Catherine Cuenca

Celle qui voulait conduire le tram est un roman de Cuenca Catherine dans lequel le personnage de Luce nous conte l'histoire vécue par sa tante, Agnes Meunier durant la première guerre mondiale et son engagement pour l'association les suffragettes qui militent en faveur du droit de la femme.



Personnellement je n'ai pas accroché pour ce livre. Après il est plutôt facile à lire et possède un vocabulaire plutôt adapté à notre âge.

Le réalisme attachant de cette femme m'a attrapé très rapidement. Une étape héroïque qui n'avait pas encore trouver de voix pour dire les espoirs et les souffrances, les idées reçues et le moyen de les vaincre. Bien vu!

Un livre intéressant et beau, où nous voyons des portraits de femmes et d'hommes vivants pendant et après la Première guerre mondiale dans une ville en France. Si vous n'étiez pas informés, les femmes prirent inhabituellement la place des hommes car elles n'avaient pas le droit de combat. A la fin de la guerre, les hommes reprirent leurs métiers et les femmes retrouvèrent leur statuts de femme au foyer . Ainsi Agnès, la protagoniste de ce roman perd son métier de wattman, et Célestin, son mari, répond de façon positive et dit qu'elle pourrait revenir à l'usine travailler avec lui. Furieuse, son amie Renée la propose de rejoindre un groupe de féministes qui réclament le droit de vote féminin.

Ce livre contient des anecdotes historiques et une intrigue engageante, (Madeleine Pelletier, une des héroïnes du mouvement féministe ayant vraiment existé, porte un pantalon, vêtement illégal pour les femmes à l'époque qui lui attire des accusations d'homosexualité) Célestin est un personnage tragique, qui vient de voir les horreurs de la guerre et devient un alcoolique qui désapprouve des idéaux d'Agnès [et finit par la tuer en l’asphyxiant] mais j'aurais plus apprécié ce livre si il parlait un peu plus des travaux que les femmes ne pouvaient habituellement pratiquer et un regard sur leurs journées avant la guerre. Je trouve également que ce roman emprunte beaucoup d'éléments du film "Suffragette" réalisé par Sarah Gavron, sorti il y a 2 ans plus tôt.

Le combat des femmes



En 1916, lors de la première guerre mondiale, le mari d’Agnès est parti au front; elle se fait embaucher comme conductrice de tramway.

Épanouie par son métier, elle se sent libre contrairement à ce qu’elle vivait auparavant. Lorsque Célestin, blessé, rentre du front, il ne supporte pas que sa femme ait une meilleure situation que lui.



L’auteur de ce roman, Catherine CUENCA est diplômée en Histoire. Depuis 2010, elle exerce le métier d'écrivain à temps plein. Elle a remporté deux fois le Prix du roman historique jeunesse de Blois avec Frères de Guerre et La Guerre des ombres. Dans Celle qui voulait conduire le tram, l’auteur insiste sur les inégalités et la violence qui peut exister entre les hommes et les femmes.



Agnès est une femme forte qui doit supporter son mari, un homme qui la trompe et qui est alcoolique à cause des tranchées. Au moment où les femmes doivent reprendre leur «place» de femme au foyer, c’est à dire lorsque que les hommes rentrent de guerre, Agnès décide de se révolter, pour cela elle s’engage dans une association de suffragettes.

Personnellement la guerre n’est pas un sujet qui me passionne ; en revanche j’ai bien aimé le combat des femmes pour qu’elles puissent obtenir de meilleures conditions de vie.

Je conseille ce livre aux amateurs d’Histoire avec un grand H et d’histoire avec un petit h.

Ce livre dépeint parfaitement la condition des femmes après la guerre et permet de ne pas oublier que des femmes courageuses se sont battues pour leurs droits et qu’il est important de poursuivre les luttes qui permettront enfin à la moitié de l’humanité.



Anastasia

L'histoire se passe en France plus précisément de ( 1914 à 1918 ) .

C'est l'histoire d'une femme qui est réquisitionnée pour conduire un tram mais quand la guerre se termine, les hommes reprennent leur travail donc elle se fait licencier. Son mari trouve que c'est normal mais pas elle. Son mari se met à boire et à la battre donc elle rejoint le premier groupe féministe: "les suffragettes".

J'ai bien aimé car je trouve que montrer l 'origine du féminisme est une bonne idée car c'est un sujet pas souvent développé.

Albéric

Très bon livre, il permet de découvrir l'histoire des femmes pendant la guerre, et le début de leur lutte contre les inégalités hommes femmes. Cette œuvre a beaucoup de suspense, jusqu'à la fin de l'histoire, ce qui donne encore plus envie de le lire. Il est également très simple et émouvant.

