Françoise Bourdin

Sans sa mère, la vie n'aurait plus jamais la même saveur, la même couleur.

La fierté mal placée exacerbe la mauvaise foi.

Raphaëlle Giordano

Quand l'incroyable se camoufle derrière l'ordinaire et vient toquer à votre vie, il vous cueille sans que vous ayez rien vu venir. Cet inattendu ressemble à une chance. A une bouée venue d'en haut.
Raphaëlle Giordano

Sans planète préservée, pas d'humanité possible.

François d'Epenoux

Lire aère l'esprit, lire déchiffré le monde, lire rapproche les peuples et fait émerger l'enfant en chaque adulte.

Thomas Pesquet

Bières. Larmes. Rires. Marche quotidienne. Sommeil. Bières. Lecture. Ecrire. Encore des larmes, s'il en restait. Injures. Rires. Il restait toujours des bières. Ecrire. Voilà à quoi ressemblait le quotidien de l'ultime écrivain de la planète. Il ne se demandait même plus ce qu'il avait pu faire de sa vie pour se retrouver là : la réponse ne variait jamais et ne lui laissait aucun doute sur lui-même.

Lire aère l'esprit, lire déchiffre le monde, lire rapproche les peuples et fait émerger l'enfant en chaque adulte.

— Tu prononces le mot "écologie" comme une injure, fit remarquer Clémentine d'une voix pincée.
— Pas du tout ! En plus, je fais des efforts, comme tout le monde. Quand je descends dans le local à poubelles de notre immeuble, je prends garde de mettre mes sacs dans les bons containers. J'achète des produits bio et français le plus souvent possible, des tee-shirts en coton équitable, comme mon café. J'ai une voiture hybride, je laisse Lily faire son affreux compost sans rien dire, et je sensibilise mes enfants à l'avenir de notre planète. En dehors de ça, je refuse de me pourrir la vie. On met l'individu à contribution en le culpabilisant encore et encore, tout en le poussant à consommer, encore et encore. Pendant ce temps, les usines polluent, les agriculteurs répandent des produits toxiques à tout-va, les laboratoires pharmaceutiques qui nous empoisonnent ne sont jamais punis, et nos dirigeants se déplacent en voiture avec chauffeur en nous enjoignant de prendre les transports en commun ou le vélo ! C'est toujours aux petites gens d'accomplir des gestes pour sauver la Terre. Quelle injustice...

(La Binette - Françoise Bourdin)

la terre est un vaisseau spatial aux ressources limitées, à l’équipage infiniment varié…

On met l'individu à contribution en le culpabilisant encore et encore, tout en le poussant à consommer, encore et encore.
Pendant ce temps, les usines polluent, les agriculteurs répandent des produits toxiques à tout-va, les laboratoires pharmaceutiques qui nous empoisonnent ne sont jamais punis, et nos dirigeants se déplacent en voiture avec chauffeur en enjoignant de prendre les transports en commun ou le vélo !
C'est toujours aux petites gens d'accomplir des gestes pour sauver le Terre. Quelle injustice...

Certains, qui écrivent aussi, et rêvent d’être édités, sont avides de conseils, pour savoir comment créer, comment publier, chez quel éditeur envoyer leur manuscrit, etc. C’est surtout un moment où ils peuvent développer ce qu’ils apprécient dans mes livres, ce qu’ils viennent y chercher. C’est là que je peux entendre des compliments qui me vont droit au cœur. Par exemple, un lecteur qui vous dit qu’il n’a pas pu éteindre avant 4 h du matin à cause de vous, c’est un compliment royal ! Ce qui me touche encore plus c’est d’entendre une personne m’avouer qu’elle ne lisait plus et qu’elle est revenue à la lecture grâce à moi. Je me sens alors vraiment utile.

La lecture me nourrit, elle me touche, me fait vivre des émotions, allant de la peur au rire, de la tristesse au rêve. Les livres peuvent aussi avoir un pouvoir thérapeutique, en me mettant de bonne humeur, et cela m’installe dans les meilleures dispositions pour écrire.

Être entourée de livres, c’est une manière de ne pas quitter le cadre rassurant de l’enfance, le monde dans lequel je me suis construite.

Nous sommes devenus des amis, non ?
Eh bien, c’est simple, les amis se voient chaque fois qu’ils en ont envie !

Je sais désormais qu’une occasion perdue l’est à jamais.

Profiter de la vie tant qu'elle se montrait
clémente était essentiel. p 187

Stéphane n'avait rien dit en présence du médecin, conservant un demi-sourire crispé et l'air sage. Ce n'est qu'une fois installé dans le coupé de Barth qu'il laissa éclater sa fureur.
-Je vais vous faire un procès, vous dénoncer aux flics...
-Tu devrais aussi écrire un bouquin, ça rapporte "Deux semaines d'enfer chez les fous, Interné malgré lui" Le rire de Barth avait quelque chose de glaçant.

Il prit conscience des bruits de la savane au loin, cris d'oiseaux ou d'animaux, tout un monde sauvage qui vivait la nuit.

Que des espèces disparaissent chaque jour est une catastrophe qui menace l'équilibre même de la Terre. L'humain est destructeur, pas les animaux.

«  Il ne voulut plus y penser. S’il commençait à pleurer sur son passé et sur toutes les années perdues , il ne ferait que se détruire . Or il avait encore un peu de temps devant lui, il n’était pas un vieillard , il ne devait pas se laisser aller au désespoir ni même à l’aigreur . »