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Critiques de Michel Ragon (135)
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Les mouchoirs rouges de Cholet

une belle histoire mon avis plus tard je l'ai lu mais il y a longtemps j'ai même fait un fichier audio pour mon vieux pére
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Les mouchoirs rouges de Cholet

une belle histoire mon avis plus tard je l'ai lu mais il y a longtemps j'ai même fait un fichier audio pour mon vieux pére
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Les mouchoirs rouges de Cholet

formidable épopée
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Un rossignol chantait

Les souvenirs d'enfance de l'auteur, fils unique auprès de sa mère veuve très jeune d'un militaire et de ses deux grands-parents, anciens domestiques que la lente érosion de leurs maigres économies amènent doucement à la pauvreté. Le monde des pauvres gens (les gens pauvres comme le précise l'auteur) de Fontenay le Comte, petite ville de la Vendée de l'entre deux guerres à une époque où l'on vivait petitement, voire chichement et surtout lentement, au rythme des chevaux et des chars à boeufs. Le grand-père, fier cocher de maître, mourra aveugle. Sa femme, la lumineuse grand-mère de Ragon, n'arrivera pas à échapper à la misère et finira sa vie à l'hospice.

Une réflexion intéressante sur une époque difficile et oubliée qui nous est complètement devenue étrangère. Le temps d'avant l'usine, la voiture, la télé et toutes les commodités modernes. Chacun cultivait un petit potager, faisait pousser sa vigne, récoltait quelques fruits et élevait quelques poules, des lapins et même une vache. Harmonie avec la nature, familiarité avec les animaux, quasi autarcie et économie (pour ne pas dire parcimonie) qui allait jusqu'à se soigner soi-même avec les plantes et rapiécer ses vêtements pour les faire durer toute une vie. Dans notre société de consommation et de gaspillage, il n'est pas mauvais d'entendre une voix qui nous rappelle d'où nous venons...
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Un amour de Jeanne

La vie de Jeanne d'Arc du point de vue de Gilles de Rais qui fut avec Xaintrailles et La Hire l'un de ses plus fidèles compagnons et qui tomba amoureux d'elle (platoniquement bien sûr...) « On ne pouvait pas aimer charnellement Jeanne, dit-il, sans rompre son pacte avec les anges. » On sait également l'intérêt de Gilles portait aux jeunes garçons, on connaît moins cet amour impossible et désespéré scellé par un pacte avec Dieu ou avec le diable. Les deux destins de ces êtres exceptionnels et totalement opposés (et ambivalents) demeureront à tout jamais enchevêtrés tout en s'expliquant l'un l'autre par la montée vers la même condamnation, le bûcher, à neuf ans d'intervalle. Cependant l'une laissa le souvenir d'une sainte et d'une icône de la résistance à l'envahisseur et l'autre celui d'un dépravé, sadique et pédophile, ayant voué son âme au diable.

Un livre excellemment documenté et passionnant à plus d'un titre qui apporte un éclairage nouveau sur le mystère de la Pucelle d'Orléans. Pourquoi, alors que tout fonctionnait à merveille (victoires militaires, prédictions et élan populaire) les fameuses « voix » qui la guidaient cessèrent-elles brusquement de lui parler la laissant complètement désemparée ? Comment deux êtres aussi opposés ont-ils pu se rejoindre, se comprendre et surtout s'aimer ? La fin calamiteuse de Gilles de Rais, présentée comme une conséquence du naufrage de Jeanne est particulièrement réussie et pose de nombreuses questions. Le lecteur réalise combien la frontière entre le bien et le mal est ténue et comme il est facile pour un être passionné et mystique de basculer d'un côté ou de l'autre de la barrière. De la belle ouvrage.
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La mémoire des vaincus

Au début de l'autre siècle, un petit orphelin, Fred Barthélemy rencontre Flora, une jeune marchande de poisson dont il tombe amoureux. Les deux enfants sont assez vite recueillis par un couple d'anarchistes de Belleville, Victor et Rirette, amis très proches de la bande à Bonnot. Fred fera son éducation politique auprès de Delesalle, un libraire anarchiste et apprendra le russe avec des émigrés fuyant la répression tsariste. Cette connaissance lui épargnera la boucherie de 14 car il sera envoyé par l'armée comme observateur de la révolution russe. Au contact de Lénine, Zinoviev, Kamenev, Trotsky et Staline, il sera horrifié de la manière dont son idéal sera trahi, mais participera néanmoins à la propagation du communisme dans les autres pays d'Europe. Rentré en France au moment du Front populaire, il participera activement à la guerre d'Espagne dans les rangs des libertaires et des anarchistes qui finiront pour la plupart sous les balles des bolcheviques. Il passera la seconde guerre mondiale prisonnier en France dans le camp de concentration de Gurs et ne sera libéré qu'en 1945 sans avoir eu ni procès ni condamnation, ni réhabilitation d'aucune sorte. A la fin de sa vie, il exercera la profession de bouquiniste sur les quais de Paris.

