AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Linwood Barclay (794)


Je n'apprécie peut-être pas ce que certaines personnes ont à dire, mais je défendrai leur droit à l'exprimer.
Commenter  J’apprécie          150
- Ils vont peut-être avoir ce qu'ils méritaient, finalement, déclara-t-elle.
- Si seulement tous les méchants finissaient par payer.
Commenter  J’apprécie          150
Tout le monde avait une histoire à raconter.
Commenter  J’apprécie          140
Ce jeudi matin, aucun ascenseur ne tomba.
Aucune bombe n'explosa.
Mais la journée ne faisait que commencer.
Commenter  J’apprécie          140
- Je vais vous prendre une part de tarte à la cerise, dis-je. Vous pouvez mettre de la chantilly dessus ? (…)
Maureen dit que je dois manger plus de fruits.
Commenter  J’apprécie          140
[...] Appelle-moi demain. Si d'ici là j'ai besoin d'une conversation intelligente, je parlerai à mon miroir.
Commenter  J’apprécie          141
(...) les hommes, je pense, ne s'avouent pas facilement qu'ils ont besoin des conseils d'un inconnu. Dieu sait qu'ils ne veulent même pas demander leur chemin après avoir roulé pendant une heure sans avoir la moindre idée de l'endroit où ils se trouvent.
Commenter  J’apprécie          140
C'était un vrai dur, comme ceux avec qui il traînait.
Vince gagnait sa vie en enfreignant toutes les règles.
J'étais un prof de lycée qui payait ses contraventions.
Vince tuait des gens .
Je nous voyais mal devenir copains.
Commenter  J’apprécie          140
Très tôt, Howard a commencé à travailler dans les coulisses des campagnes politiques - républicains, démocrates, ça n'avait pas d'importance. Seule la victoire comptait. Si un joueur de hockey pouvait passer des Rangers aux Bruins et écraser ses anciens coéquipiers, Talliman pouvait élaborer une stratégie pour n'importe quel parti disposé à payer son prix. Il n'avait jamais voulu être candidat. Petit et bedonnant, il reconnaît lui-même qu'il a le sex-appeal d'un nain de jardin, mais il sait pratiquer le jeu politique depuis le banc de touche et transformer les autres en vainqueurs.
(p. 117-118)
Commenter  J’apprécie          140
Nicole ne connaissait personne pour qui un contrat avait si mal tourné que celui-ci. Non que les tueurs à gages se réunissent tous les quatre matins pour comparer leurs notes. Mais on entendait des choses. Des informations circulaient. Il y avait des gens dont vous connaissiez le travail. Certains étaient doués, d'autres pas tant que ça. Ils faisaient parfois des erreurs. Ca arrivait dans n'importe quelle profession.
Mais son erreur, elle devait le reconnaître elle-même, était hors du commun.
Il était déjà assez grave qu'elle ait tué la mauvaise personne. Rien que cela aurait suffi à indisposer n'importe quel client. Mais que la vraie cible se pointe, voie ce qui s'était passé et parvienne à prendre la fuite ? Pas le genre de prouesse à mettre sur un CV.
Evidemment, il y avait d'autres tueurs qui avaient foiré leur coup. Des sadiques qui s'étaient condamnés eux-mêmes en enregistrant leurs meurtres sur vidéo. Des maris suffisamment stupides pour chercher dans les Pages jaunes des tueurs à gages susceptibles de s'occuper de leur femme. Des femmes qui faisaient de même pour leur mari, ignorant que les tueurs professionnels avec lesquels elles conspiraient étaient en réalité des flics infiltrés. Des hommes d'affaire aux abois qui mettaient le feu à leur entreprise, sacrifiant quelques vies au passage, et rangeaient leurs baskets imbibées d'essence au fond de leur penderie.
Ces gens se faisaient pincer et finissaient en prison. Pourquoi ? Parce que c'étaient des amateurs. Supprimer des vies, ce n'était pas leur job. Ils étaient comptables, agents de change, vendeurs de voiture ou dentistes.
C'étaient peut-être des professionnels dans leur secteur, mais ce n'étaient pas des tueurs professionnels.
