Daniel Pecqueur

Un premier tome intéressant voire intrigant avec une héroine bravache, Yiya, qui part à la recherche de son père adoptif, Rogo, qu'elle considère comme son fiancé, parti sur une chasse au trésor étrange et elle va découvrir un monde parallèle. Une fois revenue, elle découvre autre chose : un passage vers le futur. Mais un futur périlleux où l'humain est pourchassé. Une série qui était plutôt sympathique sur le premier tome alliée à un dessin séduisant, mais qui brasse trop de choses, avec trop d'ellipses et de non-dits pour être satisfaisante. Ca se lit, et plutôt bien, mais je suis restée sur ma faim.

On continue dans les incohérences du scénario où tous les protagonistes s’intéressent uniquement au message des extra-terrestres, très hypothétique à traduire, alors que le vaisseau devrait être l’élément le plus intéressant à récupérer. D’ailleurs, Dakota et ses amis s’emploie à saccager le plus possible le vaisseau sans aucuns remords !

Après la CIA, les européens, le Doge, les descendants des extra-terrestres, voici les Russes qui coiffent tout le monde au poteau… bref, je trouve que Pecqueur ne travaille en rien le réalisme de l’histoire, et c’est bien dommage car l’intrigue principale est intéressante.

Les personnages éprouvent toujours autant d’émotion qu’une moule et sont sans envergure.

Pecqueur tient le lecteur par des énigmes intéressantes mais qui risquent de s’essouffler si la série s’éternise…

Alan Smith est le douzième et avant-dernier album de XIII mystery, la série consacrée aux personnages secondaires de la série mythique XIII. Alan Smith part pour le Vietnam et découvre l'envers du décors de cette guerre. Daniel Pecqueur et Philippe Buchet n'ont pas hérité du personnage la plus emblématique, loin s'en faut. Du coup, l'intrigue semble vraiment tirée par les cheveux. L'ensemble est plaisant, sans plus.

Franchement, j'aime bien le dessin de Gibrat car les lignes de son trait sont d'une élégance rare. Cependant, au niveau du scénario, c'est un peu marée basse.



Il manque véritablement de la "cohérence" dans ce récit assez surréaliste. J'ai eu l'impression de lire plusieurs histoires tant le mélange de genre est différent avec des clins d'oeil à des personnages mythiques (la reine de Blanche Neige, Little Némo...). Au final, je trouve cela plutôt étrange même si la lecture n'a pas été des plus désagréables.



Je vais être indulgent dans ma notation car les dessins de Gibrat m'ont plû. Il est l'un des rares à pouvoir sublimer la femme dans toute son essence.

C'est vrai qu'on retrouve l'ambiance de Golden City et on aurait pu espérer que l'auteur puisse se renouveler un peu à l'occasion du démarrage d'une nouvelle série. Je suis assez fan de l'univers de Golden City et il est vrai que j'apprécie beaucoup de type de dessin et de colorisation. Les moyens de locomotion de cette époque future (avion, train, tracteur) sont une pure merveille.



Cependant, là où je dis stop c'est que vraiment l'auteur aurait pu faire un effort pour appeler son héros autrement que le même patronyme de Golden Cup à savoir Dakota ! A ce que je sache, ce n'est pas un prénom très ordinaire. J'ai même d'abord crû à une espèce de lien entre les deux séries. Ce qui diffère, c'est que l'un est pilote de course et l'autre d'avion. Zéro pointé pour l'originalité !



Après ce coup de hurlante, j'en remets encore une couche sur le fait que l'action est vraiment très lente. Il ne se passe pas grand chose en 48 pages mise à part une découverte qui va susciter le mystère. Même les flashbacks dans le passé du héros sont dignes d'une guimauverie sans pareille.



Et pourtant, je serai indulgent dans ma notation car je dois bien avouer avoir passé un bon moment de lecture. Après tout, c'est ce qui compte. Et puis, j'ai bien aimé la morale écologique car elle nous fait réfléchir sur les problèmes que nous devrons automatiquement affronter dans le futur comme la fonte des glaces ou la retombée de satellites radioactifs.

C’est un pendant de la série Golden City, où l’action se passe une vingtaine d’années avant.