Un destin exceptionnel, une vie qui en contient dix et qui permet à Michel Ragon de nous brosser une fresque magnifique sur le mouvement anarchiste et libertaire. En compagnie de Fred, dont on se demande s'il a vraiment existé (auquel cas ce livre est un document et non un roman historique), le lecteur croisera le prince Kropotkine (initiateur avec Bakounine du mouvement en Russie), le rebelle anarchiste ukrainien Mackhno, les espagnols Durruti et Pestana, tous ces « vaincus » qui aidèrent à l'avènement du communisme en Russie et ne furent récompensés de leur zèle que par une balle dans la nuque dans les caves de la sinistre Loubianka ou par la déportation dans les neiges du Goulag. Des idéalistes (souvent réalistes) qui jouèrent par naïveté les supplétifs sur tous les fronts et ne furent que des « idiots utiles » des bolchéviques, tout comme les intellectuels bourgeois de l'époque (Romain Rolland, Aragon, Malraux, Barbusse, etc, etc). Un livre utile, passionnant, indispensable sur un sujet rarement abordé (on apprend beaucoup de choses sur un mouvement trop souvent caricaturé pour ses excès de violence et sur certaines affaires peu ragoûtantes comme la fin de Louis Renault bastonné à mort dans la prison de Fresnes, ou celle de Drieu La Rochelle). Presque un siècle de la vie politique mondiale vu du côté des vaincus, des oubliés et des proscrits. Bravo à Michel Ragon pour cette oeuvre de mémoire si différente de la vulgate officielle si complaisante avec les vainqueurs.
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Le Roman de Rabelais

Je viens de voir que seulement deux personnes ont lu se livre ici !



Alors tentez de le débusquer à la bibliothèque car c'est un vrai trésor. Nous suivons Rabelais ce moine-médecin-philosophe-écrivain et conseiller des Grands.... un humaniste qui avait tout compris - trop tôt comme beaucoup - c'est un livre frai - actuel - qui vous donne envie de vous replonger dans la lecture de Gargantua et Pantagruel, qui eux n'ont plus, n'ont pas pris une ride.... Ce livre c'est que du bonheur - un bonheur simple et constructif ..

Je le conseille à lire et à relire sans modération.
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L'accent de ma mère

Fils d'un militaire de la Coloniale, Michel Ragon passa son enfance en Vendée à Fontenay le Comte et sa jeunesse à Nantes auprès de sa mère, humble femme du peuple paysan de l'ouest avant de partir tenter sa chance à Paris. Partant du personnel et de l'anecdotique, il en vient assez vite aux drames de la Vendée, souvent cantonnés à un des épisode des révoltes chouannes alors que le pays dut subir guerres de religion, implantation huguenote, révocation de l'Edit de Nantes, dragonnades, émigration en Acadie, déportation en Louisiane (« le grand Chambardement ») et bien sûr le monstrueux génocide qui débuta en 1793.

Ragon propose une explication des causes bien différente des versions habituelles, renvoyant dos à dos les habituelles thèses royalistes ou républicaines. La révolte vendéenne ne fut au départ qu'une jacquerie de plus, totalement paysanne et prolétarienne donc ni religieuse, ni royaliste. Les bourgeois n'y prirent pas part et y furent même complètement hostiles. Les nobliaux se firent tirer l'oreille pour en prendre la tête. De plus, elle ne concerna qu'une partie du territoire vendéen, celui qui fut le plus ardemment protestant et qui était quasiment déchristianisé à l'époque. Aucune ville, aucun hiérarque catholique, excepté les prêtres réfractaires, aucun noble de haute lignée n'y adhéra. (Ils étaient même plus nombreux à encadrer l'armée bleue) Quant aux émigrés, jamais ils n'aidèrent le mouvement, bien au contraire. Le futur Louis XVIII ne leva pas le petit doigt alors qu'il aurait suffi que l'armée royale fasse sa jonction à Granville où l'attendaient pas moins de 80 000 hommes pour balayer Robespierre et son régime. « Si profitant de leurs étonnants succès, Charrette et Cathelineau eussent réuni leurs forces pour marcher sur la Capitale, c'en était fait de la République ; rien n'eût arrêté la marche triomphale des armées royales. Le drapeau blanc eût flotté sur Notre-Dame... » écrira Napoléon Ier. En réalité, royalistes et révolutionnaires se méfiaient terriblement de ce peuple insurgé contre toute forme d'oppression.

