Alain Dodier

Quand Babette met le réveil à 6h00 pour aller travailler souvent Jérôme est obligé de ce lever. Et ce jour là, il rentre chez lui et découvre une petite fille sur un pallier qui attend son papa. Le détective ne peut pas laisser ce bout de choux toute seule. Il va faire appel à Mme Zelda, à la concierge et se faire aider par Burhan qui a tout vu de l'accident. 



On sait bien qu'il va trouver le coupable et en plus, on va le payer pour cela. Tout finira bien pour tout le monde avec pour certain un soulagement de la conscience. Les indices nous sont donnés petits à petits pour que cela pique notre curiosité. On découvre les chose en même temps que notre détective qui à l'esprit de plus en plus affuté. Lorsqu'il fouille la voiture incriminée, il trouve un détail qui a échappé à la police. Le jeune homme a tout compris et le lecteur aussi. Alain Dodier ne laisse jamais rien au hasard. C'est un fin scénariste qui un passionné de policier. 
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La couverture est pleine de promesse : une couleur orange, des flammes, une contre-plongée avec Jérôme K. une femme dans les bras. Notre détective maladroit prend de la confiance en lui. Par contre, jamais il ne se sépare de sa malchance. En allant chercher du lait chez son ami, il se fait agresser et une femme perd la mémoire. Son grand coeur le pousse à aider cette brave femme. Mais dans quel pétrin s'est-il mis? Surtout qu'il a oublié de prévenir Babette. Qu'elle n'a pas été sa surprise quand elle a vu une femme nue dans le lit de son ami. Il l'a senti passé. 



Jérôme devient plus confiant et va affronter aussi bien des voleurs qu'un fou qui menacent de le tuer. Alain Dodier va d'ailleurs beaucoup dynamiser le récit dans la structure des pages. L'action va être plus découpée. C'est vraiment super car cela donne un coup de fouet à l'histoire surtout lorsque Jérôme va escalader l'immeuble pour sauver Natacha. Les couleurs de Cerise sont beaucoup plus précises et accompagnent avec beaucoup de nuances tout le récit.
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Voilà une histoire qui commençait bien. Pas de meurtre sur les premières pages. Juste une Babette toute heureuse de partir quelques jours en vacances avec son chéri, tête en l’air. Mais bon voilà qu’il y a des bouchons puis un accident avec la 2cv. Pas le choix de s’arrêter dans un petit village où est le dépanneur. Le jeune couple est accueilli par des habitants qui avaient avant une auberge. La chaleur et la bonne humeur ne sont pas au rendez-vous. Babette va assister à un baptême et Jérôme reste enquêter sur ces gens qui les avaient accueillis. Histoire de viol, de suicide, de libération de prison anticipée… Jérôme ne peut s’empêcher de mettre son nez dans ce qui ne le regarde pas. Heureusement d’ailleurs, car il a évité qu’un meurtre soit commis. Mais parfois les choses qui doivent se faire se font. Les blessures cicatrisent-elles mieux ?



Jérôme va encore risquer sa vie par chance, il va s’en sortir indemne et sans l’aide de sa chère et tendre. Même si l’histoire est assez semblable au reste de la série, j’apprécie le choix d’essayer un peu d’originalité dans le contexte et le déroulement. Les personnages secondaires sont plus attachants. Le dessin a beaucoup changé par rapports à l’ensemble des tomes précédents. Le trait est plus fin et les visages de nos héros ont subi quelques modifications. Les couleurs de Cerise sont beaucoup plus vives et joyeuses également. Est-ce la nature qui les a inspiré différemment ? Le tome 12 nous donnera la réponse.
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C’est de plus en plus un plaisir de lire les aventures de notre détective maladroit. Il n’arrive pas à passer des examens comme son permis de conduire. Mais il aime son travail et y consacre toute son énergie. Pour une fois, une ancienne connaissance d’école fait appel à lui pour veiller sur sa famille le temps d’un déplacement. Un travail pas trop compliqué surtout qu’il va pouvoir jouer avec un enfant. Cependant, il comprend que des choses pas très nettes se passent dans la maison. Pourquoi la femme malade sort en pleine nuit discuter avec le vagabond ? Il est certain qu’il y a un secret. Il va chercher à en savoir plus et il va tomber sur un cadavre. Celui-là même du vagabond et cela ne peut être un hasard.



