Anna Godbersen

Cordelia et Letty sont des amis d'enfance qui vivent dans une petite ville des Etats-Unis mais rêvent de grandeur et de célébrité, ce qu'elles ne peuvent trouver qu'en se rendant à New York. C'est ensemble qu'elles s'échappent donc de cette vie monotone pour découvrir la vie new-yorkaise des années 20 où Letty rêve de devenir chanteuse alors que Cordelia est à la recherche de son père qu'elle n'a jamais connu. Très vite, les deux amis se disputent et se séparent, laissant Letty seule face à la dure réalité de la vie dans une grande ville comme New York tandis que Cordelia de son côté, retrouve son père et découvre un nouveau monde qu'elle était loin d'imaginer, aidée de sa nouvelle amie Astrid, une jeune et jolie fille riche pleine de vie.

Après l'aristocratie new-yorkaise de la fin du 19e siècle, l'auteur de la série Rebelles nous plonge cette fois ci dans les années folles.

J'avais adoré la série Rebelles, j'attendais avec beaucoup d'impatience ce nouveau livre et je n'ai pas du tout été déçue.





Point négatif pour ma part, j'ai vu arriver de loin de nombreux rebondissements, si ce n'est tous! Et puis les retrouvailles avec le père ont été d'une rapidité!! Elle se faufile dans la maison avec une aisance déconcertante, l'approche comme si c'était n'importe qui alors que le gars a, apparemment, par mal d'ennemi, elle dit deux mots et ça y est elle emménage, nouvelle garde robe et tout ce qui va avec! Ça m'a quelque peu gêné!



A part ça, les personnages sont attachants et intéressants. L'histoire est bien menée, le fait de changer de point de vue régulièrement est un plus qui permet de ne pas s'ennuyer.

L'ambiance des années 20 y est, la prohibition, les bars clandestins, les magnifiques tenues des jeunes filles, les fêtes grandioses. L'auteur arrive vraiment à nous faire entrer dans l'histoire avec de très bonnes descriptions de la ville, des gens, des situations.



En bref, j'attend la suite avec impatience!

Manhattan, 1899, des jeunes filles riches, d'autres n'ayant plus que leur nom de famille, un amour interdit entre deux classes sociales différentes, des secrets que l'on croit bien cachés mais qui feront le bonheur de certaines et le malheur d'autres. Chaque chapitre commence par soit un article de journal sur la vie sociale de Manhattan, soit un conseil de bienséance.

Un pur délice à lire. Commencer par Rebelles, puis Rumeurs, Tricheuses et finir par Vénéneuses, en plus les pochettes des livres sont magnifiques.

J'ai moi assi adoré ce deuxiéme tome.

Bien écrit, l'auteur réussit à vous captiver sur plus de 450 pages et dans le même temps, le récit se déroule sur une période relativement courte (une quinzaine de jours)... J'attend avec impatience la suite de ce récit historique palpitant se déroulant à l'aube du siécle dernier dans Manhattant juvénile..

Moi qui n'est pas vraiment roman sentimental, celui-ci m'a beaucoup plus.

Néanmoins, c'est surtout le côté historique qui me plait (robes, crinolines, phéanton, servantes,...) mais aussi le côté intriques, arrangements, etc,...

★☆★ Une plongée dans le glamour du XIXème siècle.



Belles robes, bals jusqu'à pas d'heure, jeune gens riches et oisifs qui se heurtent aux conventions et conformisme de la société.



Une lecture très légère, voire ennuyeuse. Je m'attendais à un récit plus intéressant suite au résumé. ★☆★



Note : 1/3


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Avec de très courts chapitres qui mettent en avant de manière alternative les divers protagonistes de l’intrigue, Rebelles est un roman facile à lire. Chacun d’entre eux est séparé par une page offrant un rapide élément sur l’histoire : extraits de quotidiens ou de journaux intimes, billets doux écrits rapidement sur un bout de papier ou quelques conseils issus de manuels de savoir-vivre qui introduit le statut du personnage (exemple du personnage de la servante introduite par un extrait du guide Van Kamp d’économie domestique à l’usage des dames de la haute société, Ed. 1899).