Se révoltèrent-ils pour échapper à la conscription ? Ragon rejette également cette thèse car la Vendée fournira toujours un des plus gros contingent de soldats à la République et s'illustrera pendant les deux guerres mondiales (Tranchée des baïonnettes, Résistance). Alors pourquoi ces va-nu-pieds prirent-ils les armes et se lancèrent-ils dans cette aventure désespérée, dans cette révolution dans la révolution ? Pour Ragon, ils furent vite déçus par la tournure que prit le nouveau régime qui se mit à augmenter les impôts, à réduire les libertés et en particulier celle de culte et surtout à favoriser leurs ennemis de toujours : les bourgeois qui profitèrent de la vente des biens de l'Eglise pour accaparer les terres et pressurer un peu plus les paysans. Le résultat en fut les longues années de massacre et de politique de terre brulée (Colonnes infernales de Tureau, Noyades de Carrier à Nantes, massacre avec tortures de femmes et d'enfants aux Lucs et sur tout le territoire). Au total autant de victimes et de dégâts que pendant la Guerre de Sécession ou pendant la guerre civile en Espagne. Excusez du peu. Et un silence aussi honteux qu'étourdissant de tous ceux qui ont voix au chapitre à travers les siècles. Une révolution qui étrangle, brûle, étripe, liquide plus révolutionnaire qu'elle, c'est impossible, impensable, inimaginable !

Et pourtant l'horreur vendéenne portait en germe tant de génocides, d'ethnocides ou d'épurations ethniques : des koulaks aux Ukrainiens et aux Polonais sous Staline, sans oublier les Irlandais, les Arméniens en 1915, les Juifs par les nazis de 33 à 45 et plus près de nous, les Cambodgiens sous Pol Pot, les Biafrais, les Rwandais et tant d'autres...

Bravo à Michel Ragon pour avoir si magistralement traité ce difficile sujet (ce livre est une véritable somme, avec documents, annexes, déjà un véritable classique sur la question) et à cette merveilleuse collection « Terre Humaine » qui permet au plus grand nombre d'appréhender l'ethnologie historique ou contemporaine et faire découvrir tant de figures étonnantes ou touchantes comme Anta, Toinou, Sylvère et comme cette maman vendéenne de Michel Ragon.
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La mémoire des vaincus

Une fresque sur l'histoire de l'anarchisme au XX° siècle absolument passionnante ! Fred Barthélémy est un personnage absolument incroyable. Une vie palpitante à travers laquelle l'auteur dresse un portrait de l'histoire européenne récente. Ce livre m'a donné envie de m'intéresser de plus près à d'autres auteurs dont Victor Serge ou Gorki. Une très belle découverte qui m'a ouvert d'autres horizons.
Lien : http://madimado.com/2012/03/..
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Le Cocher du Boiroux

En Vendée , à la limite du Marais Poitevin , Henri , le fils du châtelain du Boiroux rentre chez son père gravement malade . Il découvre un domaine laissé à l'abandon . Son père donne dans un éthylisme avancé et le cocher , ex-ami d'enfance , lui bat froid . Sa nourrice s'est réfugiée dans les greniers du château et est devenue quasi-folle . Elle finit jetée par la fenêtre . Un domestique est trouvé pendu . Le père meurt . Henri vend le domaine et lègue au cocher une petite ferme .

Soudain , le cocher disparaît avec sa femme . Henri part à sa recherche ...

Un roman un peu mélancolique , mais qu'on lit d'une traite , car il est très bien écrit et les personnages sont attachants . Il nous décrit en fait , le crépuscule de la petite noblesse campagnarde sacrifiée sur l'autel de la modernité .

" L'industrie nous nargue , dit le châtelain . Elle arrache de nos campagnes de bons valets qui , dans ses usines se transforment en mauvais sujets . Elle nous envoie des machines qui rendent inutiles la main d'oeuvre des pauvres . Les métayers et les fermiers mettent à la porte leurs domestiques . Que peuvent-ils faire sinon d'aller travailler pour les industriels si on veut bien d'eux ?"

En fait , une exploitation en remplace une autre et rien ne change sous le soleil.

Le mérite de ce très beau livre est de nous donner à réfléchir sur la valeur du travail humain , sur l'influence du progrès et de la modernité sur la vie d'un terroir .
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Un si bel espoir

L'histoire d'Hector , architecte oublié , plein d'idées modernes comme l'utilisation du fer et du verre , démarre avec la Révolution de 1848 , se poursuit sous le Second Empire pour se terminer avec la Commune et la déportation en Nouvelle Calédonie .

Hector est l'ami de Courbet et de Proudhon . Il place tout son espoir dans le progrès , les nouvelles techniques et le chemin de fer . Ses idées architecturales sont reprises par d'autres comme Baltard , mais , lui ne pourra pratiquement jamais les mettre en application .

