Marie Pavlenko

Résumé:

Elle ferme les yeux, écoute la nuit, elle sent battre le coeur de la Terre, sous elle, celui des hommes, des arbres, des animaux, ce coeur nocturne qui bat depuis le commencement, qui battra après elle.Elle appartient à ce monde immense. Et son bras, peut être, alors, est dérisoire.

Mon avis:

Ce livre est une vrai pépite. Ce livre abord le sujet de l'emputation tout en humour. Les personnages sont vraiment attachants et j'ai pleuré comme une madeleine en terminant le livre. Serieusement, je vous conseille ce livre a 1000%

Samaa vit dans une époque où le désert est roi et où le monde que l'on connaît n'existe plus. Les hommes sont des nomades à la recherche d'un moyen de survie. Ce moyen, ils le trouvent dans la chasse et la vente des arbres. Des chasseurs partent régulièrement à la recherche d'arbres pour les ramener au village avant de les vendre au plus offrant. Le père de Samaa est chasseur, mais comme beaucoup, il n'est jamais revenu d'une quête. Elle aussi voudrait devenir chasseuse, mais à son grand désespoir cette tâche est dévouée aux seuls hommes du village. Pourtant elle n'a qu'une idée, chasser les arbres. Malgré l'avertissement de l'Ancienne quant au besoin de préserver les arbres, la jeune fille se lance à la suite des chasseurs partis pour une nouvelle quête. Bientôt elle se perd et va vivre au gré du désert et de ses difficultés jusqu'à sa rencontre avec un Arbre et bien d'autres choses qui vont changer sa vision de la chasse et du monde. Du monde qu'elle connaît et de celui qu'elle n'a jamais connu. L'Ancienne n'avait peut-être pas tout à fait tort.

Les lunes passent et la vie de Samaa change. Sa vision des choses évolue jusqu'au jour où... Une écriture maîtrisée, un sujet fort et des personnages très attachants, le tout dans un cadre très poétique.

Cette jeune fille, Samaa, possède une vision biaisée de son monde. Son aventure va lui faire découvrir les secrets qui l'entourent et la sauver.

Un roman qui illustre bien des réalités qui nous entourent. Entre désespoir et envie d'un monde meilleur. Cette lecture est pleine d'enseignements lorsqu'on lit entre les lignes. Une merveilleuse ode à la nature et à ses bienfaits. Une très belle lecture.

L'histoire parle d'une fille appelée Samaa. Elle veut devenir chasseuse mais c'est un travail d'homme. Un jour elle désobéit et suit les chasseurs. La jeune fille se perd dans le désert. Samaa passe son temps avec un arbre qu'elle a trouvé, appelé Naia...



J'ai beaucoup aimé ce livre parce que j'aime les romans d'aventure, ce livre m'a raconté que l'on peut survivre même si on a peu de choses. Au début je n'ai pas aimé l'histoire mais quand je suis arrivée au milieudu livre, pour moi c'était plus intéressant car on nous racontait ce qu'on peut faire dans une situation pareille.



Je recommande ce livre à ceux/celles qui aiment les romans d'aventure et les romans faciles qui se lisent vite.

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Samaa vit dans un monde qui pourrait être le nôtre bientôt . La vie a presque entièrement disparu de la surface de la terre. j ai apprécié cette histoire car les personnages sont bien faits, l' histoire est intéressante. Cela montre que il faut faire attention à la terre, pour ne pas finir nomade.

Je recommande d'écouter ce que ce livre nous dit parce que ça pourrait nous arriver.



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Samaa est dans un monde qui, dans quelques siècles, pourrait être le nôtre . Il n'y a plus rien sur la Terre , le sable a tout recouvert. Samaa vient d'une tribu nomade. Pour vivre, elle et son peuple cherchent les derniers arbres et vendent leurs bois. Samaa voudrait être chasseuse mais seuls les hommes le peuvent.



Je n'ai pas beaucoup apprécié cette histoire car c'est un livre très étrange, et quand je lisais je me perdais sur certains points dans cette lecture, je n'arrivais pas à me concentrer. Le livre ne m'a pas intéressé.