On plonge très rapidement dans l’intrigue puisque celle-ci s’ouvre sur l’arrivée des personnages à l’enterrement d’Elizabeth Holland, le 8 Octobre 1899. L’auteur nous suggère que cette mort inattendue n’est pas due à une maladie mais plutôt à un incident soudain. Que s’est-il passé ?



Puis, nous repartons au 17 Septembre où tout commence : une situation financière catastrophique, un père ambitieux, un espoir de mariage brisé … et un bal. Tous les ingrédients pour créer des frustrations dans les jeunes générations dont les parents disposent de l’avenir. C’est également sans compter le poids de la société à porter sur ces jeunes épaules : faire honneur à sa famille et correspondre à l’image de la parfaite jeune fille. Difficile alors d’être soi.
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La vie tumultueuse d’une jeune fille issue d’une famille riche, voilà le contexte. Nous suivons donc la vie d’Elizabeth Holland, mais aussi, plus rarement, celle de sa petite sœur ou celle de sa servante. Elizabeth, pour sauver sa famille de mauvais placements effectués par feu son père, doit se marier avec Henry Schoonmaker, fils d’une famille new-yorkaise extrêmement riche. Elizabeth n’est pas vraiment heureuse de ce mariage arrangé. De plus, sa « meilleure amie », Pénélope Hayes complote contre elle. Pénélope est depuis toujours amoureuse (ou bien très intéressée) par Henry. Nous assisterons donc à des cachoteries, amourettes, fausses amitiés, scandales et désirs de vengeance !



Elizabeth Holland est morte. Et oui, on nous impose d’emblée sa mort. Est ce un moyen de nous déstabiliser, de nous avertir (de ne pas nous attacher à Elizabeth) ou simplement de nous gâcher la surprise ? Je pencherais plutôt pour la troisième possibilité. En effet, je n’ai pas du tout réussi à m’attacher au personnage. Je n’aime pas les personnes hautaines et c’est vraiment un défaut récurrent dans ce livre. Je ne dis pas que ce n’est pas normal, on est en effet à la toute fin du 19ème siècle ! Dès les premiers chapitres, on nous bombarde de nouveaux personnages, de nouveaux points de vue. Il est donc très difficile de s’y retrouver avant le moitié du livre : on suit Elizabeth, Diana (sa petite sœur), Carolina (sa servante), Pénélope et Henry. C’est aussi avec étonnement que j’ai constaté que le langage utilisé par l’auteur n’est pas si différent de celui d’aujourd’hui ! A mon avis, c’est un plus, je n’aurais pas aimé assister à un discours de politesse à chaque dialogue. On pourrait très bien comparer ce livre à Gossip Girl, c’est d’ailleurs la première chose qui me soit venue à l’esprit (quand j’avais enfin compris qui était qui !). Il est donc clair que ce livre appartient au genre Chick-lit (ou roman à l’eau de rose si vous préférez).



En conclusion, ce livre est plutôt plaisant, même si les personnages ne m’ont pas plu. L’époque et le problème des mariages arrangés sont bien abordés. On pourra aussi noter les lettres, articles de journaux, télégraphes et autres petites notes qui précèdent chaque chapitre, comme un rappel du chapitre précédent. Ce qui est très agréable. Je ne conseillerais pas ce livre aux habitués de Bit-lit comme moi, mais peut être à ceux de Chick-lit ?!
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Bienvenue dans la haute société New-Yorkaise en l'an 1899 !



Ce premier Tome aborde la vie de plusieurs jeune femmes, plus ou moins riche faisant partie de la haute société et de la vie dans ces année là.



On apprend tout d'abord à connaitre Elizabeth Holland, une fille dont tout le monde parle, gentille, souriante, aimable... La fille parfaite de la haute société. Mais tout ceci n'est qu'une apparance. En cachette, elle vit une histoire d'amour quasi impossible avec son cocher Will Kellers, considérer comme un homme pauvre et tout les deux savent qu'aucune chance leur serait permis de se marier ensemble.

