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Critiques de Bertrand Gatignol (272)
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Les Ogres-Dieux, tome 2 : Demi-sang

Une très belle découverte que cette nouvelle histoire de l’univers des Ogres-dieux.

Eh oui, nouvelle car il s’agit d’un tome 2. Mais disons le immédiatement, pas de problème si le lecteur n’a pas lu le T1! Simplement le regret d’être passé à côté d’un bel album.

Dans ce nouvel opus nous découvrons la destinée d’un homme prêt à tout, Yori, enfant illégitime venant des bas-fonds, qui n’aura de cesse de prendre sa revanche sur tous les Nobles-nés du royaume.

Luxure, compromission, meurtres, mensonges seront ses seules armes pour parvenir au pouvoir et éliminer tout prétendant au pouvoir qu’il convoite.

Prix de la meilleure BD utopiale en 2015 et prix Jacques Lob du scénario en 2015, cet album tant pour son histoire que son dessin est un vrai coup de cœur.

Le noir et blanc met en valeur les personnages, qu’ils soient d’une vraie beauté ou à la limite de la caricature.

Les textes introduisant chaque chapitre donne une réelle densité au scénario.

Un régal.
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Les Ogres-Dieux, tome 2 : Demi-sang

Retour au pays des Ogres-dieux, mais cette fois-ci, ce n'est pas l'un d'eux dont on suit l'histoire, mais d'un de leurs chambellans, Yori. le beau, rusé et malfaisant Yori.



Demi-sang, le titre de l'album, fait référence à Yori, né d'un père Noble-né et d'une roturière. Aimé par son père, qui aime aussi sincèrement sa mère, Yori reçoit la même éducation que ses demi-frères. Mais voilà, un jour, ceux-là s'en prennent à lui, et tentent même de le violer !



Sommé de s'expliquer, Yori s'y refusera, et comme son père, qui a eu bien du mal à lui sauver la vie, veut le faire adopter à la campagne, sa mère décide de partir avec lui. Et devra se prostituer pour subvenir à leurs besoins. Yori deviendra gigolo lui aussi, mais pas sans arrière-pensée : il veut retrouver la place qui aurait dû être la sienne ! Alors, de machination en complot, et de complot en intrigue, il parviendra à se hisser au plus haut poste possible pour un humain : chambellan ! Mais gare, car ses ennemis rôdent, et sont légion !



J'ai adoré l'histoire de Yori, agrémentée de quelques passages "hors récit", en prose, sur l'histoire des différents chambellans à travers les âges... Yori est vraiment une ordure, et on apprend dans ce second tome de la saga quel rôle il a joué dans la découverte par son père de l'existence de Petit, et par conséquent dans la chute de sa mère.



J'ai hâte de savoir quand ces deux destinées vont s'affronter, si toutefois tel est bien le programme.
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Les Ogres-Dieux, tome 2 : Demi-sang

Après la claque du 1er tome, je me suis jeté sur le tome 2. À ma grande surprise, nous ne retrouvons pas Petit... Mais Yori, fils bâtard d'un noble et aperçu seulement le temps de quelques cases.



Passé la surprise, je n'ai clairement pas boudé mon plaisir. Ce tome est l'occasion de découvrir le royaume du côté des humains, des bas-fonds jusqu'au palais. La montée au pouvoir du Chambellan est passionnante, cruelle et machiavélique, rappelant certains côtés du "Bel Ami" de Maupassant.



Le dessin est toujours aussi beau. Je suis vraiment sous le charme de ces traits ronds, parfaits pour cet univers. Les interchapitres sont tous très intéressants, focalisés cette fois sur l'origine du poste de Chambellan et les plus prestigieux d'entre eux.



Un second tome excellent, qui développe son univers et, au niveau de l'histoire, rejoint le récit du 1er tome. Hâte de lire la suite !
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Les Ogres-Dieux, tome 1 : Petit

Dans ce monde ou les géants sont rois et que la chair humaine est l'aliment principale d'une alimentation disproportionnée, un petit homme va venir chambouler tout ca.

Ce titre de Hubert est surprenant et merveilleusement mis en page par Bertrand Gatignol. Dans Petit, on va suivre le personnage de Petit, dernier né des géants et tellement petit par rapport à sa famille que la reine ne savait même pas qu'elle était enceinte. Pour éviter de faire honte au roi et de devoir le manger, elle va l'élever en cachette. Par le prisme de l'évolution de Petit, on va en apprendre beaucoup plus sur toute l'histoire des géants et de cette famille et comment la consanguinité les mène à mourir de plus en plus jeune et être de moins en moins imposant.



