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Critiques de Nakaba Suzuki (298)
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Seven Deadly Sins, tome 1

Avec Seven Deadly Sins, vous aurez la joie de découvrir un shônen médiéval complètement tiré par les cheveux ! Le "petit" Méliodas tient le "Boar Hat", une taverne ambulante où la bière est aussi bonne que la bouffe y est dégoûtante. Peu importe les critiques et les moqueries des clients qui se laissent berner par son apparence juvénile : son travail lui permet de recueillir assez vite les ragots du royaume de Britannia ! Le lecteur apprend en même temps que le héros qu'il s'en passe de belles à la cour : les Chevaliers Sacrés ont mis le roi à l'écart et jouissent à présent des pleins pouvoirs. Ils ne gênent pas pour jouer les brutes épaisses lorsqu'il s'agit d'effrayer les plus faibles. On devine qu'ils fomentent une guerre...



Un jour, le tenancier voit débarquer un immense chevalier masqué sous son armure métallique... et rouillée. Tous les assoiffés prennent la fuite sans se faire prier : ils ont reconnu en lui l'un des Seven Deadly Sins, une bande de chevaliers mercenaires redoutables qu'on n'a pas vu depuis dix ans dans le secteur de Britannia mais qui, malgré tout, font encore l'objet d'un avis de recherche.



Méliodas ne s'y laisse pas prendre : il devine rapidement que quelqu'un se cache sous la grande carapace métallique. En effet, la personne qui a revêtu l'armure n'est autre que la princesse Elizabeth, fille du roi réduit au silence ! Afin de sauver son père des griffes des Chevaliers Sacrés, elle s'est mise en tête de retrouver les fameux Seven Deadly Sins.



En mettant les pieds au Boar Hat, elle ne pouvait pas mieux tomber...




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Seven Deadly Sins, tome 1

Cette présentation des personnages principaux, pleine d'humour, et leurs aventures rocambolesques, m'engagent à lire la suite... A savoir, ce manga est sortit en version papier et aussi en version numérique, ce qui conviendra parfaitement aux "globe trotter" en herbe munis de tablettes.
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Seven Deadly Sins, tome 1

En français pour ceux qui ne maîtriseraient pas la langue de Shakespeare, « seven deadly sins » signifie « sept péchés capitaux ». Ces péchés, décrits par la religion catholique comme les principaux, ne sont pas forcément les plus graves, mais bien plutôt ceux dont découleraient tous les autres. S’y trouvent la colère, l’envie, la paresse, l’avarice, l’orgueil, la gourmandise et la luxure. Voilà, c’était l’instant La Culture générale pour les nuls de cet article ! Nombre d’œuvres s’en inspirent plus ou moins consciemment, tandis que d’autres les exploitent carrément : immédiatement vous vient à l'esprit Seven, le film de David Fincher de 1995 ; ou FullMetal Alchemist pour rester dans le thème japonisant de cette critique. A noter que si le premier n’est résolument pas pour les enfants et que le dernier est accessible à partir de l’adolescence pour la dureté et la complexité de son intrigue, Seven Deadly Sins, tout en faisant de l'oeil à un public beaucoup plus mature, s’adresse aussi aux plus jeunes.



A propos d’intrigue, quelle est donc celle de ce sémillant shônen ? Parce que je parle, j’introduis, mais au final vous n’êtes pas plus avancés. D’après son auteur, Nakaba Suzuki, ce manga servirait de préquelle à la légende arthurienne et, effectivement, l’action semble bien se situer parallèlement au début du règne du Roi Arthur. Les Seven Deadly Sins formaient à l’origine un groupe uni et soudé de valeureux guerriers. Malheureusement, suite au crime abominable qui leur fut imputé, ils durent se séparer afin de fuir le courroux des Chevaliers Sacrés, et la simple évocation de leur nom fait aujourd’hui trembler même les plus aguerris des hommes. Les Chevaliers Sacrés maintiennent à présent l’ordre sur ce merveilleux royaume de Britannia, et recherchent toujours activement ces monstrueux criminels.



Voilà pour le contexte. Dirigeons-nous maintenant vers le Boar Hat, une taverne ambulante tenue par le jeune Méliodas. Son assistant n’est autre que Hawk, un cochon de l’espèce des cochons loquaces (je vous laisse deviner pourquoi), qui n’est pas sans rappeler Bou, le compagnon de route de Ash & Eli, en plus... en plus loquace, quoi. Et, autant Méliodas dispose d’une cave excellente, autant il est incapable de préparer correctement quelque nourriture que ce soit. Du coup on sait pour quelle raison les consommateurs sont là. Débarque alors de manière inattendue Elizabeth, présentée d’abord sous les traits d’une jeune femme en détresse, et qui rapidement se transformera en princesse désespérée à la recherche elle aussi des Seven Deadly Sins… Méliodas, son cochon Hawk et Elizabeth vont ainsi former un improbable trio, et partir en quête du groupe mythique (j’allais dire mythologique, mais on n’est pas loin). Au menu : combats contre des adversaires sidérants de puissance et d'intelligence (où l'on constate d'ailleurs que le petit Méliodas et son grand sourire cachent en réalité un redoutable combattant !) et courses-poursuites (oui, parfois on n'arrive pas à gagner : il vaut mieux alors fuir), humour et grands sentiments propres au genre, le tout joliment enrobé dans une joyeuse ambiance Fantasy.



