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4,39

sur 2476 notes
On décrit souvent La Guerre et La Paix comme un rite de lecture initiatique, un passage obligé ; c'est compréhensible. Personnellement, j'ai commencé ce livre avec un amour anticipé pour l'oeuvre générale de Tolstoï. J'avais abandonné au bout d'une centaine de pages quelques années auparavant : c'était me lancer un défi que de retenter l'aventure et entamer à nouveau ce bloc de presque mille pages. J'y ai trouvé un récit passionnant sur l'Histoire de la Russie au temps des campagnes napoléoniennes, un entrelacs de destins personnels et de grandes décisions politiques sur fond de guerre. le contexte est prétexte à d'épiques descriptions, minutieuses mais haletantes. L'intrigue, plus ou moins resserrée selon les versions, ne parvient pas à perdre le lecteur dans le dédale de ce pavé magnifique que représente la Guerre et la Paix. Les personnages, tellement humains, contribuent à faire avancer la lecture au fur et à mesure que l'on voit leur vie suivre son cours, bouleversée parfois par quelque événement, suspendue à d'autres moments au fil de longues réflexions philosophiques. Les voir évoluer, gagner en maturité fait qu'il est difficile de les quitter au final. C'est un livre qui dévore plus qu'il ne se laisse dévorer, en fait. La Guerre et la Paix fait partie de ces classiques littéraires délicieux, addictifs, qui une fois la dernière page tournée, vous laissent un silence dans la tête et une certaine mélancolie dans le ventre.
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Avant de commencer je dois vous prévenir que l édition que j ai lu n est pas là même que celle que j ai ajouter . C est simplement parce que je ne l ai pas trouvé… j ai donc lu l intégral et non pas le premier tome . Maintenant place à la critique

C est vrai que quand je l ai acheter j avais un peu peur car le vendeur m avait traitée de folle de lire un pavé de 1243 pages . J ai donc commencé le roman de Tolstoi angoissée…

Mais c est un livre absolument incroyable que j ai découvert ! Des descriptions magnifiques de la vie de cour russe , de la guerre entre Napoléon et la Russie tout , tout était mené avec brio ! Je ne me suis pas ennuyé une seconde .

Grâce à l écriture de Tolstoi je suis tomber amoureuse de la Russie des tsars . Et quand j ai découvert leur musique classique alors la … mais je m egard … c est donc un livre dont il ne faut pas avoir peur de commencez car il est la promesse s un moment inoubliable.

Je le recommande donc des deux pouces !
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J'ai comme envie de dire que les curseurs sont haut placés un peu pour tout, jamais à l'extrême, jamais poussés au maximum, ni dans le style, ni dans la psychologie des personnages, ni dans l'enchaînement narratif, tout est très bon, tout est fluide, tout le temps. Et quand on fait ça sur 1000 pages (pour ce tome 1) et quand on écrit ça à cette époque, et bien on comprend qu'on a affaire à quelque chose de grand.
A titre personnel, je ne mets pas cinq étoiles parce qu'il me manque quelque chose sur le plan émotionnel, je ne suis pas transporté, pas bousculé. Contrairement aux Misérables de Hugo ou les Hauts de Hurlevent de Brontë, par exemple.
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Le tome 1 de cette collection ne couvre que les 2 premiers livres de cette oeuvre immense, et pourtant c'est déjà un roman historique à lui seul. On y découvre les moeurs de l'aristocratie russe du tout début du 19ème siècle, dans un période de confrontation guerrière avec la France de Napoléon §1er ; on y vit par exemple la bataille d'Austerlitz et la défaite des Russes. La France qui, malgré un sentiment de défiance d'une partie de l'aristocratie, reste une « passion » des russes, employant par exemple le Français comme une langue sophistiquée.

