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Citations de Linwood Barclay (794)


- Je ne veux pas tout déballer maintenant, dit Finley. Ce serait comme de sortir une nana canon au restaurant et d'éjaculer dans votre pantalon avant le dessert.
David ferma les yeux un moment , se massa les tempes.
- J'aimerais mieux ne pas leur présenter les choses de cette manière.
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Tous les matins, je me réveille avec un nouveau problème de santé, et pourtant, dans ma tête, j'ai encore seize ans. Vous voyez ce que je veux dire ?
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Trois types débattant des mérites d'un groupe de rock des années soixante-dix pouvaient-ils réellement envisager de m'emmener quelque part pour me tuer ? L'ambiance dans la voiture n'aurait-elle pas été un peu plus sinistre ? L'espace d'un instant, je me sentis réconforté. Puis me revint en mémoire la scène de "Pulp Fiction", lorsque Samuel L. Jackson et John Travolta discutent de la façon dont on appelle le Big Mac à Paris , juste avant de faire irruption dans un appartement et de commettre un triple meurtre. Ceux-là n'avaient même pas leur style. A vrai dire, ils dégageaient plutôt une indiscutable odeur corporelle.
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Stuart Koch était le genre de gamin capable de vous demander d'épeler ONU.
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« La fille, un énorme fourre-tout rouge en bandoulière, avait le pouce levé, et elle regardait vers ma voiture alors que je m’arrêtais au stop à l’angle de la rue. Pas question. Prendre un auto-stoppeur était déjà une mauvaise idée, mais prendre une adolescente était prodigieusement stupide. Un type la petite quarantaine, fait monter dans sa voiture une fille qui a la moitié de son âge par une soirée sombre et pluvieuse. Les possibilités que cela tourne mal étaient légions. »
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-Lorsque nous nous sommes rencontrés, je savais que je te ferais supporter une partie de ma souffrance. Mais j'étais égoïste. Je voulais partager ton amour à tout prix, même si cela signifiait que tu devais partager ma douleur.
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On arrive parfois à un stade où on ne croit plus personne.
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Quand il se trouvait derrière ces portes, il avait l'impression d'appartenir à un club Playboy privé. Les gens qu'il avait croisé là-bas ! Des maires, des gouverneurs, des stars de cinéma... des membres de la famille royale ! En vingtième position dans l'ordre de succession au trône, mais quand même !
Et bien sûr, il y avait les filles.
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- Série préférée, continua-t-elle. De tous les temps.
- The Wire ?
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- Ecoute, il faut que j'y aille. Mais avant de raccrocher, permets-moi de te donner un conseil.
- J'écoute.
- Prends l'escalier.
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Le monde est entièrement peuplé d' étrangers. Des millions et des millions d'étrangers. Chacun est l'étranger de tous les autres. On pense parfois connaître des gens, surtout ceux qui sont censés être proches, mais si on les connaissait vraiment, pourquoi s'étonner de leurs conneries ?
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Et je sortis péniblement mon portefeuille de la poche arrière de mon jean. Une manœuvre lourdingue, maladroite. À côté de moi, Columbo pouvait paraître subtil.
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Janine avait une tête à faire fuir un taureau de combat, et un tempérament à l'avenant.
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J'ai toujours essayé de faire le bien. Mais parfois, quoi qu'on fasse , c'est mal.
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L'allée ne faisait qu'une dizaine de mètres de long, mais s'étirait sur un quart de siècle dans le passé.
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"j'aime bien être ici, l'avais-je entendue dire à Syd un jour qu'elles se trouvaient à la maison. Personne ne hurle sur les autres ni ne s'effondre beurré comme un coing."
j'en étais malade pour elle.
en dépit de son insouciance apparente, Patty possédait un instinct de survie. Elle voyait le monde, non à travers un prisme rose, mais tel qu'il était : un lieu cruel où l'on ne pouvait compter que sur soi-même. Raison, entre autres, pour laquelle je l'appréciais et, dans une certaine mesure, l'admirais. La vie lui avait distribué de mauvaises cartes, mais elle essayait de les jouer le mieux possible.
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Tu sais, quand on devient vieux, les anniversaires sont moins importants. On a déjà eu des tas. L'attrait de la nouveauté passe un peu, au bout d'un moment.
-c'est quoi, l'attrait de la nouveauté?
-Tu sais, quand les choses sont nouvelles et que ça les rend excitantes. Et ensuite, elles deviennent moins drôles, plus ennuyeuses? C'est ça, l'attrait de la nouveauté.
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- Moi, je pense que cette histoire de paternité, c'est plus qu'un truc génétique. Il repensa à ce qu'elle avait dit quand elle s'était enfuie de la voiture.
- Mais je ne suis rien pour toi, dit-il.
...glissa le bras sous le sien et leva les yeux au ciel.
- Gros débile, dit-elle. Tu es tout pour moi.
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Jeremy lui avait fait comprendre qu'elle devait trouver des filles "adaptées". Au début, elle pensait que ça voulait dire jolies. Et, bien sûr, il voulait que ses recrues soient séduisantes. Mais ce qu'il sous-entendait vraiment, c'était qu'elles devaient être vulnérables. Des filles issues de foyers modestes, de familles monoparentales. Des filles sans lien avec des personnes exerçant une influence quelqconque. Des filles qui n'avaient personnes vers qui se tourner. Des filles qui seraient prêtes à satisfaire les besoins de Jeremy et de ses acolytes en échange d'une vie meilleure.
Les fugueuses par exemple, comme Nicky.
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J'inspectai les placards pour voir si les derniers occupants avaient laissé l'essentiel. Nous étions pourvus en sel, en poivre et en sucre, et il y avait même du café. Je savais à présent qu'on pourrait survivre.
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