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Critiques de Hugo Pratt (573)
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Corto Maltese, tome 7 : Fables de Venise

Avez-vous déjà lu un rêve ?



Alors plongez-vous vite dans cette fable aux échos initiatiques...



Bon voyage !!

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Wheeling : Le Sentier des amitiés perdues

Sauf respect à l'immense Hugo Pratt, les aventures de Criss Kenton, devenu chasseur d'Indiens durant les guerres entre Européens et tribus amérindiennes dans les années entourant la guerre d'indépendance des Etats-Unis, m'ont laissé sur ma faim. Les embuscades, les guet-apens, les filatures et autres vendettas se succèdent avec une régularité qui confine à la monotonie. On parcourt malgré tout ces contrées sauvages avec le plaisir que peut procurer le dessin, et surtout les magnifiques aquarelles, de cet album de 260 pages. Nul doute que le format de départ, une suite de feuilletons, explique le caractère peu abouti du scénario. L'auteur s'est passionné pour ces histoires du Nouveau Monde mais la magie qui opère en Ethiopie, à Venise ou dans les mers du Sud, fait long feu sur les rives de l'Ohio.
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Corto Maltese, tome 6 : Corto Maltese en Si..

Corto Maltese en Sibérie... Tout est dit dans le titre : aventures, combats, machines folles, généraux fous, sociétés secrètes, trésor de guerre, romance... Le sixième volume du marin maltais est un des plus fous au sens de péripéties et de retournements dans le scénario.



Hugo Pratt fait de notre marin un héros de western dans les neiges de la Russie éternelle au croisement de la Chine et de la Mongolie dans cette période d'avènement du bolchévisme. C'est intense, on ne s'ennuie pas (qui s'ennuie d'ailleurs à la lecture d'un Corto Maltese ?).



Une figure assez incroyable, chevaleresque (et assez folle) est le baron Roman von Ungern-Sternberg : Russe blanc, descendant des chevaliers teutoniques selon la belle Duchesse Seminova, ce général veut renverser les Bolchéviques et surtout créer son empire en Asie centrale. Le lecteur se dira qu'Hugo Pratt a encore trouvé un personnage génial, sauf qu'il a réellement existé !



Les femmes sont aussi très présentes et pilotent encore ces hommes qui se courent après les uns les autres comme la Duchesse Seminova et Changhaï Li. On découvre encore un Corto fleur bleue pour cette "Lanterne rouge" qui aurait pu incarner la conclusion romantique de notre marin (n'en dévoilons pas plus).



L'oeuvre de Pratt fait de cette époque une (énième) ode à la liberté mais dans un monde où les frontières n'avaient finalement pas de signification. Les protagonistes passent d'un pays à un autre avec une telle facilité qu'on regrette ce monde perdu. Un monde qui ne ressemble en rien à celui que nous connaissons, si cadenassé derrière les frontières matérielles et technologiques qui contrôlent les mouvements des individus. Bien évidemment, Hugo Pratt ne connaîtra pas ce monde post-11 Septembre... (hormis dans la suite imaginée dans Océan noir par Bastien Vivès et Martin Quenehen).



Une note enfin d'humour surgit avec l'apparition de Raspoutine qui fait réagir Corto de manière très amusante. Le duo légendaire se recompose pour ces aventures enneigées qui annoncent aussi La Maison dorée de Samarkand.
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Corto Maltese, tome 11 : Les helvétiques

QUEL AVENIR POUR CE LIVRE ?



Pour la énième fois je me replonge dans cette histoire. Idéal avant une bonne nuit de sommeil car il est essentiellement question d'un rêve enchanté. Point de vu dessin, le trait est un peu moins précis que d'habitude, les formes plus brutes, mais l'esprit est là. Un formidable album envoutant et ésotérique comme Hugo Pratt sait en faire.

Mais alors ? Où est le problème ?

Quand on revoit ces dessins, à la "lumière" de notre époque on se demande si ce livre ne finira pas par être banni, interdit. Mais qu'est-ce qui cloche ? (à la fin me direz-vous ?)

Mais Erica voyons ! Une gamine de 15 ans qui en pince pour le très viril Corto. Qui court sans sa chambre essayer la robe séduisante que le beau marin lui a offert. Les vêtements volent, dévoilant au passage sa petite poitrine naissante, avant d'enfiler le vêtement seyant à son jeune corps qui devient alors érotisé. Elle en tire la langue d'excitation ! Pour marquer encore plus le décalage entre son corps immature et le vêtement de femme, Erica revient vers Corto, le décolleté baillant sur ses petits nénés pas encore bien formés !

