Entre comédie, quand il prend à contre pied les méthodes de Sherlock Holmes, et tragédie, avec les nombreuses disparitions humaines, ce roman reste un ouvrage dur dans le fond, qui donne une bonne claque à l’orgueil des humains.
Le ton est d’abord bon enfant, même après les premières disparitions. Il vire ensuite au sordide quand il se met à pleuvoir des morceaux de corps humains… Un ennemi invisible sème la terreur dans l’Ain en « pêchant » ses victimes sur terre, dans les airs, et leur fait subir des horreurs. En fait, des horreurs pas pires que celles que les humains font subir aux autres êtres vivants de la planète, au nom de la science !
Plus de cent ans après sa publication, ce roman est dépassé en ce qui concerne les détails techniques et scientifiques, mais impérissable en ce qui concerne la description des sentiments dominateurs de la race humaine. Il est bon de la remettre à sa vrai place de temps en temps. Avec ses araignées invisibles, Maurice Renard, en dénonçant notre égocentrisme et en nous poussant à plus d’humilité, est un précurseur dans le genre.
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Un pianiste virtuose, Stéphen Orlac, a un accident qui nécessite la greffe des deux mains, le chirurgien de renom lui mettra celles d’un criminel tout juste guillotiné. Peu de temps après d’horribles crimes sont commis, dit comme ça, ça sonne comme un roman de Guy de Maupassant, et c’est vrai qu’il y a de nombreuses ressemblances avec La main, notamment pour le juste mélange entre fantastique et réalité. Mon édition des Moutons électriques propose une excellente préface qui permet de mieux comprendre d’où sort l’auteur et ce qui l’a inspiré pour ce drôle de roman. Egalement une postface très intéressante sur le roman merveilleux-scientifique et son action sur l’intelligence du progrès.
Le roman se découpe en deux parties, la première va jusqu’à l’intervention et la seconde est sur les crimes, si la première partie semble longue et inutilement descriptive, je trouve que la partie sur les crimes rattrape le tout pour offrir un roman qui mériterait plus de considération. L’ambiance surnaturelle n’est pas immédiate et demandera de la patience, aussi le langage soutenu ne conviendra pas forcément à un public jeunesse.
J’ai plutôt accroché au personnage d’Orlac, mais les autres, même le génial chirurgien, m’ont semblé fade et peu construit par rapport à notre protagoniste manchot. Je n’ai pas été spécialement fan de l’écriture, c’est assez typique du début du XXe siècle dans la façon de faire évoluer personnage et intrigue, on a un bon début, une bonne fin mais au milieu ça laisse à désirer, du moins c’est mon point de vue. Le sujet est original et j’aime bien la façon qu’à l’auteur d’instiller l’angoisse chez son personnage comme chez le lecteur.
Selon moi si livre mériterait d’être plus connu, même si ce n’est pas un coup de cœur le roman garde quand même ses qualités, un personnage fort, une vision fantastique du futur pas si éloignée de la réalité et une bonne fin.
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Ce roman fût une excellente découverte pour moi !
Au début du récit, j’ai eu peur de ne pas accrocher à la plume de l’auteur qui fait ‘ancien français’, mais au final absolument pas, j’ai même trouvé que la lecture était très fluide. Par moments, oui, j’ai pu être « gênée » par le style, mais au final cela rajouter un charme au récit.
La trame de l’histoire est originale et hyper intéressante ! Même si l’on sait ce qui va se passer grosso-modo, je peux vous assurer que vous n’êtes pas au bout de vos surprises vous aussi ! Jusqu’à la dernière page, nous allons être surpris et pris dans une ambiance étrange voire horrifique ! Dès fois, je lisais un chapitre avant d’aller dormir, et bien… je ne dormais pas sereine, sereine 🙂
Et en même temps, avec les progrès qu’il y a dans la science, ce roman peut avoir l’air d’un roman d’anticipation. Et je ne sais pas, si c’est plus ça qui m’a horrifiée ou les actes en eux-mêmes ou les deux !
