Edouard Brasey

Enieme roman ésotérique avec pour intrigue principale, un thème classique : la fin du monde.



Même si ce n'est pas un chef d'oeuvre de la littérature policiére, je reconnais que la sauce marche. On se laisse, également, prendre au jeu en suivant avec intérêt les mésaventures du héros.



Ce titre ne me laissera pas un souvenirs impérissable, mais, au final, j'ai passé un bon moment de détente.

Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec l'Encyclopédie des Héros et du Merveilleux?





"J'aime beaucoup l'auteur Edouard Brasey et son univers féérique, j'ai d'ailleurs à peu près tout ses livres et bien d'autres encore dans ce domaine."



Dites-nous en un peu plus sur son histoire...





"Cette encyclopédie rassemble un grand nombre de héros, bons ou mauvais, historiques ou imaginaires, avec ou sans pouvoir..."



Mais que s'est-il exactement passé entre vous?





"Comme je vous le disais, j'ai dans ce domaine, un grand nombre de livres. Du coup, difficile de trouver encore de la nouveauté. Je n'ai pas appris grand chose et j'avoue avoir été un peu déçu que le livre soit plus une énumération de noms avec une petite description qu'une découverte de ce qu'est le héros! Malgré tout, ce sont des points négatifs qui viennent plus de moi que du livre et nous sommes ici encore devant un travail approfondi et soigné comme c'est toujours le cas avec Edouard Brasey, et je suis sûre que les inconditionnelles apprécieront."



Et comment cela s'est-il fini?





"Ai-je fait le tour de ce genre de littérature? Je crois bien que oui. Même si c'est un univers qui m'attire toujours autant et que je ne suis pas sûre de ne pas encore craquer à l'avenir."
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Toute histoire a une fin... même celle des dieux. Le crépuscule des dieux, le Ragnärok annoncé depuis longtemps, va enfin avoir lieu.



Ce dernier tome termine la trilogie de façon sublime. A l'image des deux précédents tomes, Edouard Brasey nous transporte vers la fin inéluctable du récit. Sa plume sait toujours aussi bien restituer le mythe scandinave à la façon des scaldes, tout en nous plongeant dans un univers de magie, de combat et d'intrigues passionnées.

Cela s'annonçait très bien. Arrivée au moment où l'action allait enfin commencer pour de bon, fini, l'adrénaline redescend et je trouve les personnages trop stéréotypés. J'avais pourtant bien aimé la description de la dispute entre époux. Le problème ? Soit les actions sont trop découpées en chapitres et on a l'impression de ne jamais avancer, soit les descriptions sont très longues et même constant on fait du surplace. C'est vraiment bizarre de donner ce type d'arguments parce que dans les romans de fantasy que j'ai lu, on ne s'occupe pas assez de la psychologie des personnages, et c'était devenu un gros manque. Ici, c’est tout l'inverse. Peut-être aurait-il fallu que je pousse un peu plus la lecture mais je n'ai pas réussi.



J'attendais peut-être beaucoup trop de cette intrigue. J'ai lu sur quelques commentaires de lecteur que les cent premières pages étaient les plus lentes et qu'ensuite on prend enfin plaisir à lire le livre. Il mériterait que je m'y attarde une seconde fois, mais plus tard.
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La couverture porte sagement la mention "roman"... mais cela me semble assez inexact ! J'ai plutôt eu l'impression de retrouver les "contes et légendes de l'Odyssée" de mon enfance, avec tous les leurs défauts et toutes leurs qualités. L'auteur reprend (avec exactitude ? Mes compétences ne me permettent pas d'en juger) les récits de la mythologique nordique, en gomme les aspérités et les intègre dans un récit cohérent et linéaire autour du personnage de Brunehilde. Un bonne manière de remettre d'aplomb sa culture générale, de resituer Wagner par rapport à Tolkien... Mais la méthode a aussi un côté frustrant : on ne lit manifestement que l'ossature d'une saga. Les personnages restent assez schématiques, l'écriture très appliquée. De fait, on devine, derrière le récit, le texte originel sans doute moins facile d'accès, mais doté d'un souffle qui du coup parait manquer ici.

