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Critiques de Patrick Cothias (591)
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Le vent des dieux, tome 1 : Le Sang de la L..

Je commence une série qui date de 1985 réalisé par GOTHIAS en scénario et d'ADAMOV au dessin.

Gothias à créer entre autre Masquerouge, Les Sept vies de l'Epervier, Les Eaux de Mortelune et bien d'autres.

Adamov à travailler sur Dayak, créer l'Impératrice Rouge et d'autres créations.

La série Le vent des Dieux ce passe au Japon le XIII e siècle ou l'Empereur, fils de Dieux, règne sur un territoire composé de différent clans. De multiple Seigneurs de la Guerre, des Ronins, des bourgeois devenu des brigands et des Samouraïs avec leurs codes, leurs honneurs s'affrontent dans ce Japon médiéval.

Tchen-Qin, samouraï au service du tout puissant Seigneur Oshikaga est missionné avec douze de ses compagnons pour exterminer une bande de rebelles. Le chemins qu'ils s'empruntent pour affronter ses ennemis sera risquer, semée d'embûches de pièges et de personnes cruels stratège et raffinés...

Les auteurs dans cette série nous racontent les relations entre les personnages le respect hiérarchique la place des femmes dan s ce monde et l’esthétique des personnes.

Cette série peux intéresser les personnes amoureux du Japon de leurs codes et des Samouraïs.
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L'ambulance 13, Tome 3 : Les braves gens

1916. La guerre entre dans sa troisième année, le massacre continue, les morts se comptent par centaine de milliers. Le lieutenant Bouteloup, comme ses hommes semblent résignés. Les drames et les mauvaises nouvelles se succèdent.

Troisième tome de la série, toujours aussi réaliste et dramatique. Dans la continuité des deux précédents volumes.
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Plume aux vents, tome 4 : Ni Dieu ni diable

Les débuts de la colonie de Quebec est difficile. Pour éviter le soulèvement des tribus indiennes, Champlain a fait prisonnier Arianne afin de pouvoir prendre son père qui jouait les troubles fêtes.



En pleine colonisation du nouveau monde, l'histoire familiale d'Ariane de Troïl se mélange aux faits historique. C'est très plaisant à lire et il y a même quelques pointes d'humour dans ce tome apporté par le caractère de Grandpin.

Là encore ce cycle semble se terminer sur une fin franche avec un Épilogue 10 ans après. Mais nous savons que les auteurs n'ont pu se résoudre à abandonner leur héroïne.



Le dessin est une ligne claire assez belle bien que très figée. Savoir vieillir ses personnages aurait apporté davantage de crédibilité.
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L'oeil des dobermans, tome 3 : La grimace d..

Ce cycle de 3 BD mélange des thèmes ésotériques en pleine période nazie dans les années 30.



Dans ce troisième et dernier tome, le professeur d’archéologie Arno Ixks, atteint enfin l’objectif qui lui avait été donné par Hitler et les chefs nazis : un monastère perdu au fond d’une vallée himalayenne. Un endroit porteur de légendes et chargé de religiosité. Un endroit bien connu de celle qui avait commencé le voyage comme son garde et le finit comme son amante : Palden.



L’arrivée dans les hautes montagnes du Tibet s’accompagne d’une plongée en plein surnaturel. Pouvoirs infinis, tradition bouddhiste. Mais la traque menée par les sbires d’Himmler continue.



Objectivement, ce troisième tome part dans le décor. Beaucoup d’excès, un final alambiqué au possible. Pas très convainquant. Dommage, dommage, car la série avait fort bien débuté.
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Les 7 vies de l'épervier, tome 6 : La part du..

Excellent ! Peut-être le tome de la série que je préfère (il me reste le dernier).



Nous faisons un bond en 1617, soit sept and plus tard (à associer aux sept vies de l’épervier pour les mordus de numérologie). Les acteurs, ceux qui ne sont pas morts, ont grandi ou vieilli. Les auteurs établissent un équilibre parfait entre la grande Histoire et les aventures des personnages romancés.