Entre temps, la mère de Elizabeth veut marier sa fille avec le plus riche et respectable jeune homme du moment : Henry Shoonmaker. Un arrangement se fera entre les deux familles et leur mariage sera programmer pour le malheur de Will et Elizabeth.



On rencontre ensuite la soeur de Elizabeth : Diana. Elle est plus jeune et s'amuse beaucoup, elle profite de la vie et assiste à de nombreuses soirée. Elle aime la vie. Elle va rencontrer Henry Shoonmaker, fiancé de sa soeur, et va tomber sous son charme. Henry lui, va aussi craquer pour la plus jeune miss Holland, créant plus de complications qu'il n'y a, cela créera une relation totalement impossible et magique en même temps.



Et pour finir, on rencontre Pénélope, la garce de l'histoire. Belle, magnifique, elle est amnipulatrice et veut depuis toujours Henry, qui lui ne fait que coucher avec elle. Son coeur appartient désormais à Diana (ce qu'elle ne sait pas) mais avec son mariage avec Elizabeth, Pénélope va tout faire pour tout briser, et va y arriver...



Ce premier opus est un grand coup de coeur, même si parfois le livre traine en longueur, l'auteur nous fait une fin bourrer d'émotion et de joie ainsi qu'un peu de tristesse. Une fin spectaculaire qui ne donne qu'une envie : connaître la suite !
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Bienvenue dans la Haute société New-Yorkaise en l'an 1900 !



Suite au premier Tome "Rebelles" nous retrouvons "Rumeurs" où nous poursuivons les aventures de Pénélope, Elizabeth, Diana, Carolina, Henry et Will.



Elizabeth (que tout le monde pense décédé) qui vie une vie heureuse et paisible au soleil avec son mari Will Kellers, ne doit rendre de compte à personne. Elle rit de bon coeur, et se voue tout entière à Will, son ex cocher. mais alors qu'elle est plus heureuse que jamais, elle reçoit un télégramme de Diana (sa soeur unique, qui est au courant de sa manigance avec Pénélope, pour qu'Elizabeth puisse vivre avec Will) qui lui annonce la dégradation de santé de sa mère... Alors, elle décide avec Will de retourner à New-York pour informer sa mère (qui la pense morte) qu'elle est en vie. Seulement voilà, une fois de retour, tout bascule et la vie d'Elizabeth va être boulversée...



Diana de son côté, est eperduement amoureuse de Henry, qui semble l'aimer autant qu'elle. Ils se voient en cachette et s'aiment comme ce n'est pas permis. Mais une ombre vient boulversée ce charmant tableau : Pénélope... Elle va tout faire et réussira même à briser le couple Diana/Henry...



Pénélope aime Henry. Lorsque Henry allait épouser Elizabeth (un mariage arranger) elle s'est arrangée pour faire disparaitre Son amie pour Garder Henry pour elle. Mais à présent, Diana est dans le coeur d'Henry, et la aussi elle va tout faire pour la chasser et retrouver SON Henry.

Après avoir essayer mille et une manigance et manipulation, elle va être en possession d'une information capitale, et avec cela, elle va tenir Henry par le bout du nez...



Ce livre est Bouleversant ! Il y a plein de changement et de surprise. Anna Godbersen nous étonne et nous surprend. Une Excellente suite, malgré une fin horrible...

Comme à son habitude, l'auteur nous tien en haleine et nous fait une fin surprenant et spectaculaire, rempli d'émotion...

En fermant ce livre, on a qu'une envie : LIRE LA SUITE!!
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Si vous aimez Gatsby le magnifique ou encore Sous un ciel d’or (de Laura Wood), je pense que ce livre est fait pour vous. On y retrouve deux amies qui fuient leur quotidien monotone à la campagne pour tenter leur chance à New York. L’une veut devenir chanteuse et l’autre veut retrouver son père, un célèbre contrebandier. Au cours de leur périple, elles vont croiser la route d’Astrid, une jeune fille riche qui a une relation compliquée avec sa mère et son petit ami Charlie.