Avec Le traité des anges, Le traité de faërie, Le traité de vampirologie ou encore La petite encyclopédie du Merveilleux, sans oublier ses romans bien sûr, Edouard Brasey nous fait depuis bien des années déjà partager sa passion pour les littératures de l’imaginaire.

Il nous revient cette fois avec ce très beau grimoire, qui allie la richesse du contenu, à la qualité elle-même de l’ouvrage et de ses illustrations.



Vous vous en doutez, ce n’est pas un roman ou une simple histoire que nous livre aujourd’hui l’auteur, mais bien une véritable encyclopédie des loups-garous. Édouard Brasey commence donc par nous raconter la naissance du Lycaon, le premier des loups-garous né en Grèce antique. Puis il puise dans les mythologies scandinaves et germaniques, avec le dieu aux loups Odin ou les confréries guerrières, tels les terrifiants Bersekers.

Dans une seconde partie, nous découvrons quels sont les principaux symptômes de la lycanthropie, l’influence de la lune ou encore les meilleurs moyens de se transformer en loup-garou. Avis aux amateurs !



Pour lire la suite, suivez le lien : http://www.auteur-albou-tabart.com/S/MON_BLOG/Entrées/2010/10/19_Mes_lectures_%3A_Le_Grimoire_des_Loups-Garous.html





Note : 8/10
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Voilà un deuxième ouvrage découvert grâce à l'opération Masse Critique sur Babelio.

J'ai eu de même que pour le premier un grand plaisir à le découvrir malgré quelques petits choses dérangeantes.



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La malédiction de l'anneau : Les chants de la Walkyries

Edouard Brasey



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Au dos du livre :



Odin, le dieu suprême, a engendré sur terre la puissante lignée des rois du Frankenland, les seuls à pouvoir perpétuer l'étincelle divine qui sommeille au coeur des hommes. Mais Frigg, l'épouse d'Odin, frappe la reine du Frankenland de stérilité. Odin fait alors appel à Brunehilde, la Walkyrie chargée de recueillir le dernier souffle des guerriers valeureux pour les conduire au paradis du Walhalla, afin qu'elle apporte à la reine l'une des pommes d'éternelle jeunesse qui poussent dans le verger de Freya. Pour accomplir sa mission, Brunehilde doit abandonner son statut de déesse et de vierge guerrière. Devenue simple mortelle, elle chante les anciennes sagas mettant en scène les dieux et les héros, avant d'être, par amour, reine, épouse et mère. Mais la malédiction de l'anneau du Nibelung va bientôt entraîner le crépuscule des dieux...



Anneaux magiques et épées invincibles, Walkyries et dragons, géants et nains, dieux et héros animés de passions ardentes... Dans la lignée de L'Anneau du Nibelung, de Richard Wagner, et du Seigneur des anneaux, de J.R.R. Tolkien, Les Chants de la Walkyrie est le premier volume de La Malédiction de l'anneau, une saga foisonnante au souffle épique et héroïque, inspirée des anciennes mythologies et légendes nordiques.



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Ce que j'en pense :



Le titre et l'histoire m'on emballé.

Les légendes nordiques. Odin. L'anneau du Nibelung.

Autant d'histoire que j'ai étudié et qui m'on fait et me font toujours rêver.



Inspiré par Wagner l'auteur dépeint avec enchantement une histoire déjà connu mais qu'il nous fait redécouvrir.

Edouard Brasey nous conte d'une manière nouvelle, fraiche et légère le récit de ces légendes anciennes.

L'histoire interresse et passionne. Sur font de mythologies nordiques, l'auteur nous entraine dans une histoire d'amour passionné d'un dieu Odin pour les hommes qu'il a crée.

Odin dieu suprême des neufs Mondes admet avec difficulté que l'heure du Crépuscule des Dieu est bientôt arrivé. Pourtant il ne se résigne pas. Pour lui même si les Dieux sont perdu, les hommes aux seront capable d'offrir encore au monde la grandeur des Dieu jadis si puissant.