La première partie fait la part belle à l’Histoire (n’est-ce pas l’un des objectifs de cette série que de nous enseigner en nous amusant ?). Le roi Louis est un ado qui commence à se lasser de la mainmise de sa mère Marie de Médicis et de ses serviteurs italiens sur le gouvernement de la France. Poussé par son conseiller Luynes, il fait assassiner Concini. Les Parisiens, qui haïssaient l’homme, approuvent et se vengent. Et l’on nous montre cette scène hallucinante du corps exhumé de l’église Saint-Germain-L’auxerrois, trainé jusqu’au Pont-Neuf, pendu par les pieds et émasculé. C’est également la première apparition tant attendue d’Armand du Plessis, futur cardinal de Richelieu, pour l’instant encore dans le camp de la reine-Mère, et la surprise d’un clin d’œil à Dumas.



La deuxième partie est sous le signe de la tragédie sanglante, tempérée par la présence goguenarde de Germain Grandpin libéré des geôles du roi et parti en Auvergne à la recherche de son mentor Gabriel de Troil (l’ancien Masquerouge, lui aussi libéré des mêmes geôles, ironie du Destin). Il fait la connaissance des Troil, le père Yvon (frère de Gabriel), et les enfants Ariane et Guillemot. Enfin… la connaissance d’Ariane est faite d’une façon charnelle et contre la volonté de la demoiselle (je n’insiste pas). C’est la conclusion de la guerre entre les Troil et leur puissant voisin le comte de Bruantfou. Ariane a imposé à son frère de reprendre le rôle de Masquerouge. Le pauvre garçon est dépassé par son rôle mais il va au bout de ses capacités et fait preuve d’une dignité et d’un sens de l’honneur peu communs.



Pour Ariane, pour Grandpin, les choses ne seront plus les mêmes après cet album. Et l’on voit poindre déjà les prochaines séries comme Cœur-Brûlé.



De l’Histoire, de la tragédie, de l’horreur aussi, un album riche et épatant. Seul regret potentiel, toujours le même, l’aventure aurait pu sans problème se passer du Diable et de la sorcière voyante qui « manipule tout ce petit monde ». L’hypothèse de leur existence n’est nécessaire ni au déroulé des évènements, ni à la compréhension.

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Les 7 vies de l'épervier, tome 2 : Le temps d..

Plutôt un 3.5 qu'un 4 étoiles. Petite baisse de régime.



Les deux groupes de personnages, les imaginés et les historiques, poursuivent leurs chemins parallèles sans se croiser pour l'instant. Ariane et son frère Guillemot s'amusent à chevaucher la campagne enneigée d'Auvergne, aperçoivent un épervier qu'ils suivent dans l'espoir de tomber sur le "Masquerouge". Ce dernier est occupé à observer le comte de Bruantfou et sa clique qui par jeu fait pourchasser un pauvre vieux charbonnier par ses chiens, chasse sanglante et impressionnante. Cela réclamera vengeance. Pendant ce temps Henri IV accompagné du poète Malherbe et du dauphin Louis quitte Saint Germain pour Paris car son Conseil l'attend au Louvre. Un incident, sa voiture est brisée et les voilà obligés de poursuivre dans un vieux chariot. A l'entrée de Paris la Garde ne les reconnait pas et la foule les menace.



Peu d'évènements dans ce tome en somme. Les auteurs en profitent pour renforcer les horreurs dont les riches nobles sont capables de faire subir aux pauvres mécréants - ils les écrasent littéralement sous leurs bottes - et surtout pour parfumer l'atmosphère d'un ésotérisme envahissant et malvenu au travers de la vieille sorcière maitresse des éperviers qui comme une Parque chante à tous que leur destin est déjà écrit (cela ne l'empêche pas d'intervenir en faveur du roi, et sans son intervention le "destin écrit" pouvait être jeté au feu comme un mauvais brouillon). J'espère que l'histoire va bientôt passer une vitesse en rapprochant les lignes scénaristiques.