J'ai particulièrement apprécié le récit de la bataille d'Austerlitz, même si on peut se perdre dans les descriptions très détaillées qu'en fait Tolstoï. J'ai aussi apprécié le passage de la chasse à courre des Rostov, là aussi très descriptive, on s'y croirait. Et puis dans la même veine que « Orgueil et Préjugés » de Jane Austen ou encore « Les Buddenbrook » de Thomas Mann, on retrouve ici le récit des histoires sentimentales du milieu aristocratique du 19ème siècle, cercles fermés, pudiques, mais des histoires pleines de passion.

Dans ce type d'oeuvre, ces romans fleuves où fourmillent des dizaines de protagonistes, on se plait à découvrir ces personnages, à les connaitre petit à petit comme de vraies personnes (grâce aussi à la richesse et au réalisme des détails et aux descriptions psychologiques que Tolstoï fait de ces personnages), à les aimer ou les détester, à être peiné pour leurs malheurs et heureux pour leurs instants de bonheur. Personnellement c'est le prince André Bolkonsky qui m'a le plus marqué, incarnant des valeurs morales, libérales et le héros romantique par excellence.

Même après près de 1000 pages parcourues assez vite finalement, et sans me lasser, je n'ai qu'une hâte, c'est d'ouvrir le volume suivant pour continuer cette fresque historique et romanesque. Alors chut… pas de « spoil » merci 😉
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Dans mes archives, j'ai les deux gros volumes de "La guerre et la paix", en livre de poche. J'en ai fait la lecture au temps de mon adolescence et je ne crois pas que j'aurais le courage de relire intégralement ce monument de la littérature. Aujourd'hui il n'est pas question pour moi d'en faire une analyse qui, après tant de commentaires, n'aurait sans doute rien d'original.
Ce livre vaste et très ambitieux décrit toute une société: l'aristocratie russe au début du XIXème siècle. Il relate aussi, en détails, le parcours de vie des personnages principaux: Pierre Bezoukhov, le prince André Bolkonsky, ainsi que Nicolas et Natacha Rostov. Enfin, Tolstoï n'hésite pas à s'emparer de la grande Histoire, celle où les armées des empereurs Napoléon et Alexandre s'affrontent, juste au début des années 1800;. En particulier, le choc à Austerlitz (en 1805) est longuement évoqué; une page très célèbre est consacrée à Bolkonsky blessé, restant sur ce champ de bataille.
Mes souvenirs personnels de ce roman-fleuve restent assez vivaces et positifs. "La guerre et la paix" est un chef d'oeuvre, certainement. Mais, s'il ne veut pas se perdre, le lecteur doit rester bien concentré.
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Il est de ces livres que l'on connaît par leur titre, leur auteur.
De ces pavés que l'on observe depuis notre jeune âge de bambin dans les bibliothèques familiales. Les pages généralement cornées, jaunies, tachées, preuve d'une vie de livre bien remplie.
Il est de ces romans qu'on étudiera peut-être, quelques années plus tard, lorsque nous aurons le visage disgracieux et boutonneux, conséquence d'une période appelée « adolescence » ou réaction épidermique à l'évocation du mot « classique ».
Et, lorsque l'on pose cette fameuse question : « de quoi ça parle ? »
Cette même réponse, jamais tout à fait claire ni satisfaisante : « Lis-le, tu verras ».
On le comprend bien mieux lorsque, comme c'est le cas ici, on s'essaie à résumer cette histoire, à en expliquer le sens, à tenter de partager ces multitudes d'émotions qu'elle nous a apporté.

Avec ces quelques 1000 pages, vous l'aurez compris j'aurais du mal à vous résumer ce premier tome de Guerre et Paix.
C'est une histoire, des histoires, dans l'Histoire.
C'est la vie, aussi simple et compliquée que cette dernière l'est.
C'est l'amour et l'amitié, la trahison et la complicité, les farces et les déceptions du quotidien.
Au coeur d'une Russie traversée par la guerre, nous suivons plusieurs personnalités, plusieurs familles de l'aristocratie russe : Pierre Bézoukhov, André Bolkonsky, Natacha, Nicolas, ou Hélène ne sont qu'une infime partie de ceux que vous rencontrerez.
Les personnages sont nombreux, à tel point qu'on arrive parfois à s'y perdre.
Certains noms se ressemble, à une lettre près, et si le manque d'attention vous saisit, la confusion prend aussitôt le relai lors de certains passages.

