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Citations de Eliette Abecassis (727)


Eliette Abecassis
C'est cela l'amour, une élection, lorsqu'on se choisit l'un l'autre, sans autre raison que l'amour.

Eliette Abecassis (Le palimpseste d'Archimède)
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- Cessez avec votre Démon ! Je n'y crois plus à ce Démon que vous me brandissez à chaque phrase !
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C’est ma faute, me dis-je en hoquetant, submergé par l’émotion. Je n’ai pas pu le sauver, je n’ai pas été assez prompt, j’ai failli et je n’ai pas pu réparer mon erreur. Mais c’est trop tard maintenant, il est mort !
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-D’après la lettre de Donin, leTalmud contiendrait des déclarations abusives et innommables contre le christianisme. Il serait la cause principale de l’obstination des juifs dans leur incroyance. Voici ce qu’il dit : si les juifs négligent la Bible, c’est pour mieux s’adonner à la seule étude du Talmud.
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Tam pensait que la Torah ne devait pas être un poids ni une douleur pour l’homme. Il a fait promulguer des décrets et des règles dans une volonté de changement, grâce à une force intérieure très puissante, à cause des nécessités historiques et quotidiennes, pour s’adapter à chaque époque et vivre un judaïsme de vie, respectueux des traditions, mais pas figé sur le passé, ainsi qu’il est dit : ‘Et vous vivrez par mes lois !’
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À force d’interpréter, n’avons-nous pas enfanté un livre infini, dont l’écriture ne s’arrête jamais, une pensée qui ne connaît aucune limite – quelque chose, en effet, de divin ? De divin ou de diabolique ?
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Chaque pas loin d’elle était lourd et pesant. J’avais envie de lui crier mon amour. Depuis des mois, je me retenais, parce que je ne voulais pas trahir la promesse que nous nous étions faite.
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Quelque part sur la terre, des gens étudiaient. Jour et nuit, ils discutaient, disputaient des textes de la Torah. Ils contestaient, posaient des questions, tentaient de pousser plus loin la réflexion pour comprendre intimement les mystères du monde. Mais jamais, jamais ils ne trouvaient de réponse et leur insatiable soif de connaissances était comme une recherche permanente qui se creusait à mesure qu’elle s’approfondissait. Ainsi il existait sur la terre des personnes qui vouaient leur vie à l’étude et ne faisaient que cela, sans chercher à convaincre, sans chercher à vaincre ni à combattre. Quels que soient les lieux, les époques, ils ne cesseraient jamais d’apprendre et de comprendre
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Les lois promulguées par les rabbins stipulaient qu’une académie des hautes études juives devait être créée dans la capitale de chaque pays. Chaque famille, qu’elle soit riche ou pauvre, Lévi, Cohen ou fils d’Israël, était dans l’obligation de consacrer l’un de ses enfants à l’apprentissage du Talmud. Notre maison s’appelait « Beth Hamidrash », c’est-à-dire la « Maison de recherche ». La séparation impliquait la pureté, l’étude et le célibat durant les années d’étude.
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Car l'allaitement, plus que la naissance, est peut-être la seule chose humaine qui n'ait pas changé depuis que le monde est monde, le seul fait archaïque qui nous rattache à notre passé préhistorique, à notre condition primaire, celle que nous cherchons à cacher sous l'aspect de la civilisation, celle de laquelle nous nous éloignons sans cesse chaque jour, de plus en plus vite, de plus en plus loin, dans notre volonté d'oublier que nous sommes aussi des animaux.
Voilà, me dis-je, le secret de la femme mère. C'est notre force en même temps que note faiblesse. nous sommes les mères, nous sommes les terres, nous sommes les lunes et les marées, nous sommes des femelles, nous sommes l'origine de la vie.
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"je lui enseignai les marques distinctes du visage, qui ne sont pas innées, mais se modifient selon la condition de l'homme. Car les vingt-deux-lettres de l'alphabet sont imprimées sur chaque âme, et celle-ci à son tour s'exprime sur le corps qu'elle anime. Si la condition de l'homme est bonne, les lettres sont disposées sur son visage d'une façon régulière : sinon,elles subissent une interversion qui laisse une trace visible. Je lui montrait l'homme qui marche dans la voie de la vérité, aisément reconnaissable pour le cabaliste, à la veinule horizontale qu'il porte sur les tempes".
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Le temps est venu pour moi de vous dire la vérité. Ne le voyez-vous pas ? Ne le sentez-vous pas ? Je le sais, il est là, je le sens, parmi nous, partout où les machines ont un nom, un nom qui lui ressemble. Partout où les machines entrent dans nos vies en tant que machines pour finir par prendre possession de nous et nous dominer. Ce nom, je suis sûre que vous le connaissez, je l'ai déjà prononcé devant vous, il commence par un G et un O. Comme Golem.
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Elle a accéléré le pas. Son chignon s'est un peu défait, des mèches tombaient sur ses joues, sa robe virevoltait, elle faisait des cercles autour de ses jambes fines, boucles de froid, ou de feu.
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Le Maharal caressa sa barbe et ferma les yeux, comme pour mieux se concentrer. En faisant ce geste, il semblait puiser la sagesse en lui et chaque fois qu'il effleurait son menton, il hochait la tête en se balançant légèrement, comme pour adresser une prière à Dieu afin qu'il l'aide à voir clair. Il ouvrait de temps en temps un œil devant le spectacle de ses disciples qui se querellaient et le refermait, préférant les laisser penser qu'il s'était assoupi. Et puis, tout d'un coup, il sembla sortir de sa rêverie.
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Elle s'est levée. D'un mouvement impétueux, elle a avancé dans sa direction.
Dans l'allée une odeur a happé ses sens . Rose, myrrhe et santal. Subtilité évanescente, brusque intimité. Il a hésité avant de respirer encore une fois . Il a retenu son souffle.
Elle est passée devant lui, l'effleurant du regard. Sa robe tournoyait autour de ses jambes.
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le maillot de la liberté se transformerait il en un carcan encore plus étouffant que les lourdes robes corsetées, à cause de la pression sociale, des magazines et des entreprises, dans cette civilisation dominée par l'homme qui avait en horreur le corps de la femme tout autant qu'elle l'idéalisait?
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Nous avons besoin d'une bombe. Voilà le message subliminal de notre bikini. D'une bombe anatomique qui mette le monde à genou.
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Mais si on s'intéressait plutôt au couple, le bébé s'en porterait peut-être mieux car il pourrait vivre avec son père et sa mère, et non en couple avec l'un des deux seulement.
p.192
Elle m'apprenait l'enthousiasme. Quand elle voyait quelque chose ou quelqu'un qui lui plaisait, elle tressautait de joie. Elle m"enseignait l'importance du plaisir.
p. 209
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Elle salissait tout, elle exigeait une assistance personnalisée et ne faisait rien pour soulager ses hôtes, bien au contraire .
p.83
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Mais les voyages finissent par se ressembler, il n'y a plus de terrain vierge. La terra incognita , c'était elle : notre enfant.
p.82
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