AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de M.C. Beaton (1497)


Les propriétaires terriens n'ont plus aucune intimité de nos jours ! Quand c'est pas des fouineurs de votre espèce , c'est ces damnés d'écologistes qui parcourent mes terres avec leurs sacs sur le dos en mangeant des barres de céréales diététiques et en pétant . Vous savez ce qui détruit la couche d'ozone ? C'est les toqués de la diététique , qui bouffent leurs immondes barres complètes aux noix et qui lâchent leurs pets partout dans la nature . Ils émettent des tas de gaz nocifs . On devrait les abattre .
Commenter  J’apprécie          180
- J'ai l'air grosse , remarqua Agatha , la mine lugubre .
- C'est les caméras , mon chou , ça rajoute toujours des kilos .
Commenter  J’apprécie          180
La fierté n'est pas l'apanage des classes supérieures, vous savez .
Commenter  J’apprécie          182
" Devinez-quoi ! demanda-t-elle.
- Un autre meurtre ? annonça l’épouse du pasteur.
- Mieux que ça. Notre nouveau vétérinaire m'invite à diner ce soir."
Commenter  J’apprécie          180
– Et qui est l’heureuse élue ? – Je ne l’ai pas encore trouvée. Mais une gentille fille discrète fera l’affaire. Ce n’est pas ça qui manque. Quelqu’un qui fera la cuisine et repassera mes chemises. » Décidément, pensa Agatha avec irritation, au fond de tout homme efféminé battait le cœur d’un sale macho. Oh oui, il allait trouver une fille bonasse, docile, pas trop jolie, pour ne pas se sentir inférieur. Elle serait censée apprendre comment organiser de petits dîners, et ne pas se plaindre si son mari ne rentrait que le week-end. Ils se mettraient tous les deux au golf. Roy allait peu à peu s’enrober et se guinder. Tout ça, elle l’avait déjà vu.
Commenter  J’apprécie          180
Delilah Wrawall paraissait être une jeune fille épouvantable. Enfin... pas si jeune que cela. C'était une femme de vingt-trois ans.
Commenter  J’apprécie          170
Puis elle les leva au-dessus des touches et attaqua une fugue de Bach avec beaucoup de verve et d'alacricité.
Commenter  J’apprécie          174
Hamish jeta un regard lugubre par la fenêtre. Une bruine régulière tombait - voilà ce que les habitants des Highlands, les vrais, appelaient une "belle journée".
Commenter  J’apprécie          170
Que de fois s'était-elle attardée , lorsqu'elle visitait un majestueux manoir , à la limite des parties interdites au public , dans l'espoir qu'un membre de la famille passant par là la reconnaitrait comme quelqu'un de son monde et l'inviterait à prendre le thé .
Commenter  J’apprécie          172
Vous connaissez la blague qui court sur les acteurs ? Assez parlé de moi. Parlons de ma performance.
Commenter  J’apprécie          160
Je rencontre la fille de mes rêves, et voilà qu'elle me dit : "Laisse l'argent sur la table, en sortant"!
Commenter  J’apprécie          160
Blandon fit son apparition. Malgré sa silhouette élégante, Harry le prit en grippe au premier coup d'oeil. Il avait un regard insolent, l'air entendu de celui qui sait tout et une bouche lippue. Il avait assurement une tête de joueur.
Commenter  J’apprécie          160
Personne ne disait plus " misérable " de nos jours. Mais " défavorisé ", ou quelque chose de ce genre, comme si changer de mot pouvait effacer la tristesse, la violence et le désespoir.
Commenter  J’apprécie          160
- Ma foi, pourquoi pas ? Allez, fais tes valises. Je nous ai retenu un séjour dans ce centre de remise en forme. On nous y attend ce soir. J'emporte les notes de Roy. Ne fais pas une tête pareille. Oublie ta maison pour l'instant. On trouvera bien une solution.

- Ah oui ? Glisser des serpents par la fente de sa boîte aux lettres ?

- Par exemple.
Commenter  J’apprécie          160
D'immenses guirlandes de glycine festonnaient les portes des cottages, les fleurs d'aubépine tombaient en pluies neigeuses sur le bord des routes, la pierre dorée des maisons flamboyait sous la chaleur du soleil ; Londres paraissait très, très loin.
A Chipping Campden, oubliant sa résolution de perdre du poids, elle mangea une tourte au boeuf et aux rognons dans l'atmosphère douillette et patinée par les ans du Eight Bells, avant d'aller flâner dans la grand-rue du village, entre ses trottoirs de verdure et ses maisons ocre, avec leurs pignons, leurs hautes cheminées, leurs portes voûtées, leurs frontons, leurs colonnes, leurs fenêtres à meneaux ou à guillotine et leurs grosses marches en pierre. Malgré les inévitables groupes de touristes, il régnait dans ce village une atmosphère sereine, pleine de réserve. (...) La vie pouvait être facile.
Commenter  J’apprécie          160
En passant de l'autre côté de l'étendoire, elle aperçut Mrs. Barre appuyée contre sa clôture, les yeux rivés sur elle avec une expression froide et antipathique sur le visage. Elle termina sa tâche, lui fit un doigt d'honneur et rentra dans sa maison.
Commenter  J’apprécie          162
Si je suis venu vous rendre visite, Agatha Raisin, c'est pour vous donner un bon conseil : n'allez pas mettre le bazar dans la vie des gens, ou alors il y aura bientôt un meurtre pour de vrai, et c'est vous qui jouerez le rôle du cadavre !
Commenter  J’apprécie          160
She glared up at the sky. There couldn't be frost, could there ? Agatha, like most of the British public, swore that the meteorologists were often wrong, forgetting all the times they were right.
Commenter  J’apprécie          160
Père, je vous en prie ! Mr Massingham a trois ans de moins que moi. Il est encore imberbe, boutonneux, et quand il rit, on dirait de l'eau forçant le passage d'une goutière obstruée par des feuilles.
Commenter  J’apprécie          150
Quoi qu'il advienne, ne parlez pas politique. (...) Ne parlez pas de Napoléon ni d'aucun sujet de nature militaire. Evitez le thème de la religion et des pauvres. La religion est un sujet incendiaire et les pauvres un sujet déprimant. Vous pouvez parler de robes, de mode et du temps qu'il fait. Surtout, ne dites rien d'intelligent. Les gentlemen ont horreur des femmes intelligentes. Visez la fragilité et la faiblesse aussi bien de corps que d'esprit. C'est ce qu'on attend de nous.

-
Commenter  J’apprécie          150



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de M.C. Beaton Voir plus

Quiz Voir plus

Agatha Raisin et la quiche fatale (niveau facile)

Où vivait Agatha Raisin avant de déménager dans les Costwolds ?

Manchester
Londres
Cambridge

10 questions
233 lecteurs ont répondu
Thème : Agatha Raisin enquête, tome 1 : La quiche fatale de M.C. BeatonCréer un quiz sur cet auteur

{* *}