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Critiques de Gérard Mordillat (422)
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La tour abolie

Aïe ! première déception ! ! !

Certainement le moins bon de tous les Mordillat ! Mince, mince...
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Notre part des ténèbres

C'est avec cette histoire que j'ai découvert Gérard Mordillat. Une bénédiction ! ;)

C'est jubilatoire, je riais de plaisir toute seule au grand étonnement de mon amoureux pour qui la lecture est une chose très sérieuse (essais & philo etc.).

Ce roman venge tous & toutes les laissé[E]s sur le bord du chemin par une organisation sociale dont le seul objectif est le profit. Ce bouquin devrait être distribué à chacun[E] qui se pointe pour la première fois chez Pôle E. ! Cela leur permettrait de déverrouiller leur imagination ...j'suis sûre que les grands patrons deviendraient presque ... humains ?

Ceci dit, ne pensez pas que les personnages se partagent entre les bons et les méchants : bien plus subtil, le Mordillat ! !
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Xenia

Comme d'habitude avec les romans sociaux, je n'ai pas accroché. Travaillant dans le secteur, j'ai trouvé plein de clichés et de stéréotypes habituels et ennuyants, pour ne pas dire grossiers. Je n'ai développé aucun attachement pour aucun personnage. Leur manque de crédibilité n'y arrangeant rien...
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La tour abolie

Ni plus ni moins que le livre "La tout de verre" de Robert Silverberg
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La tour abolie

Un beau roman d’anticipation à caractère social qui mériterait bien une adaptation cinématographique. Rivalité en étages et misère en sous-sol.
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Leurs contes de Perrault

11 auteurs ont revisité ces contes de notre enfance. Le plaisir que j'ai pris à cette lecture fut fort variable: il y en a pour tous les goûts! La plupart sont trop éloignés de l'original: il faut parfois se creuser la tête pour trouver le lien.

Et mon vainqueur fut... celui qui a le mieux respecté Perrault: "Cendrillon ou le petit gant de soie": de Nathalie Azoulai: drôle et moderne.

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Le Suaire : Lirey, 1357

Alors authentique relique ou subtil artefact ? La question apparaît finalement secondaire puisque ce qui importe semble devoir être la ferveur qui y est attachée…
Lien : https://www.bdgest.com/chron..
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Le Suaire : Lirey, 1357

Ce premier tome est une très belle lecture qui nous donne envie de connaitre la suite. Un album que je ne peux que vous recommander.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Le Suaire : Lirey, 1357

Au final, les 80 pages de « Le Suaire » s’avèrent dantesques dans leur esprit comme dans leur forme, s’accordant parfaitement avec le style graphique méticuleux d’Éric Liberge, expert s’il en est des corps et de la morbidité.
Lien : http://bdzoom.com/124251/lar..
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La tour abolie

Un nouveau livre de Mordillat c’est toujours un beau moment à venir, à lire même. L’accroche de la quatrième de couverture nous promet un beau moment de bravoure : »Quand les pauvres n’auront plus rien à manger, ils mangeront les riches. »

La tour Magister, 38 étages d’acier et de verre dans le quartier de La Défense, une compagnie d’assurances transnationale menée par ceux la même qui ignorent tout de la vie des autres et surtout de ceux qui vivent dans les sous sols car il y a de la place pour y vivre quand on n’a rien d’autre.

Une cinquantaine de personnages vont se croiser dans ce roman foisonnant, toute la hiérarchie de la société, depuis les cadres sup-sup, ceux qui décident et qui gèrent les profits, jusqu’aux employés de la cafét dont on voudrait bien aussi se séparer pour la transformer en salle de gym et puis les squatteurs des bas fonds même si certains travaillent plus haut mais ont du mal à joindre les deux bouts.

Ca commence bien…….et puis ça mollit assez vite…..chapitres courts ou ultra courts qui nous font passer sans cesse d’un personnage à l’autre sans vraiment donner de corps ni de matière à l‘histoire. Nous sommes un peu baladés par les pensées et les vies des uns et des autres sans vraiment s’y intéresser surtout avec les paumés des sous sols qui emploient un langage trash caricatural et pénible. Alors on se lasse et on se prend à tourner les pages sans vraiment les lire, en tentant vainement de connaitre la fin qui va décevoir aussi.

Le livre de Mordillat se veut contemporain mais ne fait qu’esquisser un monde en guerre sans vraiment prendre le soin de peaufiner à la fois un style et un vrai récit. C’est dommage mais on pardonne.

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Ce que savait Jennie

J'aime beaucoup Gérard Mordillat dont l'écriture directe et imagée et l'esprit engagé me permettent de me plonger avec beaucoup de plaisir dans ses histoires. Ce livre là, cependant, m'a laissée plus sceptique que ceux que j'ai pu lire auparavant.