Nicole était censée être une professionnelle. C'était son travail. Elle le prenait au sérieux. Elle n'avait aucun compte à régler avec ses cibles. Elle ne les connaissait pas. Ce n'était pas personnel. Elle n'était pas gouvernée par la jalousie, la cupidité ou l'obsession sexuelle, ces passions qui vous font trébucher, qui vous aveuglent. Elle ne faisait pas ce métier parce qu'elle prenait plaisir à mettre fin à la vie des gens, même si elle ressentait la satisfaction du travail bien fait. On pouvait dire cependant qu'elle aimait particulièrement accomplir ses missions quand ses cibles étaient des hommes....
Puisqu'elle avait foiré son contrat, elle avait l'obligation de se rattraper. Tout ce qu'on avait dans la vie, c'était une réputation, et elle comptait faire son possible pour restaurer la sienne. D'ailleurs, c'était ce qu'ils attendaient d'elle.
Commenter  J’apprécie          140
Angie redescend les escaliers quatre à quatre. Remaquillée, coiffée, changée. Elle est superbe, je l’avoue, mais comme bien des pères, la beauté de ma fille n’est pas une source de contentement. Bien sûr je suis fier d’elle, la vérité c’est que je n’en dors plus la nuit.
Commenter  J’apprécie          140
Dans sa jeunesse, il se voyait devenir cinéaste, mais la vraie vie a tendance à broyer les ambitions créatives, (...).
Commenter  J’apprécie          130
- Rappelle-moi quand tu en sauras plus.
- Tu ne viens pas ?
- Je suis en plein milieu d'un truc, là.
- Tu es incroyable, conclut-elle avant de laisser tomber son portable dans son sac.
Agnès se demanda quel était au juste ce truc au milieu duquel se trouvait Gill. Très vraisemblablement les cuisses d'une garce.
Commenter  J’apprécie          130
- Qu'est-ce que tu prends ?
- J'ai essayé deux ou trois trucs, comme le Xanax, mais ça ne me réussit pas. A mon avis je dois résoudre mes problèmes moi-même, sans aucune interférence artificielle.
- Je voulais dire, dans ton café ?
Commenter  J’apprécie          130
- Ouais, mais ce qui sera vraiment bien avec ce qu'on est en train de préparer, c'est que, cette fois, vous allez retrouver le disparu. Ça va faire bien sur votre CV.
Commenter  J’apprécie          130
- Ma production [de marijuana] du sous-sol correspond à un besoin. J'offre un service. C'est comme écrire de la pornographie, ajoute-t-il en faisant un geste vers moi.
- Je n'écris pas de la pornographie mais de la science-fiction.
- Ouais, enfin, si tu écrivais du porno, ça serait la même chose.
- Non, parce que je n'écris pas de porno.
- D'accord, simplement, t'as pas compris mon point de vue. Les gens ont des besoins. Peu importent les lois et les règles mises en place. Ils veulent assouvir leurs besoins, d'une manière ou d'une autre. Ils sont de plus en plus stressés. (...) Les gens ont envie de réconfort et mon boulot consiste à leur en donner.
(p. 124)
Commenter  J’apprécie          130
La maladie de Huntington... c'est comme si on prenait Alzheimer, Charcot et Parkinson et qu'on les mettait dans un mixer.
Commenter  J’apprécie          120
Je ne voudrais pas que le fait que nous soyons assis là à boire un verre, à dîner ensemble, soit mal interprêté. Vous n'êtes absolument pas obligée de rester. Nous vivons dans le monde d'après Weinstein.
Commenter  J’apprécie          120
- Tout le monde a des trucs moches à gérer, pas vrai ? finit-il par dire.
- Ouais.
- On pense qu'on en a chié, et puis on se rend compte que d'autres gens ont connu pire.
Commenter  J’apprécie          120
Rien de mieux qu'une petite confrontation avec la mort pour épicer une partie de jambes en l'air.
Commenter  J’apprécie          120



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Linwood Barclay Voir plus

Quiz Voir plus

Quiz sur le livre "Les voisins d'à côté" de Linwood Barclay.

A qui appartient l’arme que l’on a retrouvé dans l’herbe près de la maison des Langley ?

à Lester
à Drew
à Mortie

10 questions
11 lecteurs ont répondu
Thème : Les voisins d'à côté de Linwood BarclayCréer un quiz sur cet auteur

{* *}