Jeanne 3ème.

C'est un livre à la fois fascinant et très énervant pour les lectrices , parce qu'on découvre une histoire rarement abordée en littérature, avec le travail des femmes pour soutenir l’effort de guerre. On y voit a quel point les femmes n’étaient pas reconnues dans ce quelles étaient.

C'est un devoir de mémoire qui rappelle que le droit de vote n'est pas acquis depuis si longtemps.

Celle qui voulait conduire le tram est un très beau roman, qui m’a beaucoup plus. C’est l’histoire d’Agnès, une femme qui travaille dur à l’usine. Durant la première guerre mondiale, Agnès a l’occasion de devenir conductrice de tram pour remplacer un homme mobilisé. Elle adore ce travail et oublie l’usine. Mais la guerre s’achève, son mari Célestin rentre, perturbé, alcoolique et estropié. Tout s’arrête pour Agnès et la vie redevient comme avant. Elle est licenciée de son travail et doit retourner à l’usine. Mais elle n’est pas de cet avis et rejoint un groupe de suffragettes qui veut l’égalité des femmes. Son mari a beau s’y opposer, ce n’est pas pour autant qu’Agnès baisse les bras…

J’ai aimé ce roman qui dresse un beau portrait de femme : Agnès est une femme forte, militante, une battante qui n’hésite pas à tenir tête à son mari pour défendre la cause des femmes. Si les femmes comme Agnès ou, par exemple, Simone Veil, n’étaient pas là, je me demande ce que les femmes seraient à l’heure d’aujourd’hui. Ce sont grâce à ces femmes que nous avons tous ces acquis politiques et sociaux. En lisant ce livre, quand on est une fille, on se sent déterminée à aller au bout de nos projets !

Namizata

Catherine CUENA, diplômée en histoire, est une romancière.Elle a remporté deux fois le prix du roman historique jeunesse de Blois, avec notamment, deux de ces romans"Frères de guerre"et "La Guerre des ombres".



En 1916 : la guerre fait rage,et mobilise les hommes sur le front. Les femmes s'occupent de l’arrière. Agnès travaille,la guerre a envoyé son mari sur le front.Elle a la possibilité de devenir conductrice de tram,elle est heureuse de conduire le tram.Son mari revient de la guerre blessé.Les hommes sont obligées de reprendre leurs activités habituelles.Elle est renvoyé,et supporte mal l'injustice que les femmes éprouvent durant cette période.Elle rejoint alors les suffragettes une organisation pour les droits de la femmes.



Ce livre m'a plu parce que il est réaliste,il parle de la guerre,des révolutions menées par les femmes durant cette époque. Il m'a paru intéressant.Il a un intérêt documentaire,il rappelle des événements vécues,il fait comprendre l'époque.



Je recommande ce livre pour ceux: qui aiment les histories basés sur des faits réelles.



Virginie

Gabriel se retrouve incarcéré à la Bastille pour avoir écrit un pamphlet contre la Reine. Il ne voit aucun échappatoire ni de solutions pour prouver son innocence. Cependant, il peux compter sur le soutien de sa belle, qui va tout faire pour le sortir de là.



Un roman qui nous transporte plus de deux siècle plutôt, peu avant que le peuple se rebelle contre la royauté. A travers ce roman, on découvre l’intérieur de la célèbre et terrible Bastille. J’ai adoré. La plume de l’auteure est accrochante et c’est toujours intéressant de découvrir une histoire basé sur l’histoire de notre pays. J’ai beaucoup apprécié le personnage de Virginie que je trouve très forte.



Une histoire à découvrir.

J'ai lu ce livre mais il ne m'as pas plus du tout je n'ai pas vraiment compris l'histoire.

Catherine Cuenca veut nous faire découvrir un petit aspect de la Première Guerre mondiale car cela est souvent ignoré par exemple le travail des femmes pour écrire à leur mari doit être plus payé, donc elles occupent la place des hommes pendant la guerre.

Ce roman m'a fait ressentir beaucoup d'émotions, j'ai été surprise, contente, triste, angoissée et j'ai été aussi patiente au début.

J'ai beaucoup apprécié cette histoire qui était assez émouvante pour moi.

Plus je lisais, plus je m'y intéressais. Il y a un sujet à propos des femmes dans la société qui est plutôt compréhensif.

En effet, en 1914, ce sont les femmes qui ont pris la place des hommes car elles faisaient de tout comme travail.

Mais le souci, quand la guerre s'est finie, bien évidemment que les hommes voulaient reprendre leur place, bref...je vous laisse lire !

L'intrigue du roman est passionnante.