Cette lecture est intense, exigeante.
Le rythme particulier, alternant les scènes de vie, de bal, de soirée dans ces appartements luxueux de Saint-Pétersbourg à Moscou, pour ensuite se retrouver sur les champs de guerre, dans des descriptions pointilleuses des différentes batailles.
Il ne faudrait occulter les réflexions de Tolstoï, quasi philosophique, qui donnent une hauteur certaine au récit.
Les questionnements sur la vie, les moeurs, la mort et l'amour sont nombreux, infiniment réfléchis, et d'une beauté certaine.

Pas forcément un classique très abordable, mais malgré l'effort sur certains chapitres, la beauté de bien d'autres vous récompensera !
Vous pouvez retrouver « Guerre et Paix » en format poche aux éditions @folio_livres.
Il me tarde de commencer le second tome !
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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La conception de Guerre et Paix (1863-1869) coïncide avec le cinquantenaire de la victoire contre Napoléon. Les guerres napoléoniennes sont une simple toile de fond de la première partie du roman, mais la guerre de 1812 devient en troisième partie le sujet véritable et centrale, transformant le roman en une épopée, en un traité historique et philosophique.

Tolstoï introduit dans l'action les personnes historiques de Napoléon, d'Alexandre Ier, du maréchal Koutouzov, et conteste les interprétations des historiens.

Pour lui, la Grande Armée, dans sa victoire à Borodino en en fait été frappée à mort : elle ne trouvera à Moscou, qu'un piège qu'elle devra fuir en toute hâte ; les paysans qui ont fait le désert devant elle vont la harceler dans sa fuite.

L'inaction de Koutouzov provient d'une intuition très sûre de la réalité, tandis que Napoléon, comédien odieux et pitoyable, victime de son propre jeu, croit diriger les événements alors qu'il n'en est que l'instrument.

Ainsi se trouve démonté de manière brutale le mythe du « grand homme » et la conception que l'histoire est faite par ces grands hommes. Tolstoï voit dans les instincts sombres de la masse humaine le ressort ultime et impénétrable de l'histoire et qui attribue par conséquent au peuple, fidèle à ses instincts, et non à la noblesse, trop consciente pour être efficace, un rôle déterminant dans le processus historique et en particulier dans la victoire russe contre Napoléon.

Tolstoï se projette à mon sens, dans deux personnages du roman : le prince André, homme d'action énergique et ambitieux qui, blessé à Austerlitz, lit dans le grand ciel bleu qui domine le champ de bataille la vanité de la gloire terrestre et la petitesse de Napoléon, et le rêveur Pierre, faible tourmenté, insipide qui, cherche dans la franc-maçonnerie une réponse à ses inquiétudes spirituelles, et finis par la trouve auprès d'un camarade de captivité, un paysan, qui lui enseigne l'acceptation de la vie, l'amour d'autrui et la non-résistance au mal.

Ses personnages ne sont ni décrits ni analysés, mais représentés dans des scènes concrètes, où les situations, à travers les attitudes, les gestes, les intonations que perçoivent leurs interlocuteurs, les révèlent par-delà les masques sociaux, dans leur plus intime vérité.

Et à la fin, on saisit qu'on ne peut pas réduire la vie à la raison uniquement. La vie possède une force qui est plus que nos simples petits calcule de rentiers bourgeois qui rêve d'amasser encore plus d'avoir, encore plus de loisir, encore plus de distraction, encore plus de voyage.

Bon que dire d'un chef d'oeuvre de cet acabit ! On ne put que le lire, le relire et le re-relire ! Il y a tant a trouver, méditer et lustrer son âme avec, qu'il est impossible d'en sortir sans transformation !