Hubert installe une vraie mythologie dans son titre avec des informations supplémentaires grâce au livre des aïeux. Il y a une vraie puissance, une froideur dans cette histoire. Notamment grâce aux dessins de Gatignol que j'ai trouvé tout simplement somptueux. Le travail sur les proportions (entre toutes les tailles de géants et les humains), les détails dans les décors et les environnements et surtout un trait tellement épuré sur les visages que je trouve tellement expressifs. Les personnages sont finalement assez lisses, mais le Noir et Blanc apporte tellement de profondeur qu'ils en ressortent encore plus imposants.

Le travail sur les détails est également remarquable et j'ai apprécié de voir par exemple des humains mis en scène comme des cuisses de poulet sur la table ou la scène du changement de robe par exemple.
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Les Ogres-Dieux, tome 1 : Petit

Les ogres-dieux m'ont surpris par son récit gargantuesque et surtout par son graphisme un peu gothique. J'ai tout de suite adhéré à l'histoire de ce clan familial. La lecture a été facile et agréable. On entre tout de suite dans ce conte pour adultes et on ne le lâche plus jusqu'à la fin.



Par ailleurs, l'originalité est de mise dans ce royaume des ogres. Bon, le cannibalisme m'a un peu rebuté mais c'est une histoire d'ogres ! Il est question d'un déterminisme familial ou plutôt d'une révolte qui couve au sein du royaume pour faire chuter l'ordre établi et chancelant.



J'aurais sans doute souhaité une autre fin plus éclatante encore. Manger ou être mangé, tel est le dilemme à prendre en considération.
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Les Ogres-Dieux, tome 3 : Le Grand Homme

On attend toujours un tome de cette BD bijou avec impatience.

C'est tellement bien fait, avec un style différent, et surtout avec un récit tellement humain. Même si ça tourne autour d'ogres qui se prennent pour des dieux. On évoque ici tout ce qui fait la nature humaine. La croyance, l'ambition, l'amour, la recherche identitaire face au père... Tout ça dans un climat de fuite, de traque, de combats, de politique. Sans oublier les relations humaines. De quoi faire un récit très complet, en profondeur avec de l'action et des sentiments, des rythmes différents.

Entre passé et présent pour tout nous dire des personnages et qu'on les comprenne. Ils sont tous touchants et attachants, même les plus infâmes. Petit est un peu passif, ce tome est plus centré sur Lours. On a hâte la fin de cette histoire.

Les dessins sont spectaculaires. Surtout avec ce noir et blanc très tranché qui donne vie aux dessins et un visuel profond et particulier.
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Les Ogres-Dieux, tome 2 : Demi-sang

La cohabitation plus ou moins lointaine entre géants - svt iniques - et humains, le pouvoir de familles Nobles-nés, ou de petites gens ; l'ascension du héros de sang mêlé jusqu'au plus haut poste, chambellan, sous la piété maternelle ; tout concourt à faire de cette petite épopée en plusieurs chapitres balisés par du texte pur, sur fond d'intrigues politiques, un conte empreint de merveilleux (parfois cruel), servi par un dessin en noir et blanc minutieux et en rondeurs.
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Les Ogres-Dieux, tome 1 : Petit

On se souvient de l'ogre du haricot géant, de l'ogre qui avait sept filles, enfin d'histoires d'ogres très grands et très méchants. Mais qui aurait pensé à l'histoire des ogres, à leur cour, leur généalogie, leur roi ? Comment se passe la vie courante chez eux ou à leur cour ? Gatignol et Hubert l'ont fait. A vrais dire ça ne peut être qu'un monde terriblement cruel et sanguinaire. Mais comme je l'ai dit plus tôt, un ogre peut aimer ses filles et donc une ogresse aimer son fils même s'il est "petit"....
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Les Ogres-Dieux, tome 1 : Petit

Un superbe conte sur une famille d'ogres consanguins, qui évoque l'hérédité, le déterminisme familial et les choix de vie...

Des textes racontant des histoires d'ancêtres de cette famille viennent compléter les planches dessinées.

Fresque gigantesque et magnifique.
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Les Ogres-Dieux, tome 2 : Demi-sang

J'ai retrouvé avec plaisir l'univers créé par Hubert et Bertrand Gatignol.

Bien que cela se passe sur la même temporalité que le premier tome, j'ai trouvé cette lecture assez différente. Tandis que Petit se concentrait sur les ogres, on découvre ici l'univers des hommes. J'ai trouvé cette histoire plus sombre que la précédente. Il y est question de pouvoir, de complots et de manipulations.



Au départ, j'avais trouvé Yori attendrissant par son passé. Néanmoins, au fil des pages, il change radicalement et devient un homme prêt à tout pour acquérir une place haut placée dans la hiérarchie des hommes. Mon empathie s'est donc clairement évaporée.



Les personnages et l'intrigue restent le point fort de cette bande-dessinée. J'ai hâte de connaître le fin mot de cette histoire.



Par ailleurs, les dessins sont toujours aussi sublimes. C'est un réel plaisir pour les yeux.
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Le voleur de souhaits

Une très belle BD jeunesse un brin fantastique.