Jennie a treize ans au commencement de l'histoire, vingt-trois à la fin. C'est à ses seize ans qu'aura lieu l'événement qui bouleversera sa vie. Véritable petite maman pour ses frère et sœurs, Jennie s'occupe d'eux et les aime. Or, ils se retrouvent séparés par les services sociaux. Jennie se promet qu'un jour, ils se trouveront réunis à nouveau et qu'elle réalisera le rêve de sa mère en emmenant la fratrie au bord de la mer.



Comme ses autres livres, l'écriture de Gérard Mordillat a su immédiatement me faire entrer dans l'histoire. On ressent avec force les espoirs et désillusions de Jennie ainsi que son sentiment d'injustice. L'écriture suit parfaitement les rebondissements de l'histoire et le sentiments des personnages. C'est une écriture puissante et fluide à la fois, capable de décrire aussi bien les scènes vulgaires ou les scènes violentes que celles emplis de tristesse ou de tendresse. C'est une écriture qui m'emporte facilement.



Cependant, l'histoire m'a un peu moins convaincue. Si j'ai lu les deux premiers tiers du roman avec plaisir, la suite m'a laissée un sceptique. Il faut bien avouer que cette pauvre Jennie n'a vraiment pas de chance et tant de drames finissent par nuire à la crédibilité de l'histoire. Je comprend l'intention de l'auteur d'avoir voulu, dans ce roman, donner la parole aux plus démunis et dénoncer l'injustice de certaines situations, notamment celle de la séparation de certaines fratries par les services sociaux. Mais...il en a sans doute fait un peu trop.



Je garde cependant un bon souvenir de cette lecture et je sais qu'elle ne sera pas la dernière que je ferai de cet auteur!
Lien : http://tantquilyauradeslivre..
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Comment calmer M. Bracke

petit livre réjouissant., plein de trouvailles. Forme récréative au service d'un fond intelligent : Bravo G.Mordillat.

Dans un univers kafkaïen, un individu (M.Bracke) se fait larguer par la société, sans raison suffisante... Univers absurde, comique.

Ecriture : des phrases nominales, des listes, des" 1/, 2/, 3/, ...", "fait brut I, fait brut II, fait brut III, ..." . Le narrateur, archiviste de profession, tente de mettre de l'ordre, poser des étiquettes, des hypothèses etc. sur une réalité irrationnelle.
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Rue des rigoles

Le jour du décès de sa mère, un état , anéanti par la douleur qui déferle en lui, sa vie lui revient.



De son enfance à l’ adolescence, du temps des copains, des bêtises, des cancres, de la découverte de la sexualité….



Tant de moments, des coups de reins et des coups de la vie….



Tout en légèreté, au plus profond , au plus drôle, dans un Paris à travers les époques et aux rythmes des films, des



musiques et du temps qui passe, une histoire, une famille….



Extrait :



» Je ne me savais pas capable d’autant pleurer. Mon père m’avait tellement répété qu’un homme » ça ne pleure pas » que, petit, ça ne m’arrivait pas. Pas même au cinéma. Pourtant, rien ne m’émeut plus que les larmes des autres. Les larmes sans destination de ces hommes ou ces femmes qui, parfois, sanglotent dans le métro ou à la terrasse d’un café sans que quiconque puisse deviner l’objet de leur tristesse, ni tendre la main à leur malheur.

J’ ai pleuré jusqu’à plus soif «
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Jésus après Jésus. L'origine du christianisme

Orienté vers les prémices du christianisme et comment lire les textes des apôtres. Une grande partie du livre est consacrée à Paul et à la scission entre juifs, juifs chrétiens et chrétiens.
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Jésus sans Jésus

Un livre à lire mais parmi d'autres. Certains conclusions sont un peu rapides, certains postulats légèrement flous ... . Un point de vue intéressant mais à lire parmi d'autres références sur le sujet. A prendre comme une introduction uniquement.
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Xenia

Ils sont rares, les romanciers qui saisissent l'époque à bras-le-corps. Gérard Mordillat est, en France, l'un des derniers à s'inscrire sans rougir dans la tradition de ceux pour qui la littérature est un moyen de dire le monde, de tenter de le changer.
Lien : http://rss.feedsportal.com/c..
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Le miroir voilé et autres écrits sur l'image

Ce livre qui n’est pas un essai au sens strict rassemble des textes, explications, poèmes, qui interrogent des œuvres différentes, du cinéma à la poésie, de la photographie à la peinture.
Lien : http://www.lalibre.be/cultur..
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Rue des rigoles

Gérard Mordillat raconte son enfance et une partie de sa vie adulte. Il utilise un style court, plein de jeux de mots, le genre qui fait atterrir aux Papous dans la tête. :-) Lecture agréable.
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Douce banlieue (1CD audio)

à lire et à écouter très vite
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Ce que savait Jennie

Si Mordillat n'évite pas toujours les analyses économico-politiques à l'emporte-pièce et quelques coups de théâtre excessifs, son roman est possédé d'une bienfaisante rage.
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
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