Pour une fois, il va mettre tout seul un stratagème en place pour connaître le fin mot de l’histoire et qui va fonctionner. Il va comprendre la raison de ces mystères qu’il ne dévoilera qu’à Babette. Et cette fois, elle ne va l’aider à s’en sortir du guêpier qu’il s’est fourré. Il va y arriver tout seul. J’ai trouvé qu’il était encore plus malin qu’avant. Jérôme porte des lunettes pour éviter les coups. Il a des lentilles. Il est filou le lascar.

J'adore cette série que j'ai commencé à lire il y a bien des années dans le Spirou, le mercredi :)



J'aime l'humour, le suspens, la fragilité des personnages et là je suis séduite par le gros toutou!



A lire :)

J’avais lu cette bd dans ma jeunesse et j’avais envie de replonger dans cet univers dont j’ai gardé un très bon souvenir. Je n’ai pas été déçue car l’histoire est comme dans mon souvenir. J’ai retrouvé Jérôme avec son imperméable beige comme dans les films policiers avec le chapeau assorti. Puis il ne pourrait s’en sortir sans sa charmante amie, Babette, hôtesse de l’air (ce n’est pas une copine de Natacha). Elle voyage souvent mais lorsqu’elle est là, elle aide toujours notre héros maladroit de situations bien compliquées.



Je me suis attachée à ce garçon qui décide de devenir détective privée. Maladroit mais honnête, il veut faire le bien même s’il ne sait pas toujours comment faire. Le duo improbable avec Babette est bien mignon. Sont-ils vraiment juste ami ? Il me semble que cela va évoluer au fur et à mesure des tomes. Pour le savoir, il va falloir lire la suite. Jérôme va-t-il prendre confiance en lui ? va-t-il pouvoir vivre de ce métier ? va-t-il sortir avec Babette ? Pas le choix, va falloir que je trouve le tome 2.



Une bande dessinée qui m’a permis un bon dans mes jeunes années et qui m’a confirmé la qualité de ce récit. De l’action, de l’aventure, des meurtres et un détective motivé à rendre justice. Que demande le peuple ?

Pas le meilleur des K Jérôme, le précédent était nettement au dessus.

L'intrigue est un brin complexe, on a un peu de mal à comprendre le problème d'Aina et du chauffeur qui ont des comportements étranges. Résultat la fin, contrairement à ce qu'on peut trouver d'ordinaire chez Jérôme, est decevante, trop plan plan finalement.

Le dessin est toujours aussi simple et beau.

Mon deuxième de cette série, mais vu que ce numéro est la suite de ''La comtesse'' dont je n'ai pas pu lire(disponibilité à ma bibliothète), j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire, qui est très intrigante avec la sensation de l'action et très originale.

Une bonne Bd d'enquête à la Bloche.



J'ai bien aimé néanmoins ma deuxième aventure avec Jérôme, qui est très attachant; toujours serviable, cordial, très songeur à l'allure déglingué ou plutôt nonchalant, et d'une bonne logique,

un bon enquêteur.

Aimant le dessin, en amateur, je trouve que le dessinateur à un bon coup de crayon, simple et juste, épuré et très réaliste à l'aspect de Polar.



J'espère avoir la chance de lire d'autre belles histoires sur l'enquêteur Jérôme Bloche.



Pour ceux aimant les Polars, sans être très Bd, peuvent aisément approcher Mr. Bloche! ;)



Bonne lecture,

oveda

Premier tome des aventures de Jérôme K Jérôme Bloche cette histoire d'assassin aux fléchettes nous présente un jeune détective un peu lunaire, caricature d'Humphrey Bogart, imper et chapeau, et se déplaçant à solex.