Je ne sais si il arrivera un jour à ses fins. Mais nous pourront découvrir au fil du récit la volonté extrême d'Odin à faire perdurer sa lignée.



Pour le reste, je vous laisse le lire vous même.



La force de ce récit ne se trouve pas uniquement dans son histoire mais aussi dans ses personnages.

Odin. Un Dieu puissant et pourtant pas infaillible. Il mène et parfois subit le cours de l'histoire.

Sa personnalité, ses intentions et son entêtement se devoile petit à petit. On apprend à connaître se Dieu qui aime tant les hommes et parfois sans rapproche.

Brunehilde. Walkyrie. Fille préférèe d'Odin et qui vouent encore plus que son père un amour à la condition humaine. Elle est belle, jeune et pleine de curiositée. Au service de son père elle se donne entièrement. Personnage intemporelle. Présente au début du récit, au millieu et à la fin, malgrès les années qui défilent pour les hommes.

Brunehilde la Walkyrie et scale a la voie envoutante et au chant si parfait rytme tout ce livre de par ses cinq chants.



Pour ce qui concerne les autres personnages. On retrouvera biensûr les autres Dieux et Etre splendidement merveilleux qui composent tout les récits de la mythologie nordique. Dont la Déesse Freya, épouse d'Odin. Les filles de l'eau et bien d'autre encore.

Et bien évidement des humains. Bon ou mauvais. Simples humains ou descendants des Dieux.



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Autant dire que je me procurerais bien volontier les tome suivants.

Pourtant je mettrais un gros bémol sur un point et peut être même sur un seul.

Le récit est trop, voir même beaucoup trop, répétitif.

En une seule page on peut lire deux à trois fois la même information ré-expliqué différemment ou simplement recopier.

Cela alourdis un récit pourtant léger.

Et freine gravement la lecture.

Même si l'histoire nous tiens en haleine et qu'on ne devienne pas ce qui se trouve au chapitre suivant, le fait de subir ce genre de récurrence, étouffe malheureusement, l'envie du lecteur de tourner la page.



***



Je ne l'ai pas lu d'une seule traite, et est mit beaucoup de temps pour finir se récit.

J'espère secrètement que les autres tomes ne possèderont pas se défaut de fabrication.

Pourtant je ne peux qu'apprécier ce livre et cet auteur qui sait nous narrer un récit légendaire à la manière d'un chant à la fois joyeux et triste et d'une douce mélodie qui nous porte de page en page.






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Incroyablement détaillé, ce livre ce dévore avec un incroyable plaisir. Il parle surtout des vieilles croyances mais aussi un peu de la fantasy qui remet tout ça au bout du jour. Moi, j'ai adoré. La diversité est surprenante.

Le commentaire de Cathy :

Dix personnes, 5 femmes et 5 hommes, ont répondu à une annonce alléchante sur les réseaux sociaux.

Dix jours tous frais payés au carnaval de Venise, avec pour seule condition, accepter de se glisser derrière les différents masques qui seront mis à leur disposition.

Très vite, ce qui devait être un moment magique pour chacun va tourner au cauchemar, ils vont devoir participer à un jeu de rôles, chaque épreuve va désigner une victime et son meurtrier, refuser n'est pas une option.

Ce roman se déroule de nos jours au moment où se met en place le confinement que nous avons tous connu.

Je me suis retrouvé prise par cette ambiance de huis clos que l'auteur a mise en place, il nous fait ressentir les émotions des participants qui n'ont d'autres choix que de jouer le jeu sous peine de sanctions qu'ils se doutent être encore plus effroyables.

Le rythme donné à cette histoire est plutôt bon, on découvre Venise auprès des personnages, on les imagine sous leurs déguisements de la Commedia dell'arte, d'ailleurs, je suis allé faire une recherche internet pour bien me représenter les costumes.

Le maître du jeu, le baron Corvo, est impossible à démasquer avant la toute fin, le dénouement est bien fait.

