Ah, la magie des titres et des couvertures ! J'ai acheté cette BD car totalement charmée par ces deux derniers (oui, je me fais souvent avoir de la sorte... ^^')
• Certains collectionnent les timbres, les bouteilles de parfums (= moi quand j'étais adolescente, haha), les figurines funko pop... Félix, lui, collectionne les souhaits des gens. Quand les personnes éternuent autour de lui, atchoum ! ''À vos souhaits''... hop! Le petit garçon l'attrape dans un bocal. Jusqu'au jour où il va rencontrer cette fille, cette fameuse fille...
• Je ne suis pas déçue par cette lecture MAIS, oui car il y a un mais... cette BD est bien trop courte ! C'est très mignon, à l'image d'un conte pour enfants. J'ai eue un petit coup de coeur pour les illustrations, si douces. Il n'y a pas beaucoup à lire, les cases des dessins sont très grandes et aérés. Un vrai petit bonbon sucrée, qu'on apprécie mais qui se mange en 2/3minutes... heureusement que je l'ai acheté d'occasion, car au prix neuf ça aurait fait mal.
Dommage donc que ce soit si court, néanmoins je garderais un jolie souvenir de cette BD jeunesse.
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Après un premier titre qui a été une réelle claque lors de ma lecture, j'ai pris du temps à me lancer dans le second tome, souhaitant profiter de la série le plus possible pour faire durer le plaisir. Chaque tome étant "indépendant", on n'est pas tenu en haleine entre chaque tome et cela s'y prête bien.
Le premier tome revenait sur les différents rois qui sont passés dans ce monde, ce second tome retrace la fonction de chambellan et on va suivre plus spécifiquement Yori, un demi-sang (fils de né noble et d'une humaine) et sa quête de vengeance de la haute société.
La plume de Hubert est à la fois poétique et aiguisée sur la société. Il nous livre un tome encore plus saisissant sur les personnages, ces derniers sont plus développés que dans le premier tome à mon goût.
Graphiquement c'est encore du grand art à mes yeux. Le jeu des tailles, des espaces, des hauteurs et des largeurs, Gatignol livre ici une oeuvre marquante je trouve. Je m'y suis plongé complètement et j'ai "dégusté" chaque page.
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Tome 3 de cette série, qui s'emballe et nous permet de retrouver Petit, aux cotés de Lours, a.k.a Le Grand Homme du titre, que nous ne connaissions pas avant cela. Grosse surprise donc, et qui permet à l'histoire de faire un bond en avant.
J'ai beaucoup aimé ce volume, bourré d'action et qui donne à l'intrigue un tour inattendu. Par ailleurs, on en apprend plus sur Sol, et ce n'est pas pour me déplaire ! Il est d'ailleurs intéressant de constater que, dans les Ogres-Dieux, les personnages secondaires ont tout de même une histoire étoffée, et qu'ils peuvent prendre le devant de la scène.
Au final, un tome qui m'a emporté, et qui se termine en apothéose, nous donnant follement envie d'en savoir plus !
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Quelle claque que ce récit. le meilleur tome de l'ensemble des 4 sur les Ogres-Dieux (et je dis ça après les avoir tous lus).
On découvre les conditions de vie du petit peuple dans cet Univers, notamment à travers les aventures de Lours, un nouveau personnage qui est particulièrement attachant (c'est mon avis), et des péripéties qui lui sont arrivées à différentes époques de sa vie.
Le côté graphique est irréprochable. On a plaisir à découvrir des planches consacrées à des environnements plus naturels que ceux des 2 premiers tomes (qui se passaient surtout en ville, voire en château[x]).
Côté narration, avec les interludes entre les planches de BD, c'est (à mon humble avis) encore mieux que dans les tomes précédents, tant l'histoire de Lours est prenante.
Côté intrigue, j'ai lu quelques avis ici qui critiquaient le côté détaché de l'ouvrage à l'univers global des Ogres-Dieux... Mais je ne partage pas cet avis. Je trouve au contraire qu'il aide à brosser un tableau plus complexe, et à insister sur la déconnexion des élites (Ogres-Dieux, nobliaux, chambellan, tout ça) avec le peuple [critique d'une actualité cinglante] et met également en avant le fait qu'à part la bande de Lours, il n'y a pas grand monde qui se bouge pour faire changer les choses dans leur société. Lours le dit lui-même : il a parfois l'impression de vouloir améliorer le sort des gens contre leur gré, tant ceux-ci semblent chevillés à leur servitude, leurs habitudes [un constat également d'une actualité pas possible] )
Globalement l'histoire est celle d'une course-poursuite sur laquelle est rivée une tension psychologique (qui rend particulièrement bien) pour savoir lequel des deux groupes fera la première erreur, lequel sera plus malin que l'autre.
Le dénouement de l'ouvrage arrive de façon quelque peu abrupte, mais quel final !!!!
Un seul regret : que le tome 4 ne soit pas dans la continuité chronologique directe de celui-là...!
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Avec les Ogres-Dieux, nous voilà plongé dans un univers complètement inconnu où les ogres et les humains tentent de vivre ensemble. Mais, l'époque où les ogres dominés semble toucher à sa fin. Dans ce contexte, une reine ogresse donne naissance à un garçon juste un peu plus grand qu'un homme ordinaire. Elle le nommera Petit et le confiera à sa tante Desdée. Mais la reine est persuadée que son fils est le nouveau Fondateur et qu'il va redonner naissance à une lignée d'ogres.
Le scénario est très prenant avec beaucoup de rebondissements. L'univers est très riche et tout a été scrupuleusement pensé. Les lignées des ogres anciens nous sont présentées et de nombreux récits du passé nous sont contés. Ainsi, une véritable Histoire est créée. Il faut entrer dans cet univers et s'y laisser emporter totalement pour apprécier à sa juste valeur, ces magnifiques romans graphiques que sont les Ogres-Dieux.