C'est un tome 1 et il en a les défauts. Dessins encore peu aboutis, histoire un peu simple mais le personnage est attachant et plein d'humour. Il ne peut que progresser dans les épisodes suivants.

Apparu dans les pages de Spirou en 1982, le détective Jérôme K. Jérôme Bloche est la création d’Alain Dodier. Cette vingt-quatrième aventure nous le présente, une fois de plus, comme un improbable croisement entre Humphrey Bogart (son modèle, en quelque sorte) et Pierre Richard. Ce qui nous donne un album très amusant, et passionnant, une fois de plus.

Sollicité par un notaire pour porter une lettre à un homme vivant loin de tout et de tous, Jérôme et Babette, sa petite amie, se retrouvent face à un vieil homme au passé trouble. L’ermite, du titre. Les mots de la missive vont faire mal, très mal…

Ce qui fait l’intérêt de cette série est sa diversité de narration. Chaque album exploite un procédé de structure d’écriture. Ainsi la fameuse règle des trois unités (action, lieu et temps) est ici mise à mal par le recours à une série de retours en arrière qui, en venant perturbé la continuité narrative, éclaire les événements vécus par Jérôme et Babette. Ainsi le lecteur en sait plus que les héros de papier, ce qui crée une sorte de tension, un suspens. Que va-t-il se passer ? Comment cette histoire va-t-elle se terminer ? La vérité explosera-t-elle ?

L’humour est présent à plusieurs moments forts, désamorçant, en quelque sorte, l’aspect stressant de certaines situations. Bien entendu, les dernières pages confirment ce que nous savons déjà de Jérôme : il est une belle personne, qui ne porte aucun jugement moral sur les gens, qui prend les aléas de la vie comme ils viennent. Les pieds sur terre, il sait se taire quand il le faut, il sait écouter également.

Le dessin de Dodier est au service de ce type d’histoire, rond, enjoué, plaisant ; il s’est fait plus acéré depuis quelques albums, me semble-t-il. Il faut également applaudir la mise en couleurs de Cerise qui participe clairement à la cohésion de l’ensemble. Tous les flashbacks baignent dans une palette chromatique sourde, ce qui les caractérisent directement et permet au lecteur de (re)construire le passé.

Bref, cette série ne déçoit pas car elle parvient à jouer avec les éléments codifiés d’un genre (le polar) et à en faire autre chose, de différent, d’original.

Jérôme K. Jérôme Bloche est un détective un peu tête en l'air. Lorsqu'il repasse son permis pour la énième fois, Jérôme voit une femme sur le point de se jeter du haut du pont du périphérique. Ni une ni deux Jérôme oublié son examen et se rue pour la sauver. Dès ce moment là, sa vie commence à dérailler ainsi que son couple.



J'ai trouvé cette bd très divertissante. Jérôme K. Jérôme Bloche est franchement à l'ouest, il est drôle dans sa maladresse. Le trait de crayon est délicieusement régressif, les couleurs très belles.



On passe un chouette moment de détente avec Jérôme K. Jérôme Bloche. Je ne le connaissais pas et j'ai bien envie de lire les 27 tomes précédents.

Jérôme titille la muse... Mais il enchaîne les débuts de roman qu'il finit par froisser irrémédiablement, insatisfait de sa prose.



Ses pas, et son bon coeur, l'amènent à héberger Charlemagne. Pas l'empereur mais un SDF. Et Jérôme découvre dans les affaires de ce dernier un roman qu'il trouve fabuleux. N'écoutant que son bon coeur, de nouveau, Jérôme s'arrange pour faire publier le manuscrit. Hélas, l'enfer est pavé de bonnes intentions et cette publication attire l'attention sur Charlemagne, dont le passé peu glorieux se radine sous les traits d'un tueur à gages...



