AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Bertrand Gatignol (272)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Les Ogres-Dieux, tome 2 : Demi-sang

Le top en matière de bd : un scénario riche et complexe qui raconte l'ascension d'un être humain dénué de scrupules dans un univers gothique sur le déclin et terrifiant. Le dessin noir et blanc est fin et lumineux. L'ensemble, extrêmement cohérent, nous entraine dans une fascination quasi morbide pour cet univers tout en apparence et en faux-semblants. Il y aurait presque du Kubrick là-dessous !
Commenter  J’apprécie          30
Le voleur de souhaits

Le scénario fantastique est très intéressant. le postulat de départ autour de la récupération des souhaits est très original et les personnalités des héros portent totalement l'histoire. Non, ce qui m'a perturbée c'est la temporalité mise en oeuvre. Les enfants ne semblent pas évoluer physiquement durant le récit alors que leurs préoccupations deviennent beaucoup plus adultes. Aucun élément n'est donné au lecteur pour situer l'histoire dans le temps et cela m'a vraiment gênée...



Du côté des illustrations, le travail de Bertrand Gatignol insiste sur les visages et les expressions avec un trait précis et de grands aplats. Ce n’est pas le style que j’affectionne mais il colle bien au sujet et à l’ambiance du récit.



Enfin, mon avis partagé vient surtout de ma frustration à la fin de ma lecture. Je l’ai trouvée beaucoup trop courte ! J’aurai aimé quelques développements supplémentaires afin de découvrir un peu plus l’histoire de Félix et Calliope.
Lien : http://boumabib.fr/2018/02/1..
Commenter  J’apprécie          30
Le voleur de souhaits

Une chouette BD pour les plus jeunes, pouvons-nous dire d'emblée.



Le mode de récit, celui du narrateur extérieur, consigné dans des petites cartouches de BD, nous ramène au livre à texte. Cela se sent à la lecture,  juste ponctuée de quelques dialogues parcimonieux, des doux échanges entre les deux jeunes personnages.



Cela pourrait être presque lu, sans pour autant montrer aux jeunes auditeurs les images, l'auteur, Loïc Clément, se fait raconteur d'histoires et ceci ressemble presque d'ailleurs à un conte.



Mais, amis lecteurs, pourquoi se priver des belles illustrations de Bertrand Gatignol? Ça serait un crime.



D'ailleurs, l'illustrateur et l'auteur marquent aussi l'importance du travail de ce premier, à un moment donner de l'histoire ou les dessins nous livrent des éléments qui ne sont pas dits par le texte, des choses précieuses et secrètes qui auront leur importance pour la conclusion de l'histoire.



"Le voleur de souhaits"'est une histoire sur les rêves.



Les petits, les gros, les doux, les fous, les très secrets...



Que pouvons-nous espérer de plus cher, attendre, ne plus attendre, se surprendre à espérer? Des rêves d'enfants, d'enfance, des projets chouettes d'adultes...



Félix, un petit garçon insolite, les capture tous, tant qu'il peut. Il les collectionne dans des bocaux de verre dans sa maison. Pour ce faire, il faut juste que les personnes éternuent et l'affaire est dans le bocal.



Seule le souhait d'une petite fille, Héloïse, lui résiste. Un atchoum et puis...rien.



Comment peut-on ne rien souhaiter, ne rien espérer?



Son acharnement à découvrir ce qui coince va provoquer une amitié inattendue et pas mal de tendres moments qui subtilement ne donnent pas l'impression de l'être et viendront répondre à la question de Félix. Car des souhaits, Héloïse s'en découvrira.



Et Félix? Que souhaite-t'il, ce petit bonhomme?



Lorsque qu'il mettra le doigt dessus , vous, lecteurs, vous direz: "Et tout est bien qui finit bien..."



C'est court, doux, tendre et agréable à découvrir.