Dans un futur sombre où les arbres ont disparu, où l'eau est vendue sous forme gélifiée et l'oxygène en bouteilles, Samaa vit avec sa mère dans une tribu du désert, de laquelle les hommes partent plusieurs mois par an chasser du bois pour le vendre aux citadins. Un jour, elle décide de les suivre mais se perd et trouve refuge au pied d'un arbre…

Un magnifique roman qui rappelle l'importance des arbres et des plantes pour la survie des hommes ou des animaux.

Samaa souhaite suivre les pas de son père et devenir chasseuse, même si elle sait que c'est un métier périlleux. Chasseur, c'est trouver un arbre dans le désert, le détruire, ramener ses branches à la ville, en échange de quelques barres protéinées et de l'eau gélifiée. Elle va donc suivre en cachette, l'expédition des chasseurs. Cependant, elle va s'égarer, et se trouver coïncée dans une trouée, où un arbre et un mystérieux animal à 8 pattes vont devenir ses seuls amis.

Ce livre est un véritable hymne poétique, qui questionne beaucoup sur l'Homme et la nature, qui fait appel à la biodiversité et à une prise de conscience face à une surexploitation des ressources. Samaa est une belle héroïne qui va nous donner une belle leçon de vie !

(C. Soubic)

Un si petit oiseau de Marie Palvenko, c’est un roman :l histoire d’aby, une jeune fille agée de 20 ans qui a perdu son bras lors d’un accident de voiture.Le livre raconte son histoire pendant 1 an. Elle se fera des amis ,elle partira en voyage. Aby n accepte pas d être différente des autres.Son ami, Aurele, lui fera découvrir les oiseaux.

J’ai beaucoup aimé ce livre car les personnages sont attachants . Le livre est facile à comprendre . Il se lit facilement .Je ne conseille pas ce livre aux personnes qui aiment les livres avec de l action .

Eryn

Ce livre est à la fois poignant, triste et sublime ! Il raconte tout simplement la fin d’un couple que ne se rend plus heureux et les conséquences diverses et variés que cela peut avoir !

L’histoire se passe à Paris où nous suivons Déborah, une jeune fille qui a du mal à s’accepter et vie une terminale très mouvementé ! Elle est séparée de la classe de sa meilleur amie mais fait ainsi la rencontre de Jamal et Victor ! L’auteure aborde de belles thématiques comme l’amour, la divorce et l’idée de suicide ! Même si la première partie de l’histoire est assez sombre, celle-ci finie par s’éclaircit et personnellement j’étais totalement accro ! De plus on s’attache à tous les personnages, même le père très distant au début, même le chien un peu sale ! J’ai beaucoup aimé ce livre car on dirait réellement un histoire vrai. En effet toutes les réactions des personnages me semblent très justes, et cela m’a beaucoup touché !



Ma note : 20/20 Un livre très réaliste dans son histoire et qui touchera tout le monde j’en suis sûr. L’auteure sait aborder des sujets durs mais toujours avec justesse ! Foncez le lire !

#Frimousse
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Magnifique roman sur l'écologie et les relations entre l'humanité et la terre. Un futur possible comme l'histoire de cette jeune fille. Ce qui m'a marqué c'est le fait qu'elle soit d'accords avec les principes de sa tribu malgré les "mises en garde" de l'Ancienne, puis qu'après cette rencontre elle se révolte et change de camp. Comme quoi l'erreur peut être pardonnée si elle est réparée.

Magnifique récit d'un changement qui vaudrait mieux a l'homme de prendre avant qu'il ne soit trop tard.



Jai beaucoup aimé ce roman qui nous parle de la cruauté des hommes et nous met face aux conséquences de nos actes. On aborde beaucoup le thème de l'écologie dans les romans jeunesse, mais Marie Pavlenko le fais avec originalité comme toujours!

le personnage de Samaa est très attachant et même si elle dit plein de bêtises elle ne nous donne vraiment pas envie de lâcher ce roman!

un roman touchant qui nous met en garde tout en douceur.

Je conseille!

iris

Un roman qui commençait bien avec un thème assez difficile à aborder. Un sujet dur, un handicap suite à un accident. C'est toujours intéressant de voir comment une personne qui a vécu un tel drame peut se reconstruire, et se réadapter à sa vie d'avant.