Très chouette tome de JKJ Bloche. On retrouve cette patte "polar à la française" chère à Daeninckx, Fajardie ou Rivière. Délassant.

Cette fois-ci, l'enquête de Bloche porte sur une Africaine que le curé a recueilli et protégé des griffes d'un diplomate. L'histoire est assez sordide. Mais la sympathie de Jérôme, Babeth, l'épicier et le curé font passer la pilule.

Quelle histoire dramatique ! Même si j'avais deviné depuis le début qui était le responsable de l'accident de voiture de l'ingénieur, je me suis laissée emporter par l'intrigue. Notre détective préféré et sa compagne y sont pour quelque chose car ils apportent de la fraîcheur et une petite touche d'humour qui dédramatise et rend l'histoire plus légère.

En portant secours à une vieille dame, Bloche finit en garde à vue arrêté par le GIGN ! Le voilà encore plongé dans les ennuis. Une histoire avec plein de rebondissements qui se lit d'un trait. Toujours beaucoup d'humour avec notre anti-héros !

La couverture nous montre Jérôme au bord d'une façade essayant de venir en aide à une jeune fille qui risque de tomber. La structure semble un peu différente des autres tomes et il y a une femme au coeur de l'histoire. Le titre de la bd se nomme Aïcha alors on fait le lien avec le personnage en couverture. On peut se demander qu'est-ce qui lui arrive et comment Jérôme va pouvoir l'aider. 



Pour une première fois, j'ai été déçue par le récit qui m'a été proposé. On retrouve beaucoup des personnages secondaires avec le curé, Burhan et bien entendu, la charmante Babette. La structure est comme les tomes précédents avec des indices qui nous sont donnés au fur et à mesure. Cependant, il ne se passe pas grand chose. La jeune fille est une mère porteuse que des gens riches ont a fait venir d'Afrique. Comme l'enfant en gestation n'est pas parfait, les commanditaires veulent la faire avorter. Elle s'y refuse et s'enfuit. C'est là qu'elle va rencontrer nos personnages. J'aurais espérer une prise de partie face à une situation d'exploitation humaine et pas le choix d'une mini-vengeance tout simple ainsi qu'un gentil happy end. Il est peu probable que la jeune fille de retour dans sa famille en Afrique, qui a fuit, en plus enceinte soit bien accueilli. Même si un homme l'accompagne, qui va veiller sur elle, n'est ni son mari, ni le père de l'enfant. Culturellement, c'est assez peu probable. Alors pourquoi avoir choisi un sujet sensible si c'est pour en donner une histoire ordinaire et sans grand intérêt? Je trouve cela étrange. C'est bien dommage en tout cas. 



Un tome bien décevant qui aurait pu être un prétexte à critique, pour dénoncer le trafic d'humain... Mais non, une situation tendue qui semble ordinaire et qui au final finira bien pour tout le monde. 


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Le récit est assez différent des précédents tomes. On ne vient pas faire appel à lui pour une histoire de disparition, de mort, de vol... Non, il doit remettre une lettre à un habitant vivant seul dans un village disparu. C'est avec Babette qui va se rendre sur place et donner la lettre à son destinataire. Je me doutais bien que tout n'allait pas bien se passer. Car Alain Dodier débute sa bd avec des teintes un peu vieillottes pour nous plonger dans un mystère qui a commencé il y a bien longtemps. Il nous donne des petits indices car le lien entre la mission de Jérôme et l'ermite existe bien. Doucement, il nous sera dévoilé. 