L’ambiance de ce roman reste mystérieuse jusqu’à la fin. Je l’ai lu rapidement, je voulais savoir comment ça allait se terminer pour Nicolas.
Nicolas est très intriguant. On s’attache à lui, certes, mais il a un je-ne-sais-quoi qui fait que je suis restée en alerte tout le roman pour ses actes. Sa curiosité va le pousser à faire certaines choses que je n’aurais pas eu le courage de faire, et ce qu’il va vivre… Vous n’êtes vraiment pas prêts !
Si vous aimez ce genre de roman un peu glauque, un peu anticipateur et que vous n’avez pas peur d’une plume ancienne, foncez !!
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Rosine est mariée à Stéphen Orlac, le célèbre pianiste virtuose.
Lorsqu'elle apprend que le train dans lequel se trouve son mari vient de dérailler, elle fait tout son possible pour se rendre à son chevet, pour le sauver lui, et ses mains.
Elle le conduit dans la clinique du docteur Cerral, un chirurgien assez controversé.
Après de multiples opérations, un séjour en maison de convalescence, Stéphen est de retour chez eux.
Rapidement, de drôles de phénomènes apparaissent. Tellement étranges que Rosine se pose alors de nombreuses questions à propos se son mari. Des questions qui ne concernent plus forcément le fait de savoir s'il pourra, ou non, se servir correctement de ses mains à nouveaux...
Cette chronique est assez délicate à écrire, j'ai du mal à mettre des mots sur mon ressenti. J'ai tenté de laisser passer un peu de temps, pensant que comme souvent, j'allais réussir à mieux trouver mes mots en relisant les notes prises dans mon précieux carnet de lecture. Mais cela reste encore un peu confus, alors je vais tenter de m'expliquer au mieux.
Je suis partie en sachant que ce roman avait été écrit dans les années 20. Je m'attendais donc à un style d'écriture bien différent de celui de notre époque. De ce côté là, aucun souci. Le choix des mots, la narration, les descriptions, tout cela m'a offert un petit voyage dans le temps très agréable. Le préambule est intriguant et niveau intrigue, ce roman n'a rien à envier aux autres, loin de là.
Le hic pour moi a été le résumé un peu trop détaillé. J'ai eu une impression de longueur du coup. Et c'est dommage car il y a de nombreux passages intéressants.
En bref, et malgré ce petit souci de longueur, c'est un roman qui m'a étonné. J'ai aimé ce petit côté ésotérique, ce suspense bien présent. Quant a la fin, elle m'a surprise, m'offrant un autre regard. Je serais d'ailleurs assez curieuse de découvrir son adaptation cinématographique.
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Bon, je ne peux pas être objectif vu que je figure au sommaire. C'est un magnifique numéro, avec Arthur Machen à la proue, des perles de Maurice Renard et de Camille Mauclair, et d'un auteur complètement oublié, Pascal Mulot. La revue poursuit son travail savant, presque archéologique, avec toute la passion nécessaire. Et puis il y a eu ma découverte d'Yves Rémy et Ada Rémy. L'élégance, l'érudition au service d'une histoire étonnante à la chute réussie. Il est grand temps que je me précipite sur leurs œuvres!