Dans ce livre, certains passages sont du point de vue interne car on se met vraiment à la place du personnage, nous sommes vraiment proches.

On vit avec l'héroïne, ses peines, sa joie ainsi que ses victoires.

On a toujours envie de lire pour savoir les événements futurs, et aussi savoir si elle ira au bout de ses idées ou non.

Agnès est une fille très courageuse. J'ai adoré ce livre !

J'ai adoré ce livre mais ça ne se finissait pas très bien.

Celle qui voulait conduire le Tram

Pendant la Première Guerre Mondiale, en France, les hommes étaient mobilisés et les femmes sont à l'arrière. Agnès Meunier, une jeune femme qui travaille à l'usine, découvrit le métier de conducteur de tram. Elle décida de pratiquer cette profession pour pouvoir vivre plus modestement. En 1917, son mari, Célestin, rentra de la guerre blessé et traumatisé. Il ne voulait pas que sa femme exerce ce métier et il battait sa femme. Pour désobéir à son mari, Agnès se mit à militer pour le droit des femmes. Beaucoup de gens vont se dresser contre son combat.

Ce livre m'a intéressé car nous pouvons voir le changement de comportement des hommes après la Première Guerre Mondiale. C'est intéressant de voir ce qui se passait à l'arrière pendant que les hommes étaient sur le front. Je ne lis pas souvent des romans comme celui-là, mais ce livre m'a surpris jusqu'au bout.

Antoni.P



Dechavanne Guillaume



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L’histoire se déroule durant la première guerre mondiale. Les hommes sont mobilisés sur le front en 1916. Les femmes prennent la relève à l'arrière. Parmi elles, Agnès est embauchée pour travailler en tant que conductrice de tramway. Lorsque son mari, Célestin, rentre blessé de la guerre, il supporte mal qu’elle gagne plus que lui. Une fois la paix revenue, Agnès est renvoyée et les hommes doivent retrouver leur place.

Révoltée par cette injustice, elle s’engage dans le mouvement des suffragettes pour arrêter cette inégalité entre hommes et femmes.



En général, je n’aime pas pas trop lire et je pensais que ce livre n’allait pas m'intéresser car l’histoire est vraiment arrivée. Mais malgré ça j’ai accroché. Cette histoire nous prouve que les femme était importantes pendant la guerre, elle se sont révoltées car elles veulent une place dans la société.

Dans ce dernier titre paru de la collection 10 jours pour sauver le monde, consacré à la fin de la Première Guerre mondiale en cette année du centenaire de l'Armistice, Catherine Cuenca revient sur les événements qui l'ont précédé à travers le destin de deux personnages, un frère et une soeur que la guerre a séparés.



On suit alternativement le récit des deux héros, Anna en tant qu'infirmière française et Niko, soldat allemand. J'ai une fois de plus trouvé ce choix de les placer dans les deux camps ennemis judicieux car cela nous permet de voir les évenements sous deux axes, ce qui amène le lecteur à porter un regard neutre : pas de parti pris pour l'un ou pour l'autre, on espère autant qu'Anna que Niko va s'en sortir sain et sauf, l'horreur et l'attente de la fin de la guerre sont les mêmes dans les deux camps.



Les explications historiques sont claires et fournies mais je pense que, pour pouvoir bien comprendre le contexte et les décisions qui vont être prises, ce roman s'adresse à des lecteurs de plus de 10-12 ans, contrairement à ce qu'annonce l'éditeur.



Comme le veut la collection, l'auteur nous propose deux fins : l'épilogue de notre histoire et ce que sont devenus nos personnages 20 ans plus tard, et une fin alternative qui imagine que l'Armistice n'ait pas eu lieu. Quelles en auraient été les conséquences ?
Lien : http://ocalypso.canalblog.co..

Prix des incos 2019

Place de la femme

Gabriel est épris de Virginie dont il a prévu de demander la main. Mais une dénonciation l’envoie à la Bastille, pour propos et écrits choquants contre la reine.



Le voilà coincé dans une prison dont on ne s’évade pas, sans aucune solution pour expliquer sa situation, et les raisons qui l’accablent. Seule Virginie continue de tenter quelque chose pour le sauver. Pendant que dans l’ombre, d’autres machinations l’empêchent d’être libéré….



La révolution française est bien sûr un sujet que j’aime beaucoup. L’histoire de France en général m’intéresse, et j’étais curieuse de voir comment cette période allait être abordée dans un roman jeunesse (à partir de 13 ans).



J’en sors très agréablement surprise. En même temps, Catherine Cuenca n’en est pas à son coup d’essai. Rappelez-vous, l’année dernière, à quelques jours près, je vous parlais d’un autre de ses livres : La révolution d’Aurore. Encore une fois une narration se déroulant aux environs de la révolution française.