On suit Félix, un jeune écolier qui a une particularité hors du commun : il peut capturer les souhaits des autres lorsque ceux-ci éternuent. De fait, il collectionne les rêves des autres, mais lui-même n'en a pas.

Un jour, il rencontre Calliope dans un parc. Pour une raison qui lui échappe, cette fille ne lui semble pas comme les autres. Il décide alors de lui voler un souhait coûte que coûte.

Sauf que voilà, Calliope n'a aucun rêve, aucun désir, aucun souhait... comme Félix.



C'est une BD toute mignonne, sur la découverte d'un premier amour. Les dessins sont beaux, les couleurs un peu pastel, et rassurantes.



J'ai vraiment aimé. Toutefois, que Calliope s'installe chez Félix comme ça m'a dérangée. Depuis quand des enfants vivent-ils seuls dans un appartement à Paris ? Où sont les parents ?



À part ça, je n'ai pas d'autres reproches à faire et je recommande cette BD à ceux qui cherchent une petite douceur cocooning.
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Les Ogres-Dieux, tome 1 : Petit

Je n'aurais probablement jamais lu cette histoire de moi-même et pourtant, je serais passée à côté d'une bande-dessinée saisissante et très intéressante. Les personnages sont complexes, les thèmes abordés sont parfois violents mais apportent une véritable réflexion sur les différences, les violences et la supériorité.



J'ai trouvé le héros très attachant, divisé entre deux personnalités, deux possibilités d'avenir, mais j'ai aussi beaucoup apprécié Desdée qui, par son passé, par la vie qu'on lui a refusée, protège de son mieux Petit, même si parfois cela le bride.



Il y aurait beaucoup de choses à dire sur cette BD, les illustrations sont très belles et l'objet-livre en lui-même est magnifique, les chapitres comme de petits contes qui parlent du passé de certains personnages sont plus qu'intéressants. Je ne regrette pas de l'avoir lue !
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Les Ogres-Dieux, tome 2 : Demi-sang

Pas acrroché malgré les dessins superbes. Ce genre de BD ne correspond pas à ce que j'aime.
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Pistouvi



L'emballage enfantin de ce livre est un peu trompeur, Le Pays des Grands Oiseaux est un récit ludique mais grave, qui s'adresse à des lecteurs un tant soit peu adultes: L'enfance qui s'évapore en laissant les germes de la nostalgie derrière elle; le temps qui passe et altère tout... Voilà un fil narratif inépuisable que les auteurs appréhendent sous l'angle de la métaphore, de la gentillesse, et de la douceur.



Une gamine et un renard en salopette cohabitent seuls dans une cabane perchée sur un gros arbre, et font les quatre cent coups dans une sorte d'éden figé et sous-peuplé, puisqu'il n'y a guère là qu'un géant sur son tracteur, quelques corbeaux jacasseurs et un esprit du vent pour leur tenir compagnie. Ce terrain de jeu leur va très bien, et la vie de ces "enfants perdus" est un jeu permanent.

De temps à autre, des groupes d'oiseaux à l'air idiot viennent occuper une marre.

Ces volatiles sont bavards, mais il ne faut surtout pas les écouter, sans quoi on devient un des leurs.

Pourtant la fillette a le pouvoir de leur résister, et sur les sentiers qu'ont déjà empruntés Alice, Peter Pan, et le petit Calvin, semble être la raison de ce monde inachevé qui confère aux choses des échelles démesurées.



Les graphismes séduisants, précis et contrastés de Bertrand Gatignol impriment à cet univers clôt une ambiance curieusement austère et dénudée, qui souligne le caractère onirique de cette histoire finalement assez mélancolique.

Si chaque protagoniste semble assumer une fonction précise autour de la gamine, leur valeur symbolique reste volontairement floue, et l'ensemble du récit navigue entre une lecture au premier degré joyeusement futile et une trame plus poétique, que les auteurs livrent sans mode d'emploi.

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Les Ogres-Dieux, tome 1 : Petit

Pour commencer, un très beau livre en tant qu'objet, plutôt grand pour le coup, en noir et blanc, vraiment très beau, avec une ambiance sombre et gothique.

Petit est le dernier rejeton d'un ogre, rejeté par sa famille du fait de sa petite taille.

Son père, cruel à souhait, veut sa mort mais sa mère espère grâce à lui, injecter du sang neuf dans la famille en le faisant s'accoupler à une humaine.

Elle le confie alors à sa tante Desdée, une ogresse humaniste impressionnante qui traite fort bien les humains qui l'entoure.

Petit va alors être tiraillé entre les valeurs transmises par sa tante et les pulsions violentes dont il a herité et que sa mère souhaite voir se developper.