J’ai trouvé ce roman sympathique, entre les coupes de champagne, les jolies robes et les escapades amoureuses, Anna Godbersen nous montre la vie à New York en 1929, que l’on soit une vendeuse de cigarettes qui rêve de gloire et pourrait se heurter à la réalité du milieu, ou une jeune aristocratique dans une cage dorée. L’intrigue comporte des rebondissements qui m’ont permis de continuer ma lecture avec enthousiasme, mais j’avoue que je ne me suis pas attachée plus que cela aux héroïnes. Certaines de leurs réactions m’ont agacée, mais sans cela, il n’y aurait pas eu d’histoire ! Elles ne sont pas antipathiques, loin de là, mais j’aurais aimé me sentir plus concernée par ce qui leur arrive. L’histoire de Cordélia est sans doute la plus intéressante de ce côté, avec un dénouement qui augure un deuxième tome plein de rebondissements. Mais j’ai apprécié la plume d’Anna Godbersen, son style fluide qui donne vie à l’ambiance folle de ces années où les jeunes filles vivaient pour faire de leurs rêves une réalité même si cela impliquait de terribles désillusions.



Je pense ne pas attendre trop longtemps pour retrouver les trois jeunes filles dans le deuxième tome de la trilogie !
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J'ai vraiment apprécié lire ce livre, même si au début je n'avais pas tellement accroché : je trouvais l'histoire assez monotone et n'aimais qu'un ou deux personnages / narrateurs, à savoir Elizabeth et un peu Lina. Dans cette critique, je vais vous parler de mon ressenti sur les personnages.



Attention, spoiler possible ! (même si c'est vague)



L'entourage d'Elizabeth m'énervait à la critiquer, si bien que je l'ai tout de suite bien aimée, elle qui ne critiquait (presque) personne. Je dis bien "presque" à cause de sa manie à critiquer son amie Agnès alors qu'elle l'aidait, elle m'a un peu fait pitié. Elizabeth est perçue comme froide et maniérée par sa "meilleur amie", sa sœur et même son présumé fiancé, ils ne cherchent pas plus loin et font des conclusions hâtives sur son comportement.



J'ai détesté Pénélope tout au long de roman, elle illustre parfaitement le rôle de peste voulu, j'imagine, par l'autrice. Dès le début, elle parlait dans le dos de sa "meilleure amie", Elizabeth, alors qu'elle, l'adorait. Je me suis alors dit qu'il devait y avoir un quiproquo, que Pénélope ne devait pas être si gentille en face d'elle, mais si.



Ensuite, parlons de Diana : au début du roman, elle m'agaçait un peu : j'avais l'impression qu'elle voulait défier les "normes" juste pour le fait de les défier, pour ne pas être comme tout le monde, alors je la trouvais un peu superficielle. (mais beaucoup moins que Pénélope !) Mais, plus j'avançais dans le roman, plus elle m'était sympathique : elle était naturelle, amusante, et je l'ai encore plus aimée à la fin.



Pour Lina, c'est un peu le contraire, elle me semblait honnête et gentille au début, mais je l'ai de moins en moins aimée en raisons de ses plans : maintenant, elle me semble fourbe et superficielle. (elle essaye de se faire passer pour une dame de la haute société, comme si c'était le but de la vie...)



Il reste Henry, pour qui je n'ai pas d'opinion radicale, je l'ai un peu plus aimé vers la fin, mais je suis toujours mitigée.



J'ai adoré la fin du roman, tout se passe très vite, mais elle n'en est pas moins intéressante. Je me précipite vers le deuxième tome, en espérant qu'il soit aussi bien que le premier !

J'ai poursuivi ma relecture de la saga Rebelles avec ce tome 2. Certains événements sont prévisibles mais ça ne gâche en rien la lecture. Dans ce tome, on n'est plus seulement à New-York, ce qui ajoute encore de l'intérêt au récit. Par contre je ne me souvenais pas de cette fin... J'aurais bien besoin du troisième tome pour m'en remettre !

C'est une relectures que j'avais envie de faire depuis que j'ai lu cette saga à sa sortie. C'est parti !