Le dessin des décors, des palais, des costumes est toujours impeccable, mais j'ai du mal avec les visages inexpressifs, lisses et interchangeables qui diminuent la qualité de l'ensemble.



Je vais devoir faire une pause mécanique dans ma lecture de la série: j'ai commandé les tomes suivants mais ils tardent à arriver!



Bonne lecture à tous!
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Masquerouge, tome 1 : Le Fantôme

Ça y est, la boucle est bouclée ! Après plusieurs semaines d'attente, le tome un de "Masquerouge" est enfin rentré à la médiathèque dans laquelle je m'approvisionne en bandes-dessinées. Après avoir lu, tous les autres tomes en patientant, je reviens enfin au début mais ne m'en trouve pas le moins du monde déroutés puisque l'on retrouve notre chère héroïne, Ariane de Troïl ainsi que son fidèle serviteur, Germain Grandpin.



Mais laissez-moi vous resituer dans l'espace temps : Nous sommes en 1624 et le roi Louis XIII règne maintenant depuis presque quinze ans sur le royaume de France. Cependant, dans tout état de monarchie, c'est toujours la même histoire : d'énormes privilèges pour les nobles et la bourgeoisie tandis que le peuple, lui, meurt de faim et en est souvent réduit à voler pour pouvoir se nourrir. Heureusement pour eux, ils ont un espoir : celui que l'on appelle Masquerouge et que tout le monde croyait mort, revient pour se faire le défenseur des plus opprimés. Mais qui se cache derrière ce Masquerouge, qui fascine tant le Roi et qui n'a certainement pas fini de faire parler de lui.



Je suis très contente d'avoir enfin pu lire la série en entier même si le lecteur est parfois un peu dérouté, je dois l'admettre car elle se chevauche parfois avec "Les 7 Vies de l'épervier" car, bien qu'elle est été écrite avant, elle se déroule pratiquement en même temps que l'autre. Un graphisme toujours aussi bien travaillé et des personnages attachants (du moins, pour certains). A découvrir !
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Les 7 vies de l'épervier, tome 6 : La part du..

Mars 1617 : le dauphin Louis ainsi qu'Ariane de Troïl sont enfin majeurs (cela va de soi puisqu'ils sont nés le même jour). Cela voudrait donc dire que Louis peut officiellement monter sur le trône de France mais sa mère, Marie de Médicis, qui a assuré la régence jusqu'ici, ne l'entend pas de cette oreille. Cependant, Louis, au cours de toutes ces années, a appris la clémence et sait dorénavant régner en roi juste et bon pour le peuple. C'est pourquoi le jour où il décide prendre le pouvoir, fait-il relâcher tous les prisonniers enfermés dans les geôles du château.

Bien des hommes vont ainsi revenir à la vie tandis que d'autres verront la leur complètement anéantie...



C'est ainsi que l'on retrouve le capitaine Germain Grandpin, un ami du baron Yvon de Troïl qui va dorénavant loger chez lui mais ce ne sera pas sans compromis avec la fille de ce dernier, Ariane mais j'arrête ici mes explications.



Ce sixième tome, bien qu'encore une fois, très bien travaillé graphiquement et avec un dénouement qui approche, des rebondissements auxquels le lecteur ne s'attend pas et qui lui donne envie de continuer, est encore un peu trop cru à mon goût !

Cependant, pour toutes les raisons que je viens de vous exposer, cela ne me donne pas moins envie de lire le septième et dernier tome de cette série et de vous la recommander. Peut-être est-ce tout simplement moi qui suis trop sensible après tout, particulièrement lorsque l'on rencontre des scènes de viol !

Cela ne m'empêche cependant pas de vous inviter à découvrir cette série !
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Les 7 vies de l'épervier, tome 1 : La blanche..