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J'ai lu ce roman à l'époque où la collection Marabout poche avait un remarquable catalogue SF et fantastique. De Maurice Renard, je connaissais Les mains d'Orlac (il me semble qu'un film a été tiré de cette œuvre) et l'excellente nouvelle fantastique : "Le brouillard du 26 octobre". Mais "Le Péril bleu" est sans doute la réussite majeure de cet écrivain. Je goûte d'autant plus ce récit que j'habite près du Grand Colombier et que nous avons sans doute échappé, mes proches et moi-même, à un piège tendu par les Sarvants pour nous capturer. Cela doit remonter aux années 80. Passionné de cerf-volant, j'avais emmené ma femme et mes trois enfants au sommet du Grand Colombier pour essayer le dernier modèle que j'avais fabriqué. L'orage menaçait et un vent violent rabattit à chaque fois mon cerf volant vers le sol. Les premières gouttes commençaient à tomber. Nous redescendîmes jusqu' à ma voiture garée 100mètres plus bas. Stupeur: impossible d'entrer dans le véhicule. Les taquets de porte de ma vieille Kadett étaient abaissés et le trousseau de clefs oublié à l'intérieur. Pourtant j'étais sûr d'avoir laissé la voiture ouverte! Pas le moindre refuge, personne à l'horizon et le plus proche village à 15 km. Heureusement, je connaissais la série Mac Gyver. Je cassai mon antenne radio, formai un crochet au bout, et en forçant sur le caoutchouc de la portière, je réussis après plusieurs tentatives à soulever le taquet. Nous rentrâmes précipitamment dans la voiture. A la lueur d'un éclair, je crus apercevoir une forme bizarre se perdre dans les nuages.
Nous regagnâmes Culoz où des chocolats chauds nous permirent de nous remettre de nos émotions.
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« Le mystère du masque » est un roman policier publié, initialement, dans la mythique collection « Le Masque » aux éditions La Librairie des Champs-Élysées en 1935.
Ce roman est signé Maurice Renard, un auteur plutôt réputé pour ses récits d’anticipation, fantastique, science-fiction, dont « Les mains d’Orlac » est probablement l’œuvre la plus réputée.
Bien que connu et reconnu dans ce genre particulier dont il est réputé pour être à l’origine d’un sous-genre, Maurice Renard (1875-1939) ne s’en est pas moins essayé à un autre genre à la mode à son époque : le policier.
S’il a signé seulement quelques romans policiers (dont « Le Mystère du masque » est le dernier), il s’est également frotté au microroman policier, grâce à LA chronique quotidienne du début du XXe siècle : « Les contes des 1001 matins » paraissant chaque jour dans le journal Le Matin et permettant à divers auteurs de remplir leurs escarcelles, mais également de se créer un lectorat fidèle ou de se faire un nom.
Parmi ceux-ci, Colette, H.J. Magog, Tristan Bernard, Gaston Chérau, Jean-Joseph Renaud, Charles Quinel... et Maurice Renard.
Maurice Renard qui, parmi les presque 600 contes qu’il écrivit pour la chronique, en consacra une bonne partie au genre policier dont 26 au seul personnage de l’inspecteur Jérome, devenu commissaire en cours de carrière.
Le notaire Sérignac a été assassiné. Le meurtrier a été surpris, en pleine nuit, par le clerc venu déposer un travail urgent. Le coupable est vite désigné, le témoin l’a reconnu, il s’agit du frère de la victime. Le mobile ? Le vol : 83 000 francs ont disparu du coffre-fort ; la jalousie : les deux hommes étaient amoureux de la même jeune femme.
Mais lors des premières investigations, alors que le juge et les magistrats chargés de l’affaire se félicitent que celle-ci soit aussi rapidement résolue, l’inspecteur Chabosseau découvre, derrière une bibliothèque, un masque à l’effigie de l’assassin.
Mince alors, le coupable est innocent, mais qui a donc pu tuer le notaire ?
On le sait, rien d’étonnant, pour performer dans le genre anticipation/Science fiction, comme l’a fait Maurice Renard au point d’être considéré comme un maître en la matière, il faut de l’imagination, beaucoup d’imagination et posséder l’art de faire paraître crédible ce qui ne l’est pas forcément au premier regard.
Cela tombe bien, ces deux qualités peuvent servir quand on s’attaque au genre policier et Maurice Renard n’hésite pas à en user dans son roman comme on le constatera tout au long de la lecture.