Globalement, c'était d'ailleurs une bonne lecture. Cela se laisse lire plutôt bien, c'est assez addictif, plutôt léger au vu du thème abordé (peut-être trop d'ailleurs, non ?). Mais assez vite, j'ai trouvé que le déroulement du récit s'enlisait. Le personnage principal devient vite assez exaspérant, à travers une romance des plus prévisibles et à l'image de beaucoup de romance de bouquins pour ados (assez ennuyeuses et insipides, en tout cas à mon goût) et une narratrice, un peu toujours en train de se plaindre, qui n'essaie pas de se reprendre en main, qui n'essaie pas de passer outre son handicap. Et finalement, la lecture s'éternise, ça devient un peu longuet sur les bords, avec une conclusion un peu trop facile et convenue, pour un rendu finalement assez superficiel et qui semble peu réaliste.

Ce livre était limite trop... beau pour moi

Un livre très poétique avec une belle leçon derrière, sur la nature qui faut préserver, car nous ne pouvons pas vivre sans elle. Par contre ce n'est pas un livre avec de l'action, mais plus psychologique à mon avis. L'objectif est de faire ressentir et faire réfléchir le lecteur ou la lectrice sur son environnement. Il se lit très vite, même trop vite. Je ne m'attendais pas qu'il est autant d'espace entre les paragraphes, ni que certains fasse une ligne. En une journée, il a été lu. Un livre à mettre entre les mains de tous pour sensibiliser sur le climat, la nature, notre environnement...
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L’histoire se déroule dans un futur ou toute trace de nature a été détruite par l’homme, qui en est maintenant réduit à « chasser » les derniers arbres qui survivent au cœur du désert. Samaa est une jeune fille animée par l’envie de rejoindre les chasseurs d’arbre faisant parti de sa tribu, afin de faire ses preuves, elle se met à les suivre lors d’une de leur expédition. Malheureusement elle finit par s’égarer et doit alors survivre par ses propres moyens, c’est alors qu’elle tombe de façon inattendue sur l’un de ses arbres perdus au cœur du désert.

Cet arbre l’aidera à survivre en lui apportant son ombre, l’eau de ses racines et l’écorce nourrissante de son tronc. J’ai été profondément touché par cette lecture. C’est un récit doux et poétique que nous livre ici Marie Pavlenko. La plume de l’auteure est toujours aussi belle et apaisante, je ne peux que vous recommander ses merveilleux romans !

C'est le bouche-à-oreille qui m'a fait ouvrir ce roman. Malgré tous les retours positifs, j'avais pourtant un mauvais pressentiment : celui je ne me laisserais pas facilement entraîner. Bon, pour le coup, je me suis plantée en beauté !



Dès les premières pages, l'écriture de Marie Pavlenko m'a rattrapée (j'adore sa façon de poser les mots, j'avais oublié) et son récit m'a fermement empoignée, sans me lâcher une seconde jusqu'à la fin.



Ce roman une véritable aventure. Celle de Samaa face à une nature devenue hostile ( à qui la faute?)...



Très visuel, très fluide, d'un seul souffle (il n'y a pas de chapitre, pas de coupure) ce texte m'a plongée dans le monde de Samaa. En lisant, j'avais l'impression d'être dans le camp, dans le désert, au coeur des enjeux de la vie et de la survie de l'héroïne et des siens. Et ce sentiment de proximité n'a fait que s'accentuer, surtout quand Samaa se retrouve livrée à elle-même dans la trouée, auprès de l'arbre. A partir de ce moment, on y est. On est avec elle. On ressent ce qu'elle ressent. On vit ce qu'elle vit. C'est bluffant.



Ce roman est minéral, vivant, vibrant et saisissant de réalisme. Les odeurs, les sensations, tout semble réel, palpable.



Samaa nous ouvre les yeux, comme elle les ouvre elle-même, sur la bêtise et l'aveuglement des siens ( le nôtre?!) face à des pratiques ancestrales irréfléchies qui au lieu de les sauver va tous les mener à leur perte.



Et ce récit fait tristement écho à ce que l'on fait de notre monde aujourd'hui. On va droit dans le mur, on le sait mais au lieu de ralentir ou de s'arrêter, on continue à courir.