La force de ce shônen est de s’adresser aux enfants, tout en proposant une double lecture qui ravira même les adultes amateurs du genre (preuve en est : j’ai adoré le début de cette série). Le jeune héros dispose d’une maturité d’esprit et d’une assurance épatante pour l’âge qu’il paraît, tout en gardant un comportement de gamin insouciant qui sait que rien ne pourra jamais l’atteindre. Seven Deadly Sins est souvent comparé à Fairy Tail ou à Dragon Ball, et à raison : le lecteur, béat, retrouvera sa dose de nekketsu, et ces séries en sont des archétypes de qualité. Voyez plutôt: le jeune homme foncièrement bon et quelque peu naïf ; son artefact, à savoir une épée brisée au pommeau en forme de dragon ; ses compagnons de quête, ici le cochon en faire-valoir humoristique et la princesse éplorée d’apparence aussi naïve que sexy ; des ennemis charismatiques et de plus en plus puissants ; etc. Sans verser dans le manichéisme primaire non plus : les personnages gagnent rapidement en intensité et ont pour la plupart quelque chose à se faire pardonner. Bref, un archétype du shônen bien fichu qui ne prend pas son public pour un idiot.



Si ce que vous venez de lire vous a plu, sachez que je recommande cette série à partir de 9 ans. Elle plaira également aux plus jeunes qui auraient déjà lu Fairy Tail ou Dragon Ball, la série étant résolument sur le même ton.

Seven Deadly Sins est considérée par Pika comme LA nouvelle série shônen, celle qu’on attendait tous depuis tant d’années ; je suis persuadé qu’ils ne sont pas loin d’avoir raison.
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Four Knights of the Apocalypse, tome 10

Après un tome 9 polémique, j’étais curieuse de voir comment l’auteur allait se relancer. Eh bien, c’est simple, lui, il ne voit rien et fonce droit devant, offrant le divertissement pur qu’on est en droit d’attendre avec en prime de chouettes développements pour la mythologie de la série. J’adore !



J’étais quand même pleine d’appréhension après le développement glissant de Jericho mais j’avais tort. Loin de la polémique, l’auteur lui se consacre entièrement à son oeuvre et tandis que je voyais ce spin-off moins clair que la série d’origine, une ligne commence à se dessiner et une ligne fort plaisante en l’occurrence ! Je me suis ainsi régalée avec ce tome entre action assommante et fondation de nouveaux groupes de héros. Tout ce que j’aime chez l’auteur !



Il s’attaque ainsi dans ce tome à l’affrontement contre Arthur, notre cher roi qui a viré totalement dark alors qu’il était si pur autrefois. Ça colle des frissons de le voir ainsi mais grâce à cela nous avons des combats qui sont vraiment impactants. Les héros ne se battent pas contre un quidam. La surprise du chef de l’auteur, Meliodas, se bat contre un ancien ami à lui et ça change tout. Les relations entre les personnages sont d’ailleurs au coeur de tout, que ce soit avec un Meliodas protégeant son fils Tristan pendant la bataille, ou avec un Lancelot qui protège son mentor et cherche un être aimé, sans parler des jeunes compagnons de Percival qui l’accompagnent dans cette quête. L’émotion est donc palpable dans ce tome.



Les combats, eux, sont pêchus, explosifs et riches. Les surprises sont au rendez-vous et l’auteur sait utiliser avec classe ce qu’il a déjà bâti. On se plaît à retrouver Meliodas et sa surpuissance démoniaque. On aime le voir contrarié par son propre fils entré en frénésie. Arthur a une classe folle en méchant, mais ce n’est rien contre Lancelot, qui rebat totalement les cartes et avec un de ces flegmes ! J’adore ce personnage, c’est clairement mon préféré dans la saga avec Arthur à ce jour et l’auteur nous le rend bien en centrant le combat autour de lui de manière magique, nous surprenant à merveille avec de super techniques.



Enfin, ce tome, c’est aussi celui de la création d’une nouvelle génération. On les avait juste mis côte à côte jusqu’à présent mais rien créer vraiment entre eux, à part pour Percival et ses compagnons, il s’agit maintenant de faire de même avec les Cavaliers et l’auteur s’y entreprend. C’est à la fois doux, tendre et amusant. Il joue à nouveau énormément sur les codes de la chevalerie à l’ancienne, ainsi que sur les propres codes de son univers développés dans sa série précédente. C’est très chouette de découvrir ainsi la nouvelle génération avec ses liens et ses particularités propres. Il y a par exemple encore plus de diversités dans les relations, j’ai l’impression, avec des personnages LGBT présents et en devenir, ce que je trouve très actuel. Alors, c’est un peu le calme après la tempête ces chapitres, mais ils sont nécessaires pour créer de vraies relations et entretenir la camaraderie. J’ai donc beaucoup aimé les instants consacrés à chacun, et en particuliers Nacient et An, et je sens du potentiel chez plusieurs comme Gawain ou Thitis la magicienne, ce qui me donne hâte.



Tome qui aurait pu être casse gueule, ce fut au final l’un des plus réussis de la série à ce jour, avec des combats magiquement orchestrés, des héros et méchants révélés, des camarades qui forgent des liens plus profonds, tout ce qu’on attend d’une série de ce genre. J’avais tort d’avoir peur.
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Four Knights of the Apocalypse, tome 7

J'aime vraiment de plus en plus le chemin pris par cette revisite du mythe arthurien qui prend un sacré virage dans ce tome introductif à une nouvelle époque.



