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Critiques de Joël Parnotte (194)
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Le maître d'armes

Relecture d’une bande-dessinée de ma bibliothèque.

J’ai déjà crié haut et fort mon amour du travail de Xavier Dorison. Ce livre y a grandement contribué. On se retrouve dans un univers médiéval, fin XVIe siècle, aux portes de la Renaissance.

Nous suivons les pérégrinations d’un vieux maître d’armes, un peu dépassé par la jeunesse et l’apparition de la rapière, mais qui en a forcément sous le capot. Il y a un peu de Druss dans ce vieux guerrier. Le voilà plus ou moins forcé de donner un coup de main à un jeune garçon lancé vers la Suisse pour faire publier la bible en français et ainsi permettre à tout le monde accéder à la parole divine. Evidemment, l’église n’entend pas céder aussi facilement la main mise sur ce précieux document.

Grande course poursuite à multiples protagonistes. De superbes combats et des dialogues au diapason font de cette bande-dessinée un grand moment d’aventures et de détente. Près de 100 pages de pur bonheur. N’hésitez pas !!!

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Le maître d'armes

Porté par le trait énergique de Joël Parnotte, le scénario aventureux et psychologique de Xavier Dorison prend ici des proportions littéralement vertigineuses.
Lien : http://bdzoom.com/91584/lart..
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Le maître d'armes

Deux auteurs à l’unisson pour quatre-vingt-quatorze pages de bruit et de fureur riches et captivantes. Un coup de maître.
Lien : http://www.bdgest.com/chroni..
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Le maître d'armes

Des paysages magnifiques, des hommes que la passion anime, un condensé historique contrôlé, Le Maitre d’armes entraine le lecteur dans une équipée dont il est difficile de se détacher.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Le maître d'armes

1537. Dans le Haut-Jura, une course poursuite s’engage entre plusieurs personnages. Apparemment, le crime des fuyards serait de ne pas être de bons chrétiens. Les apparences sont trompeuses. Le motif du » crime » est tout autre et les poursuivants ne sont pas là que pour faire régner la loi du Bon Dieu.



Comme l’a montré la « bande-annonce« , Le Maître d’Armes n’est pas qu’un récit historique classique. Si Xavier Dorison reprend un retournement de situation classique (le chasseur devient victime), il utilise toute la science de la narration pour nous plonger dans un récit épique, barbare où science, religion, art d’escrime, voire deux époques (le Moyen-Âge, la Renaissance). Au fil du récit, les personnages prennent de l’ampleur, combattent pour ce qui leur est cher. Un but qui peut nous paraître désuet à nous, lecteurs du XXIème siècle. C’est justement cette distance (XIVème-XXIème siècle) qui est intéressante. Alors que notre monde actuel est secoué par des extrémistes, comment se comportait nos ancêtres ? Pour l’assise d’un pouvoir, d’une religion, voire d’une situation (le fameux titre du livre), ils étaient prêts à toutes les extrêmités. Quand on lit la fin du récit (qui peut se comparer à l’histoire), le lecteur se dit : A quoi ça sert ?

Car à l’inverse de récits chevaleresques, Le Maître d’Armes est un livre pessimiste. Les personnages s’abaissent dans une sauvagerie totale où la clé est la survie. Dans cette chasse à l’homme, on peut y voir des références à Rambo (retournement de situation, on prend les armes qu’on peut, quel est celui qui a le « bon » droit, etc.). C’est aussi une époque où deux classes d’armes s’affrontent : l’épée (école germanique) et la rapière (école italienne). Si Xavier Dorison effleure le sujet, il aurait été intéressant d’avoir une suite (pourquoi la rapière, les avantages de la porter, etc), car historiquement, il y a un changement aussi bien social que technique avec l’arrivée de cette lame.

Pour incarner le « héros » du titre, les auteurs mettent en scène un homme âgé, qui semble n’être plus que l’ombre de lui-même, mais celui-ci se reprend et redevient un expert en armes. Pour incarner ce changement, aussi brusque que fatal, nous avons un gros plan sur les yeux…Avant que le massacre ne commence. Une séquence qui se répète plusieurs fois et qui fait penser aux berserkers (guerriers qui sous le coup de la fureur devenaient « invincibles »).

Joël Parnotte n’est pas en reste. Sur la totalité des personnages, peu ont un visage angélique. Nous avons plutôt des « gueules ». Loin des salons, en plein hiver, ils sont habillés avec du tissu grossier. Ils ressemblent plus à des paysans qu’à des guerriers, mais ne vous y trompez pas, tous sont redoutables. Son jeu de mise en scène (cadrage, insert, lecture) n’est pas loin du cinéma. Claire, précise, elle permet au lecteur d’embrasser la case d’un seul coup d’oeil. Quant aux couleurs, la teinte générale choisie est originale : bleu. Dans cet endroit du Jura, en pleine nuit, c’est un bleu glacial, qui vous prend aux tripes, mais on peut rappeler aussi que le bleu est la couleur du roi, comme celle de la vierge (une coïncidence entre la couleur et les thématiques?)