Les dessins sont toujours aussi lumineux. En effet l’aspect graphique de Golden Cup reste donc fidèle à celui de Golden City. L’action est cependant plus diffuse car il n’y a pas un héros central charismatique. Daytona, le jeune adolescent pilote, manque de caractère dans sa grande naïveté. J’ai bien aimé malgré un a priori négatif sur la série dans la plupart des forums. C’est une aventure à suivre surtout pour son côté détente. Les bolides qui sont plutôt originaux sont assez bien dessinés.



Cependant, le second tome multiplie les personnages jusqu'à la caricature pour certains notamment le fou super riche qui dispose d'une base secrète à l'image des méchants des James Bond. C'est trop ! Le troisième tome, loin de sauver la donne, s'avère assez décevant. Le dessin reste néanmoins de qualité. Le quatrième opus ajoute un mystère notamment dans les dernières pages avec peut-être l'apparition d'un nouveau super-méchant. Cette ficelle scénaristique sera loin d'être suffisante.



"Golden Cup" reste dans le ton et l’univers de la série mère avec un graphisme tout aussi aéré et précis. De la bonne BD de divertissement sans prétention mais un peu vide. Il manque une véritable consistence et un scénario cohérent qui tient en haleine.



Le dessinateur avait signé pour 5 albums en croyant que c'était terminé. D'ailleurs dans le tome 4, il y a la fameuse phrase : suite et fin au prochain. Il n'en n'est rien et j'ai envie de dire: "il faudrait vous accorder un peu !" Bien que le dessinateur ait indiqué qu'il ne pouvait laisser la série inachevée, voilà que près de 5 ans sont passés depuis le dernier tome. Y-aura t'il une fin digne de ce nom ? On peut en douter. C'est l'une des rares séries où je regrette sincèrement mon achat.



Voilà , le dernier tome à savoir le 6 est enfin paru. Il sert juste à clore les deux sous-intrigues dont aucune ne se démarque véritablement du lot. On a senti un véritable essoufflement de la part du scénariste. Il a le mérite de vouloir donner une conclusion. En effet, la course se termine enfin. Peu d'originalité dans cette conclusion qui reste classique.



Note Dessin : 4/5 – Note Scénario : 3/5 – Note Globale : 3.5/5

[Cette critique couvre les tomes 1 à 6 de la série]

La collection dans laquelle est publiée Golden city s'appelle "Série B", et sa ligne éditoriale originelle était de renouveler la BD de genre. Pour cette série, on a affaire à un mélange SF / aventures.

Tout au long de ces 6 tomes, l'auteur joue avec les codes et archétypes que l'on s'attend à trouver dans une série d'aventures à base de conspiration, le tout dans un environnement SF chronologiquement pas trop éloigné dans le temps, ce qui permet de ne pas avoir à créer tout un univers. Le personnage principal, gentil riche homme d'affaires un peu naïf, vivant dans un environnement protégé, et qui découvre un groupe d'orphelins débrouillards, doués en technologies, plus humains que lui, et qui vivent dans une ville peu reluisante, n'est pas original. Les péripéties du héros pour prouver / retrouver son identité s'articulent autour de tomes thématiques où se sentent de nombreuses influences. Le tome "prison" par exemple, fait écho à des éléments déjà vus dans la série XIII (le chef de la prison ressemble d'ailleurs au chef des SPADS et le moyen envisagé pour éliminer le héros et le même que dans l'album "Toutes les larmes de l'enfer"). Le scénario d'ensemble à base de manipulations génétiques tient la route, et souligne un peu les questionnements éthiques liés à ces questions mais pas trop non plus. Les explications ont un peu trop tendance à se faire en mode dialogue assez longs entre les personnages, comme si l'auteur voulait asséner d'un seul coup toutes les informations pour que le lecteur comprenne bien les choses. C'est parfois un peu lourd. Les personnages sont eux avant tout définis par leur rôle dans l'histoire et finalement peu approfondis, ou alors de manière maladroite (palme pour le personnage du Chacal avec un flashback complètement impromptu pour nous raconter ses origines au moment où il meurt ). Le dessin est agréable, avec des personnages et des décors soignés, et des couleurs qui créent de bonnes ambiances. Seul point un peu agaçant : les femmes, dessinées pour la plupart comme des canons de beauté, avec des scènes prétextes pour les déshabiller un peu (pourquoi faire dépasser gratuitement le string d'une des personnages ?) ou beaucoup (la méchante est lesbienne et évidemment elle raconte une partie de son plan lorsqu'elle va prendre un bain avec sa compagne). Bref, de la BD de genre qui ne renouvelle pas grand chose, se laisse lire tout de même mais qu'il est bon de voir s'arrêter au bout de 6 tomes. Ah, tiens non, il y a d'autres tomes.