Je me suis très vite attachée à Gabriel. Un jeune homme de 17 ans intelligent, réfléchi, et certain de ses convictions. Bien qu’enfermé, il ne relâche pas, et continue à être brillant dans ses réflexions. Un personnage très bien construit que j’ai immédiatement pris en affection.



Virginie, jeune fille honnête, profondément amoureuse, et prête à défendre bec et ongles son fiancé, est tout autant intéressante. Ce couple crée la belle dose d’optimisme et d’énergie qui porte ce roman de bout en bout.



La période traitée est une époque sombre, et j’ai parfaitement retrouvé cette atmosphère durant ma lecture. Complots pour les uns, révolte pour les autres, pauvreté et peur de se faire arrêter sont autant d’éléments qui faisaient le quotidien de Paris durant ces années. 1789 est une année charnière, même si les bouleversements historiques ne s’arrête pas cette année-là.



La prise de la Bastille est détaillée, mêlant les personnages dont on a parlé à des événements qui se sont réellement déroulés. La note en fin de livre est très éclairante, d’ailleurs, quant au travail de recherche qu’a réalisé Catherine Cuenca pour ce roman. En effet, elle a pris de reprendre les noms des gardiens exerçant à la Bastille à l’époque, ainsi que quelques noms de soldats. Le pamphlet qui vaut l’emprisonnement de gabriel a également réellement été écrit.



Je suis donc une nouvelle fois enchantée par ma lecture !
Lien : http://au-fil-des-pages.be

J'ai vraiment beaucoup aimé ce roman. Déjà par son côté historique avec à la toute fin, des notes de Catherine CUENCA qui nous indique ce qui est tiré de son imagination et ce qui ne l'est pas, ensuite par l'intrigue et les personnages qui la portent. Je trouve déjà très original le contexte alors savoir que tant d’éléments méconnus sont véridiques est une vraie valeur ajoutée à mon avis. On sent d'ailleurs que l'autrice s'est bien renseignée sur l'époque, et chose plus surprenante, sur la célèbre prison et son fonctionnement. Jamais je n'aurais imaginé ce qu'elle nous apprend sur les conditions de détentions que je pensais romancées ici... Surtout ne passez pas à côté de la carte et des notes de l'auteur, vous ne serez pas déçus! 😉



C'est aussi un roman agréable à lire par sa construction. Les événements s'enchaînent en alternant régulièrement la narration. Catherine CUENCA sait nous rendre les personnages très vite attachants. Un combat pour la liberté d'expression et contre l'injustice nous parle forcément et c'est avec avidité que l'on tourne les pages pour connaître leur destin. Des personnages très réussis : Gabriel, l'embastillé, Virginie, sa fiancée, et Aglaé l'intrigante...



Gabriel est bien sur au cœur du récit mais le danger comme l'aide qu'il peut recevoir viennent de l'extérieur et sont représentés par ces deux femmes qui font preuves de beaucoup de forces dans leur quête respective. L'une pour faire libérer son cher et tendre, l'autre pour le faire disparaître afin de sauver sa peau. A une époque où la place de la femme n'était pas la plus enviable, l'autrice lui donne plusieurs rôles essentiels, même entre les murs de la forteresse avec Rosette.



Vivre les dernières semaines qui ont précédé le 14 juillet 1789 donne une saveur particulière à la lecture. La tension entre royalistes et tiers état augmente en même temps que le sort de Gabriel devient de plus en plus incertain. La date si symbolique approche et le lecteur retient son souffle. Le show est assuré par l'autrice qui nous offre la fameuse prise de la Bastille vue de l'extérieur mais aussi de l'intérieur... Une manière très agréable de se replonger dans l'Histoire et de se souvenir des combats pour la liberté d'expression...



Votre avis m'intéresse...





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1916. Agnès travaille dur à l'usine alors que la première guerre mondiale a envoyé son mari au front. C'est alors qu'elle a l'opportunité de devenir conductrice de tramway en remplacement d'un homme mobilisé. Elle découvre l'indépendance et la liberté. Mais le retour de Célestin son époux, estropié et aigri, signifie qu'elle doit reprendre sa place de femme au foyer. Agnès ne se résoud pas à ce retour à son ancienne existence. Elle se rapproche de militantes qui souhaitent l'égalité des femmes et le droit de vote. Son mari s'y oppose fermement. Agnès devra se battre...

Sexisme

Dans l'entre-deux guerres, des femmes luttent pour faire reconnaître leurs droits : droit au travail, égalité des salaires, droit de vote...
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