Je retrouve ces personnages et cette ambiance avec plaisir. L'histoire se passe à la fin du 19e siècle mais c'est très moderne (c'est écrit presqu'aujourd'hui vous allez me dire, mais l'autrice aurait pû se calquer sur le style de l'époque), c'est frais et prenant. Je dirais même addictif. Je déplore le fait que cette saga soit si peu connue.

Avec Un baiser pour la nuit se termine la trilogie d’Anna Godbersen commencée avec Tout ce qui brille et qui continuait avec Une saison à Long Island. Se termine donc ici l’histoire de Cordelia, Letty et Astrid, trois jeunes femmes en prise avec les années folles.



Letty perce enfin dans la chanson, le club de Cordelia cartonne et Astrid épouse Charlie, son grand amour, le frère de Cordelia. Mais tout n’est pas rose, malgré la fête et les strass.



Ce qui est sympa avec cette trilogie c’est l’ambiance de l’époque. La fin des années vingt, la prohibition… Tout va vite, tout brille. On se croirait dans Gatsby le magnifique. C’est dépaysant et plaisant. Je me suis attachée à ces trois filles et j’ai apprécié la fin, même s’il m’a fallu leur dire au revoir. J’ai été contente de faire un bout de chemin à leurs côtés.
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Un été à Long Island d’Anna Godbersen est le second tome de la trilogie qui a debuté avec Tout ce qui brille. On retrouve donc Cordelia, Letty et Astrid juste après la fin du premier tome.



Letty et Cordelia se sont retrouvées er vivent dans la villa du père de Cordelia. Un bel été, entre amies, avec quelques soirées mondaines au programme. Cordelia et son frère travaillent à l’ouverture d’un club, Letty espère y chanter et percer enfin. Cordelia vit une romance avec un pilote qui n’a rien à voir avec son monde. Leur liaison ne plaît pas à tout le monde… Et son frère espère devenir un bootleger encore plus puissant que son père, se faisant des ennemis par la même occasion. Astrid s’accroche à son histoire d’amour, mais commence à voir qu’elle est loin d’être une belle romance…



Ce second tome est aussi plaisant à lire que le premier et l’ambiance des Années folles et de la prohibition est vraiment dépaysante. Quand on aime les jolies robes, les histoires de gangsters et l’ambiance des clubs, c’est vraiment sympa. J’espère que le troisième et dernier tome sera aussi bien et surtout qu’il proposera une vraie bonne fin. Affaire à suivre…
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Encore une trilogie ! Après A la croisée des mondes de Philip Pullman, voici Tout ce qui brille de Anna Godbersen, autrice de la série Rebelles, que j’ai lue il y a trois mille ans et que j’avais bien aimée sur le moment (mais trois mille ans après, je n’en ai pas un grand souvenir, j’avoue). J’ai profité du confinement pour lire quelques séries d’où cette chronique du premier tome de cette trilogie.



Letty et Cordelia, amies depuis l’enfance, quittent le Midwest pour se rendre à New York. La première veut brûler les planches, la seconde a l’espoir de retrouver son père. Arrivée sur place, elles ne vont pas tarder à se brouiller et partir chacune de leur côté. Letty va partager un temps un appartement avec d’autres filles et Cordelia va s’installer dans l’immense maison de son père, un contrebandier et sympathiser avec Astrid, la petite ami de son frère.



Cette intrigue se situe en 1929, en plein durant les Années folles et la prohibition. Ce roman pour ados nous plonge dans une ambiance à la Gatsby le magnifique avec ses paillettes, ses belles robes et ses gangsters.



On découvre deux jeunes femmes qui ont grandi ensemble et se retrouvent à la croisées des chemins, tout semble désormais les éloigner l’une de l’autre. Au lieu d’être sur le devant de la scène, Letty trouve un petit boulot de vendeuse de cigarettes dans un club et Cordelia, quant à elle découvre la vie luxueuse et la notoriété : les journalistes n’ont pas tardé à s’intéresser à cette jolie fille arrivée de nulle part qui se trouve être l’héritière d’un célèbre bootleger.