Heureusement, Samaa, malgré elle, va pourtant peut-être pouvoir changer les choses. Comment? En prenant conscience et en éveillant celle des autres.Pourrions-nous prendre exemple et faire de même?



En prenant aussi des risques pour faire comprendre aux chasseurs, aux hommes que ce qu'ils "accomplissent", elle peut le faire également, même si elle est une fille. Samaa est une vraie héroïne. Courageuse, combattive, déterminée, Samaa nous transporte et nous communique son énergie.



"Je veux être chasseuse. La première de ma tribu. Je changerai le destin de toutes les femmes."



Inspirante, elle invite à poursuivre ses rêves, quoi qu'on nous dise, quoi qu'il en coûte.



Et le désert disparaîtra est un roman que l'on doit faire lire à tous et toutes. Sans être moralisateur, sans être accusateur, ce texte touche à l'essentiel et met à sa manière, différemment, en lumière des problématiques sur lesquelles on sait qu'il est plus qu'urgent de faire quelque chose si on veut préserver les richesses de notre planète.




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Saskia a vécu l’horreur. Elle a appris qu’elle était Enkidare, sorte d’humain ailé aux dons dépassant l’entendement et qu’il existe deux Clans distinct en guerre perpétuelle : les Gardiens qui sauvent des humains, et les Faucheurs qui récupèrent leur âme, l’arush. Elle a en plus découvert au côté de Tod, Faucheur devenu son petit ami, et de Mara, Gardienne, tous deux mandatés pour la protéger, être traquée par le Surclan, une organisation Gardienne fanatique s’opposant radicalement à tout rapprochement entre Faucheur et Gardien, et qui la pense être le Troisième Enkidare, un être prophétique à la fois Gardien et Faucheur qui réunirait les deux Clans ennemis, pacifiant ainsi le Peuple du Ciel. Surclan qui n’a pas hésité à tuer son chien et sa mère adoptive et dont elle n’ a réchappé que de justesse alors même que son Réveil s’est amorcé, la dévoilant Faucheuse. Détruite, elle ne se relève que difficilement mais la traque est loin d’être finie et la voilà qui ressent des pulsions de Gardienne… Face à des ennemis des plus puissants, Saskia et ses amis vont devoir chercher asile au plus vite et tenter de répondre à cette question qui les taraude tous : est-elle réellement l’être prophétique ? Et pendant ce temps, l’étau se resserre, inéluctablement…



Toujours aussi captivant, ce second tome poursuit avec d’autant plus de suspens cette fabuleuse intrigue dans laquelle nous transporte avec talent Marie Pavlenko. Complétement immergés dans cet univers aussi sombre que fascinant, au côté de personnages tous aussi attachants et plein de profondeur les uns que les autres, les pages défilent de plus en plus vite à la poursuite de cette si prenante histoire qui, les mystères se multipliant, s’avère de plus en plus intrigante… L’on n’a pas fini d’être tenu en haleine et l’on ne peut que vouloir se précipiter sur le dernier tome de cette fantastique trilogie !

C'est ma fille de 14 ans qui m'a conseillé ce roman sans me préciser le sujet traité. Les 1ères pages, je me suis dit, inquiète, : "Oulà... Ça va être gai."... En fait, ça l'est plutôt !

J'ai lu avec plaisir l'histoire (un peu attendu) d'Abi, de son "Rognon" et de sa famille. La nature et l'amour qui soignent l'âme... pas très original mais très agréable à lire !

Un bon moment de lecture partagée avec mon ado.

Samaa est une jeune fille entêtée qui ne sachant pas, encourage naïvement les dénomés "chasseurs", ceux de la tribu (exclusivement les hommes, ndlr) qui vont traqué le bois dans l'immensité du désert, dont elle veut faire partie. Ces arbres sont extrêmement rares, et il faut monter des expéditions de plusieurs mois pour aller les couper. Ils servent de gagne pain à la tribu qui les revend à la "ville". L'Ancienne, a beau répété qu'avant, les arbres étaient abondants et permettaient de se nourrir sans avoir à les couper. Samaa elle n'y croit pas : il faut couper les arbres et les vendre pour survivre et non l'inverse. Elle aimerait tellement rejoindre son ami Solas et chasser avec lui, mais on lui interdit.