Ce cycle est superbe : amateurs d'Histoire, de cape et d'épée, de bons dialogues et de beaux dessins, cette oeuvre est pour vous !



Le cycle des 7 vies de l'épervier s'entremêle avec celui de Masquerouge qui se situe entre les tomes 6 et 7 et mélange l'étrange et l'histoire pour former une série tout à fait hors du commun, la meilleure bd historique à mon avis.

On y découvre Marie de Médicis, Louis XIII et Henri IV dans un Paris merveilleusement ressuscité par les dessins de Juillard et un scénario captivant et intelligent. A lire absolument !!!
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Les 7 vies de l'épervier, tome 3 : L'arbre de..

Le 2ème tome m’avait un peu moins emballée que le 1er, c’est donc avec moins d’enthousiasme que je m’étais lancée dans la lecture de « l’arbre de mai ». Et bien, cette lecture m’a bien rassurée. Avec « l’arbre de mai » la série repart sur les chapeaux de roue.



Le contexte politique est bien exploité et sert vraiment de ligne directrice à un récit qui semble savoir où il va. Les intrigues de cour sont à l’honneur dans ce tome, ce qui est très plaisant. La partie relative à l’épervier est, dans ce volet, moins intéressante que ce qui se passe autour du roi mais je pense que cet aspect devrait gagner en épaisseur dans les volets suivants. En tout cas, je ne vais pas tarder à le savoir en m’attelant au 4ème tome.



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Les 7 vies de l'épervier, tome 1 : La blanche..

Que voilà un bon début de série ! Le contexte historique est bien posé, les personnages sont bien campés et suscitent d’emblée l’intérêt, l’histoire est bonne et promet des développements passionnants. J’aime beaucoup le côté justicier masqué façon Robin des bois à la française.

Le dessin est très réussi. Les décors sont splendides, la mise en scène est dynamique.



Une série qui démarre donc très fort et que je vais m’empresser de poursuivre.

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Plume aux vents, tome 4 : Ni Dieu ni diable

Quatrième et dernier tome de cette série intitulée "Plume aux vents" et qui n'est autre que la suite des "7 vies de l'épervier".

Pour en revenir à cette série-là, ce dernier volet est d'ailleurs probablement mon préféré des quatre.



Germain de Grandpain, fait de nouveau son apparition ici après plusieurs tomes d'absence. Bien qu'homme d'âge mûr, il est relativement bel homme et son amour pour la baronne Ariane de Troïl n'a pas faibli...et cela est réciproque. En effet, bien que celle-ci soit devenue l'épouse de l'iroquois Beau-Ténébreux, elle savait déjà, en l'épousant, qu'un amour profond ne serait jamais possible entre eux (de la tendresse certes mais pas de l'amour) car Beau est dans un autre monde...je vous laisse deviner lequel !



Après avoir échappé de peu à la pendaison par le gouverneur Samuel de Champlain, Germain de Granpain et le chevalier Gabriel de Troïl, le père d'Ariane, chacun a choisi sa destinée et tandis que certains continueront d'écumer les mers, d'autres les attendront patiemment à terre. Je vous laisse découvrir par vous-mêmes qui est qui et quel est cet endroit rêvé où tous se retrouvent et se réfugient.



Si je me fais bien énigmatique, c'est parce que ce tome m'a tellement plu tant il est rempli d'humour, d'amour et de pleins d'autres nobles sentiments que je ne voudrais pas trop vous en dire non plus...juste ce qu'il faut pour réveiller votre curiosité. Un tome beaucoup moins sanglants que les autres, toujours aussi bien travaillé graphiquement, dans lequel les masques tombent enfin et qui nous dévoile une fi...CHUT...il ne faut pas le dire ! A découvrir !

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Les 7 vies de l'épervier, tome 5 : Le maître de..