Commenter  J’apprécie          30
Les Ogres-Dieux, tome 1 : Petit

Une belle découverte ! Les graphismes sont très agréables à regarder et l'histoire plutôt sympa mais le véritable intérêt de cette série réside dans l'alternance entre BD et contes (narrant la généalogie des personnages et permettant de mieux cerner leur histoire et leur environnement). J'apprécie aussi tout particulièrement les personnages qui sont tout en complexité et nuances de caractère.
Commenter  J’apprécie          30
Les Ogres-Dieux, tome 2 : Demi-sang

Yori est un demi-sang. Aimé de son père, malgré son statut, il reçoit une éducation de noble avec de ses demi-frères. Il fait preuve d'une intelligence particulière contrairement aux enfants légitimes de son père. Pour se venger, ces derniers prennent l'habitude de le harceler mais le jour où le plus âgé va trop loin, Yori est obligé de se défendre.

Le père de Yori ne peut plus le protéger alors Yori et sa mère son obligés de quitter le château...



Un second volume qui se joue en parallèle de la première histoire.

Un dessin et des personnages princupaux toujours aussi beaux (contrairement aux ogres-dieux et aux nobles qui sont pour la majorité absolument affreux).

J'ai plus apprécié ce second volume car je me suis plus attaché à Yori qu'à Petit.

Je n'ai pas beaucoup de choses à en dire si ce n'est que j'ai hâte de lire la suite !
Commenter  J’apprécie          30
Les Ogres-Dieux, tome 2 : Demi-sang

Une superbe épopée graphique !
Lien : http://www.actuabd.com/Les-O..
Commenter  J’apprécie          30
Les Ogres-Dieux, tome 1 : Petit

Un jour, la reine des Ogres-Dieux met au monde un enfant à peine plus grand qu'un humain. Elle le sauve de la faim des membres de sa famille et confie le petit à sa tante.

Il ne doit pas se montrer s'il ne veut pas être tué et mangé par sa propre famille. Cependant, la reine que son fils est la clef pour sauver cette famille des accouplements consanguins.



Une BD en noir et blanc, dont le dessin m'a tout de suis attiré. J'aime beaucoup le personnage de la tante Desdée ainsi que celui de Petit. Tous deux sont attachants et présentent le plus de caractères humains.

L'histoire en elle même est gore à souhait et rythmée.



J'ai cependant regretté de ne pas m'imerger dans le récit.

Ainsi, même si cette BD n'est pas un coup de coeur, j'ai quand même passé un très bon moment de lecture.





Commenter  J’apprécie          30
Les Ogres-Dieux, tome 1 : Petit

Entre conte, manga et littérature ambiance gothique , on adore Petit ! Un roman graphique très réussi qui nous plonge dans l'univers des ogres-Dieux ! À lire et à admirer !
Commenter  J’apprécie          30
Les Ogres-Dieux, tome 1 : Petit

Est-ce un intégral? Un premier tome? "Les Ogres-Dieux" de Hubert et illustré par Bertrand GATIGNOL n'en reste pas moins une entrée fracassante dans une atmosphère de violence aiguë.

Petit est un tout petit bébé, né comme une poussée de pets, sans que sa mère s'en rende compte ou presque. Sa mère est une ogre de taille moyenne et Petit, aussi petit qu'un bébé humain. Minuscule, comme un petit haricot blanc à leurs yeux. D'ailleurs, lors de ce festin royal, son arrivée provoque l'étripage de tous les convives: a-qui le gobera tout cru? Et bien ce sera sa mère, pour le protéger... de son père, cet Ogre-Dieu monumental, le Roi Gabaal.

Il fut un temps où l'ogre était devenu si petit qu'il n'avait que deux têtes de plus que les humains. Le Fondateur était seul. Il tomba fou amoureux d'une châtelaine guerrière. Mais son amour enceinte, la nature du Fondateur jaillit... Se créer alors un nouvel arbre généalogique d'ogres. En choisissant les compagnes, en allant vers une consanguinité accrue, ils deviennent plus grands, plus robustes, plus bestiaux et, pour certains, presque éternels. Il y a bien deux ou trois aïeuls plus modérés, plus humanistes, explorateurs, comme cette Desdée, perdue pour la cause des ogres en raison de son amour pour la danse et son affection pour les humains. Mais Petit va devoir grandir. Il est peut-être destiné à de grandes choses, à faire un trait d'union entre les humains et les ogres ou à propulser ces derniers vers un futur moins dégénéré mais tout autant brutal, bestial, fou qu'est le monde des ogres. Est-il déterminé dans ses gênes à la folie?



