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Critiques de Jirô Taniguchi (2170)
Les enquêtes du limier, Tome 1 : Chien d'aveu..

* Cette critique concerne les deux volumes de la série *



Taku Ryûmon est un détective solitaire qui vit dans la montagne avec son fidèle chien-loup qu’il a recueilli et dressé. Amateur de chiens de chasse, il est également détective privé; sa spécialité, retrouver les chiens de race qui ont disparus. Dans son domaine, c’est le meilleur ! Un jour, une femme prend contacte pour une enquête très délicate : le chien-guide de sa petite fille aveugle a été subtilisé…



Ce résumé concerne le premier tome, mais il suffirait presque de remplacer le chien-guide disparu par un cheval pour avoir l’intrigue de base du second. Car Taniguchi développe en seulement deux volumes une structure sérielle efficace, qui permet de comprendre que chaque tome se focalise sur une enquête particulière pour notre héros. Et puisque l’on aborde le personnage principal, autant le dire tout de suite, il est une des principales qualités du récit.



Ryûmon vit en ermite dans sa grande propriété au milieu des bois avec son chien-loup, et la relation qui se noue entre les deux est un des éléments qui nous le rend d’emblée attachant. Cependant, j’ai un point important à noter me concernant. En tant qu’amoureux des animaux, je suis totalement opposé à la chasse. Or, notre héros est au contraire un excellent chasseur, et on a droit à plusieurs battues durant le récit. Mais je pense personnellement qu’il est possible d’éprouver de l’empathie pour un personnage dont la vision des choses n’est pas en accord avec la notre, et j’arrive donc à passer outre. Il est d’ailleurs à noter que ce point ne doit pas être ambigü pour Taniguchi qui était lui-même chasseur, et néanmoins proche de la nature. Je pense juste que nos visions des choses sont assez différentes.



En dehors de ce personnage principal et de son animal qui se sont tout de suite attiré ma sympathie, ces deux volumes partaient déjà avec un gros avantage me concernant, puisqu’ils mettent la question des animaux et de notre rapport à eux au centre de l’histoire. Et si je traite les deux tomes conjointement, c’est tout simplement du fait de cette unité thématique (et stylistique, bien évidemment, puisque l’écriture et le visuel sont typiques du travail de Taniguchi). En effet, je trouve ces deux histoires absolument passionnantes car elles sont le fruit d’un travail parfaitement documenté et dont l’écriture retranscrit très bien les enjeux. Ainsi, le premier tome explique avec une grande clarté l’importance des chiens d’aveugles pour les personnes atteintes de ce type de handicap, tout comme le rapport particulier qui les lient à leur animal. De plus, il est question de la façon dont ces chiens sont éduqués afin de répondre à leur mission.



Le second volume quand à lui, étant centré sur la disparition d’un pur sang (un cheval donc), traite davantage de la question de l’élevage des chevaux, de la pureté des races et du rapport des soigneurs à ces animaux également. De ce fait, dans les deux cas nous nous retrouvons face à des rapports très particuliers aux animaux, que je qualifierai d’utilitaristes (en opposition aux animaux de compagnie dont on ne tire, en principe, aucun profit autre que l’affection mutuelle). Et personnellement, le rapport aux animaux étant un sujet qui me passionne dans sa globalité, voir des œuvres centrées sur ce type de relation dans des cadres différents, et donc avec des enjeux différents, me fait vraiment très plaisir et me procure un grand enrichissement. D’autant plus qu’encore une fois, ces deux récits sont vraiment documentés afin de toucher à une réelle authenticité.



De plus, comme je l’ai rapidement évoqué, cette richesse thématique est mise en valeur par un travail d’écriture et esthétique à la hauteur de ce qu’on attend d’un artiste tel que Jiro Taniguchi. De ce fait, l’auteur laisse la place à la contemplation, prend le temps de poser ses ambiances et n’oublie pas de nous procurer de belles émotions. Ainsi, comme d’habitude avec Taniguchi, je ressors de ces lectures avec un sentiment d’apaisement, en plus de l’enrichissement que m’a apporté sa réflexion sur notre rapport aux animaux. Tous ces éléments mis bout à bout en font de ce fait une lecture à côté de laquelle il ne faut pas passer si l’on s’intéresse à l’auteur (ou simplement si on aime les histoires de qualité).



Avant de conclure, un petit mot sur l’édition. Casterman a publié les deux tomes dans sa collection Sakka, avec laquelle j’ai un peu de mal pour une raison toute simple. Je trouve que le prix de 12,99€ n’est pas vraiment justifié. On se retrouve avec un prix qui est presque le double d’un manga au format poche classique, mais dont la valeur ajoutée ne justifie pas un tel écart de prix. Le format est un tout petit peu plus grand, les volumes sont un peu plus épais (mais il n’y a pas beaucoup plus de pages pour autant), l’impression est propre, mais rien de réellement éclatant. Alors que dans la collection Écritures, on trouve des récits plus longs, dans un plus grand format avec une couverture et une reliure de meilleure qualité pour 3 à 5 euros de plus. Ainsi, si l’édition est de qualité, son prix est selon moi trop élevé. Mais c’est le prix à payer pour deux histoires de très grande qualité.