J’ai plutôt apprécié ce premier tome et l’ambiance qui s’en dégageait. Ainsi que Letty, Cordelia et Astrid. Le frère de Cordelia, quant à lui, me paraît tout à fait antipathique. A la fin de Tout ce qui brille, j’avais envie de me plonger dans la suite. Ce qui est plutôt bon signe.
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J'ai bien aimé ce premier tome. Je suis entrée dans l'histoire sans aucune difficulté et j'ai tout de suite cerné la personnalité de chaque fille. Je suis étonné d'aimé ce livre car les livres qui parlent d'une époque passé ne m'intéresse pas à cause du style d'écriture. Mais j'ai choisi de lire ce livre car c'est une auteure de nos jours qu'il l'a écrit et aussi car il faut l'avouer: Les couvertures sont sublimes. Bref, J'ai aimé ce premier tome.

J'ai bien aimé ce livre. Maintenant ce n'est pas le meilleur que j'ai lu mais j'ai passé un très beau moment en lisant l'histoire d'Elizabeth et des autres. Et puis, un petit point spécial pour la couverture que j'adore, sûrement grâce à la magnifique robe portée.

Ce livre d'Anna Godbersen me faisait de l’œil depuis un bon moment déjà... Il faut dire que j'aime beaucoup l'époque à laquelle il se situe, fin du XIXè siècle: l'élégance des plus hautes sphères, leurs traditions, leurs codes, leurs ambitions et leurs secrets... Je dois aussi avouer que la robe que l'on voit sur la couverture de l'édition brochée n'est pas pour rien dans mon choix et il est même dommage qu'elle n'ait pas été conservée pour la version poche...



Ce roman nous plonge dans l'univers de ce que l'on pourrait considérer comme l'ancêtre de notre actuelle "jet set".

Chaque chapitre débute avec un extrait soit de journal, soit de lettre, ou encore de billet échangés entre les personnages. On y apprend dès la première page la disparition tragique d'une jeune fille issue d'une de ces grandes familles: Elizabeth Holland. Le livre s'ouvre donc sur une scène de funérailles, toute la bonne société new-yorkaise est en deuil.

Dans les chapitres suivants, nous remontons le temps de quelques mois, et apprenons les évènements qui ont conduit à ce drame.



Les défauts que l'on peut reprocher à ce livre sont une fin trop prévisible (on peut la deviner dès le moment où Elizabeth et Henry se retrouvent fiancés), et des personnages parfois un peu caricaturaux.

L'héroïne (Elizabeth, donc), élégante, bien élevée, est polie à en être presque trop lisse; le séducteur (Henry) est riche, beau et cynique; et la peste (Penelope) est prête à tout pour arriver à ses fins. Mais sous leurs dehors policés se cache leur vraie nature...



Une fois encore, il ne s'agit pas ici de grande littérature, mais d'un roman jeunesse, que pour ma part j'ai trouvé bien écrit, dans un style fluide et rythmé. Je peux même avouer en toute honnêteté avoir passé un très agréable moment, et je pense continuer l'aventure avec les prochains tomes (Rumeurs, Tricheuses et Vénéneuses).
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En commençant à lire ce livre, je dois avouer que je les trouver très complexe. L'auteure nous bombarde de personnages, qui sont très importants à comprendre pour le reste du roman. Plus le livre avance, on assimile les noms et les caractéristiques de chacun et chacune assez facilement quand même. J'ai vraiment embarqué dans le roman à partir d'environ des pages 100-150 donc j'ai difficilement embarqué dans le roman dès le début. Plus le roman avance par contre, moins nous pouvons le lâcher. J'aime l'ambiance dans laquelle l'auteure nous a mis c'est-à-dire dans la haute société à New York vers la fin du 19ième siècle. Tous les éléments à mon avis sont crédibles. Pour finir, je dois avouer que j'ai commencé le deuxième tome directement après avoir fini ce livre. La fin est très intrigante(pour ne rien dévoiler). Par contre, elle est prévisible car le prologue nous donne beaucoup d'indices. Mais ce qui se passe après la fin est très intrigant.