Je viens de passer un bon moment de lecture, j'ai une grande envie d'aller boire un chocolat chaud au café Florian.
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Vous prenez @Ils étaient dix d'Agatha Christie, vous le mixez avec la série TV Esprits criminels/Criminal Minds, vous ajoutez une pincée de @La Vague de Todd Strasser et une autre de @Une saison de machettes de Jean Hatzfeld, un peu @Hunger Games de Suzanne Collins ou de @Le Labyrinthe de James Dashner, un tour de robot pour accélérer le processus/dynamiser la recette et vous obtenez @Masques de James Barnaby.

La narration alternant chapitres vénitiens et "interludes" (certains explicatifs des processus de soumission ou ceux biographiques du coupable) est de ce fait dynamique et déstabilisante pour le lecteur qui n'a plus qu'à chercher les indices pour deviner le coupable...

Côté caractère, je suis plutôt Alice, du coup j'aurais même secoué le Antoine et toute la structure plus vite.

Mais si le lecteur choisit d'adhérer au postulat de départ et fait abstraction de la rapidité de l'adhésion du groupe au "jeu", le thriller est réussi !

On passe donc un "bon" moment à cette lecture qui m'a surtout donné envie de visiter Venise !

Merci à Babelio-Masse critique (mars 2022) et aux Editions du 123 de m'avoir confié cette lecture !

Dans ce roman on embarque pour le carnaval de Venise 🇮

Direction les déguisements et le festivités avec au programme un jeu permettant à chacun de jouer l’un des personnages de « la comédie Del Arte »

Un jeu macabre se dessine petit à petit, et c’est la panique. Mais les masques vont-ils tomber pour autant ?😱



Dans ce roman on retrouve une ambiance de murder party, chacun à son rôle à jouer. Heureusement pour eux ils s’agit d’un jeu. Un jeu permettant d’éliminer des participants.

J’ai beaucoup aimé le sujet abordé et le thème plus profond que l’auteur a voulu évoqué dans son livre.

Je me suis posé de nombreuses questions tout au long de cette histoire.



🎭 Pourtant une seule ne cesse de revenir en marge des autres. Que serions-nous capable de faire sous un masque ? Si personne ne nous reconnaît, pourrait-on commettre l’irréparable ?



Malgré quelques longueurs c’est un voyage culturel et émotionnel que nous offre l’auteur, une expérience inédite qui nous questionne et nous positionne entre la soumission et la domination.



Original et osé il sera apprécié des amateurs de théâtres de jeu. Simple et accessible, il n’est en rien un thriller horrifique mais attention aux apparences malgré tout !

Angelica, fille au pair chez les Murphy, riche famille londonienne, se retrouve sans travail après que son employeur ait assassiné sa famille et se soit ensuite suicidé, acculé à la ruine et au déshonneur après avoir réalisé des opérations financières douteuses chez Trade Option.

Samuel, trader chez Trade Option, a conscience qu'il exerce une profession bien peu reluisante, mais c'est ça ou la rue. Sans se douter que la fondatrice de  l'entreprise, dans le collimateur du FBI depuis des mois, n'a plus que deux options: tout perdre ou collaborer avec le FBI, bien décidé à remonter à la source: "Nous savons parfaitement que si nous faisons fermer vos agence, d'autres ouvriront aussitôt. Surtout, sauf votre respect, que vous n'êtes qu'un pion, madame Benchimol. Ou un fusible, si vous préférez. Si vous sautez, on remplacera le fusible et les fraudes continueront comme si de rien n'était. Ce qui nous intéresse, c'est de connaître l'identité de ceux qui se trouvent derrière tout ça." (Page 76).

Samuel, repéré par Zo à Tel-Aviv, accablé de remords, accepte d'aider le Lahav 433, service d'élite de la police israélienne, à identifier les milliers de victimes de Trade Option, ainsi que les procédures illégales mises en oeuvre par Nastia Benchimol pour capter des millions. L'enjeu est de taille pour le FBI qui travaille sur ce dossier depuis de nombreux mois: si Benchimol ne se met pas à table, et si Samuel ne leur révèle rien de plus qu'ils ne sachent déjà, toute l'affaire sera un échec retentissant.