Mélangeant histoire et « survival » Xavier Dorison et Joël Parnotte nous invitent à une double lecture : le plaisir de la bande dessinée mais aussi une réflexion sur l’art du combat et sur cette période charnière Moyen-Âge/Renaissance.
Lien : https://tempsdelivresdotcom...
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Le maître d'armes

L’avis de C



Cette bande dessinée nous embarque aux temps mouvementés du XVIe siècle, alors que les langues « vulgaires » tendent à remplacer la langue latine : entre traditions et nouveautés, entre anciennes croyances et théories nouvelles, entre Aristote et Vésale, entre un catholicisme bien ancré et un protestantisme fraîchement né : TOUT CE QUE J’AIME !



Ce one-shot – un atout supplémentaire pour moi, pas besoin d’attendre la suite ! – est une vraie pépite, qui nous tient en haleine du début à la fin, au fil de dessins d’une grande finesse.



On en redemande !



L’avis de T



C’est une bonne bd. Mais… mais je reste un peu sur ma faim, parce que le scénario laisse la place à une série de questionnements. Pourquoi Malestraza semble-t-il savoir qu’il va retrouver Hans Stalhoffer en suivant le manuscrit ? La poursuite prend une place très importante dans le livre, mais celui-ci ne s’arrête pas à la fin de celle-ci : en effet, l’histoire se poursuit au-delà, remettant au cœur du récit la rivalité entre les deux maîtres d’armes. La fin semble même être un raccourci, en quatre cases et trois bulles.



J’aurais pu adorer, et j’aurais adoré adorer. Mais j’ai seulement apprécié…
Lien : https://ogrimoire.com/2017/0..
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La Sang des Porphyre - Intégrale cycle 1

Soizik est une jeune sauvageonne ramasseuse d’épaves. Dans la Bretagne du XVIII, elle tente de survivre parmi les rustres qui la convoitent, aguichés par sa beauté et sa jeunesse. Après une terrible tempête elle trouve le corps d’une femme, noyée, sur le rivage. Elle lui subtilise alors son médaillon, scellant impitoyablement son destin par ce geste irréfléchi.



Je ne suis pas très emballée par cette BD. L’histoire est somme toute intéressante, mais après…



Déjà, il est difficile de comprendre les motivations des personnages que ce soit dans l’intrigue principale, comme dans les histoires « romantiques ».



Ensuite, le dessin en noir et blanc est grossier, pas très attrayant. Les vages et le décor en pâtissent le plus. J’ai ouïe dire que c’était mieux dans la série originelle puisqu’elle était en couleurs.



Enfin, il est parfois très difficile de comprendre ce qui est écrit. En effet, tout le monde ne parle pas le Breton et tout n’es pas toujours traduit. Difficile donc de suivre parfois.



Pour finir je pensais que c’était une intégrale unique. Je suis quand même un peu frustrée de ne pas connaître la fin de l’histoire. Assez pour lire la suite ? Peut-être pas…
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Aristophania, tome 2 : Progredientes

Franchement, une belle lecture, une belle aventure, c’est un beau scénario mais on peut faire un petit reproche de simplicité dans la profondeur de l’histoire avec un grand H. J’ai aimé qu’en conclusion l’extrémisme des bons et des méchants ne mène à rien, ne change rien. Bon, aussi je n’ai pas aimé cette idée qui revient dans toutes les histoires, que rien ne peut changer finalement, à moins d’avoir le pouvoir, la connaissance même si c’est un pouvoir d’azur de quelque chose de foncièrement beau. Seul, les initiés peuvent avoir l’azur, c’est un peu énervant ;-). Mais l’avantage de ce type de scénario mêlant histoire, société et « féerie » c’est qu’il raconte la vie des gens, de ceux qui tentent de faire changer la société. On ressent bien toute la sensibilité qu’a voulu donner le scénariste à ses personnages, et c’est réussi. Dorison est un grand scénariste épris de justice et d’humanité. La fin m’a un peu déçu, un peu trop rapide à mon gout.

Et le dessin est absolument superbe, le trait et les couleurs sont magnifique.

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Aristophania, tome 1 : Royaume d'Azur

Un très bon premier tome pour une saga fantasy très prometteuse. Les personnages et l'univers sont bien introduits dans ce premier volume. On a envie de connaître la suite. Le style de dessin est précis et agréable. J'ai bien aimé. A voir si la bonne surprise se poursuit sur la suite !
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Aristophania, tome 1 : Royaume d'Azur

Nous sommes à Marseille, en 1900. Clément, un ouvrier, est attendu à la sortie de sa forge, par une vieille dame venue en taxi. Alors qu'elle lui demande de quitter "L'Azur" car il est repéré par la "Cour Sombre", un colosse armé d'une pique les arrête et embroche Clément.