Finie la vadrouille, place à la rencontre avec la ville de Liones et ses habitants. Nakaba Suzuki, avec l'efficacité et la force tranquille qu'on lui connaît, fait avancer son histoire à bond de géant, comprenant qu'il était temps de changer de ton. Petite fixette donc sur la nouvelle mythologie de l'histoire : les Cavaliers de l'Apocalypse avec en guest star plein de personnages de Seven Deadly Sins. C'était jouissif !



Avec un mélange de tranche de vie fantastico-médiéval, il nous entraîne dans les rues de la capitale où Meliodas règne, à la rencontre d'anciens et nouveaux personnages qui vont permettre de décanter ce bond dans l'inconnu. Il est amusant de voir la rapidité avec laquelle Percival tombe dans les ennuis et détecte les déviants. Mais il est encore plus séduisant de jouer ici les touristes et de voir le royaume imaginé par les héros de la série précédente. J'ai aimé déambuler à leur côté et vivre des aventures par la même occasion. C'était plaisant de voir cette cohabitation naturelle entre humains, fées, géants et plus.



Nous sommes cependant dans un tome introductif et ça se sent. L'auteur fait le tour des nouveaux personnages, héritiers des anciens, et présente la prophétie les concernant sous un autre jour. Tout est fait pour nous présenter à la vitesse de l'éclair ces enjeux : les quatre Cavaliers, la réalité de la prophétie, les entourloupes d'Arthur, les fils des anciens personnages. En tant que fan de la première série, forcément, je me suis régalée. Il y avait en plus la même ambiance lors des affrontements avec des chevaliers sacrés protégeant leur Prince, tout comme avec les bourdes de Percival rappelant gentiment Meliodas et le fait de croiser Hendy, Dreyfus, Meliodas et Tristan m'a rendu nostalgique.



Cependant au-delà du côté un peu fan service, il est aussi question de la prophétie qui nous occupe à présent et on assiste à un combat certes léger et facile mais qui déclenche quelque chose de bien sombre en Percival sur lequel il va falloir s'interroger. De la même façon, en découvrant qui sont deux des quatre Cavaliers, on revient sur les héritages de chacun. Et enfin, Lancelot croise quelqu'un de très important pour lui, qui pousse le lecteur à s'interroger sur la façon dont l'auteur va revisiter leur histoire mythique car déjà cette première rencontre singulière est marquante.



Nakaba Suzuki semble placer ici de bien nombreux jalons prometteurs pour la suite. En mélangeant avec talent ancienne et nouvelle histoire, ancienne et nouvelle mythologie, il communique un vrai plaisir de lecteur à celui qui aura déjà côtoyé les héros de SdS, le tout dans une histoire drôle et dynamique mais qui se veut aussi légèrement sombre par moment. Une recette qui je trouve fort appétissante pour se mettre en jambe avant le hors d'oeuvre.
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Four Knights of the Apocalypse, tome 5

C'est bien ce que je disais dans le tome précédent, l'auteur est vraiment parti dans un rythme d'un tome percutant sur deux et celui-ci est de ceux qui nous resteront en mémoire grâce à un très joli travail sur les nuances du bien et du mal.



Seven Deadly Sins était déjà une série qui offrait une belle réflexion sur la notion de héros et de vilains, mais ici, on passe à une étape supérieur dans ce tome grâce aux rencontres dues aux pérégrinations de Percival et ses amis. Entrés dans un étrange village, ceux-ci vont vivre bien des aventures !



Présentés au début comme un village plein de tromperies où nous héros se seraient fait piégés par les apparences de leurs hôtes, l'auteur est assez malin pour complètement retourner cela et on va aller de surprises en surprises dans ce tome. J'ai beaucoup aimé le rythme dynamique des enchaînements et changements de tons. C'était archi fluide et percutant.



Le thème des démons qui au sein même des leurs peuvent être différents, tout comme il existe bien des humains différents, m'a beaucoup plu. L'auteur surprend quand il met en scène des démons qui ont refusé de participer au carnage d'il y a 16 ans. Il surprend à nouveau quand il leur oppose la figure d'un Chevalier anti-héros atypique qui n'a rien à voir avec ses collègues.



Cela donne un tome plein d'émotions et de réflexions. Réflexions face à ces créatures qu'on aurait envie d'éliminer mais qu'on fait bien d'écouter. Emotions face à un anti-héros pas si méchant que ça, dont on s'est bien joué des traumatismes. Cela interroge ainsi à nouveau sur ce qui est arrivé à Arthur, qui semble si loin de l'image qu'on avait de lui et qui semble avoir perverti les idéaux qu'il défendait. Mais l'auteur évoque aussi le traumatisme de la guerre passée qui pourrait expliquer cela. J'ai vraiment hâte qu'une confrontation ait lieu pour saisir.



En attendant, je me suis régalée des aventures épiques de nos personnages dans ce nouveau décor. C'était tour à tour drôle et émouvant, l'auteur jouant à merveille sur les deux registres. On s'amuse ainsi de voir nos héros à terre à cause de ce qu'ils ont mangé, Sin trompé ou notre troupe redevenir des bébés à cause d'un sortilège bien piégeux. Et en parallèle, l'émotion nous prend face à ces créatures incomprises et ce méchant en mal de la fillette qu'il a perdue. Le tout avec à nouveau des clins d'oeil à SdS et les retrouvailles avec une figures connues. Vont-ils tous y passer ?