Angelica, qui se retrouve sans ressources, décide d'accepter l'étrange offre d'emploi que son ami Jim a dénichée dans les offres d'emploi: un poste de nurse grassement rémunéré dans un château en Ecosse, à Aberfoyle. Le premier soir, alors que les MacGregor se sont absentés pour le week-end, Jim vient lui tenir compagnie...Et disparaît avec les deux enfants du couple. La jeune fille, aussitôt soupçonnée par la police, se pose des questions: pourquoi Jim aurait-il enlevé les deux enfants? Est-il victime ou ravisseur? Chercherait-il à la manipuler? Son seul recours: faire appel à son oncle Joseph Sleuth, agent du FBI. Bien qu'il soit engagé dans l'enquête sur Trade Option, Joseph se rend en Ecosse...



Dans ce second opus consacré à Joseph Sleuth, nous retrouvons l'agent spécial sur deux fronts: son enquête sur les réseaux de blanchiment d'argent sur Internet et la mystérieuse affaire de kidnapping impliquant sa nièce. Une intrigue complexe bien menée, à la mise en scène soignée, confère à ce roman son principal atout.

Le +: confrontation de deux univers totalement opposés: le monde rationnel de Trade Option dont le credo est de faire de l'argent à n'importe quel prix (sans faire de mauvais jeu de mot); l'univers fantasque de la famille des MacGregor qui vit comme en dehors du temps, dans lequel l'argent n'est qu'un moyen de maintenir un niveau de vie en accord avec la position sociale du laird.

A bout de nerfs, dont l'expression signifie que l'on se trouve dans un état d'énervement avancé, comme dans le film réalisé par le scénariste allemand Rolf Thiele en 1959, est un très bon thriller qui mettra vos nerfs à vif, assurément...



Pour plus d'infos, c'est ci-dessous
Lien : https://legereimaginarepereg..

étant native du Cher, ce livre ne peut être qu une belle découverte car au fil de la lecture nous voilà transporté dans le vieux Bourges, st florent et Aubigny des années 1940, par l intermédiaire de Jacques et Zoé, jeunes adultes amoureux, séparés par la ligne de demarcation de l occupation allemande.

permet de découvrir l histoire de Bascoulard, la résistance ainsi que la guestapo.

nous nous baladons dans le vieux Bourges, les marais et notre cathédrale...

j'ai aimé ce livre.

Février 2020. Alice est enthousiaste : elle a été sélectionnée pour une « expérimentation ludique » à Venise, pendant le fameux Carnaval… Elle y rejoint 9 autres candidats venus de tous horizons, dont Antoine, un informaticien passionné de jeux de rôle, tous attirés par la célèbre cité des Doges…

Résidant dans un palazzo ancien, les dix participants s’aperçoivent que leur hôte, le Baron Corvo, brille par son absence. Les consignes leur sont livrées par enregistrement : dans chaque chambre, dix déguisements pour le Carnaval qu’ils porteront pour les festivités proposées ; chaque jour, l’un d’entre eux devra « éliminer » un autre, pendant un évènement ou dans un haut lieu de la Sérénissime, et toute velléité d’échapper au jeu sera sanctionnée…

Lorsque l’une d’entre eux s’écrase Place Saint Marc le jour du fameux « Vol de l’Ange », ouverture du Carnaval, Alice, et ses compagnons de jeu comprennent que le jeu est ouvert lui aussi… Et pendant ce temps, la ville se confine…

J’ai apprécié les références au fameux « Ils étaient 10 » d’Agatha Christie, ainsi que le contexte du carnaval ; la style de l’auteur a fait que j’ai déambulé dans Venise avec les personnages, découvert en même temps les monuments et la culture vénitienne, appris des choses sur la ville, comme l’existence de l’île San Michele, ou sur certains mécanismes du comportement humain. Par contre, j’ai trouvé la structuration un peu répétitive, les rebondissements un peu convenus du fait de ce type de récit. A mon sens, aussi, le contexte sanitaire de la pandémie n’est pas utile ici, car peu exploité pour renforcer le huis-clos ; il m’a aussi manqué quelque chose sur la notion de soumission à l’autorité… En bref, un roman sympa, mais j’ai de loin préféré « Sanguines » ou « A bout de nerfs », du même auteur…

Sans intérêt, sans queue ni tête. De très grosses longueurs pour une intrigue de lu et déjà relu.