[Un soir, alors que les chasseurs s'apprêtent à partir, elle les suit discrètement en ayant pris des provisions. Mais elle n'arrive plus à suivre le rythme et se perd dans ce paysage monotone. Et après une nuit agitée de divers événements, elle va devoir faire face à une nouvelle réalité.]



Dans ce livre, Marie Pavlenko démontre la débilité de ce monde "futuriste", où la société est prête à s'autodétruire. Elle nous prévient qu'il est urgent de réagir et de changer nos modes de vie.



Pour ma part, je trouve que c'est un roman très bien construit auquel on adhère très rapidement. Marie Pavlenko arrive à nous plonger dans cette histoire qui nous semble être désormais d'un futur proche et très crédible au vu de nos pratiques. Il est dommage que l'histoire et l'action traîne parfois un peu en longueur mais j'apprécie qu'elle n'ait pas écrit seulement le journal de bord de Samaa. Depuis le début, le dénouement nous semble clair et nous ne faisons que l'attendre, ce qui peut expliquer que les péripéties soient un peu longues à nos yeux. Et le désert disparaîtra nous rappelle que nous vivons avec des écosystèmes très fragiles et qu'il faut réfléchir à deux fois si on ne veut pas arriver dans cette situation.
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Ici, nous suivons l’histoire d’un groupe de zombie qui se réveille toutes les nuits dans une petite ville du nord de la France. Ce petit groupe a un problème, en effet des machines menacent leur cimetière. Il ne savent pas vraiment ce que s’est, jusqu’à ce qu’il rencontre un jeune garçon qui va les aider dans leur aventure.

Je pense que ce premier tome est vraiment introductif et peut être un peu redondant. On présente les personnages, comment ils sont morts, il y a une petite aventure au milieu, mais qui n’a pas vraiment sa finalité et enfin une petite révélation à la fin. Même si je pense qu’on en sera plus dans les prochains tomes, je suis un peu rester sur ma faim. Peut-être que je m’attendais à trop de choses et j’ai donc été un peu déçu.

C’est une très courte histoire que je conseille pour des enfants qui commence à être à l’aise avec la lecture mais qui ont peur des romans sans illustrations. Ça se lit très facilement. Et puis ça peut faire un tout petit peur même si les zombies sont un peu des gens comme tous les mondes avec les mêmes occupations sauf qu’ils sont morts.

Parmi les ouvrages dont j’attendais impatiemment la sortie en 2020, le nouveau roman de Marie Pavlenko se classait sans aucun mal dans le top trois. Après avoir lu et adoré Je suis ton soleil ainsi que Un si petit oiseau l’année dernière, j’étais plus que curieuse de découvrir où la poésie de l’autrice, qui m’avait elle-même annoncé un ouvrage très différent des deux précédents, allait m’emmener. Et le voyage s’est révélé largement à la hauteur de mes espérances.



Dans un monde qui pourrait bien être le notre dans quelques décennies ou centaines d’années vit un peuple de nomades au milieu du désert géant qu’est devenu la planète. Ces chasseurs d’un nouveau genre traquent les rares arbres qui persistent pour vendre leur bois et ainsi survivre. Et bien que le travail de chasseur soit réservé aux hommes, Samaa est bien décidée à prouver qu’elle aussi en est capable. Mais sa première chasse pourrait bien lui ouvrir les yeux sur de nombreux sujets et changer l’avenir de sa tribu pour toujours.



Comme l’autrice me l’avait elle-même expliqué lors du dernier salon de Montreuil, c’est un ouvrage bien différent des deux précédents romans qu’elle a pu écrire. Là où ceux d’avant étaient des très belles histoires contemporaines, ce court roman est une sublime fable écologique dont l’écriture pleine de poésie m’a bouleversée autant que l’histoire parsemée de messages cachés.



Commençons donc par l’écriture. Marie Pavlenko nous propose un roman court et aéré, preuve qu’elle n’a besoin que de quelques mots pour nous transmettre les idées qu’elle défend, mais également les émotions ressenties par le personnage principal ainsi que par d’autres personnages plus inattendus.



On s’attache tout de suite à Samaa qui nous raconte l’histoire. Parce que c’est une petite fille vive, déterminée et très courageuse. Mais aussi parce qu’elle nous rappelle qu’une seule personne, qu’importe son âge ou son sexe, peut avec un peu de bonne volonté et d’éducation faire toute la différence.