Car, durant les 75 000 mots de ce roman qui ne peut donc pas être considéré, à l’époque, comme un « petit roman », Maurice Renard joue avec les personnages, les situations et, surtout, les lecteurs.
À partir d’un scénario un peu rocambolesque (surtout pour des lecteurs d’aujourd’hui), dans lequel l’assassin revêt un masque singeant les traits du frère de la victime, afin de le faire accuser du crime, l’auteur développe une histoire qui ne cesse de rebondir et de pointer du doigt tel ou tel personnage au point que le lecteur ne sait plus qui accuser (surtout une fois qu’il a accusé tout le monde). Mais le lecteur n’est pas le seul qui ne sait plus à quelle idée se tenir, l’inspecteur Chabosseau, le policier chargé de l’affaire, lui aussi, ne sait plus sur quel pied danser.
Durant toute l’histoire, un seul personnage semble avoir compris, du moins, être sur une bonne piste, c’est le jeune mécanicien Francis Perlot, qui aborde l’enquête dans laquelle son patron est compromis, comme il le fait d’une panne de voiture, en éliminant un à un les éléments qui ne peuvent pas être responsables de la panne.
Car, si les magistrats, le juge et un inspecteur de police sont sur l’affaire, c’est avant tout et surtout le personnage de mécanicien, qui, avec l’accord et le soutien de l’inspecteur, va se lancer à corps perdu dans l’enquête...
Maurice Renard, que je ne connaissais qu’à travers ses « enquêtes du commissaire Jérome » (je ne suis pas du tout fan de romans d’anticipation) m’a grandement, très agréablement surpris avec ce roman.
Effectivement, j’abordais le récit avec une certaine réticence, réticence qui ne fut par réduite par le premier rebondissement : le masque.
En effet, encore une histoire de grimage si parfait qu’il trompe son monde, cela devient un peu trop récurrent dans le roman policier de l’époque. Et puis ce masque, qui tombe là comme un cheveu sur la soupe... humm, humm.
Puis voilà que l’auteur parvient à m’embarquer dans son récit, une fois les premières réserves effacées, grâce, notamment, à ce personnage de mécanicien fort attachant et tellement bien présenté comme un futur crack que l’on se demande pourquoi l’auteur n’en a pas fait un personnage récurrent par la suite (dommage).
Maurice Renard parvient à jeter la suspicion sur chacun des personnages, et arrive, même, à nous surprendre plusieurs fois en nous apprenant l’identité du coupable.
L’auteur nous livre donc un roman bien pensé, qui joue parfaitement avec les codes du genre policier, propose un panel de personnages ce qu’il faut de caricatural en parvenant à nous en faire suspecter la majeure partie.
Car, si l’opposition cordiale entre les deux enquêteurs se fait sur les éléments usuels du genre : novice/professionnel ; jeune/plus âgé ; orgueilleux/modeste... elle se fait aussi sur la méthode que chacun utilise.
L’inspecteur Chabosseau a érigé en dogme les deux axiomes (qu’il affiche même chez lui) : « Cherchez à qui profite le crime » et « Cherchez la femme ».
Francis Perlot, lui, mène son enquête, comme ses dépannages mécaniques. Il étudie chaque pièce pouvant être responsable de la panne, écarte celles qui remplissent correctement leur fonction, jusqu’à découvrir la pièce fautive.
Et c’est cette opposition de style qui fait le charme de ce roman.
D’autant que cette lutte se déroule de manière très cordiale et qu’aucun des deux enquêteurs n’est tourné en ridicule.
Car, même quand Chabosseau a tort, il a un peu raison et quand il a raison, il a tout de même un peu tort. Mais on ne peut lui jeter la pierre ni le couvrir de ridicule tant tout un chacun aurait pensé comme lui.