Comment ça je délire ? Mais vérifiez par vous même ! Et ce n'est pas tout ! Le pire est sans doute à venir. Par la suite, Corto croit revoir Erica à plusieurs reprises dans son rêve. Elle apparait la tête à l'envers en Dame Kundry puis, pire du pire l'aventurier pense la reconnaitre dans une sorte de gravure. Accroupie. Fixant les fesses du démon, le nez à quelques centimètre du , comment dire ? du... bon, vous aurez compris. Pour enfoncer le clou, Hugo Pratt fait dire au démon : " Vous allez finir par me l'user ! Ca suffit les filles !...

Bon j'arrête-là...

Alors comment faire à présent ? Continuer comme si de rien n' était ? J'entends déjà les cris : Déviant ! Sexiste ! Machiste ! Malade mental ! Gros dégueulasse !

Ou alors crier au loup avec les "wokistes" et les féministes enragées ? Que c'est pas bien que c'est mal, qu'on ne doit pas dessiner les enfants comme ça et ne surtout pas leur prêter des sentiments ambigües avec les adultes et patati et patata.



Bon alors ? Comment on fait ? Là ?

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Corto Maltese, tome 12 : Mu la cité perdue

Un voyage onirique qui commence sous la mer, par un dialogue entre Corto Maltese en scaphandre... et un bas-relief (attention à l’accident de plongée).

La navigation se poursuit à la recherche de la cité perdue de Mû, en explorant le thème du labyrinthe. On y rencontre de multiples civilisations disparues, des Mayas aux Aztèques, des penseurs grecs antiques aux Templiers, en passant par la navigation d’un saint irlandais, dans un mélange foutraque et nostalgique.

La mer et Hugo Pratt, une grande histoire de talent et d’amour.

Challenge Bande dessinée 2022

LC thématique de septembre 2022 : "État des lieux"
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Enlevé !

Il s'agit d'une réédition en 2014 du classique de R.L. Stevenson mis en planches par Hugo Pratt sur une scénarisation de Mino Milani en 1967... 1967... on pourrait craindre le pire. Et c'est le meilleur qui débarque sous nos yeux émerveillés.



Ne connaissant pas le roman de R.L. Stevenson, je ne peux que conjecturer sur la qualité de l'adaptation. On note par ailleurs que l'original a été recolorisé par Patrizia Zanotti pour l'Ecole des Loisirs, éditeur efficace, fort bien inspiré sur ce coup-ci. Ne connaissant pas l'original, je ne peux pas non plus me prononcer sur les différences entre l'original et cette édition. Mais la préface de Patrizia Zanotti montre un profond respect et une indéfectible admiration pour la technique d'Hugo Pratt.



Le produit final est un récit haletant, mené tambour battant, faisant la part belle à l'amitié et à l'entraide sur fond d'opposition entre les Anglais et les Ecossais. Une page trouble de l'Histoire d'Angleterre qui ne pouvait que séduire Pratt et Milani.



On suit les aventures (les déboires...) du jeune Balfour, héritier d'un vaste domaine mais dont l'oncle s'arrange pour le faire enlever par le capitaine du Convenant, un bateau faisant du trafic au large des côtes écossaises. Il fait la rencontre d'un patriote écossais, recherché par les Anglais car il les combat, pour l'indépendance. S'ensuivent de nombreuses aventures palpitantes, telles qu'on les trouve dans les romans de Stevenson, un orfèvre en la matière. La lande et les côtes écossaises ne pouvaient que séduire Pratt. Le rebelle Alan Breck Stuart possède les traits de Corto Maltese, la boucle d'oreille en moins.



C'est virevoltant, on tourne les pages à un rythme soutenu. Les textes savent se montrer discrets pour faire mieux ressortir l'action et la patte de Pratt (dur à dire, ça, patte de Pratt...). De la bien belle ouvrage.
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Cuisiner à bord avec Corto

Un livre de recettes qui rappelle les voyages de mon marin préféré à travers les mers du globe, avec une poétique introduction de Michel Pierre et d'Antonio Mazzitelli (à qui l'on doit les alléchantes bouteilles proposées pour accompagner les plats) pour accompagner les toujours splendides aquarelles du maître Hugo Pratt.



De beaux voyages culinaires à venir pour cette année !
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Corto Maltese, tome 5 : Les Ethiopiques

Jusqu'à maintenant, je n'avais jamais réussi à lire entièrement une BD de Corto Maltese, tout en ayant le sentiment de passer à côté de quelque chose, restant très attirée par ce personnage et les nombreuses louanges au sujet d'Hugo Pratt. Cette fois-ci, je me suis plongée dans Les Ethiopiques, et c'est vrai que j'ai encore une fois eu du mal à vraiment m'intéresser à l'histoire. En revanche, j'ai beaucoup aimé le graphisme et certains dialogues... cela me donne envie de retenter l'expérience avec un autre album.
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Corto Maltese, tome 4 : Les Celtiques

Comme dans Mû, le mystique se lie ici au réel pour emmener ce cher Corto sur les chemins de l'histoire. Mais à la différence de l'opus plus tardif, l'irréel se lie ici au tragique pour raconter des histoires qui nous emmènent dans le côté noir de l'histoire du XXème siècle. Corto le traversera, toujours avec la même nonchalance, laissant un peu de lui et remportant aussi bien plus en retour en monnaie de poésie. Pratt est magique, lisons-le.
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J'avais un rendez-vous

Difficile de ne pas tomber sous le charme des voyages d'Hugo Pratt dans le Pacifique si l'on est déjà amoureuse de son beau marin et de ses aventures...



