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Citations de M.C. Beaton (1497)


C’est le mari de Janine qui leur ouvrit la porte. Ils se pressèrent dans la petite entrée, se débarrassant de leur manteau et de leur chapeau. Puis ils furent introduits dans une pièce située à l’arrière du cottage. Elle était bien éclairée et ne contenait qu’une table ronde, recouverte d’un tissu de velours noir.
Ils prirent place autour de la table. « C’est bigrement excitant, dit le colonel. Si ça ressemble à un ectoplasme, ce sera probablement notre Agatha qui fume en douce. » Tous éclatèrent de rire, sauf Agatha qui rétorqua sèchement : « Ça fait des lustres que je n’ai pas allumé de cigarette. J’ai arrêté de fumer.
– Mais pas de fulminer ! » la taquina le colonel.
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Les vieilles maisons craquent et soupirent quand elles se préparent pour la nuit.
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" Frayer avec le beau monde est d'un ennui sans nom.
Mais en être exclu est une véritable tragédie."
Oscar Wilde
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(...) elle entendait aussi se laver les cheveux. Il suffisait pour les nettoyer, dirent-elles, de les recouvrir d'un nuage de poudre de riz qu'on brossait ensuite pour la faire disparaître. Quand à se laver intégralement, ce n'était nécessaire que lorsqu'on avait de la fièvre. Miss Tonks déclara fièrement qu'elle avait pris un bain en mars et qu'elle envisagerait d'en prendre un autre en septembre parce qu'elle était "notoirement propre".
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J'ai quatorze frères et soeurs et, comme dit la chanson, on est pauvres mais honnêtes.
- Votre famille ne vous manque pas ?
- Pas beaucoup. Mon père boit trop et il est toujours au chômage. J'ai l'impression de trimer depuis le berceau. C'est la vie.
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- Je suis déjà trempé. Avec cette pluie, je n'y vois pas à deux pas.
- Par ici, c'est ce qu'on appelle une belle journée, (...).
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Elle avait elle-même contracté un mariage arrangé. L'amour n'était pas entré en ligne de compte, mais il n'entrait jamais dans les considérations matrimoniales. On trouvait CELA hors mariage, à condition d'observer le onzième commandement : " Tu ne te feras pas prendre."
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" J'achetai mes gants couleur soufre au Palais-Royal. Quand la guerre éclata en 93, je ne pus m'y rendre pendants sept ans. Sans un lougre que j'affrétais spécialement pour me les rapporter en contrebande, j'aurais pu en être réduit à porter du marron clair anglais."

SIR ARTHUR CONAN DOYLE
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" En règle générale, les domestiques des grandes maisons s'attendent à des largesses. Ces gratifications éprouvent diablement la bourse des convives ; et la question de savoir si l'on accepte une invitation est souvent décidée par la négative à l'idée des dépenses qu'elle engendrera, non par les billets de train ou les cabs, mais par les valets de pied et les femmes de chambre."

Lady Colin Campbelle
L'Etiquette dans la bonne société (1911)
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Par ici, les conversations sont assez réduites, vous comprenez : moutons, météo, église et encore moutons.
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- Puisqu'il n'y a pas de quoi fouetter un chat, commenta Hamish en se resservant du thé, je crois que vous ne devriez en parler à personne, au contraire. Et surtout pas à Mr Blythe. J'ai l'impression qu'il est assez snob, voyez-vous, et je ne suis pas certain qu'il se serait intéressé à vous s'il n'était pas en vacances...
Alice se leva d'un bond. C'est vous qui êtes snob ! et grossier avec ça.
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Il y a énormément de veuves dans le coin. Les hommes vivent moins longtemps.
- Du moins quand ils sont mariés.
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Blair était d'une humeur de chien. Il en voulait à Hamish Macbeth d'avoir réussi Dieu sait comment à transformer en meurtre ce qui avait toutes les apparences d'un simple suicide. Et voilà que ce grand échalas, cet abruti de péquenaud des Highlands, avait trouvé un autre cadavre.
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Si vous tenez à adopter des idées modernes et à vous laver intégralement, portez une chemise. Qu'un homme puisse vous voir ainsi a de quoi scandaliser. Presque autant que le fait que vous vous voyiez vous-même.
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" Oh, que le monde de tous les jours est rempli de ronces !"

William Shakespeare
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" L'expérience est le nom que chacun donne à ses erreurs."
Oscar Wilde
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Sitôt le café servi, les membres de la famille sortirent l’un après l’autre pour aller chercher leur cadeau. Apparemment, aucun n’avait jugé nécessaire de faire des frais pour offrir à la vieille dame un présent convenable. Elle reçut plusieurs livres qu’Agatha identifia comme des ouvrages soldés dans les librairies écoulant les invendus. Jimmy donna à sa mère une bouillotte en forme d’ours en peluche. Fran s’était fendue d’un collier : Agatha avait vu le même au rayon bijouterie de Marks & Spencer.
Sadie regarda Agatha et Charles avec insistance. « Vous n’avez pas apporté de cadeau à maman ?
– Pas eu le temps de passer chez Emmaüs », souffla Charles.
Agatha sentit le fou rire la gagner. Elle essaya de lutter, mais en vain, et s’esclaffa sans pouvoir s’arrêter.
La voix de Phyllis s’éleva au-dessus du brouhaha : « Je n’avais pas prévenu Agatha que c’était mon anniversaire. »
Agatha se ressaisit, s’essuya les yeux et s’excusa sous les regards soupçonneux de la famille.
C’est alors que, juste au moment où tous sauf Phyllis faisaient la grimace en essayant d’avaler leur vin de sureau, s’éleva la petite voix de Jennifer.
« Ma grand-mère, annonça-t-elle, faisant allusion à Sadie, dit que c’est pas la peine de te donner quelque chose de beau parce que tu vas tous nous entuber. »
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C'est un meurtre typiquement campagnard.
- Qu'est-ce que vous entendez par là, un meurtre typiquement campagnard ?
Nous autres, citadins, ne sommes pas adeptes d'assassinats aussi pittoresques. Il y a encore beaucoup de consanguinité dans ces vieux villages des Cotswolds, sans parler de la sorcellerie et de ce genre de choses. Croyez-moi, c'est un meurtre campagnard.
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Les alcooliques américains ont la lamentable habitude de se réclamer d’ancêtres cherokees ; leurs homologues anglais invoquent les gitans.
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M.C. Beaton
Mes plus beaux souvenirs d'enfance sont ceux à la bibliothèque, où je passais un temps fou à choisir ce que j'allais découvrir.
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