Alors, certes, on pourra avancer que l’intrigue est un peu datée et elle l’est à coup sûr puisqu’elle date de presque 90 ans. Pour autant, il faut bien reconnaître à Maurice Renard qu’il développe un récit intelligent, rythmé, aux multiples rebondissements et durant lequel, jamais, on ne devine avec certitude l’identité du coupable.
Grâce à une belle plume, des personnages qui se situent à parfaite distance de l’originalité et de la caricature, de multiples rebondissements, un peu d’humour, et un coupable qui conserve son anonymat jusqu’au bout, Maurice Renard nous livre là un excellent roman policier qui n’a qu’un défaut, que son personnage central (Francis Perlot) n’ait jamais été réutilisé par la suite.
Au final, un excellent roman policier aux multiples rebondissements et qui met en scène un héros à la fois original et intéressant.
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Je n'ai pas vraiment été emballé par cette histoire qui commençait pourtant bien avec cet accident de train. Je m'attendais alors à un vrai roman fantastique et à beaucoup plus de mystère.
Le tout est assez mal ficelé et tombe en miette avec une fin en queue de boudin. Aucune explication n'est par exemple donnée sur l'accident de train, qui est pourtant le mystère principal de l'histoire au départ.
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Tout commence par une histoire d'amour contrariée, du style "Roméo et Juliette", mais version Corse.
Un Orthofieri aurait, longtemps plus tôt, assassiné un Christiani, et depuis ce jour, les deux familles se haïssent, et il semble que rien ne pourra jamais changer ça... jusqu'à la rencontre de Charles Christiani et Marguerite Orthofieri, qui tombent amoureux dès le premier regard, bien entendu.
Désespéré de ne pouvoir épouser celle qu'il aime, Charles fait alors la découverte d'une pierre qui reflètent des images du passée, et va alors tenté coûte que coûte de découvrir ce qu'il s'est vraiment passé, qui a vraiment tué César. Cette recherche est longue. Longue et peu intéressante. Il faut dire qu'il veut résoudre le meurtre tout simplement en regardant ce qu'il s'est passé. Autant dire donc, qu'il ne se passe pas grand chose...
D'ailleurs, j'ai sauté de nombreux paragraphes.
De plus, les personnages sont peu intéressants, et l'histoire d'amour particulièrement plate. Seul le personnage de Bertrand, fiancé de la soeur de Charles, m'a été un peu sympathique.
Deux étoiles malgré tout, car l'envie de savoir qui était l'assassin César m'a quand même fait lire le livre jusqu'à la fin (même si de nombreux passages ont été lus en diagonale...)
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Le titre "occultisme" laisse une impression de secrets et de mystères un peu trompeur. Plus factuellement, c'est une compilation générale de nouvelles fantastiques où le surnaturel est apporté par des humains (et, dans un cas, un chat) qui pratiquent la magie.
Beaucoup de variations sur le thème de l'enchantement, pour tuer ou pour séduire, et finalement ça va assez vite sur le côté compréhension de l'univers en général et théories occultes. Je l'ai un peu regretté. Peut-être parce que si les auteurs expliquaient trop, cela tournerait en fantasy plutôt qu'en fantastique...
Il y en avait quand même des très bonnes. J'ai beaucoup aimé "L'elixir de longue vie" de Balzac (et personne ne m'avait jamais dit que c'était une réécriture de Dom Juan), la fin est terriblement frappante. Sinon, "Le château de Leixlip" de Maturin était un peu décousue mais écrivait les fées d'une façon qui me plait, et j'ai aussi aimé "Un bonbon pour une bonne petite" de Bloch, qui a un esprit très moderne et factuel et presque fantasy urbaine, pour le coup. Dans celles que j'avais déjà lues, j'adore "Le Miroir d'encre", mais j'aime tout ce que fait Borges.
Ceci dit, elles avaient toutes de bonnes idées, et ont été choisies pour cela en premier : pour offrir un large panorama et plusieurs variations du thème choisi.
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