Après les outrances réjouissantes du 4ème volet, ce 5ème tome reprend davantage pied dans une réalité historique. Il faut dire qu’il s’en passe des choses après l’assassinat d’Henri IV. Mais la grande Histoire n’empêche pas la petite de se développer. D’un côté et de l’autre, ce « maître des oiseaux » est un tome de transition. Décidément une bonne série.
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Les 7 vies de l'épervier, tome 1 : La blanche..

1601 marie de Médicis donne naissance au dauphin louis, futur louis xlll. au même moment, naît Ariane de troil. la destinée des deux enfants est liée par les présages d'une vielle aveugle.

avec les sept vies l, épervier, le scénariste Patrick cothias et le dessinateur André Julliard ont renouvelé la bd historique. cette saga mélange avec habileté la grande histoire et la fiction.

pour toute la famille 👪.
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Les 7 vies de l'épervier, tome 7 : La marque ..

dernière vie de l, épervier la marque du

condor scelle la fin de la fin de la légende,

de masquerouge au temps de Louis 13.

les 7 de l,épervier ont permis à juillard

de déployer la magie de son trait et l,

élégance de ses dessins et a cothias de

donner de l, histoire de France une version originale.👍
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Le fils de l'officier, tome 1 : La tête abimée



Abandonné par son officier de père à la naissance, Sidoine a écopé de ce prénom ridicule en hommage à une mère qu'il a à peine connue. Elevé en Bretagne par un facteur alcoolique, il aurait pu s'en sortir grâce aux études. Mais Sidoine n'est pas né sous la bonne étoile...Envoyé aux champs, le jeune garçon tente tant bien que mal de contenir sa rage. Mais le destin n'en a cure. Les suicides s'accumulent dans son sillage, et Sidoine est un coupable un peu trop désigné. Au bagne pour enfants, sa colère grandit, sourde et dévastatrice. Finalement libéré par la machine qui lui arrache la main et le rend inapte au service, il reprend la route. Avec un vélo pour seule fortune et toute cette haine comme seul combustible, quel chemin empruntera le fils de l'officier ?

Premier tome du cycle : "Le fils de l'officier", cet épisode entraîne le lecteur dans une histoire très sombre où le héros se retrouve plongé dans une spirale de cruauté et d'injustice. Tout semble mis en œuvre pour anéantir ce garçon intelligent dans une époque où règne, sans partage, la bourgeoisie de province sur le petit peuple. Si le scénario de Cothias et Ordas reprend avec bonheur ce thème de l'injustice cher aux écrivains, le dessin, par contre, ne se prête guère à la noirceur de l'histoire. Les personnages sont quelque peu caricaturaux et leurs traits se prêteraient plus volontiers à une bande dessinée plus légère.

A suivre surtout pour l'histoire.
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Masquerouge, tome 3 : Le rendez-vous de Cha..

Se faisant toujours le défenseur des pauvres et des opprimés, celui qui se fait appeler Masquerouge et dont tous, excepté le lecteur, ignorent la véritable identité, a ici à faire à des mousquetaires afin de leur dérober l'argent du Roi destiné à l'armée. Bien que ne croyant pas en Dieu, Masquerouge est bien destiné à remettre cet argent au curé car selon lui (et c'est d'ailleurs toujours le cas aujourd'hui et cela le restera longtemps), ce dont le peuple a réellement besoin, ce n'est pas de la guerre mais du pain.



Dans un deuxième temps, Masquerouge sera également confronté au Maître des loups qui, avec sa fidèle troupe, sème la terreur en pillant les village, tuant hommes et femmes et en épargnant quelques-uns afin de les réduire à l'esclavage.



Masquerouge parviendra-t-il à nuire à tous ces adversaires. Bien qu'accompagné de son fidèle faucon, comment un homme seul pourrait-il agir face à ces brigands et à l'armée du Roi ? Serait-il si rusé ?