Sa veuve Adèle et ses trois enfants quittent alors Marseille pour Gennevilliers. Là-bas, ils vivent dans des conditions épouvantables qui vont s'aggraver quand, à la suite d'une manifestation ouvrière qui tourne mal, Adèle est arrêtée. Ses enfants se retrouvent alors sans ressources, livrés à eux-mêmes.



C'est à ce moment que la mystérieuse dame, réapparait pour les emmener chez elle, en Provence, dans un endroit secret nommé "Azur".



Les enfants vont découvrir que la vieille dame a de nombreux pouvoirs , mais que Le Roi Banni est à leurs trousses.



Assez peu amateur de récits fantastiques, je ne savais pas à quoi m'attendre avec cette nouvelle série, mais l'attrait du dessin de Joël Parnotte a joué (magnifique décor de la page 32 par exemple), aussi à l'aise dans les décors enchanteurs que dans les plus réalistes, proches de Loisel. Ceci étant, le scénario de Xavier Dorison est lui aussi très agréable, pas trop ésotérique et se montre parfois même, assez drôle.



Aristophania est un personnage particulièrement intéressant, loin des clichés de supers héroïnes en lycra et à forte poitrine. Il s'agit plutôt d'un mélange de Mary Poppins, Violet Crawley (Downton Abbey) et de Tartine (pour les moins jeunes qui se rappellent de cette BD).



Un bon début
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Aristophania, tome 2 : Progredientes

Le Roi banni s'en est pris à la mère de Basile, Victor et Calixte et il lui a pris son "Azur". Les troupes de la Cour Sombre menacent donc très sérieusement la cour d'Azur et le seul espoir repose sur la capacité des trois enfants, encore apprentis (d'où le titre "Progredientes") à trouver la source d'Aurore à laquelle seule Aristophania semble croire.



Dorison poursuit son scénario raisonnablement fantaisiste qui a le mérite d'être relativement peu ésotérique, suffisamment original, assez humoristique et de se dérouler dans le Sud.

Joël Parnotte lui, continue d'éblouir avec son dessin somptueux que la mise en couleurs achève de rendre remarquable.

La série semble être prévue en 4 volumes : tant mieux !
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Aristophania, tome 3 : La source Aurore

C'est la suite d'une série fantastique intéressante. Il y a de l'aventure et de la magie. Les pouvoirs des enfants se révèlent petit à petit. On découvre des choses sur le passé d'Aristophania et du Roi Banni.



D'ailleurs, ce tome est particulièrement centré sur la cour du Roi Banni et sa montée en puissance. On suit un camp puis l'autre jusqu'à ce qu'ils se rencontrent et s'affrontent. C'est assez violent et sanglant du coup, ce qui en fait une bd plutôt adulte.



La présence d'un résumé complet au début du livre est top car personnellement, ça fait un bout de temps que j'avais lu les deux premiers tomes… Le scénario est bien ficelé mais un peu lent. Les illustrations sont soignées et très travaillées. Il y a beaucoup de détails à la fois dans les traits des personnages mais aussi dans les décors. La colo de ce tome est plus sombre pour coller parfaitement aux évènements mais ça m'a moins emballé par rapport aux couleurs chatoyantes des tomes précédents.



J'ai été moins emballée par ce tome mais j'attends néanmoins la suite qui devrait être le dénouement de l'histoire.

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Aristophania, tome 2 : Progredientes

J'avais beaucoup apprécié le tome 1 et le tome 2 continue sur cette belle lancée.

Ce nouveau tome apporte quelques éléments de compréhension de cet univers magique tout en resserrant l'étau autour des enfants, posant ainsi les jalons pour les péripéties à venir. Vivement le tome 3 !
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Les Aquanautes, Tome 5 : Les otages

Cinquième et dernier tome de ce huis clos subaquatique entre militaires et scientifiques sur la station scientifique de recherches géologiques sous-marines Physalia.



Alors que les tomes précédents distillaient savamment les révélations au fil des pages, on a l’impression que les auteurs augmentent le rythme des révélations afin de pouvoir divulguer tous les secrets restants dans ce dernier tome.



Du coup, en nous délivrant de manière trop précipitée le mystère qui entourait le contenu du cube, ces enjeux politiques et économiques et les raisons qui poussaient le Doc à manipuler le géologue Nando Mc Rae, notre curiosité retombe trop vite, sans vraiment pouvoir savourer les dernières révélations.