En résumé, Les Enquêtes du Limier est une série en deux tomes dont on parle finalement assez rarement lorsque l’on évoque le travail de Jiro Taniguchi et c’est un tort selon moi car je la classerai dans ses incontournables. Le travail esthétique et narratif est à la hauteur de ce dont l’artiste est capable, et nous propose en plus une belle réflexion sur notre rapport aux animaux, tout en nous procurant de belles émotions. Le meilleur des deux mondes en somme !
Lien : https://apprentiotaku.wordpr..
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Elle s'appelait Tomoji

Comme je m'y attendais avec Taniguchi (mon mangaka préféré), une histoire toute en simplicité et délicatesse :)
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Quartier lointain - Intégrale

Un manga à la Tanigushi dont le héros part à la quête de son histoire en tentant de comprendre l’abandon du père et de raccrocher son histoire. Onirisme, pudeur, poésie, finesse, du bonheur
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Elle s'appelait Tomoji

Une très belle BD visuellement et dans le traitement mais dont le sujet est difficile tant la vie émaillée de catastrophes de Tomiji nous prend aux tripes... c’est beau comme le sont tous les Tanigushi, en toute finesse, pudeur et poésie ...
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L'homme qui marche

C’est beau, onirique, énigmatique, un Modiano mis en manga... j’adore
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Le journal de mon père

Lorsque le récit commence , Yochan , un jeune homme vivant à Tokyo , apprend le décès de son père. Il ne l'avait pas revu depuis 15 ans.

A son épouse qui l'interroge, il déclare éprouver un ressentiment envers son père depuis son enfance.

A contre-coeur , il se rend dans sa ville natale pour l'enterrement.

A son arrivée , il est accueilli chaleureusement par sa famille . Il en est surpris et honteux en raison de sa longue absence.

Au cours de la veillée funèbre , il dialogue avec son oncle , sa sœur et sa belle-mère. Évoquant les événements de son enfance ( un grand incendie, la séparation de ses parents, la rencontre avec un chien, etc.), il revisite ses souvenirs avec éclairage inattendu. Cet angle de vue nouveau lui permet de comprendre certains non-dits, de lever des malentendus.

A l'issue de la cérémonie funéraire, il repartira à Tokyo apaisé et confiant, conscient du bonheur d'avoir retrouver ses racines.

En marge de cette histoire, l'auteur explique s'être inspiré de sa vie personnelle.

Le recueil est présenté en bande dessinée. Les vignettes sont en noir et blanc. Les dessins et le texte sont sobres .

J'ai aimé ce livre émouvant qui a pour thème les choses de la vie , l'attachement à la famille et aux racines.

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Le sommet des Dieux, tome 1

Un adaptation d'un roman de Baku Yumemakura par le mangaka Jiro Taniguchi.

Ce premier volume plante le décor. Il évoque le mystère de l'expédition britanique à l'Everst en 1924 par le Col Nord et l'Arrête Nord-Est et de la disparition de Mallory et Irvine. On y découvre le personnage principal: le photographe-alpiniste Fukamachi Makoto et sa trouvaille d'un vieil appareil photo: un Vest Pocket Autographic Kodak Special en traînant dans des boutiques de Katmandou, traumatisé au retour d'une tragique expédition japonaise sur la face Sud-Ouest de l'Everest où il a travaillé comme reporter. Cette trouvaille du Vest Pocket l'amène à rencontrer deux personnages très importants: Habu Jôji, figure mythique de l'alpinisme japonais et le sherpa Ang Tshering, lui aussi alpiniste de renom. De retour au Japon, le photographe entame des recherches sur l'appareil découvert et sur la biographie d'Habu Jôji…

Les dessins en N&B sont extrêmement fins, précis (la consultation de cartes et photos de l'Everest le confirme) et scénario d'une série au long cours génialement posé.
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Les Gardiens du Louvre

Les gardiens du Louvre constitue une merveilleuse promenade au Louvre parmi certaines des oeuvres et quelques artistes qui y sont représentés. L'album nous fait aussi connaître un épisode de l'histoire de ce musée quand, au cours de la seconde guerre mondiale, une grande partie de ses collections furent mises à l'abri des nazis.