Deuxième très belle réussite des éditions du Tripode après Voyages avec Rimbaud, Kippling, Baffo, J'avais un rendez-vous nous dévoile objets précieux, cartes marines, historiettes et légendes rapportées par Hugo Pratt, et bien sûr de nombreuses aquarelles toujours aussi splendides et évocatrices de lointaines contrées.



Fans de Corto, foncez les yeux fermés !
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Les scorpions du désert - Intégrale

C'est intéressant de suivre un épisode de la Seconde Guerre Mondiale dans le désert éthiopien entre les forces navales allemandes qui longent les côtes, les garnisons françaises de Djibouti restées sous le régime de Pétain, les italiens maîtres de l'Ethiopie et enfin les anglais qui tentent de reprendre le contrôle de la région. La Mer Rouge n'est pas loin avec le Canal de Suez, véritable point stratégique.



Nous suivons là la mission de soldats de l'armée britannique qu'on surnomme les scorpions du désert. Le héros, le lieutenant Koinsky, d'origine juive polonaise ou devrais-je dire plutôt l'anti-héros est un homme dur, cruel et cynique qui n'attire pas beaucoup la sympathie. Il n'hésite pas à tuer pour ne laisser aucun survivant privilégiant la réussite de sa mission... Quant à l'amour, ce n'est que du survol.



Graphiquement, les planches en noir et blanc sont réellement magnifiques. Du grand Pratt, assurément au meilleur de sa forme ! Cette lecture est chaudement réservée aux fans d'histoire de guerre et accessoirement d'aventures. Attention toutefois à ne pas vous laisser piquer par ces scorpions !
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Un été indien

Une journée d’été indien se produit généralement durant l’automne où le temps se radoucit considérablement avec un bel ensoleillement. Une saison qui n'existe que dans le Nord de l'Amérique. La nature nous émerveille de ses couleurs rougeâtres à l'image de ses feuilles d'érables.



L’origine de l’expression se situe dans les raids que menaient les indiens contre les premiers colons européen dans les états de New-York, de la Nouvelle-Angleterre et de la Pennsylvanie à la fin du XVIIIème siècle. C’est justement le titre de cette œuvre qui trouve tout son sens dans la période traitée.



L’œuvre est d’ailleurs signé par deux des plus grands auteurs italiens à savoir Hugo Pratt et Milo Manara. Bien entendu, c’est empreint d’un certain érotisme pourtant absent des oeuvres de Pratt. Bref, c’est beaucoup plus adulte ce qui n’est pas pour me déplaire.



En effet, nous avons droit à un récit sensuel et violent dans un climat de tension entre les indiens et les premiers colons qui menaient jusqu’alors une coexistence pacifique. Il aura fallu que deux jeunes gens commettent l’irréparable sur une belle jeune fille qui visiblement aurait apprécié. C’est parfois à la limite du malsain. On voit également où peut conduire le fanatisme religieux. Les siècles passent et la problématique reste la même…



Le dessin est toujours aussi magnifique avec des planches qui nous feront frissonner. Une lecture toujours aussi agréable avec un épilogue assez bavard en contraste avec l’ensemble. C’est plutôt différent de ce qu’on a l’habitude de lire car ce duo d’auteurs a réussi quelque chose d’originale et de particulier. Il reste comme une atmosphère d'été indien.
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Corto Maltese, tome 11 : Les helvétiques

Le marin maltais, reclus sur les rives du lac Léman, accompagne son ami Steiner dans le Tessin pour y rencontrer l'écrivain allemand Herman Hesse. Arrivé à Montagnola, Corto est accueilli par un jeune garçon à l'âge incertain, dont le nom provient à la fois d'une nouvelle de Hesse et du cycle arthurien, Klingsor. Mais, en fait de Suisse, Corto Maltese voyage surtout au pays des rêves et des légendes, car le pays des Helvètes se révèle être un carrefour entre mythes celtiques et germaniques : d'un côté Arthur et Galaad ; de l'autre, les Nibelungen.