Ce bouquet final rempli d’explosions et de meurtres modifie énormément l’ambiance plus psychologique installée par les tomes précédents, alors que les raisons de la manipulation psychologique de Nando méritaient probablement plus d’attention afin d’augmenter la crédibilité de cette partie ‘psychanalyse’ du récit qui m’a toujours parue un peu trop difficile à croire.



Néanmoins malgré cette profusion d’informations, le tout reste très cohérent, agréable à lire et graphiquement très réussi.
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Les Aquanautes, tome 4 : Le Diodon

Avant-dernier tome de ce huis clos entre militaires et scientifiques sur la station scientifique de recherches géologiques sous-marines Physalia, toujours dans le même climat subaquatique oppressant.



Un nouveau tome riche en révélations, où le rôle des différents protagonistes devient clair et où l’épave du Diodon livre peu à peu son secret. Seules les intentions du psychologue vis-à-vis du géologue Nando Mc Rae et l’enjeu du contenu du cube conservent encore une part du mystère.



En levant le voile sur les intentions et le rôle des différents protagonistes, Joël Parnotte ("Un pas vers les étoiles") emboîte les différents évènements des tomes précédents. Il est malheureusement dommage que le développement de la psychologie de Nando vienne toujours gâcher légèrement la crédibilité du reste du scénario.



Plus qu’un album pour connaître les derniers secrets enfermés dans l’épave du Diodon et la fin de ce thriller subaquatique très plaisant.

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Les Aquanautes, tome 3 : L'alliance

Un tome riche en révélations, mais si on en apprend plus sur la position du Psy et de Zarko vis-à-vis des incidents et des meurtres sur la station scientifique de recherches géologiques sous-marines Physalia, on ne sait toujours pas où le scénariste veut nous emmener.



Malgré un album riche en découvertes, la part de mystère reste en effet importante : que contient le cube et quels sont les enjeux ?

L’évolution des relations entre les différents protagonistes donne de la profondeur aux personnages. Zarko, le comparse joviale et prévisible devient plus mystérieux, les militaires attrapent un côté plus humain et Mikky va obtenir un rôle plus actif.



Seule l’évolution psychologique du géologue Nando Mc Rae, ainsi que sa relation avec le Doc, manquent encore un peu de crédibilité, surtout que l’intérêt de cette psychanalyse au sein du récit n’est toujours pas clair.



Le découpage, le dessin et les décors sous-marins avec des scènes extérieures en scaphandres sur page noire, restent très réussis. Les missions à bord de l'épave du Diodon sont également prenantes et graphiquement splendides.



L’histoire avance et le suspense demeure !
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Aristophania, tome 1 : Royaume d'Azur

Sorciers en guerre chez Pagnol.



Basile, Victor et Calixte sont trois orphelins, qui vont être bien tristement séparés de leur mère.

Des gamins peu ordinaires. Car leur père, Clément, était sorcier...

C'est dorénavant une amie de la famille qui va s'occuper d'eux, Aristophania. Elle les ramène chez elle, en Provence.

Ou plutôt au royaume d'Azur, de plus en plus menacé par le roi banni...



La grande question en refermant l'album, c'est "Pourquoi Dorison l'a sortie de son chapeau, c't'histoire ?" Mystère…

Sur fond d'injustice sociale, de nostalgie avec cette Belle Epoque dépeinte en toile de fond, et de magie !?? un peu à l'image du microcosme d'Harry Potter, Le résultat est mitigé.



C'est un album correct, avec Parnotte impeccable au dessin, mais niveau histoire, çà reste un peu en deçà, comparé aux autres réalisations de l'auteur.



J'ai un peu de mal avec l'irréel, auquel on peut attribuer des difficultés ou facilités aux héros sans trop de peine.

(plus d'avis sur PP)
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Les Aquanautes, Tome 5 : Les otages

Le point positif de ce cinquième tome et que tout trouve réponse, notamment les agissements des uns et des autres.

Un récit maîtrisé mais qui manque quand même de profondeur (un comble pour une BD sous les profondeurs de l’océan !). Les personnages manquent de caractère et l’ambiance générale de la BD aurait pu être plus pesant en jouant sur le thème des profondeurs. On imaginait pas une seule seconde que les personnages se trouvaient dans un environnement sombre, dangereux et exiguë.
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Les Aquanautes, tome 4 : Le Diodon

Nous découvrons beaucoup de choses dans ce tome 4, même si il reste l’énigme principale du cube.

Un album donc qui répond à de nombreuses questions mais qui manque d’action et les personnages sont toujours aussi fades.
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Les Aquanautes, tome 3 : L'alliance

Un troisième tome à l’image du second mais où l’intrigue s’intensifie et le mystère autour de la recherche militaire s’éclaircit (un peu). L’histoire devient donc un peu plus intéressante.

On peut espérer pour les prochains tomes, un peu plus d’histoires sous-marine et de réponses aux intrigues développées.
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