Cette bande dessinée de 170 pages environs porte le présent en chapitres et le passé en écrit avec quelques pages du livre des aïeux. Même si l'on attendrait une suite à cette histoire pour encore peaufiner les vengeances, trahisons et morts, ce tome est extrêmement puissant. Par la succession de ses pages en noir et blanc et ses écrits plus poussés proposant une hérédité et un envolée maléfique de cette race. Le noir devient rouge sang même sur les lèvres des pires ogres-dieux, il apparait visqueux. Le blanc se croit poudré ou luisant de sueur et pas du tout candide ou pur.

Les Ogres-Dieux sont magistraux, cruels à souhait et les scènes entre eux et les humains époustouflantes. Les ogres mangent les humains, vous ne le saviez pas? Ils ont même créer des fermes et des protocoles de sélection pour une chair encore plus agréable. Vous saviez aussi que les hommes sont leurs esclaves. De petits insectes qui déambulent autour d'eux, faciles à expédier d'une pichenette.

Les Ogres-Dieux offre ainsi un panel des défauts bien humains: volonté de puissance, folie, sexe, femmes juste bonnes à engendrer la vie, bonnes âmes un peu paumées, pas très fortes à survivre dans un monde cruel. Et si vous croyez voir dessinés certains personnages historiques (Raspoutine, Colomb et d'autres), ce ne sera pas forcément une vue de l'esprit.
Lien : http://1pageluechaquesoir.bl..
Commenter  J’apprécie          30
Les Ogres-Dieux, tome 1 : Petit

Certainement l’une des meilleures BD que j’ai pu lire en 2014 !

Les auteurs (et Papa Noël) nous ont gâté, et ont particulièrement soigné leur bébé.



Ce livre est beau !



La couverture tout d’or, de noir et de blanc est agréable au touché, et annonce un travail de précision et de recherche graphique important.

Elle donne envie d’ouvrir l’ouvrage et de le lire.



Le dessin :

Bertrand Gatignol est un illustrateur hors pair. Il nous a réalisé ce livre avec une maestria parfaite.

Le noir et blanc nous plonge directement dans cet univers de conte baroque et cruel.

Les jeux de lumière et la place belle aux grandes étendues noires ou blanches sont une merveille pour notre œil !

Les contrastes des dimensions sont exagérés mais ne le paraissent étrangement pas, l’alternance de gigantesque et de minuscule permet d’accentuer les compositions et les émotions des héros.

Le trait fin, épuré, classique, détaillé, minutieux est tout simplement envoutant et captivant.

Les dessins sont tantôt durs et sombres, et tantôt légers et tendres… On y retrouve donc tous les ingrédients nécessaires pour un merveilleux conte graphique digne des grandes histoires illustrées…



Le scénario et le découpage :

Hubert nous décrit l’évolution de ce petit Ogre (ou humain ?), de sa naissance à son indépendance, à laquelle il y mêle habilement une petite histoire d’amour, d’une manière magistrale et digne d’un classique de notre enfance.

Il nous amène aussi à réfléchir sur la tolérance et l’intelligence en confrontation de la tyrannie et la loi du plus fort (ce qui est plutôt d’actualité hélas…).

Il nous décrit des relations familiales effrayantes, avec un père qui renie son enfant parce que trop petit, et une mère prête à mourir pour sa progéniture...

Hubert nous agrémente aussi très intelligemment d’intermèdes entre chaque chapitre, sous forme romancée, nous apportant multitude d’informations sur la lignée des ogres et les personnages clés de cette lignée.

Le découpage, quant à lui, rythme très bien la BD, alternant pleine page et division simple sur 2-3 bandes, et des effets de plongée, contre-plongée, gros plans, vue globale, etc…, comme au cinéma. Il en ressort donc un certain dynamisme au point que l’on ne s’ennuie pas à la lecture.



Au final, ce conte, retrouvé au pied de mon sapin, a fait mon bonheur imaginaire, visuel et scénaristique.
Lien : http://www.7bd.fr/2015/01/le..
Commenter  J’apprécie          30
Les Ogres-Dieux, tome 1 : Petit

Un joli volume, j'ai beaucoup aimé l'alternance entre les passages romancer et la BD. Ces passages explique le pourquoi du comment du présent. Pourquoi il y a des hommes, et des géants pas toujours grand. Ce "monde" est décrit avec beaucoup de cruauté et néanmoins beaucoup d'espoir d'une vie meilleur et de petit moment "tendres".