J'aime cette vision que les peuples avancent en créant par leur force inconsciente leur propre tyran, ou leur propre sauveur. Napoléon vs Koutousov !

Je retrouve ce sens de l'épopée dans le cycle de Dune de Franck Herbert.

Lien : https://tsuvadra.blog/2021/0..
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Un excellent livre si il en est jamais ennuyé malgré les nombreux dezoom sur nos personnages pour nous offrir un tableau xde L Histoire plutôt que des histoires qui la font.

Sauf peut-être en vérité dans la longue dissertation de l'épilogue, car pour être honnête je ne me sentais plus trop "dedans" surtout que la lecture en italique est une peine pour les yeux.

Mais sinon splendide, mêlant la joie, la tristesse avec délicatesse, nous dressant des portraits si plein de vie qu'il me semble pouvoir voir sortir Natacha des pages du livre. Et non seulement plein de vie mais aussi plein de finesse, encore une fois comme dans Anna Karennine, Tolstoï démontre d'une vraie connaissance de la nature humaine. Et aussi lorsque l'un d'entre eux doit nous quitter se sont des flots de larmes qui coulent, et une poignante compassion lorsque le malheur les frappent.

Le style est fluide, rien à redire à son niveau.

Or les digression d'historien de fin de livre mon seul reproche serait le côté très pro empereur et anti-napoléon qui perce assez souvent, Tolstoï n'étant absolument pas neutre ni prétendant à vrai dire l'être. Ce ne sont plus quelques pointes aiguisée mais une véritable mitraille contre ce général français impudent. ;)
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Magnifique classique de la littérature russe. Guerre et Paix nous plonge dans un univers incroyable d'intrication des personnages et des récits. Aux travers des dialogues, Tolstoï nous plonge dans l'atmosphère des salons aristocratiques du XIXe siècle. Mais ce qui fait le prodige du roman c'est cette richesse historique, cet enchâssement de la fiction et du réel. Sublime !
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Comment critiquer une oeuvre qu'on ne présente plus, de près de 2000 pages dans sa version en deux tomes chez Folio, et qui nous conte les aventures de plusieurs familles nobles de la Russie ?

Cette Russie qui fait face au début du XVIIIème siècle à l'appétit insatiable de Napoléon, que beaucoup abhorrent pour son arrogance roturière, tandis que d'autres ne peuvent s'empêcher de l'admirer profondément pour ses faits guerriers et sa maîtrise de la stratégie guerrière.

La première partie du roman se dévore, on y suit une kyrielle de personnages difficiles à distinguer les uns des autres au tout début du roman ; Tolstoï n'est d'ailleurs pas tendre avec eux et les afflige de nombreux défauts et vices. On y découvre les salons pétersbourgeois et moscovites, et l'hypocrisie qui y règne, ainsi que les préoccupations de chacun : amourettes d'adolescent, grandes ambitions maternelles pour leur fils, appropriation de l'héritage d'un jeune bâtard menaçant ou mariages ratés d'où tout bonheur semble absent. Et au-delà des portes de ces salons, la guerre et la Grande Armée, menaçante…

Il est difficile d'être exhaustif quant aux thèmes abordés : on y trouve bien sûr les moeurs de la société russe, les rapports et qualités des hommes et des femmes (bien souvent les défauts pour ces dernières…Tolstoï me semble bien misogyne, à quelques exceptions près), une description des domaines paysans, qui semblent être un terrain de jeux pour les jeunes nobles qui doivent y prouver la bonne gestion de leurs affaires, et de la fidélité, ou la sournoiserie des domestiques.

