie du XIXème siècle). Pour moi qui n'ai jamais étudié Napoléon à l'école (à chaque fois je suis passée entre les mailles du filet !), j'ai appris plein de choses sur ces campagnes militaires où plus de 500 000 hommes d'origines différentes traversaient à pied tout un continent pour aller se battre. Petit bémol cependant sur les 100 dernières pages du roman, qui sont d'un ennui sans fin et laissent une piètre dernière image. Mais qu'importe, le reste de l'histoire a tracé un sillon profond et mémorable. Chapeau Léon !


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Un grand classique de la littérature fait toujours un peu peur car oui c'est un classique mais j'ai la fâcheuse habitude de ne pas beaucoup les apprécier.
Merci à Tolstoï de me réconcilier avec les grands classiques... enfin, au moins un.

Une lecture prenante qui pousse à lire et à tourner, tourner et tourner les pages rapidement pour savoir ce qu'il va arriver aux différents protagonistes.

Un récit prenant qui se lit facilement où l'on est aspiré par le tourbillon des actions qui se succèdent.
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Un jour ça m'a pris comme ça, j'ai eu envie de lire Guerre et Paix. Donc, j'ai téléchargé sur ma liseuse le roman, je me suis installée dans un café avec une boisson et une pâtisserie, et j'ai commencé le roman. Vingt minutes plus tard, j'avais terminé le café et le gâteau, mais pas le roman ^^

Ok. Parler de Guerre et paix ne s'avère pas être la chose la plus aisée, car le roman est tellement riche que je ne sais par où commencer. Je vais donc débuter par mon impression générale : Cette oeuvre est absolument géniale, j'ai adoré. Et si tu fais partie de ces gens qu'un énorme pavé de 2000 pages impressionne, et bien je vais tenter de te convaincre que oui, une oeuvre aussi conséquente peut être fun.

Guerre et Paix, de quoi ça cause ?
C'est une histoire de guerre, de troupes Napoléoniennes, de campagne de Russie. C'est également une entrée dans les salons de l'aristocratie russe, avec ce qu'il faut de secrets, de coups d'éclats, de mariage heureux ou malheureux. Ce sont des personnages, certains discrets, d'autres hauts en couleur, mais tous reflétant à leur manière une certaine idée de la Russie d'alors. Bref, Guerre et Paix, c'est une grande saga sur gigantesque fresque historique.
Oui mais voilà. Histoire de rendre cette oeuvre encore plus riche, Tolstoï s'est octroyé cette petite fantaisie d'inclure ses propres pensées au fil des pages. Alors, on n'a plus à faire uniquement à un roman, mais à une oeuvre… qui n'est pas non plus un essai. On a à faire à … Guerre et Paix. Voilà.

Sur l'histoire, je n'en dirai pas plus, cela ne sert à rien. Je vais désormais t'expliquer pourquoi tu dois lire Guerre et Paix.

Parce que tu vas découvrir les campagnes Napoléoniennes d'un point de vue Russe. Ouais, du côté de Moscou, le petit corse qui vient s'introduire dans leur grand pays, on n'a pas forcément vu cela d'un bon oeil. En plus, tu révises les noms des batailles.
Parce que tu prends le thé dans les plus beaux salons russes. Et qu'en plus d'admirer la toilette des ces dames, tu vas pouvoir écouter les conversations politiques de ces messieurs. Et de quelques-unes de ces dames aussi. Tu vas être dans les plus hautes confidences, savoir qui est promise à qui afin de maximiser le pouvoir d'un autre ; Qui trompe qui dans un désir de vengeance charnel sans se rendre compte de la portée politique de son acte. Tu vas essayer de découvrir qui sont les puissants, quels sont ceux qui se font rouler dans la farine, tu vas faire connaissance de femmes d'apparence fragile voir godiches, mais seulement d'apparence, tu vas croiser des jeunes arrivistes aux dents qui rayent le parquet.