Toujours aussi plein d'allant, cette série oscille vraiment entre sympathique et excellent. L'auteur manie à merveille humour et émotion, toujours dans un registre à la fois guilleret et profond. Il apporte de belles nuances aux récits de fantasy souvent très manichéens posant la question de ce qu'est vraiment un "vilain" et des stéréotypes de genre. J'aime beaucoup aller de surprise en surprise avec lui et ses acolytes héros.
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Four Knights of the Apocalypse, tome 4

Sur le même rythme d'un tome intense pour un tome plus tranquille, Nakaba Suzuki poursuit le récit de la quête de ses héros avec plein de clins d'oeil savoureux à sa série précédente et encore plus ici !



Après le tome intense relatant la rencontre avec An et l'affrontement entre Percival et son père, celui-ci fait presque office de parcours de santé. Nos héros y poursuivent leur voyage, faisant un petit arrêt par une drôle de ville où l'on recroise un visage connu.



J'aime toujours autant ce fantastique médiéval merveilleux décrit sous les pinceaux de Suzuki. C'est léger, amusant et pourtant profond en même temps. On retrouve tous les marqueurs du genre : dragons, détrousseurs, aspirants chevaliers, quête, et pourtant on sent un vent de fraîcheur en le lisant. Ici, j'ai aimé la dynamique mélangeant nouvelle aventure, retrouvailles et indices sur ce qui s'est passé pendant le laps de temps nous séparant de la précédente série. C'est savoureux.



C'était sympathique d'avoir Donnie comme héros cette fois, lui, qui est tellement l'archétype du contraire. Je ne m'attendais pas à ce qu'il ait une telle filiation et qu'on nous ramène ainsi en arrière. Le coup de la ville occupée par des voleurs était bien vu et m'a rappelé des souvenirs. J'ai aimé la dynamique du groupe qui se met en place, notamment pour leur faire face, mais également pour entreprendre leur voyage. C'était léger et savoureux.



Maintenant les nombreux indices lâchés autour des jeunes héros pointent de gros changements dans le monde que nous avaient laissés nos Seven Deadly, je suis donc pressée que leur voyage se terminent et qu'ils atteignent Liones pour voir ce quoi il en retourne. En attendant, l'auteur ménage ses effets, avec des petits indices et appels du pieds par-ci par-là, notamment avec Sin et le zozio qui vole autour d'eux. C'est bourré de références aussi entre les Chevaliers sacrés, la relique de Meliodas et les lieux / individus croisés qui les rappellent. J'adore !



Même si ce tome était moins percutant que le précédent, il offre un joli développement du personnage de Donnie, nous laissant à croire qu'il est moins couard qu'on le croyait. L'auteur m'amuse toujours à dépeindre un univers connu légèrement en décalage avec ce qu'on en savait, cela interpelle et interroge. J'aime tenter de rassembler les indices, cela offre une autre dimension à cette lecture déjà fort divertissante. Maintenant, il ne faudrait pas que le jeu dure trop longtemps et j'attends qu'on passe aux choses sérieuses avec Liones, Arthur et les Chevaliers de l'Apocalypse.
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Seven deadly sins, tome 37

Mais qu'est-il arrivé à Nakaba Suzuki pour boucler aussi rapidement cet arc si important ? Voilà ma première réflexion à la lecture de ce tome. C'était sans compter la surprise finale qui pour le coup en fut vraiment une pour moi !



En effet, le tome s'ouvre par le gros combat final entre Meliodas et son père, combat rondement mené, peut-être même un peu trop. L'auteur y utilise des ressors un peu trop éculés provenant de titre comme DragonBall et j'avoue que le sus à l'ennemi n'est pas ce qui fonctionne le mieux avec moi, même si c'était original d'avoir une double bataille, à l'intérieur de l'esprit de Meliodas et dans le monde réel, avec à chaque fois des intervenants différents. Cependant le gros power-up de la plupart ayant manqué de crédibilité, on a aussi du mal à croire qu'ils s'en sortent si facilement, en particulier Ban, pour ma part.



Ce sentiment de facilité ne m'a pas quitté en plus, que ce soit quand ils ont gagné, donc - Je ne pense pas spoiler en le disant vu que c'est quand même un peu le concept des shonen manga - ou quand Meliodas réussit à se débarrasser de la malédiction. Mais tout cela semblait un peu étrange et je suis contente que l'auteur ait fini par me donner tort en montrant que oui ils avaient gagné mais qu'il y avait un prix à payer.



C'est alors très bien orchestré. Nous suivons nous héros dans leur joie d'avoir gagné et de s'être retrouvés, qui fêtent cela même s'ils savent qu'il y a un monde à reconstruire. On enchaîne alors les moments chaleureux de congratulation et de fête où chacun y va de sa phrase sur son avenir avec sa dulcinée par exemple ou son rôle dans le royaume. C'est sympathique à souhait. Ainsi quand le couperet tombe, il n'en est que plus tranchant !



J'ai adoré le double effet de l'impact de la contrepartie à payer. Il y a d'abord eu celle nécessitant un certain équilibre des pouvoirs entre bien et mal, entre notre réalité et l'enfer. C'était on ne peut plus normal vu le concept de la série et la fin de la précédente Guerre Sainte. Ici tout est logique et cela entraîne son lot de mélodrame bien comme il faut. En revanche, je n'avais absolument pas vu venir le dernier retournement. J'ai même eu un coup au coeur lors d'une certaine scène et même si le revirement est sombre, il m'apporte un espoir pour notre couple de héros, qui va peut-être avoir un remplaçant tout trouvé au final pour leur éviter un certain exil.