Les tomes renferment une multitude de personnages tous très bien construit avec une véritable histoire personnelle. On ne peut que saluer le travail de titan qu'il y a derrière chacun d'entre eux. Cette minutie, rend les protagonistes terriblement réalistes et on ne peut que s'attacher à eux.
Vous l'aurez sûrement compris mais j'ai été subjuguée par ces BD. Cerise sur le gâteau, l'esthétique est tout simplement sublime. J'ai adoré le style graphique avec ses rondeurs, ses traits fins. Le choix du noir et blanc est selon moi très ingénieux car il donne une touche d'originalité supplémentaire à cette univers si riche.
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Déjà ce qui impressionne, c'est le graphisme qui est INCROYABLE. C'est une véritable oeuvre d'art. Les nuances de noir, de gris, de blanc. Les dessins nous entraînent dans un monde imaginaire très beau, sans utiliser de couleurs.
L'histoire de Petit est belle et touchante. J'ai adoré suivre ce personnage ainsi que les membres de sa famille. L'histoire est complexe et les textes qui expliquent les histoires des ancêtres sont très importants.
J'ai hâte de me plonger dans les autres tomes.
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Bertrand Gatignol et Hubert signe une bande-dessinée fantastique originale où l'horrifique et la philanthropie se combattent.
Avec ce premier tome, j'ai été subjuguée par les graphismes en noir et blanc. Ils sont spectaculaires et beaux, même si les échelles de taille ne sont pas toujours bien respectées - ce qui est un exercice difficile en soi. Quant à l'histoire, elle est captivante. La complexité des personnages, humains ou Ogres, est intéressante. L'ensemble nous interroge sur les notions de divinité, de différence, de l'influence familiale et de considération de l'autre.
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Superbe BD, à l’esthétique sublimé par le noir et blanc, sur le thème de la différence et de la diversité comme facteur d'enrichissement. Au pays des ogres naît fortuitement un "petit" homme", ressemblant plus au casse croûte habituel de ses parents qu'aux ogres de la maisonnée...Et si sa taille faisait justement toute sa force?
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Une série avec une ambiance très particulière, assez sombre mais pas glauque. Des dessins en noir et blanc somptueux. Un récit très complet.
Yori, le personnage principal au visage angélique, était un enfant très prometteur jusqu'à ce que son père ne le chasse avec sa mère. Il devient alors très vite manipulateur et de moins en moins sympathique, jusqu'à méchant et cruel. Pourtant impossible de le détester ou de le trouver agaçant. Son évolution est très bien faite, on suit son cheminement. On arriverait presque à lui pardonner tout ça. A côté de lui les personnages secondaires sont effacés et font plutôt pitié.
C'est l'histoire de rêves déçus, de déception, de vengeance et d'ascension au pouvoir. Une fois lancé dans cet univers et dans les folies de grandeur de Yori, on n'en ressort pas jusqu'à la dernière page. Il n'y a pas de temps mort, pas de longueur.
Un nouveau sans faute. Une série qui va un peu hors des sentiers battus, ça fait du bien. On attend le troisième tome avec impatience en se demandant qui en sera le héros.
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Grandeur et décadence.
Voilà une bande dessinée de tailles. Petit pour devenir grand et inversement. L'épopée historique d'une famille de géants, de ce qui a forgé ce qu'ils furent, de ce qui les a diminués, de ce qu'ils seront peut être.
Le trait est somptueux, on évolue dans ce décor de cathédrales-mausolées d'un peuple qui se délite. Le géant se fait ogre et cruel ? Qu'importe. On s'attache à ces personnages quels que soient leurs travers, à déguster très vite ou à petites bouchées, la dernière page révélant qu'il ne peut y avoir que suite. Chic ! J'ai grand appétit.
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Entre continuité de l'histoire mais aussi histoire indépendante centrée sur le personnage de Lours, ce troisième tome est encore une fois un coup de coeur pour ma part.
J'y retrouve tous les ingrédients qui font le succès de l'écriture de Hubert sur moi. Cette sensibilité dans les personnages et dans cette complexité des personnalités.
Le tout est encore une fois superbement mis en page par Gatignol qui est juste extraordinaire. Ce jeu de contraste de noir est tout simplement magnifique.
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Petit; c'est l'histoire d'un géant pas comme les autres. Parce qu'il est petit. Pour un géant, s'entend, car une fois adulte, il fera un homme d'une belle taille tout de même !
Mais à sa naissance, il est tellement petit que sa famille essaie de le dévorer ! Sa mère lui sauvera la vie en faisant croire qu'elle-même l'a mangé, et elle se hâtera de le recracher pour le confier à Desdée, la plus grande et la plus ancienne de la famille, qui se refuse à manger les humains, et qui, le comble ! les traite même avec bonté, comme ses amis.
Ce livre, c'est donc l'histoire de Petit de sa naissance à son entrée dans l'âge adulte, avec, bien sûr, le rite de passage obligatoire, la mort du père tyrannique, violent et cruel.
Les planches en noir et blanc sont entrecoupées de textes de présentation des différentes figures de la famille. On a un focus sur Desdée et sa triste histoire, sur Emione, la mère de Petit, sur le premier d'entre eux à avoir mangé de l'humain, bref, ces portraits sont de très agréables intermèdes au récit en bulles.
Les scènes de cannibalisme ne me plaisent pas trop, à vrai dire, mais comme l'intrigue, sa construction narrative et les personnages me plaisent bien, ça passe.
Et j'ai la suite, Demi-Sang, qui m'attend ^^
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Rien ne vaut une grande partie de cache-cache pour s'amuser avec ses amis !
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