J'ai été étonnée que Babette ne soit pas mise plus à son avantage. D'habitude, elle est courageuse et n'a peur de rien. Et là, elle est paniquée dans la chambre dans l'ermite. Heureusement que le détective bravo tout les dangers. Il a pu faire le pourquoi il a été mandaté, résoudre une énigme et rendre sa grand-mère heureuse avec un nouveau compagnon. Un épisode qui se dévore même si la structure de l'histoire est bien différente tomes précédents. Alain Dodier montre que depuis 1985, le scénariste dessinateur sait toujours se renouvelé avec son héros qui ne prend pas d'âge. 
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Ce n’est le genre de Babette de faire la tête. Mais qu’elle aurait pu être sa réaction quand son père vint frapper à sa porte alors qu’elle le croyait mort il y a 20 ans. Il n’a pas trop de chose à lui à part qu’il a besoin d’un endroit où dormir. Cela n’aurait pu être qu’un mauvais souvenir si d’un coup des demandes de rançon ne touchait pas les paroissiens du quartier de Jérôme. Le prêtre et ami du détective commence à se poser des questions. Des éclaircissements commencèrent quand des victimes du chantage vinrent faire appel à Jérôme.



Une enquête bien différentes des autres que le jeune homme a du mener. En plus, cela implique de l’affectif avec sa fiancé qui n’apprécie pas qu’il prend la défense de son père. Un maître chanteur demande aux gens de financer les travaux de rénovation de l’orgue de l’église. Ce n’est pas le prêtre qui fait cela. Le criminel est forcément dans l’entourage. Il faut chercher et Alain Dodier sème quelques indices. Le lecteur les découvrira t’il avant que la vérité nous soit révélée ? La véritable nature des habitants du quartier se dévoile et les vrais liens d’amitié montrent leur solidité.



Une histoire bien différente de ce que l’on aurait pu croire en regardant la couverture. Depuis le tome précédent, plus de détail en fond juste une couleur unie. Pour celui-ci du noir avec Babette et Jérôme devant un corps avec un titre intriguant : Post Mortem. Mais qui peut être bien mort ou qui va ressusciter ? Le jeu de mot est assez malin pour un titre où le mystère est roi cependant la vérité vous sera révélée.
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Encore une couverture alléchante qui promet de l'action. Jérôme surpris lève les mains face à trois hommes cagoulés et armés. Dans quel pétrin notre cher détective s'est-il encore mis? Les premières pages de la bd nous racontent le fait que deux hommes en hélicoptère atterrissent en urgence sur la route puis ils volent une voiture avec son chauffeur à l'intérieur. Mais il y a une dissension entre les deux hommes et un coup de feu part. C'est le début de l'intrigue avant que l'on reparte sur le tranquille quotidien de Jérôme. 



On le sait bien que la tranquillité du quotidien du détective va être de courte durée puisque très vite il va se faire arrêter, emprisonné, libéré, kidnappé, agressé, attaché... Bref, une routine remplie d'épreuves et de sueur froide. Par chance, le détective commence à avoir l'habitude et ne laisse plus trop place à la peur. On le sait bien, de toute façon la peur n'évite pas le danger. Et tant mieux que Jérôme résiste de mieux en mieux aux situations improbables sinon comment pourrait-il toujours s'en sortir? Et comment Alain Dodier pourrait-il proposer des récits de plus en plus osé et poussé dans le danger et le mystère? Ce scénariste de talent affine album après album ses talents de conteur policier. 

En voulant aider une jeune fille, notre détective s'est mis à dos un homme violent à dos mais surtout un tueur à gage. Et lui, il a la rancune tenace. Après un serpent dans l'appartement de Babette, se sont des balles à travers les fenêtres du logement de Jérôme et ce n'est qu'un début. Va falloir que le détective active ces neurones pour se sortir de cette situation. Et pour une fois, ce n'est pas l'hôtesse de l'air qui va lui sauver la mise. 



Alain Dodier dépose petit à petit des cailloux pour construire l'intrigue. Le suspens monte progressivement. Je me demandais même qui allait pouvoir sauver notre petit gars à lunette. Et la surprise était de taille. Jérôme devient vraiment un détective qui développe ces capacités. Le scénariste doit être un fan de roman policier pour savoir aussi bien raconter des histoires. Le deuxième tome est un vrai délice de lecture qui se dévore très vite. 
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