La série continue donc, avec un rebondissement sortant peut-être un peu du chapeau pour prolonger la série. J'aurais préféré pour ma part un ultime combat plus long et un final doux amer comme celui qui s'annonçait au début, mais je suis curieuse de voir ce que ça va donner et comment nos héros vont encore se dépasser.
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Seven Deadly Sins, tome 30

Nouveau moment décidément bien sombre de la série, le mangaka aime prendre son temps pour faire le tour avec nous des enjeux pour les différents personnages et faire ainsi monter la tension tout en renforçant notre implication, c'est bien joué de sa part pour relancer notre intérêt.



Je trouvais les tomes un peu fades depuis quelques temps, plutôt en mode automatique pour nous acheminer vers le nouvel arc où héros et antagonistes sont mélangés dans une vaste zone grise. Cependant ce nouveau tome commence à changer la donne. En entrant toujours un peu plus dans le passé de Meliodas, sa lente transformation en celui qu'il était autrefois, tout en impliquant une Elizabeth redevenue déesse mais promise à une mort certaine, l'auteur rend son scénario de plus en plus dramatique, laissant les Seven bien seul face à cette noirceur montante.



Si les combats sont un peu trop vite expédiés dans ce tome ce qui me fait regretter le manque de dramaturgie pour des personnages forts comme Dolor et Gloroxia. En revanche, ça me fait grandement plaisir de voir la ronde, la valse des personnages dans l'histoire, qui chacun ont un rôle et pas des moindres, que ce soit Ban qui trouve une forme de rédemption en plongeant dans le Purgatoire pour tenter de ramener les sentiments de Meliodas, ou Margareth, la soeur d'Elizabeth, qui va être possédé par le plus puissant des Archanges venant semer la zizanie, ou encore les frères de Meliodas : Estarossa et Zeldris, qui vont participer ou contrecarrer le souhait de celui-ci de devenir Roi des démons pour sauver sa chère et tendre. L'auteur tente vraiment de faire participer tout le monde et son développement des personnages est à la fois cohérent et bien vu.



Ainsi même si nous sommes encore sur un tome de transition qui a moins d'intensité combative que le précédent, c'est un régal de voir tous les éléments se mettre en place, l'auteur passant avec facilité d'une scène à l'autre. Tous ces pions qui entrent en jeu ont un rôle fort, on ressent en eux une grande dramaturgie, qui se ressent d'autant plus que le fameux humour de la série est désormais fort peu présent, tandis que les révélations qui tombent ne font qu'enrichir et noircir le tableau. Dernier en date : les origines de Merlin, un des rares personnages qu'il restait à développer. Très bien vu !



Seven Deadly Sins est décidément une série vraiment bien conçue par son auteur, qui sait où il va et peut redonner de l'intensité sans pour autant tomber dans le piège des combats à tout va et autres tournois classiques. Ici, juste avec des drames, une quête personnelle pour sauver celle qu'il aime, une famille compliquée et des amis au grand coeur, l'auteur parvient à relancer son héros et nous avec !
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Seven Deadly Sins, tome 22

Annoncé comme un tome charnière dans la série, celui-ci a parfaitement su tenir ses promesses, même si c'était surtout un gros combat fort classique avec grosse montée de puissance et beaucoup d'intensité.



J'imagine que les fans de grosse baston ont eu beaucoup de plaisir à lire ce tome, parce que l'auteur offre un bon gros climax à Meliodas face aux 10 Commandements. Pour ma part, même si j'ai trouvé ça sympa, je n'ai pas vibré plus que ça non plus, car c'est un passage un peu obligé dans ce genre de titre et que pour une fois, l'auteur n'apporte pas grand-chose en plus de d'habitude.



Certes, on a un affrontement très bien mis en scène, où d'abord Meliodas affronte deux d'entre eux avec une belle virtuosité, montrant son talent pour prévoir leurs mouvements et les bloquer à tour de rôle pour n'en affrotner qu'un. C'est un très beau ballet qui en plus gagne en intensité au fur et à mesure des coups échangés. Puis quand cela devient un peu trop évident et facile, l'auteur sait compliquer les choses en multipliant les protagonistes, en faisant monter la tension et la puissance de ce combat. C'est très bien pensé.



Pendant qu'ils se battent, nous avons droit également à des échanges nous révélant le passé et l'identité secrète de Meliodas, mais on avait eu tellement d'indices avant que ce n'est pas vraiment une surprise. C'est un peu ce que je reproche à ces chapitres, rien ne vient me surprendre, tout est attendu. Ainsi même quand les Seven subissent leur plus gros revers, je ne suis pas bluffée et je me doute bien que ça ne va pas durer sinon il n'y aurait pas tant de tomes derrière. Je ne peux donc pas saluer l'audace de l'auteur puisque ce qu'il a osé faire ne sera pas permanent, ce que je regrette, car j'aime quand c'est noir, intense et ravageur sans retour possible.