Dans cette quête fantasque sinon farfelue, le pirate maltais croise la mort, des fées qui vivent la tête en bas, un bouc luciférien, un gorille aux airs de King Kong, un chevalier châtré et même ... son plus vieil ami et ennemi, Raspoutine. Et, pour avoir bu l'eau à la fontaine de jouvence dans un calice qui est le Graal, Corto est même jugé par un tribunal de personnages historiques, fous et parfois maléfiques. La peine encourue est de rester prisonnier du rêve : mais le monde onirique échoue dans sa tâche, et Corto peut retrouver Steiner.



Oubliées les grandes pages de l'histoire comme décors, adieu les pérégrinations d'un marin solitaire dans les tourments de son époque. Les Helvétiques évoquent davantage Pratt que Corto, dont on apprend si peu. L'Histoire n'est jamais loin évidemment, et elle se fait ici littéraire et intellectuelle. Corto croit avoir affaire à un pays sans légendes ni imagination. Hugo Pratt le détrompe. Pour ce faire, il convoque, pour leur rendre hommage, de grandes figures intellectuelles qui l'ont aidé dans sa construction en tant qu'auteur : Hesse, von Eschenbach, Paracelse ... Pour autant, l'auteur ne se départit pas de son humour, qui se ressent particulièrement dans l'attitude de Corto Maltese (ainsi lorsqu'il passe sur l'épée, servant de pont, pour aller au château) ou dans les situations qu'il rencontre (le Graal enchaîné pour ne pas être volé). Onirique, Les Helvétiques est, par essence, un album tendre et intellectuellement (assez) exigeant. En cela il est réellement représentatif de la série.

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Corto Maltese, tome 4 : Les Celtiques

Dans ce roman graphique, peut-être mon préféré de la série des Corto Maltese, Hugo Pratt montre que le réenchantement du monde est toujours possible. L'errance et l'aventure, les mythes du passé qui resurgissent à tout instant à la surface de la réalité moderne, l'élégance du hasard… Avec Corto Maltese, Hugo Pratt invente un héros romantique total en plein XXe siècle.
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Corto Maltese, tome 5 : Les Ethiopiques

Voilà maintenant Corto en Afrique , en 1918 .Les 4 aventures se déroulent au Yémen, dans la péninsule arabique , en Somalie et Ethiopie, et au Kenya. L’un des éléments essentiels est le personnage de Cush le guerrier afar de la tribu des Beni-Amer avec son intransigeance à géométrie variable il forme un duo remarquable avec Corto et ses fausses citations coraniques . A noter la présence de la magie avec Shamaël et les hommes léopards. Sans oublier le souvenir de Rimbaud , de Lawrence, et de Pratt lui-même qui vécut en ces lieux. Dessins somptueux.
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Corto Maltese : Suite Caraïbéenne

Tout commence sur les rivages du Guyana, dans la pension Java à PARAMARIBO. Les noms qui vont suivre évoquent la magie de Corto, des lieux qu'il traverse avec ses amis toujours un peu pirates, magiciens ou aventuriers. Après que sa goélette fut incendiée, il croise le professeur Jeremiah, "Bouche dorée", le fils BANTAM, sa soeur Morgana et puis poursuit après avoir dépassé Itapoha en voguant sur le Sao Francisco où il s'entend avec le célèbre "Tir Fixe".

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Dans un ciel lointain

Deux courte histoires d'amitié, d'amour, de guerre et d'Italie ; la lecture fut très plaisante pour moi, plus romantique et moins macabre que d'autres courtes bandes dessinées d'Hugo Pratt.
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Corto Maltese, tome 11 : Les helvétiques

On retrouve Corto en Cie du professeur Steiner, Hesse, Erica et sa robe rose de Thuringe et Klingsor! échappé de l'imagination d'Hugo Pratt. En Suisse, petit pays aux 4 langues officielles, aux 26 cantons. La nouvelle d'Hermann Hesse, revisitée, comme on traverse un jardin, un champ de tournesols. Bel hommage (viril) d'un gentilhomme de fortune à un autre.



Et cette phrase en préface de l'ouvrage: '' Il y a des roses, de la lavande, du romarin, de la menthe et des gouttes de rosée sur la tombe d'Hugo Pratt à Grandvaux. '' La Suisse n'est pas plate. Tous pour un, un pour tous.

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Fort Wheeling

'' Finalement, les meilleures réponses ne sont-elles pas celles que l'on reçoit sans poser de questions? '' Le sentier des amitiés perdues commence par une série de planches: aquarelles magnifiques. Peintures dessinées: on comprendra qu'il serait inapproprié de les abréger. Hugo Pratt échappe aux modes passagères: aventures intemporelles? Evidentemente. Comme un parfum.
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Corto Maltese, tome 7 : Fables de Venise

Corto Maltese part à la recherche d'une émeraude légendaire à travers l'énigmatique Venise. Mais il n'est pas le seul à convoiter ce fabuleux bijou et il croise de dangereux et mystérieux personnages. Une histoire envoutante de Hugo Pratt.
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