Son grand amour , ex-modèle du peintre Courbet , le quitte pour mener la vie dissipée des "lionnes" qui dévoraient les fortunes des gros profiteurs de l'époque . La malheureuse finira du choléra .

L'intérêt de ce livre vient surtout de la description d'une époque bouillonnante , le Second Empire , avec ses formidables bouleversements techniques , l'entrée dans le modernisme , l'arrivée d'un affairisme sauvage et malheureusement l'asservissement des ouvriers .

Tous les beaux rêves des utopistes saint-simoniens se fracassent sur la débâcle de 1870 . On découvre dans ce livre que les nouvelles techniques , loin de libérer l'homme , l'asservissent un peu plus puisque c'est le train qui a permis l'écrasement de la Commune de Paris d'abord en amenant rapidement les troupes de répression sur place puis en emmenant les déportés au retour !

Un livre passionnant , des personnages attachants que l'on quitte à regret . Un style clair , agréable . Michel Ragon se révèle être , en plus d'un écrivain régionaliste de la Vendée , un excellent spécialiste du roman historique .
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Le Prisonnier

Le prisonnier, dont le thème basé sur la correspondance entre un vrai détenu, "courtois" mais plein de "certitudes", fan d'un romancier célèbre dont il affirme connaître l'ex-femme Christine ex- "mannequin d'un grand couturier" et le romancier lui-même, piégé petit à petit,malgré l'exaspération ressentie, donc devenant "prisonnier des chimères" de son correspondant-lecteur, est un roman intéressant.

Le point de vue psychologique de cette relation épistolaire est très fouillé.

Voilà, l'écrivain "jaloux de l'intensité de l'amour du prisonnier pour Christine". Voici l'inconnu persuadé que le personnage romanesque de Flora a été inspiré par Christine.

"Parlait-il de la même Christine?"

L'écrivain la voit douce et l'autre perverse,violente et passible de dérives.

Ne s'agirait-il pas plutôt de Louise ex-maîtresse "effrontée,indocile,"papillon volage"?

Michel Ragon (romancier,essayiste,historien français contemporain qui a obtenu le prix des Lectrices de Elle, le Goncourt du roman historique pour Les mouchoirs rouges de Cholet et le prix des Maisons de la Presse pour Le roman de Rabelais),avec une écriture fluide et percutante à la fois, sait capter l'attention du lecteur et l'interroge sur l'image que l'on a de la personne aimée,sur la différence de milieu social pouvant faire capoter un mariage,sur le rôle joué par le "parvenu" dans un monde qui n'est pas celui de ses origines, sur les personnages issus de l'inconscient d'un romancier et sur la facilité qu'ont leurs fans à confondre réel et imaginaire!
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Georges et Louise

Ce petit roman raconte l'amitié entre Georges Clémenceau, parlementaire puis ministre radical et Louise Michel, la passionaria de la Commune de Paris. L'histoire est inspirée de faits réels. La complicité entre Georges et Louise fut d'une exceptionnelle longévité. Ragon rappelle comment celui qui avait fini par devenir le premier flic de France fut un des derniers fidèles de l'institutrice anarchiste qui, à la fin de sa vie, vivait tant bien que mal de conférences auxquelles plus personnes n'assistait. Un livre touchant et bien documenté.
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La mémoire des vaincus

Fred Barthélémy traverse le vingtième aux côtés des anarchistes. Et il en a de la chance le jeune ouvrier parisien qui croisera tout ce que le monde d'alors compte comme figures libertaires. De Raymond La Science, l'artificier de la Bande à Bonot au pacifiste Tolstoi en passant par Makhno et Durutti. Fred côtoie les acteurs de l'histoire, Lénine, Trotsky, Zinoviev, Largo Caballero. Il est à Moscou en 17, à Barcelone en 36, il vit les purges et les trahisons staliniennes. A travers cette fresque, Ragon nous dit pourquoi on est libertaire. Il nous raconte l'histoire de cette étrange tribu qui croit que la liberté et l'égalité ne sont pas contradictoires, qui refuse toutes les justes lignes, qui se méfie des ordres et de la discipline, qui crache sur la dictature, fût-elle du prolétariat en deux mot qui croit en un socialisme humain. Un livre touchant, à lire en écoutant Addio Lugano bella...
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Les mouchoirs rouges de Cholet

Partie en stage à Cholet, ayant des origines du Pays de Retz on m'a offert ce livre et.... quelle histoire horrible que ces guerres de vendée!

Le livre est très très bien écrit, il est à la fois émouvant, dérangeant, atroce et plein d'espoir.

C'est une partie sombre de notre Histoire qui m'a ému, touché et que j'ai découvert! Ce livre est très bien documenté et l'auteur a construit son roman autour de faits on ne peut plus réel renforçant par la même l'atmosphère prenante du livre.
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