Cependant, j'ai passé un très bon moment quand même. J'ai aimé voir Meliodas se battre ainsi pour tous. J'ai aimé les nombreux clins d'oeil à d'autres shonens cultes. Là, par exemple, c'était fun de les voir observer les combats à l'aide d'une boule de cristal comme on a pu voir dans DragonBall. J'aime aussi les designs des personnages qui me rappellent le travail de Toriyama ou encore d'Arakawa. J'aime les références à la culture japonaise comme avec ce samourai sans nom rappelant Miyamoto.



J'ai compris en le lisant pourquoi ce tome avait marqué tant de lecteur car il correspond à raison à un moment charnière de la série avec des événements très intenses et lourds de sens. Cependant, je ne suis peut-être pas aussi emballée que la majorité, me contentant de trouver cela fort sympathique à lire mais classique et sans surprise, ni conséquences sur le long terme. J'ai déjà lu des tomes qui m'ont plus remuée et touchée, surtout, dans la série. Ici, je retiendrai juste le très beau moment Ban-Meliodas symbole d'une amitié indéfectible.
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Seven Deadly Sins, tome 21

Ça y est nous voici entré comme promis dans une phase tournoi des plus classiques, mais comme vous le savez, avec Nakaba Suzuki classique ne veut pas dire ennuyeux, loin de là, et cet épisode fut très fun à lire.



Je savais que je tomberais tôt ou tard sur ce type de tome avec ce que je connais maintenant de l'auteur, je ne le redoutais pas, au contraire. En effet, on voit qu'il s'amuse lors de ce genre de passage obligé à nous offrir autre chose, déviant ainsi de l'objectif original.



Dans ce tournoi, nous avons d'abord beaucoup d'humour. Un humour présent par la composition des équipes, mais également dans la mise en scène des combats, celui de Ban et Meliodas en étant un parfait exemple. Qu'est-ce que j'ai ri en les voyant se disputer pour savoir qui était la meilleure physiquement entre Ellaine et Elizabeth pendant qu'ils donnaient des coups involontaires à leurs adversaires. Le duo Ellaine - Elizabeth était aussi assez improbable, ça offrait une bonne mise en bouche.



Car la suite fut plus complexe, avec de l'émotion et des combats plus longs. On d'abord eu les retrouvailles attendues entre Diane et King, retrouvailles différentes de ce qu'on aurait pu imaginer mais qui leur ont très bien correspondu et leur auront permis de repartir sur de bonnes nouvelles bases. De la même manière, nous avons eu un focus intéressant sur Gowther, celui dont on vient d'apprendre le secret caché, et son combat contre le petit nouveau des Seven était donc intéressant, surtout avec l'attaque surprise d'Escanor à la fin.



En plus, l'auteur ne les enferme pas dans leur petit monde. Il n'oublie pas qu'il y a une vie en dehors de ces lieux et en retournant du côté de Dreyfus et Denzel, on apprend ce que font les autres Commandements, notamment dans les villages / villes du coin et à Camelot, ce qui nous prépare astucieusement pour la suite.



Avec un procédé archi classique dans les shonen nekketsu, le mangaka nous offre encore un tome plein de souffle, d'action et d'émotion twisté avec un humour et un décalage dont il a le secret pour rendre cela toujours aussi fun. J'ai aimé suivre les différents duos et j'ai hâte de poursuivre leurs aventures.
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Seven Deadly Sins, tome 19

Quel tome riche en événements, actions, révélations ! Je n'arrête pas de comparer Seven Deadly Sins a d'autres shonen équivalent que je peux lire : Fairy Tail ou Black Clover et je trouve ces derniers infiniment plus lisses et faibles par rapport à lui. Sous ses dehors très classiques, SdS est en fait très bien construit et développé, ce que l'auteur prouve à chaque tome.



Je me suis ainsi régalée ici avec cette valse des personnages et des actions. Tout a commencé, comme promis, par la suite de l'histoire de Ban et le rendez-vous fut tenu. J'ai beaucoup aimé son affrontement avec deux des 10 commandements. C'était intense, bien pensé, vraiment parfait pour montrer à la fois les pouvoirs et le caractère du personnage, avec même une petite dose de suspens bienvenue ! Et cerise sur le gâteau, il ne fut pas le seul personnage mis en avant. J'ai beaucoup aimé l'éclairage très humain fait sur Jericho, qui montre que l'auteur sait également travailler des personnages qu'on pensait au début totalement anecdotique dans l'histoire, mais qui peu à peu gagne une belle aura. C'est très joliment fait et pensé, et Jericho est un beau personnage, touchant dans son amour altruiste.



Puis, on a ensuite fait la rencontre du dernier Seven Deadly, le Lion de l'orgueil et qu'est-ce que j'ai ri en le découvrant. J'adore le contre-pied de l'auteur. Quelle astuce ! Quel humour ! Il arrive à point nommé dans l'histoire après avoir été rapidement introduit par Meliodas et nous offre d'emblée un beau combat pour nous montrer ses pouvoirs et particularités. Un personnage que j'aime déjà !



Mais ce n'est pas fini, on revient ensuite à la fois aux Seven Deadly qui sont encore ensemble et à Diane, qui se retrouve de son côté avec sa mentor : Matriona. L'auteur tisse  merveille sa toile, utilisant les Commandements comme vecteur pour rassembler ce petit monde qui s'est éloigné. Ils les nouent d'autant plus serrés que des liens évident naissent entre eux, les antagonistes répondant aux héros. C'est assez fascinant. J'ai ainsi beaucoup aimé les révélations sur deux des dix Commandements, qui m'ont assez surprise.