Une histoire remplie de poésie, qui donne envie de retourner au Louvre pour flâner dans les salles et se régaler de l'observation de ses collections ou, à défaut, d'ouvrir un livre d'art.
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Quartier lointain, Tome 2

Même plaisir que pour le tome 1. Cette BD m'a fait penser au film Camille redouble. Même poésie, l'enfance sans nostalgie.
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Un zoo en hiver

Tout l’univers de Tanigushi délicat, intime et en même temps décrivant la société japonaise à un instant T. Je n’ai pas lâché cette bd qui m’a happée et transportée
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Quartier lointain - Intégrale

... ce n'est finalement pas le coup de coeur auquel je m'attendais même si je dois reconnaître que la traversée de cette étrange parenthèse est enveloppante et que l'on referme le volume avec regret.



Je pense que je suis trop différente d'Hiroshi pour avoir été totalement conquise ...



Les allusions répétées à l'alcool m'ont ... saoulée , c'est le cas de le dire , même si j'imagine bien qu'il y a un côté culturel à la chose ...



Et puis le côté "ouais vas-y je m'échappe de ma vie alors que j'ai pris un jour la responsabilité de mettre des enfants au monde" ... même si je peux le concevoir (car quand on a soi-même des enfants on sait combien c'est prenant , au delà de ce que l'on avait imaginé avant de se lancer dans l'aventure...) j'ai dû mal à l'encaisser... On peut refaire sa vie sans abandonner ses enfants ... Mon côté buté me rend assez intransigeante sur ce point , j'avoue ...

Le côté "ouais mais finalement j'ai pas choisi ma vie , ouin ouin" (alors que bon ... personne n'a mis un couteau sous la gorge au gars pour faire ses choix...) cette façon de fuir ses responsabilités m'exaspère (je ne parle pas de rester en couple ou pas, car ça n'a rien à voir et il vaut mieux se séparer si ça déconne trop, non je parle de rester un parent pour ses enfants, quels que soient les tournants de la vie ensuite, assumer/prendre ses responsabilités... )

Bref cette "lâcheté" (à mon sens ... ) ne m'a rendu sympathique ni le père , ni le fils (finalement complice ... ), ni la malade (franchement c'est chelou cette façon de revenir dans la vie de quelqu'un juste pour bien enfoncer le doigt là où ça fait mal avant de partir... ).



Il m'a manqué quelqu'un à qui vraiment m'attacher (à la limite j'aurais aimé en savoir davantage sur la petite soeur, sa vie actuelle et ses ressentis ... pourquoi pas ...).



Je suis une vieille bique peu empathique. C'est vrai.
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Les rêveries d'un gourmet solitaire

On retrouve avec plaisir la fibre du gourmet solitaire, poursuite de la rencontre avec le Japon et ses habitudes culinaires. Le héros est plus taciturne et tourmenté. À savourer
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Les Gardiens du Louvre

Comme toujours avec tanigushi c’est intelligent documenté et pour celui-ci onirique avec un dessin superbe en couleur
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Le gourmet solitaire

Déambulation gastronomique dans le Japon moderne avec un héros solitaire et érudit. Bien loin des clichés sur le Japon et sa nourriture, on en sort moins naïf
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Icare

Icare est une bande dessinée signée Moebius pour le scénario et Jiro Taniguchi pour le dessin. Cet album regroupe les 12 épisodes parus au Japon avant que la série ne soit interrompue, faute de succès auprès des lecteurs nippons.



" Un jour, une femme accouche un enfant qui a la facilité de voler. En cette période tendue, où des surhommes sont concus en éprouvette, l'enfant est vu comme une arme fondamentale par l'armée. Sa naissance est tenue secrète pour être étudiée. Icare n'a pas encore eu de contacts avec le monde extérieur, il enfermé dans une serre, à l'intérieur d'un grand laboratoire. Son pouvoir n'a pas été compris et Icare n'a pas encore pris conscience de sa condition de prisonnier. C'est son amour pour Yukiko, sa jeune enseignante, qui va pousser Icare à lutter pour se libérer et voler finalement dans le ciel au grand jour … "



Le scénario de Moebius nous propose une réinterprétation très libre du mythe d'Icare. Hormis la capacité du personnage d'Icare de voler, il ne reste finalement pas grand chose du mythe original, mais ce n'est pas forcément très grave. L'action se déroule dans un Japon légèrement futuriste, où des hommes-éprouvettes s'en prennent aux humains « normaux » pour se venger de ce qu'on devine être un traitement fortement discriminatoire.



C'est à ce moment qu'une femme donne naissance à un bébé qui va provoquer la stupeur du personnel hospitalier présent lors de l'accouchement : le nouveau né s'envole très peu de temps après sa naissance. L'enfant est pris en charge par l'armée, qui veut comprendre l'étrange capacité du gamin et mener des expériences pour voir comment cette découverte pourrait être utile aux intérêts du Japon.