Guerre et Paix est également un roman initiatique, où la plupart des personnages cherchent un but à leur existence : bravoure et gloire à la Guerre pour les hommes, ou au contraire poursuite de la connaissance et du bien commun au sein de sociétés secrètes ; amour passionné et fidèle, mariage réussi ou sacrifice à la religion pour les femmes. On ne peut s'empêcher d'enrager devant certaines décisions ou apathie notoire des personnages, inconstants ou au contraire d'une fidélité butée insupportable…Pierre Bezoukhov et la Princesse Marie mériteraient selon moi d'être secoués plus d'une fois ! Quête initiatique solitaire ou à deux, avec ces désillusions ou de nouveaux émerveillements !

Et bien sûr, les trois autres grands protagonistes de cette longue oeuvre : la Guerre, l'Histoire et Tolstoi lui-même : les batailles et stratégies des belligérants sont minutieusement détaillées par l'auteur, et malgré les conseils de guerre et sempiternelles discussions des généraux, l'Histoire et son déroulement inexorable écrase toutes les prédictions, tandis que les protagonistes disparaissent ou ressortent grandis de leur expérience de la guerre et de la mort : là encore, les illusions se brisent. Tolstoï ne se contente d'ailleurs pas de décrire les bataille de Schongraben, d'Austerlitz et de Borodino : il les analyse, les décortique, les juge sans pondération ; il réécrit les rencontres entre Napoléon et Alexandre III, déversant au passage sa verve et son opinion tranchée sur les récits historiques de l'époque (et notamment celui de Thiers).

J'ai dévoré presque d'une traite les trois quarts du roman, jusqu'à la disparition de l'un des personnages qui m'a profondément attristée, et qui m'a fait perdre en grande partie mon intérêt pour l'histoire : les protagonistes ne m'étaient pas sympathiques, de l'écervelée et grande séductrice malgré elle Natacha à la Princesse Marie, illuminée et soumise…Du côté des hommes, l'incapacité d'agir de Pierre m'a plus d'une fois agacée, tout comme l'amour larmoyant que porte Nicolas et Pétia à l'empereur…Ma préférence va bien sûr au Prince André, à Denissov et à Dolokhov, si sûrs de leurs sentiments quand ces derniers éclosent.

Si l'analyse précise des scènes de bataille et de l'histoire est très intéressante, ainsi que le paradoxe entre la guerre franco-russe et la francophilie de l'aristocratie, j'ai trouvé certains passages très perturbants par le jugement qui n'admet aucune argumentation de Tolstoï, que ce soit par la réécriture de certains évènements ou l'agressivité qu'il affiche pour Saint-Pétersbourg et ses salons en comparaison de la patriotique et martyre ville de Moscou, ou des grands domaines campagnards du Prince André et des Rostov. On sent au fil des pages une certaine rancoeur envers les femmes et leur manière d'être, et une glorification de la camaraderie fraternelle des soldats. Et puis, alors que l'on atteint la fin du roman, l'on passe sans crier gare à l'épilogue et à une démonstration philosophique de près de 200 pages, bien argumentée et tout à fait pertinente, bien qu'assenée un peu rageusement.

Je demeure donc très mitigée en repensant à ma lecture de Guerre et Paix, qui m'a certes emportée par sa richesse et dont j'ai apprécié les enchevêtrements narratifs au travers des différents personnages, des descriptions des batailles ou encore des écrits des personnages mêmes qui parsèment le roman (les journaux de Pierre et de Marie, les lettres entre cette dernière et Julie, mais aussi les écrits dont on parle sans qu'ils ne soient dévoilés, comme par exemple les mémoire du Prince Bolkonski), mais qui me laisse surprise par l'écriture guerrière et agressive de Tolstoï, que je n'ai pas trouvée particulièrement soignée en comparaison des très belles scènes dont je me rappelle dans ces autres livres. Je n'en sors donc pas indemne, mais pas transcendée comme lorsque j'avais lu Anna Karénine ou deux autres de ses ouvrages moins connus, les Cosaques et Hadji Mourad.

Le mot de la fin : j'aurais véritablement adoré étudier cette oeuvre en cours !
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