Parce que malgré le nombre impressionnant de personnages, malgré toutes le petites histoires et la grande Histoire, jamais on ne se sent perdus. Tolstoï a sur rendre vivant chacun de ses protagonistes, il nous invite à suivre leur évolution dans le temps, et on y prend plaisir.

Parce qu'en fréquentant tous ces personnages, tu comprends que finalement, l'Histoire se façonne grâces aux histoires sans majuscules de gens de moindre importance. Certains pouvant devenir par le suite de grands hommes, mais rien n'est moins sûr.

Parce que l'auteur vient mettre son grain de sel et n'hésite pas contredire les faits. Cette bataille, supposée être une débâcle pour la Russie, et bien il t'explique en quoi ça n'en est pas une. Et en plus, son raisonnement est loin d'être sot.

Enfin, parce que si tu comprends bien ce que le mot Guerre vient faire dans le titre, tu ne t'expliques pas le terme Paix. Alors, tu découvres les mauvais côtés de la traduction littérale d'un titre. Et en regardant sur internet, tu apprends que le mot мир (Mir) signifie également Monde, Règne ou Univers. La Guerre et le Monde… ouais ça aurait été un titre classe ça ! Mais bon, étant donné que c'est Tolstoï lui-même qui a traduit ce titre en français, Guerre et Paix, ça le fait aussi.

Bref, tu dois lire Guerre et Paix parce qu'il se passe des trucs de malade, que tu peux aussi bien t'intéresser à la vie de la société russe qu'à des grandes stratégies militaires, que même si tu n'y connais rien à l'Histoire, à la Russie ou encore en stratégie militaire, tu ne te sentiras jamais envahi de termes rébarbatifs et incompréhensibles.
Et puis, tenir compagnie à des personnages (plus ou moins) sympathiques pendant 2000 pages, c'est cool non ? Tu as le temps de bien les conaître, de les aimer, de les détester… Ok, ça rend la séparation un peu plus nostalgique, mais bon… toute bonne chose à une fin, paraît-il…

Sur une oeuvre telle que Guerre et Paix, il y a des tas et des tas de choses à dire, et d'ailleurs elles ont certainement été dites dans d'autres chroniques, analyses, résumés… Je n'ai pas pris le parti de rentrer dans une analyse poussée. Mais j'espère toutefois que ces quelques lignes t'auront donné envie de t'intéresser à cette gigantesque et foisonnante oeuvre littéraire.
Lien : https://voyageauboutdelapage..
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Ce premier tome, je l'avais débuté le 20 mars 2021, je ne l'ai terminé que le 21 mai. Donc, lire le premier tome m'a prit deux mois. Ce premier tome va toujours me rappeler une période assez triste de ma vie. Lorsque j'ai débuté ce livre en mars, à cette même période, la santé de mon oncle qui souffrait de cancer a commencé à se dégradé. En me rendant aux derniers chapitres, c'est là qu'est survenue la mort de mon oncle bien-aimé. Je me perds un peu dans les événements, revenant au roman.