Mais pour revenir à Diane, c'était un pur plaisir de la voir aux côtés de sa mentor et de constater l'évolution de cette dernière qui commence à ressembler bien plus à l'idéal de Diane. On est émue par leur relation à toute deux et par cette transformation, qui rapproche la géante des humains tant décrier, ce qui est parfait à l'aube de la guerre qui s'annonce, où ils auront bien besoin de son aide. J'aime le discours de l'auteur sur le rapprochement des peuples, sur les familles de coeur, sur les liens affectifs qui se nouent à force de circonstance. Ça me parle.



Seven Deadly Sins est donc pour moi un shonen de haute volée qui s'affirme de tome en tome. Je l'ai tellement vu décrié à une époque par certains voyant dans l'auteur un vil copieur, que je suis surprise de lui trouver autant de qualité. En fait, il fait clairement parti de mes shonens de nekketsu préférés à l'heure actuelle. J'aime l'écriture de l'histoire dans ce cadre de fantasy médiévale. J'aime l'écriture sensible des personnages. J'aime la dynamique et le sérieux dont fait preuve l'auteur dans l'écriture d'un scénario de plus en plus solide. C'est vraiment une très belle découverte.
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Seven Deadly Sins, tome 12

Que de rebondissements encore dans ce tome peut-être encore plus explosif que les précédents où l'on s'écarte d'une forme de mythe arthurienne pour entrer dans une fantasy plus sombre avec des faux airs de Berserk 



On croyait la victoire acquis, c'était sans compter sur Hendrickson et ses désirs mégalo qui viennent tout compliquer et assombrir à nouveau. Il apparaît tel l'ultime boss des rpg à éliminer et envoie du lourd.



On retrouve avec les mêmes sombres créatures que dans certains titres de Dark fantasy, le tout à base de démons bien dégueu. Forcément ca pousse nos héros à se battre et ils donnent tout. Ça envoie du lourd à l'aide de coups bien lourds et destructeurs. C'est à nouveau percutant, dangereux et archi dynamique à lire. 





Tout cela se fait certes sur fond d'expérimentations scientifico-magico-demoniaque, mais surtout nous sommes dans une très belle dynamique entre amitié et rédemption qui prend aux tripes. Les affrontements entre Ban et Meliodas, puis entre Hendrickson, Dreyfus et son fils, en sont les exemples parfaits.



Ce tome aura donc allié noirceur, combats, expérimentations et beaux moments d'amitié et de rédemption toujours afin de contrecarrer les plans de notre boss final en alliant tout le monde contre lui. Quelle belle histoire plrine d'héroïsme ! 
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Seven Deadly Sins, tome 3

Dans le même genre, je lis aussi Fairy Tail en ce moment, mais pour le moment, je préfère largement le classicisme et surtout la narration plus solide de Seven Deadly Sins qui offre une histoire que je trouve plus complète et intéressante.



Avec ce tome, Nabuka Suzuki poursuit ses retrouvailles entre les Seven Deadly. On rit, on s'amuse de celles entre Meliodos et Ban, tant ces deux là sont fou. On grince plus des dents en ce qui concerne King qui arrive par la suite et qui a bien changé, car il révèle de sombres secrets de l'un d'entre eux. J'aime assez cette dynamique entre quête, humour et passé rempli de secret. L'auteur gère parfaitement ces changements de rythmes et d'ambiances, proposant une histoire au fond classique pour de l'héroïc-fantasy mais absolument pas bancal au contraire, on sent une mythologie assez solide derrière.



De plus, le mangaka développe des personnages vraiment attachants, en introduisant régulièrement des nouveaux sans jamais oublier les précédents. Seuls la princesse est encore un peu trop transparente au point qu'on l'oublie parfois, mais chacun des autres a trouvé sa place. J'aime assez le caractère foufou et loufoque de Ban, sa célèbre avarice et ce qu'elle implique et provoque chez les autres. J'aime également les indices que l'auteur sème sur Méliodas, ses pouvoirs et son passé. Il y a une belle dynamique dans le groupe, où on les voit se chambrer et où on les voit se rapprocher tranquillement. Tout cela crée une certaine proximité et une envie d'en savoir toujours plus.



Ainsi malgré une écriture banale pour ce type de récit où l'on suit les premiers héros aller à la rencontre et retrouver leurs anciens amis, pendant qu'un groupe rival leur met des bâtons dans les roues, l'histoire se révèle fort plaisante à suivre. Sans être palpitante, elle a un très bon rythme. Sans être originale, elle a des secrets qui intriguent. Sans être fine, elle a des personnages qu'on se plaît à suivre. C'est une très bonne surprise et j'aime beaucoup dans son genre.
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Seven Deadly Sins, tome 3

Ban est libéré de prison et ainsi nous avons donc 3 deadly sins avec Elisabeth.

Notre fine équipe reprends donc la route et part à la recherche de King.

Mais c'est King qui va les trouver et ils vont tous partir pour la capitale des défunts.

De l'action et de nouveaux personnages arrivent et rendre ce tome tout aussi intéressant que les précédents.
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Seven Deadly Sins, tome 2

Résumé:



Pour sauver son royaume, la princesse Elizabeth à placé son dernier espoir en une bande de criminels légendaires appelé Seven Deadly Sins. Leur chef, Méliodas le péché de la colère, l'accompagne dans sa quête et part à la recherche de ses ancien compagnons. Après avoir retrouvé Diane, le péché de l'envie, au fond d'un bois, le chevalier sacré Gilthunder fait brusquement irruption... Le combat promet d'être épique!