J'ai cependant été un peu déçue de la fin que j'ai trouvé très précipité il aurait mériter une second tome ou bien 50 pages de plus il me semble.

J'ai aimé le dessin en noir et blanc ressemblant un peu à Vivès à certains moment.
Commenter  J’apprécie          30
Donjon Monsters, tome 17 : Un héritage trompeur

J’adore la série donjon mais je n’ai pas apprécié cet épisode malgré quelques bons traits d’humour. J’aime les scénarios foldingues de cette série mais la c’est vraiment trop n’importe quoi. Inventif oui, mais il manque une sorte de cohérence qui rachète un peu l’outrance des ressorts du scénario.

C’est intéressant de zoomer le temps d’un album sur le personnage de Papsukal, le fils maudit d’Herbert mais Papsukal est trop monolithique pour vraiment intéresser.

Le côté épique des aventures pourrait avoir son intérêt aussi mais les différents protagonistes ont des pouvoirs très puissants qui font un peu trop penser aux histoires improvisées des enfants « oui mais moi j’ai un rayon de la mort! Oui mais moi je te lance un rayon plus fort ». Ce ton marchait très bien sur l’album précédent, pourfendeurs de démons, à cause du duo comique entre Marvin Rouge et Zakutu, et de leurs failles intéressantes. Papsukal est lui trop lisse, il lui manque cette fragilité qui rend un héros attachant. Et en plus il est possédé par un sorcier encore plus déprimant.

Dommage, il reste cependant à le relire pour être sûr de n’avoir rien loupé de ces savoureuses allusions aux reste de la saga.

Commenter  J’apprécie          20
Les Ogres-Dieux, tome 3 : Le Grand Homme

Après avoir campé dans les 2 précédents tomes la figure et l'histoire de Petit, le fils de dieu à taille humaine et de Yori, le demi-sang devenu Chambellan, les auteurs de cette saga fantastique, dans tous les sens du terme, s'attaquent à la geste de Lours et des Niveleurs, creusent l'histoire du peuple et celle de Sol, le bras droit du Chabellan.

Après les jeux de l'amour et du pouvoir, le savoir et la transmission sont au cœur de ce récit à la trame classique. Pour perdre l'ennemi qu'il a lui-même formé, son maître revient sur ses terres et renoue avec ses origines. Vaincra-t-il et son ennemi et sa malédiction ?....

Vous le saurez en lisant ce 3ème volume toujours aussi réussi, tant dans le fond que la forme, pour ses personnages comme pour ses décors, pour sa narration et ses dialogues comme pour sa mise en scène. On appréciera encore dans ce volume les illustrations hors-texte en appui du récit de la geste de Lours, narrée comme dans un conte de tradition orale. La langue d'Hubert y est un régal, comme son imagination et sa profonde humanité teintée d'une grande et lucide mélancolie. Le dessin aussi, avec un noir, blanc et gris toujours aussi fascinant, impactant et émouvant.
Commenter  J’apprécie          20
Les Ogres-Dieux, tome 2 : Demi-sang

Un second tome à la hauteur du premier, qui nous amène du côté des Nobles-nés, et des aspirants au poste de chambellan dont les frasques n'ont pas grand chose à envier aux ogres du premier tome ^^



C'est toujours superbement mis en image, et ce conte gothique, sombre et violent, nous en met plein les yeux. Une vraie réussite !



Commenter  J’apprécie          20
Les Ogres-Dieux, tome 1 : Petit

Quelle magnifique ouvrage. Hubert et Gatignol arrive, conjointement, à créer un univers riche, sombre et beau. Ce conte raconte l'histoire d'une famille, par la vie du plus petit des ogres, la conclusion d'un cycle de consanguinité. Un paria, chassé par ses pairs, qui jouera un rôle essentiel dans l'histoire de son monde.