On visite avec cette série une nouvelle ville. Celle de Dieppe. Pas très loin d'anciennement chez moi mais que je connais très mal.

J'ai appris d'ailleurs plein de petites histoires et de détails de l'Histoire. Cette formule de documents et faits historiques ponctués de petits récits fonctionnent toujours pour nous donner une lecture facile et distrayante. Même si les mini histoires ne sont pas extraordinaires, elles permettent d'illustrer les faits et le contexte.

J'ai moins été touchée par Dieppe que les autres villes. Mais c'est certainement du à mon attachement moindre.

Les dessins sont hétéroclites, pas toujours aussi réussis mais tout de même de bonne qualité dans l'ensemble.

Il n'y a malheureusement pas grand chose à dire de ce tome ni de l'évolution de cette série, qui se suffit à elle même, qui joue avec les mêmes éléments qui ont fait le succès des séries issues du même univers, ainsi que la marque de l'auteur.

On peut noter cependant que la course s'efface au profit de l'intrigue sous jacente, qui concerne plus les personnages et qui autrement plus intéressante même si elle ne brille pas par son originalité. On peut tout de même souligner les efforts de l'auteur dans ses tentatives de se renouveler sans cesse. les péripéties qu'il fait vivre à ses personnages sont dignes d'une saga. En parlant de personnages, on se demande quel peut bien être la place de certains d'entre eux, tant ils paraissent simplement présents pour remplir un scénario peu convainquant. Leur rôle est mal défini ou peu clair et ils n'apportent pas grand chose au récit. On a l'impression qu'ils sont juste là pour donner le change au personnage principal, qui se contente jusque là, de conduire son bolide et d'éviter les nombreux obstacles placés sur sa route.

Mon appréciation de cette série va en déclinant et ce n'est malheureusement pas ce tome là qui va me réconcilier avec la suite, que je vais lire quand même, juste par acquis de conscience...

Contre toute attente, alors que jusque là Daniel Pecqueur nous a habitué à des cycles à priori sans fin, ce tome 6 signe la conclusion de ce qui semble être une première "saison" car un tome 7 est annoncé. L'action prime ainsi que les révélations qui terminent de faire la lumière sur toute l'histoire. On ne peut pas dire que l'auteur manque d'imagination pour donner corps à son récit. Il ne manque pas non plus de maîtrise puisque le scénario de ce tome montre à quel point il savait parfaitement où il emmenait son lectorat. Comme si tout était programmé par avance. Toujours est il qu'on ne s'ennuie pas et qu'on est même surpris lorsque vient la dernière page nous mettant face à la fin de ce cycle. j'ai presque été déçu de la manière rapide dont tout s'est terminé. Mais je ne cracherai pas dans la soupe pour autant! Car je ne supporte pas ou me lasse très vite des histoires à rallonge à unique but commercial.

Ce tome 5 est plus qu'intéressant puisqu'il remet en question la totalité du cycle en nous offrant des révélations et des informations d'une importance capitale. De longs dialogues et de longues scènes sont consacrées au passé du héros Banks, par l'intermédiaire de sa mère, qui nous permet de replonger dans sa propre vie, et ainsi de découvrir plein de choses intéressantes sur Golden City et sa conception. Ainsi d'ailleurs que du rôle de sa mère dans la conception. Ce tome en dit long également sur les motivations de celle ci et laisse supposer des conflits psychologiques que l'auteur explorera, du moins je l'espère. Car cela donnerait un peu plus de profondeur à son héros un peu trop parfait.

Sinon l'action est comme toujours au rendez vous, et Daniel Pecqueur fait encore là montre d'une grande maîtrise comme d'une grande imagination dans toutes ses séquences là.

En tous cas il s'agit là d'un tome qui renouvelle grandement l'intérêt du lectorat et qui relance la "franchise".