On découvre des personnages très intéressants et très attachants. On ne s'habitue pas vraiment à l'un d'entre eux puisqu'on suit la vie de chacun à tour de rôle. Néanmoins, le prince André et Pierre sont très fascinants. J'ai bien aimé leur dévouement l'un à l'autre. le comte Rostov aussi est très aimable, il s'occupe bien de sa famille, j'ai adoré les descriptions des bals qui se tenaient chez lui. le prince Vassili m'a semblé un peu amer et malveillant au début mais malgré cela l'auteur ne nous permet pas vraiment de détester les personnages, il nous les présente sous différents ongles, au point qu'on peut les détester pour certaines actions tout en comprenant ce qui les a poussé à agir ainsi. La Guerre et la Paix est comme un mélange entre un récit historique et un récit fictif. Beaucoup de scènes sont tirées de faits réels, notamment les scènes de guerre. Beaucoup de personnages historiques sont présents lors des faits. On assiste à des scènes en présence de Napoléon, ou de l'empereur Alexandre. Vous allez aussi voir l'importance de la langue française au sein de l'aristocratie russe de l'époque. Vous verrez que la France était l'ennemie des Russes mais en même temps elle était leur modèle. le roman commence par un dialogue en français. J'ai bien aimé le tome 1 et j'ai commencé le deuxième tome qui est tout aussi bon. La Guerre et la Paix est un roman qu'on doit avoir lu dans la vie. Il va à jamais rester gravé dans ma mémoire puisqu'il va toujours me rappeler la perte de mon oncle, Paix à son âme.
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J'étais trop impressionnée par ce monument de la littérature russe pour imaginer le lire un jour jusqu'à ce j'en découvre une adaptation pour la télévision. L'intrigue m'a beaucoup plu, au point de me donner envie de me lancer dans l'aventure de plus de 900 pages.
Et je n'ai pas regretté, la lecture de cette magnifique fresque historique même si certains passages consacrés aux réflexions politiques ou philosophiques m'ont paru parfois un peu ardus.
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Dès qu'on entame ce premier tome, le livre est d'ores et déjà vivant! Les personnages apparaissent à tour de rôle dans une atmosphère vivace et verveuse pour nous tenir en haleine assez longtemps. De même que deux informations ultimes envahissent la Russie comme une trainée de poudre entrainant une panique de part et d'autre: la mort imminente d'une grosse fortune de la Russie et la guerre qui se pointe à l'horizon contre les Français. De même que deux personnages constituent le point focal de ce premier tome. Il s'agit du comte Besoukhow, qui se meurt, et, dont la question testamentaire agite tout le monde, et de Napoléon Bonaparte dont le simple nom sème le pays dans une totale psychose. Du premier dépend la survie de plusieurs personnages, du deuxième dépendra l'avenir de tout un pays.
On découvre en même des personnages illustres comme Pierre, un jeune tout innocent, enfant bâtard du vieux comte, que tout le monde boude étant le présumé héritier faute d'absence d'enfants légitimes. Le prince André marié à une bourgeoise dont les mœurs légères de la vanité lui fait aigrir la vie conjugale, et qui trouve la seule issue pour s'en échapper est de s'engager dans la guerre contre Napoléon. Puis Tolsoi nous transporte avec brio dans le champs de bataille où on se rend compte que gagner la guerre est n'est pas qu'une question de force mais aussi , et peut-être même plus, une question d'intelligence ...
Avec toute cette délectation, il y a de quoi s'engager sur le deuxième tome!
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La mise en place des personnages et du contexte historique prend plusieurs centaines de pages, pas désagréables par ailleurs. La force du roman m'est apparue à la description de la bataille d'Austerlitz. le cadre est tantôt posé sur les états majors avançant leurs pions et dressant des stratégies, tantôt sur la mise en mouvement de l'armée à travers tous ses corps intermédiaires où l'on finit par plonger dans le combat avec une caméra subjective, accompagnant les pas d'un homme dans le carnage et la débâcle. Ce changement constant de point de vue me semble être le réel tour de force.

N'en reste pas moins que le livre n'est pas un document d'histoire -ni une fiction complète- mais une sorte de docu-fiction constituée d'épisodes pareils à ceux que l'on trouve dans les séries d'aujourd'hui. On y traverse tous les milieux, en temps de guerre ou de paix, sur 15 années. Une source d'étonnement et d'intérêt pour la Russie, la France, et plus largement l'Europe de 1805.

On sent un certain nombre de fois dans le récit, le besoin porté par Tolstoï et sans doute partagé par ses contemporains, de régler 40 ans plus tard des comptes avec les conquêtes napoléoniennes, et avec ce que ses historiens en conservent.

Un livre bien difficile à noter. Plus proche de 5 que de 4 étoiles, mais qui me semble pouvoir être substitué par la lecture d'autres romans russes plus abordables -ou courts. Je m'étonne toujours autant en ayant lu seulement Dostoïevski, Tchekhov ou Tolstoï, de leur incomparable talent à poser clairement et sans esprit de chapelle, les problèmes liés au matérialisme, au sens de l'existence et à la morale.
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