Mais il y a également tous les autres personnages : la maman de Samaa, l’ancienne, Tewida les yeux, Gaïa et bien d’autres encore dont je ne peux pas vous parler sans risquer de vous dévoiler certains des meilleurs moments de l’histoire, mais qui ne sont pas tous humains et pourtant tous plus touchants et émouvants les uns que les autres, aussi bien humains, qu’animaux ou végétaux.



Enfin il y a toutes les références à notre monde actuel qui représente pour Samaa et les autres un passé depuis longtemps disparu. Et puis il y a les messages très forts sur l’écologie et l’avenir qui nous attend si nous ne faisons pas plus attention à notre planète qui m’ont bien souvent fait monter les larmes aux yeux tant ils sont justes et terriblement actuels.



C’était un roman magnifique et bouleversant, d’une rare justesse et douloureusement d’actualité. Une fois encore Marie Pavlenko nous fait la démonstration de tout son talent pour nous transmettre messages importants et émotions en tous genres. Je reste également émerveillée par sa capacité à se réinventer et à repousser les limites du genre. Il me tarde donc de découvrir quel sera sa prochaine merveille.
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Emm, où aussi appelée la Mort, se retrouve en plein burn-out et décide de tout arrêter. Oui, un monde dans lequel la mort n’existe plus.



Sur les conseils de sa Faux, Emm, va apprendre à connaître le monde des humains : elle va les côtoyer et découvrir leurs petites habitudes. Son chemin va finir par croiser celui de Suziel, femme atteinte d’un cancer en phase terminal, et d'Anatole, un médecin oppressé par sa mère.



Un livre original, avec des pointes d’humour, qui permet d’emmener le lecteur sur des pistes de réflexions comme l’acceptation de la maladie et la fin de vie. Très bonne lecture du début jusqu’à la fin !

"Et le désert disparaitra" est un livre coup de poing sur la nature, l'environnement mais aussi les relations entre les hommes. C'est un beau message d'espoir mais aussi d'alerte, qui nous rappel à tous qu'il faut faire bouger les choses.





Dans ce livre, nous plongeons dans un monde désertique : certainement le notre dans quelques années. La-bas, les arbres sont chassés et permettent aux tribus de vendre le bois en ville afin de survivre.





Nous suivons Samaa, une jeune fille qui rêve de partir chasser les arbres avec les membres de sa tribu, mais cela est réservé aux hommes. Alors cette dernière brave les interdits et part en retrait du groupe d'homme afin de les rejoindre une fois éloigné du campement. Samaa, encore jeune se laisse rapidement distancée.... Sur son chemin, elle découvre alors, par hasard un arbre. Son émerveillement est sans précédent. S'enchainent alors les messages d'espoirs de la part de Marie Pavlenko.





J'ai réellement apprécié cette lecture malgré le fait que le personnage de Samaa m'ait pas mal dérangé au début de l'histoire. Je trouvais Samaa arrogante et irrespectueuse. Mais après avoir finit ma lecture, j'ai pris conscience que cela m'a permis de remarquer son évolution dans le livre. Car Samaa change et ne reste pas le petite fille puéril qu'elle incarnait avant son départ.





La plume de Marie Palvenko prend un tournant avec ce livre ! J'ai adoré le style et les partis pris ! Je pense particulièrement aux effets de temporalités qui sont très biens exprimés dans "Et le désert disparaîtra". Les passages liées à la nature sont apaisants car plus lents et calmes.



J'ai été surprise par la tournure de l'histoire. Je m'attendais à ce que celle-ci soit plus moralisatrice. Marie Pavlenko offre une belle histoire qui fait écho aux débats actuels sans pour autant en faire le centre de son récit. Il y a une aventure, une rencontre et bien sur une forme de morale, mais on ne se sent pas coupable face aux messages qui auraient pu être trop directs.



Ce livre m'a marqué. "Et le dessert disparaitra" n'est pas un coup de coeur, mais je ne pense pas oublier son histoire de sitôt !





https://leslecturesdechloe.art.blog/2020/03/01/et-le-desert-disparaitra-de-marie-pavlenko/