J'ai toujours un avis mitigé quant à l'oeuvre de Daniel Pecqueur. Il y a comme un parfum d'aventure qui reste sérieusement accroché et qui vous rend accro à ses histoires, lesquelles pourtant, n'ont rien d'exceptionnel sinon leur simplicité et la passion de l'auteur à nous les faire partager qui transpire dans chaque page. Ce qu'il fait, il le fait bien et avec coeur, et nous le transmet. Les personnages, même s'ils manquent de caractérisation, deviennent attachants à la longue. C'est effectivement après plusieurs tomes qu'on se rend compte qu'on a plus d'affinité avec l'un ou avec l'autre. On finit par s'intéresser à leurs épreuves. Dans sa simplicité, l'auteur réussit toujours à intégrer un élément qui va nous inciter à aller voir plus loin, à savoir comment ça va se terminer.

Ce tome 4 ne déroge pas à la règle puisqu'il introduit un nouveau personnage dont on ne connaît rien, et qui s'intègre bien rapidement au récit. Cela permet au lecteur de tenter un tas de supposition le concernant et laisse tout loisir à l'auteur de le faire évoluer comme bon lui semble. Ce personnage féminin, effectivement devient en quelques pages très proche du héros. On ne connaî même pas son prénom, ce qui n'a pas l'air d'inquiéter le héros plus que ça, mais elle fait déjà parti de la famille!

J'espère que ce personnage remplira les vides de ce que son anonymat peut laisser supposer...

Ce tome 4 commence comme finit le précédent. De course poursuite en course poursuite, nous suivons les péripéties de Dakota, Mysmi et de la fillette, occupés tous autant qu'ils sont à fuir quelqu'un. L'action devient un peu trop redondante et se répète sans se renouveler et pendant ce temps là, l'histoire n'avance pas du tout. C'est du moins le cas dans les deux premiers tiers de la bd car le dernier tier change complètement de registre... et d'époque. la fillette en révèle un peu plus sur son passé et nous nous retrouvons à l'âge préhistorique puis en région polaire. Le scénario prend alors une tournure totalement incertaine et nous laisse quelque peu perplexe quant à la cohérence du tout. On a du mal à croire ce qu'on lit et surtout on imagine mal comment tout cela va se rejoindre.

Ce tome 3 est une gigantesque course poursuite. Tout le monde recherche la petite fille étrange, et nous ,pauvres lecteurs, ne savont pas pourquoi. Le scénario nous délivre quelques informations éparses, au détour d'une page ou d'un dialogue. mais elles sont loin de contenter ni notre curiosité ni notre appétit car il faut bien dire que l'histoire avance à petits pas. Celle ci se laisse pourtant bien lire, en dépit du manque de profondeur certain mais je ne pense que l'objectif de l'auteur soit de nous livrer un exemple de profondeur psychologique. Après tout on sait à quoi s'attendre, l'aventure est légère, bien menée, parfaitement bien rythmée avec son lot de rebondissements ( certes légers) casés là où il faut. Il est toujours à noter cette lourdeur dans certains dialogues. Même si ce n'est pas aussi probant que dans les tomes précédents, des relents lourdingues sont encore palpables au détour d'une remarque ou deux. Ce qui en soi ne gêne pas du tout la lecture, mais peut continuer à agacer.

Je remarque sur ce tome, mais c'est le cas sur les précédents, de très chouettes couleurs. L'effort est visible également sur l'ancrage, très prononcé, qui donne au tout un aspect un peu lourd, un peu chargé.

C'est avec curiosité que j'emprunte cette bd à ma bibliothèque favorite, plus attiré par la couverture, et motivé par le changement ( je ne lis pratiquement que de la fantasy et je commnce à avoir fait le tour de la question dans les rayons de la dite bibliothèque!).

Ce premier tome nous embarque dans une espèce d'aventure qui se déroule dans un futur proche où l'eau est devenue rare donc chère. Une découverte mystérieuse et complètement fortuite va bouleversée définitivement l'ordre établi mais nous n'en savons pas plus, si ce n'est que celle ci va changer également de manière irrémédiable le destin de deux personnages, principaux.