C'est épique, des enluminures avec un dessin lisse et magnifique, une coloration noir et blanche qui appui le thème "gothique". Le tout coupé, séquencé par des extraits, sous forme de texte, de la généalogie familiale.
Commenter  J’apprécie          20
Le voleur de souhaits

À tes souhaits », nous disons ces mots dès qu'une personne éternue. Félix, lui remplace le tes par « mes ». Ce jeune garçon est en fait un voleur de souhait, ainsi, quand vous éternuez, il vous vole votre souhait, qu'il enferme aussitôt dans un bocal en verre et qu’il conserve dans sa bibliothèque.



Mais un jour, il rencontre Calliope, une jeune fille de son âge qu'il suit mais il n’arrivera pas à lui dérober son souhait. Curieux, non ? Au fil de l’histoire, une complicité se développe entre ses deux personnages qui deviennent inséparables… 🙂.



J’ai trouvé que les dessins sont bien travaillés et la lecture de cette bd est agréable mais très courte. On dirait plutôt un conte pour enfants. L’histoire est en revanche bien pensée et la fin est toute mignonne. C'est donc un album que je vous recommande…
Commenter  J’apprécie          20
Pistouvi

Pistouvi était prometteur : je pensais y découvrir une amitié face à l'adversité, à la difficulté de devenir adulte.

En vérité, j'ai trouvé un récit compliqué voie incompréhensible, trop symbolique...

Je ne suis pas parvenue à entrer dans l'histoire...
Commenter  J’apprécie          20
Pistouvi

C’est pas parce que y’a pas de récit linéaire ou quoi que y’a pas d’histoire. Pistouvi ça raconte juste un petit renard qui a une salopette (oh ça va hein) et qui tire comme un chef au lance-pierres, il vit avec une gosse terrible dans un arbre cabane, elle chante comme personne. On voit des fois un tracteur humain et des oiseaux vraiment grands et débiles qui, si on les écoute, nous transforme en oiseaux grands et débiles après nous avoir donné des plumes si on les écoute parler.

Heureusement il y a le vent qui vient aider et à qui on peut parler, je dis on mais c’est surtout au petit renard intrépide qui est un vrai sale gosse si tu veux mon avis. Et la petite gosse aussi même si elle est également capable de prendre des décisions plus importantes ou savoir quoi faire pour guérir.



C’est tout dans l’onirisme, comme un rêve brumeux et sans couleur, un monde dans lequel on serait bloqué éternellement et dont il aurait fallu s’habituer à ses propres règles. Je pensais que ça allait être doux jusqu’au bout, que j’allais me bercer dans ce plaid illustré de merveilles, mais je me suis fait cueillir comme un lapin de garenne à la toute fin. La grande bascule qui serre le coeur, en même pas 200 pages.



Si le format peut faire grincer des dents à cause d’une perte dans le confort graphique, les illustrations de Bertrand Gatignol donnent cette impression d’un vrai dynamisme dans le mouvement et les expressions des personnages (la gosse et le renard sont vivants pour vrai).



J’ai pensé à une version plus dark qu’Adventure Time, plus mature que Calvin et Hobbes, et ça m’a quand même séduit de B à Y si tu veux tout savoir (largué au début et méga triste sur la fin).



Run boï, run ! (et les filles aussi hein ! juré)


Lien : https://www.instagram.com/p/..
Commenter  J’apprécie          20
Les Ogres-Dieux, tome 1 : Petit

Une bande dessinée incroyable. Un scénario intelligent (80% bande dessinée-20% conte) servi par des dessins somptueux.

L'histoire de "Petit", ogre minuscule, mais doté d'une vivacité contrastant avec la plupart de ses aînés.



Un univers magique à dévorer. Hâte de lire la suite !
Commenter  J’apprécie          20
Le voleur de souhaits

Difficile de savoir ce qu'on souhaite faire dans la vie... alors parfois on use de subterfuges et on s'approprie les souhaits des autres... Avant de trouver vraiment ce qui nous meut. L'amour en trame principale.

Une belle histoire empreinte de poésie pour les enfants ET les grands enfants.
Commenter  J’apprécie          20




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Bertrand Gatignol (1082)Voir plus

Quiz Voir plus

R-O-M-A-I-N-G-A-R-Y

R comme Racines, celles du ciel lui valurent son (premier) Prix Goncourt en ...

1945
1956
1967

10 questions
8 lecteurs ont répondu
Thème : Romain GaryCréer un quiz sur cet auteur

{* *}