Pendant ce temps-là, la baronne Ariane de Troïl, toujours accompagné de son valet fidèle et dévoué, Germain Granpin, a elle aussi ses sources de soucis mais je ne vous dirais pas lesquelles sinon cela reviendrait à vous dévoiler toute l'intrigue et ne vous donnerait pas envie de découvrir cette série.

Suis-je cruelle ? Non, c'est simplement un encouragement et une invitation à me rejoindre dans le monde de Masquerouge et de son épervier...



Un graphisme toujours aussi bien travaillé et un tome très vite lu et très agréable à lire, comme tous les autres d'ailleurs ! A découvrir !

Une bande-dessinée
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Masquerouge, tome 2 : Le charnier des innoc..

Après avoir lu les séries "Plume aux vents" et "Les 7 vies de l'épervier", j'avais envie de retrouver notre chère héroïne, la baronne Ariane de Troïl ainsi que celui qui est devenu son maître d'armes, Germain Granpin.



Ce n'est pas un fait exprès si je ne commence cette saga qu'à partir du tome 2 mais le premier tome a été emprunté à la bibliothèque dans laquelle je m'approvisionne en bandes-dessinées. Peut-être le lirai-je plus tard...



Bref, cela ne gêne en rien la compréhension de l'histoire. Ici, le lecteur se retrouve plongé en plein coeur de Paris en cette fin de mois de décembre de l'an de grâce 1624. L'homme (?) qui se fait appeler le Masquerouge et que les bourgeois auraient juré avoir vu mort l'an passé refait son apparition afin de se faire le défenseur des opprimés.

Ici, un immense complot se prépare, une initiative entreprise par la Secte de l'Araignée, composée de bourgeois, (est-il nécessaire de le préciser ? ) qui tend à faire s'écrouler les halles de Paris, ce qui provoquerait des milliers de morts et d'immenses dégâts ; leur but étant la restauration de l'ordre féodal.



Parviendront-ils à leur fin ? Que peut faire le Masquerouge (bien qu'il soit accompagné de son fidèle épervier) contre une telle organisation dont les membres sont innombrables et qui tend à plonger la ville de Paris dans le chaos le plus total ?



Une bande-dessinée très bien travaillée graphiquement avec une intrigue qui se met en place petit à petit et dont la suite s'avère très prometteuse. A découvrir !
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Les 7 vies de l'épervier, tome 1 : La blanche..

"Les 7 vies de l'Epervier", "Masquerouge" et "Plume aux vents" sont les séries indissociables d'Ariane de Troil.

C'est surtout la série de André Juillard et Patrick Cothias.



Ariane de Troil est issue de la noblesse provinciale. Peu d'argent, mais un arbre généalogique important, issue de la plus pure tradition des chevaliers du moyen age. Ariane n'est pas une fille comme les autres, elle préfère jouer les combattantes plutôt qu'à la poupée. Du moins en apparence. Car elle croit aux chimères, c'est une idéaliste qui ne supporte pas l'injustice.



Deux histoires entrent en parallèle dans le premier tome : la naissance d'Ariane et celle du Dauphin Louis. Le futur Louis XIII. Que nous verront évoluer tome après tome.



Ce tome met en place les personnages qui se dévoileront au fur et à mesure des chapitres. Une histoire chimérique, ésotérique, étrange avec un air de sorcellerie. Mais le destin est ce qu'il est.... et réserve parfois des surprises.



Des surprises nous en auront au long de la série. Le dessin de Juillard est de qualité. Un classique de la Bd a consulté.
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Plume aux vents, tome 3 : Beau-Ténébreux

« Plume aux vents » est une série plaisante mais est décidément bien en dessous des « 7 vies de l’épervier ». C’est particulièrement flagrant dans ce 3ème volet. « Beau-ténébreux » se lit vite et agréablement mais après la lecture il n’en reste pas grand-chose. Une B.D pas très marquante mais qui permet de passer un agréable moment, c’est déjà pas mal.



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