Petit, tout comme chacun d'entre nous, devra lutter pour s'extraire des projections familiales et des rôles predefinis pour trouver sa propre voie.

On compatis.





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Les Ogres-Dieux, tome 1 : Petit

Des ogres géants règnent sur une petite contrée. À force de croisements consanguins ils sont menacés de disparition. C’est alors que vient au monde « petit » ogre à taille humaine. Rejeté par son père il est élevé en secret par sa mère car il peut se reproduire avec les humains et ainsi régénérer la lignée.



Un récit sur la prédestination ou comment briser la chaine d’une malédiction familiale entretenue à travers les générations.

Les superbes dessins en noir et blanc adoptent les grands formats, quelques cases par planche, s’harmonisant ainsi avec la taille démesurée des protagonistes.

Un magnifique conte gothique et cruel.

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Les Ogres-Dieux, tome 1 : Petit

A la manière des grands conteurs, Hubert, dont les œuvres précédentes ont souvent remporté l’adhésion par ici (Beauté, Le Legs de L’Alchimiste, …), reprend à son compte la figure de l’ogre et en donne une version inventive, drôle et effrayante à la fois, mélangeant Bande Dessinée pour l’intrigue principale et pages de texte pour l’historique de sa généalogie gargantuesque. « Petit » est le dernier né d’une grande famille plus ou moins dégénérée d’ogres qui doit se cacher pour ne pas être tué par ses géniteurs. Il pourrait être le « fondateur » du renouveau des siens mais cela ne va clairement pas être une partie de plaisir. Le graphisme expressif de Gatignol, écrin idéal de cette virevoltante histoire, dans un noir et blanc impeccable, emprunte autant aux genres actuels qu’aux grands de l’illustration (Doré en tête, les chanceux qui, comme votre serviteur, ont eu l’occasion de visiter l’exposition au Musée D’Orsay au printemps dernier retrouveront avec plaisir certaines références) et finit de faire de cet album grand format une œuvre hors norme, clairement l’une des plus marquantes de cet hiver. La musique que je vous propose pour écouter avec par là: http://bobd.over-blog.com/2014/12/petit-mais-costaud-petit-vs-la-beaute-du-diable.html
Lien : http://bobd.over-blog.com/20..
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Pistouvi

Pistouvi le renardeau habite avec la petite Jeanne dans une drôle de contrée. Du haut de leur cabane construite au sommet d’un arbre, les deux amis dominent des espaces infinis où le vent, une magnifique jeune femme aux cheveux ondulant, ensemence les terres pendant qu’un homme tracteur fauche sans relâche les plantations. Pour Pistouvi, le danger vient des oiseaux. Le petit Renard ne doit jamais entendre leur chant. Dans le cas contraire, les conséquences seraient terribles…



Un récit étrange, onirique, où la joie et la mélancolie se succèdent sans discontinuer. Merwan raconte une histoire à hauteur d’enfant : le monde est démesuré, les adultes sont des géants, on a l’éternité devant soi… Jeanne tient le rôle de la mère protectrice. Elle veille sur Pistouvi et hypnotise les oiseaux avec son ocarina. Mais l’enfance n’est pas éternelle et le passage à l’âge adulte bouleverse les existences.



Difficile de saisir toutes les clés de cet album inclassable, totalement irrationnel. Mais après tout, est-il toujours nécessaire de tout comprendre ? Peut-être faut-il simplement se laisser porter par la beauté du trait ensorcelant de Bertrand Gatignol. La balade de Pistouvi et Jeanne dans leur drôle de pays est sublimée par un dessin tout en mouvement au découpage très cinématographique.



Un album qui peut décontenancer mais dont la poésie touchera à l’évidence plus d’un lecteur.




Lien : http://crdp.ac-amiens.fr/cdd..
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Le voleur de souhaits

Une très très belle histoire d'amour. J'ai vraiment adoré cette histoire, portée par des dessins juste sublimes. Dommage juste que cette bande dessinée ne fasse que trente pages, franchement j'en aurai voulu facile une vingtaine de plus. Très beau. Très bien pour de jeunes lecteurs.
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Le voleur de souhaits

Après avoir lu « Les jours sucrés » de Loïc Clément, voilà que je découvre « Le voleur de souhaits », bande dessinée sur laquelle il a collaboré avec Bertrand Gatignol. Le récit m’a beaucoup fait penser au film « Le bon gros géant » de Steven Spielberg, puisqu’il y est question de capturer des rêves, mais en beaucoup mieux ! Oui, en effet, je n’ai pas du tout accroché à ce film, alors que cette bande dessinée, alala… Elle est magique, pleine de poésie et fait réfléchir. Même si l’histoire est courte, on se prend rapidement d’affection pour les personnages. J’ai trouvé le scénario « mignon », les dessins « jolis » et je regretterai presque que ce soit un one-shot !
Lien : https://commedansunlivre.fr/..
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