Icare, car c'est ainsi que les autorités nippones ont décidé de nommer l'enfant, grandit dans un complexe scientifique où il est le sujet de nombreuses expériences. Quant il n'est pas en train de servir de cobaye, il vit dans un « jardin » fermé, une grande serre où il peut voler. Car Icare n'a pas le droit de quitter le complexe scientifique et n'a jamais vu le ciel.



D'abord docile, Icare va progressivement se rebeller et vouloir conquérir sa liberté, par amour pour Yukiko, une jeune scientifique qui s'est attaché à lui malgré les avertissements de sa hiérarchie.



C'est cette quête de liberté que cet album nous raconte. Ce n'est pas toujours passionnant ni très subtil, mais les dessins sont magnifiques. le gros défaut de ce récit, c'est qu'il ne connait pas vraiment de fin. On sent que la série a été interrompue abruptement. Moebius parle d'ailleurs dans un entretien ajouté à la fin de l'album de tout ce qu'il avait en tête pour Icare.



Dans l'ensemble, c'est une bande dessinée magnifique et plutôt réussie, plaisante à lire même s'il m'a manqué un petit quelque chose pour être totalement emballé.
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La forêt millénaire

Wataru, un jeune tokyoïte d’une dizaine d’années, débarque chez ses grands-parents à la campagne. Ses parents ont divorcé il y a quelques mois sans qu’il en sache la raison et depuis, il vivait avec sa mère.



Mais celle-ci étant malade, il découvre la vie à la campagne et l’hostilité de ces camarades de classe qui le méprise pour la seule raison qu’il vient de la capitale.



Lorsqu’il devra faire ses preuves face au groupe d’enfants qui le mettent au défi, c’est de la forêt millénaire que lui viendra un courage intérieur qui lui était inconnu…



Dernière création de Jirô Taniguchi, cette bande dessinée en couleurs occupe une place à part dans l’œuvre du maître japonais. Pensée comme une œuvre d’inspiration européenne quant aux couleurs et au format, voulue en trois volumes, Jirô Taniguchi n’aura pu livrer que le début du premier d’entre eux, La forêt millénaire, avant de succomber à la maladie.



Il est donc difficile d’imaginer ce qu’aurait pu être la suite des aventures de Wataru avec juste le début de la trilogie qui tient en une quarantaine de pages. L’auteur a fait la part belle aux images, toutes en couleurs, magnifiées par le format à l’italienne avec de magnifiques panoramas, qui en fait un très bel objet livre.



L’histoire en elle-même, inachevée, est trop brève pour que je m’y attarde sous peine de vous spoiler, elle tient en effet en 42 pages, d’un rythme très lent, et très contemplatif.



Le reste de l’ouvrage est consacré au making of de l’œuvre, complété d’un entretien poussé avec l’éditeur japonais de Jirô Taniguchi et du matériel inédit provenant des carnets personnels de l’auteur.



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Quartier lointain - Intégrale



Hiroshi, quadragénaire hanté par la disparition soudaine et inexpliquée de son père alors qu’il n’avait pas encore 15 ans, est projeté dans son passé par un curieux tour du destin. Se découvrant dans son corps d’adolescent, il retrouve avec plaisir les sensations propres à la jeunesse mais garde son esprit et son expérience d’homme mûr. Ce voyage dans le temps est pour lui un moyen d’exorciser ses vieux démons car il est revenu juste avant que son père ne les abandonne. Une chance rêvée pour Hiroshi d’enfin éclaircir ce mystère qui le ronge depuis tant d’années, de le comprendre… et pourquoi pas de l’empêcher !



La suite sur le blog :)
Lien : https://antredeslivres.blogs..
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Elle s'appelait Tomoji

Jirô Taniguchi est le maître incontesté du manga à l'occidentale.

L'histoire est simple à l'image de la vie des personnages qu'il nous décrit, le dessin est pur et dépouillé.

Tomoji est une jeune fille délicate qui vit humblement avec sa famille dans la campagne japonaise. Des événements douloureux jalonnent sa jeunesse mais elle reste digne et suit sa scolarité brillamment, jusqu'au jour où elle fera la connaissance de Fumiaki.



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Furari

Furari (au gré du vent) est un livre rempli de poésie.

J’ai mis du temps à le finir, car c’est un livre qui s’apprécie, qui se lit délicatement.

Les dessins de Jirô Taniguchi sont sublimes et nous transportent dans ce Japon ancien.

On peut sentir le froid de la neige, les odeurs de la nourriture et ressentir le bonheur simple du personnage principal.

Je recommande vivement ce livre.
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Un ciel radieux

Après "Quartier lointain", sublime, j'ai été un peu déçu par ce "Un ciel radieux". Je n'ai pas vraiment été porté par cette histoire. Même si je dois le reconnaître, c'est un joli moment de lecture. Mais il me manquait un petit quelque chose pour être complètement convaincu.
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