Un nouveau Seven Deadly Sins, des ennemis toujours plus fort... Le rythme s'accélère dans le deuxième volet de cette aventure extraordinaire.
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Blizzard Axel, tome 1

Blizzard Axel est un manga en 6 tomes, terminé au Japon. Nous y retrouvons le mangaka de Seven deadly sins et son trait graphique particulier. Nous pouvons d’ailleurs voir que c’est Blizzard Axel qui fut son premier manga. Nous allons être entrainés et tourbillonnés dans le monde du patinage artistique. Une discipline très agréable à voir et envoûtante, tout comme l’est la danse. Un sport qui allie art et technique. Il faut faire passer ses sentiments. Fubuki Kitazato, jeune collégien, présenté comme un roi de la bagarre, fier de ses 100 batailles à succès, comprenant les mots de travers, parlant un peu de travers comme un paysan. Il aime se faire remarquer. Nous ne pouvons pas dire qu’à a base il est attachant ou impressionnant. Et il est clair que tenter quelque chose d’aussi dingue semble pure folie et totalement impossible. Seulement, il souffre, à cause de sa famille, de ne pas avoir de place. La bagarre, ça il sait faire. S’il essaye les études, ce n’est pas trop cela, et il n’a aucun talent, ce que des gens lui ont fait bien trop ressentir. Il a deux supers amis, des potes de confiance. Au-delà de son côté fou et sans gêne, il se révèle être plus, surtout avec ses amis, c’est beau de le voir les encourager sincèrement, vouloir aidé, être là pour eux.

Il n’a aucune technique, tout comme la danse classique, il n’a pas commence assez tôt. Il est trop tard ? Aucune chance alors ? Il ne se laisse pas abattre, et est plein de volonté. Il a quelque chose en lui, qui ne demande qu’à fleurir. C’est dans le patinage artistique, et non acoustique, qu’il semble trouver de quoi faire battre son coeur. Etre sur le devant de la scène, devoir livrer une interprétation à lui seul, assuré, galvanisé la foule, c’est un défi qui lui plait. Il aime être regardé, il ne demande que cela. C’est d’ailleurs devant des gens qu’il peut donner le meilleur de lui-même. Mais la route ne sera pas facile, et il lui faudra bien de la volonté et ne pas se laisser abattre.

D’obstacles en obstacles, il n’avait pas prévu d’entrer dans ce monde. C’est la première chose qui lui a fait un tel effet. Mais il manque de tant de choses, et surtout d’années de pratique, mais aussi d’argent pour pouvoir prendre des cours. Chaque opportunité, il la saisira mais il sait rester fair-play, bon joueur, et encouragé les gens qui comptent pour lui.

Ses amis prendront également de la dimension au cours du tome surtout Kanon, qu’on prendrait pour une fille, et qui va grâce à son ami avoir le courage de tenter autre chose, le tout pour le tout. Il saura nous surprendre et nous épater. De plus, nos yeux ne peuvent pas quitter la patinoire quand les patineurs dansent, et livrent leur prestation. Nous sommes nous aussi galvanisés et envoûtés par la piste. Il faut livrer une partie de soi-même, être agile comme à la danse, et chacun a sa façon d’être et de faire. A la fin, nous faisons également le connaissance de Rika, une jeune femme que nous espérons très vite retrouver et plus découvrir. Un premier où nous ne voyons pas les près de 350 pages passés, et déjà nous voulons retourner sur la glace et patiné à nous enivrer. Vivement la suite.
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Seven Deadly Sins, tome 12

Un douzième tome qui commence d'une bien étrange façon : Ban arrive sur les lieux du combat, non pas pour donner un coup de main, mais pour tuer Méliodas, seul moyen selon lui de ramener la douce Ellaine à la vie. Vu l'urgence de la situation, Méliodas réussit à convaincre Ban d'attendre un peu. En effet, Hendrickson semble invincible. Et les Seven Deadly Sins, même s'ils ont l'appui des Chevaliers sacrés, ne sont pas au bout de leur surprise. Encore beaucoup de scènes de combat dans ce tome, mais le changement de camp de certains personnages relance l'action du récit, sans parler du changement d'Hendrickson.
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Seven Deadly Sins, tome 10

Diane et Gowther ont été grièvement blessés pendant leur combat. Un terrible affrontement débute entre King et Helbram. Ce dernier dévoile ses véritables origines et King se remémore son passé de roi des Fées. Quant au roi Arthur et Méliodas, ils ont fort à faire face à Hendrickson et Gilthunder.

Un tome encore riche en action et en rebondissements. On en apprend plus sur le passé de King et d'Helbram, qui dévoile sa surprenante identité. Et le cliffhanger à la fin du tome 10 nous fait trépigner d'attente pour le tome suivant. Vraiment une très très bonne série !
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Seven Deadly Sins, tome 2

un second tome un peu plus sombre et qui passe de très drôle à drôle. Le personnage de Ban est assez spécial et me laisse perplexe. les pages défilent à toute allure et ça reste très addictif
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Qui est Méliodas au début de l'histoire?

Un enfant qui dirige un restaurant
Un adulte qui à l'apparence d'un enfant et qui dirige une taverne
Un pervers

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