Même pas le temps de s’attacher à un seul personnage.

Lu jusqu’à la dernière page pour me dire il va bien y avoir quelque chose, non.

C’est téléphoné, je ne conseille pas.

Angelica est certainement une employée modèle, elle travaille plus qu'il ne faut, ne se plaint jamais et accepte un salaire très très bas car elle aime les enfants du couple chez qui elle travaille.

Angelica est assurément douée pour se trouver au mauvais endroit au mauvais moment. En un clin d'oeil la voilà sans emploi, sans logement et quasi suspectée de meurtre.

Pas le temps pour elle de se reposer, un ami lui suggère de postuler pour une place de nounou en Ecosse. Attirée par le salaire mirobolant, Angelica fait les démarches et est aussitôt embauchée. Trop beau pour être vrai ? Et bien, oui, of course.

J'ai bien aimé le personnage de la nounou plus que malchanceuse. J'ai bien aimé l'incursion en Ecosse avec un climat particulier et des légendes pas très rassurantes. J'ai bien aimé l'idée des arnaques financières.

L;histoire se lit facilement, c'est limite écrit sur un ton joyeux et décontracté et c'est peut-être là que le bât blesse car à aucun moment je n'ai eu peur, alors qu'un thriller, par définition, doit faire trembler le lecteur.



Si vous êtes contacté par téléphone pour faire un placement en or, refusez.

Si vous cherchez une place de nounou et qu'on vous propose un salaire digne d'un ministre, refusez.

Si vous avez l'occasion de visiter l'Ecosse, acceptez mais refusez le plat traditionnel.

Le roman est prenant du début à la fin. L’auteur nous plonge facilement et rapidement dans son univers.



Tout au long de l’histoire les personnages nous font découvrir leur quotidien.

Ce qui m’a manqué c’est le fait que l’on ne sache rien de leur passé… J’aurais vraiment voulu avoir des informations les concernant.



Dans ce deuxième roman de l’auteur, nous avons tout de même le plaisir de retrouver Joseph Sleuth, l’inspecteur du FBI. La première enquête est évoquée mais seulement pour nous donner envie de la lire si ce n’est pas déjà le cas. Elle n’apparaît qu’une seule fois et cela ne gêne en rien la compréhension de cette enquête.

Je trouve que c’est une bonne chose. Les deux livres peuvent vraiment se lire indépendamment.



Les idées sont originales, assez peu exploitées dans d’autres romans, elles sont aussi bien approfondies et à la fin il n’y a pratiquement aucune zone d’ombre si ce n’est le futur des protagonistes.

Les descriptions sont assez simples, n’alourdissent pas le texte et au contraire j’ai même parfois regretté qu’elles ne soient pas plus nombreuses.

Je pense que l’auteur aurait pu en rajouter davantage, cela n’aurait pas été gênant.



Les chapitres sont d’une bonne taille. J’ai apprécié le fait d’avoir plusieurs points de vue. L’auteur nous montre les différents aspects que ce soit du point de vue des enquêteurs, du coupable mais aussi de ceux qui n’ont rien demandé et doivent simplement subir…

James Barnaby fait en sorte de ne pas tout dévoiler aux lecteurs ce qui est une bonne chose !



La fin est dans la lignée du roman. On aurait même envie d’avoir une suite avec pourquoi pas une autre enquête mêlant une fois de plus Angelica.

Personnellement je me suis attachée aux différents protagonistes et je lirais avec plaisir un autre roman de cet auteur.