La bd est de bonne facture, les graphismes sont plutôt plaisants, les couleurs chatoyantes, un peu trop "m'as tu vu" à mon goût, pour illustrer les paysages immaculés de blanc qu'offre l'Arctique. Le scénario est bien ficelé, pose les bases d'une intrigue d'anticipation aux accents écologiques. Les motivations de Dakota, personnage masculin principal, en attestent. Je regrette seulement une lourdeur exaspérante dans l'écriture ; l'auteur se voit obligé de nous expliquer ce qui est illustré et qu'on comprend très bien!

L'intérêt de l'histoire réside dans la nature même de la découverte, et des convoitises qu'elle suscite. Elle pose également des questions dont les réponses, on le devine assez facilement, auront à voir avec le passé de Dakota.

Ce premier tome suscite suffisamment mon intérêt pour que je lise la suite, mais je ne sais pas si je lirais les 8 tomes annoncés.

Lulha, la fillette extraterrestre aux cheveux bleu, Dakota et Mismy ont échappé aux tueurs. Mais pour combien de temps? En attendant une nouvelle attaque il recherche activement le vaisseau extraterrestre afin d'y découvrir les secrets de cette civilisation venue des étoiles. Bien sur ils ne sont pas seuls sur le coup. Les services secrets de tous les pays aimeraient également mettre la main sur ses richesses.



L'histoire est plaisante car riche en action et dynamique. Elle reste assez classique dans sa construction et manque d'un petit quelque chose supplémentaire qui la ferair passer d'une lecture sympa à une bande dessinée à découvrir. Il manque d'une accroche ou d'un enjeu un peu plus original.



Le dessin manque de fluidité. Les ombres trop marquées sont peu flatteuses

La Golden Cup quitte la Russie et gagne la Chine.

Brenda a quelques soucis avec les locaux. Il faut dire que la bombe que transporte son truck fait des envieux en Chine. Daytona lui continue de briller sur le terrain, moins dans le coeur de sa bien aimée à qui la jalousie fait perdre la tête devant toutes ses pin-up!!



Un tome encore moins crédible que les autres. On perd un peu l'âme de la course avec toutes ses minables histoires de coeur. Entre le gros Caruso et ses tentatives minables et inutiles et les crises de jalousie cul-cul de Holly ont n'est pas au bout de nos peines. Et puis decidemment les méchants trouvent tout facilement... drones de combat, hélico, filles aussi canon que douées dans les arts martiaux, robot plus vrais que nature aux baisers empoisonnés...

Dans l'univers de Golden City, voici Golden Cup. Nous suivons le parcours du jeune Daytona qui a le don et la passion des courses de voiture. Son talent ne passera pas inapperçu et peut être aura-t-il la chance un jour de participer à de grandes courses.

Parallèlement Kelly, la fille d'un milliardaire de Golden City se fait enlever afin de soutirer de l'argent à son richissime de père.

Une histoire qui démarre bien avec des personnages sympathiques. Le ton est léger, on passe un bon moment de lecture sans se fatiguer les neurones.

Les dessins sont clairs, lumineux. Ils manquent un peu de personnalité et on pourra leur reprocher les filles aux formes disproportionnées. Jambes infinies, taille XXXXS, et tour de poitrine plus que généreux le tout assorti de (très) petites tenues. Coté pin-up à fond la caisse! Ajoutez les nombreux bolides au design ultra modern et vous avez là une sacré série pour mecs...

Une BD un peu moins récente, mais que je ne connaissais pas.

J’aime beaucoup les dessins et l’histoire ça va. C’est un peu plus long à se mettre en place et j’ai trouvé certains passages un peu redondants.

On nous laisse sur un gros clifhanger. J’ai bien envie de voir la suite si je la trouve à la bibliothèque.

Reçu dans le cadre d’un calendrier de l’Avent BD

(Critique pour les tomes 1 à 7)

très bonne série néo-futuriste où le capitalisme fait loi. Cette fois-ci, l'idée de départ est la création d'un bateau-île qui resterait dans les eaux internationales au large des côtes et qui donc serait un paradis fiscal pour les plus fortunés.

Nous suivons les aventures du gérant de cette île, fils de la fondatrice, qui semble être la cible d'un complot pour que l'on prenne sa place.

Bon une fois passé les stéréotypes du milliardaire au grand cœur qui veut sauver tout le monde lui-même, on s'embarque avec plaisir dans cette série ou l'action est présente, les dialogues et l'humour aussi. L'univers néo-futuriste est agréable et le dessin net.

Un bon moment de lecture passé.