En résumé, si vous êtes fille au pair ou nounou, si vous avez des enfants, ou si vous aimez les histoires se déroulant en Ecosse alors ce roman vous plaira sûrement !
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Première rencontre avec Samuel, un jeune immigré qui travail comme trader en Israël plus pour l’argent que cela lui rapporte que par conviction. A des milliers de kilomètres de là, en Angleterre, une jeune américaine Angelica, fille au pair va perdre de façon tragique son job. Ses employeurs et leurs deux petites filles sont retrouvés morts, seule la mère a survécu à ses blessures. Heureusement, Un nouveau job se présente sous la forme d’une petite annonce proposée par son ami londonien. Il s’agit d’une place de baby Sitter en Ecosse, bien rémunérée. A partir de là, l’auteur va partir sur différentes pistes et le lecteur n’a plus qu’à s’accrocher pour tenter de comprendre de quoi il retourne. J’ai beaucoup aimé me faire surprendre par les rebondissements, par l’action aussi et enfin le monde de la finance est bien tel que je me l’imaginais, vraiment pourri. Petit à petit on accumule les indices et les supputations dans une construction parallèle de deux histoires dont on ne doute pas qu’il y aura à un moment ou un autre un point de contact. Énormément de choses à traiter, un kidnapping, des meurtres, une fraude financière de haute volée. Beaucoup de suspense pour nous faire passer un superbe moment de lecture avec le personnage de Jo, l’oncle d’Angelica rencontré dans A fleur de peau. Parce que le personnage d’Angelica, si elle ne m’a pas totalement convaincue, m’a quand même plu dans ce quelle avait de force, d’empathie et sa facilité avec les enfants était rafraîchissante. J’ai apprécié les touches d’humour que l’auteur glisse régulièrement ainsi que sa façon de nous conter, la région, la tradition, les légendes de cette localité d’Ecosse. Si un tome 3 est prévu, je ne passerai pas à côté. Bonne lecture.




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Un très bel ouvrage qui présente les objets et les trésors des légendes et des mythes. On retrouvera donc des armes très connus comme excalibur ou le marteau de Thor, des plantes magiques comme la mandragore, le houx ou la primevère, des objets liés à la religion comme l’arbre de Noël, le fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal et plus encore : le graal, la pierre philosophale ...

c’est bien présenté comme si ce monde magique existait vraiment, avec quelques clins d’œil à Harry Potter ou Tolkien. Le livre survole tous ces objets magiques et on regrette parfois de ne pas s’attarder sur certains artefacts à l’histoire dense.

Géraldine, une jeune femme marié et enceinte, hérite d'une ferme à Maurin-En-Provence inhabitée depuis 90 ans. Jean-Louis son mari arrive à la convaincre de tout quitter à Nice, logement et travail et d'ouvrir des chambres d'hôtes.

Une fois installé, Géraldine sent que quelque chose ne va pas, car les habitants sont fuyant et qu'elle n'est pas à l'aise dans la maison. Elle fini par découvrir que le 2 décembre 1928 une famille dont 2 enfants, de 10 et 3 ans et leur employé ont été assassinés.

Mais Géraldine au fur et à mesure trouve que des choses bizarres se passent et surtout, elle rêve de la famille assassinée.



Dans la note de l'auteur à la fin du roman, Edouard Brasey précise qu'il a voulu écrire ce roman car il souhaitait exorciser cette histoire qui le hantait.



De mon côté quand j'ai découvert qu'il s'agissait d'une histoire vraie j'ai voulu en savoir plus et j'ai été sur internet. Je me suis rendu compte que l'auteur avait repris dans le détail et sans rien changé à la façon dont ces personnes ont été décimées et même jusqu'aux paroles des assassins lors de leur déposition et du père de l'un d'eux. J'ai eu l'impression qu'il voulait leur rendre hommage. J'ai trouvé cette démarche très respectable et très belle.

Le seul point négatif dans son roman, je trouve que la fin a été bâclée et qu'il manque une dizaine de page.