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Critiques de Pelham Grenville Wodehouse (216)
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Sally entre en scène

Une histoire britannique découpée en chapitres relatant les évènements dans la vie d'une jeune fille. Doux accents désuets mais charmants, je l'ai dévoré !
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Au pays du fou rire

J’ai trouvé ce livre très perturbant. Je l’ai trouvé sans queue ni tête du début à la fin et surtout des dialogues manquant de finesse. Je n’ai pas franchement aimé.
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Une pluie de dollars

Pour avoir un jour aidé un joueur de golf à corriger un défaut, William Fitz-William Delamere Chalmers, lord Dawlish, que dorénavant nous appellerons Chalmers tout court (tout court n’étant pas inclus dans le patronyme), se voit à la tête d’un héritage fabuleux.



Malgré son titre nobiliaire, Chalmers ne roule pas sur l’or, aussi il a trouvé un emploi de secrétaire dans son club de golf, ce qui lui laisse quand même du temps libre pour baguenauder et prodiguer ses conseils. Il a une petite amie, Claire, mais sa situation ne convient guère aux deux jeunes gens. Jusqu’au jour où il mandé par un notaire qui lui signifie qu’il vient d’hériter d’une forte somme d’argent, don de son obligé. Pour cela l’homme a déshérité ses neveux.



Bon prince, et estimant qu’il ne peut moralement toucher, du moins en totalité, cet héritage, il décide d’aller retrouver les neveux qu’il a spolié involontairement à l’insu de son propre gré et de leur rendre une partie de l’argent. Les deux neveux, qui sont frères et sœurs, résident à Long Island, la presqu’il new-yorkaise. Alors direction l’Amérique, afin de faire leur connaissance et de leur restituer leur dû. Une partie, car il espère bien en garder une portion non négligeable.



Un de ses amis qui habite dans la grande métropole américaine lui propose de s’installer chez lui durant un certain temps, puisque lui-même sera absent. C’est ainsi qu’il fait d’abord la connaissance de Nutcombe Boyd, le neveu, qui s’introduit dans l’appartement où s’est installé Chalmers. Il pensait retrouver un ami commun. Les deux hommes sympathisent, et ils partent pour Long Island retrouver Elizabeth, la nièce qui vit dans une petite ferme et soigne ses abeilles.



Mais Chalmers est gêné, n’osant pas proposer à Elizabeth sa part d’héritage, car tant le neveu que la nièce sont fort remonté contre ce lord Dawlish qui a accaparé leur succession. Comme il s’est présenté sous le nom de Chalmers, il préfère attendre un moment favorable.



Débute alors une succession de situations cocasses, d’imbroglios apparemment insolubles, aux nombreux quiproquos, surtout qu’en présence d’Elizabeth il ne se montre pas aussi snob ou incapable que sa condition pourrait le laisser supposer. Et entre les deux jeunes gens, une amitié s’établit, amitié qui se transforme rapidement en un sentiment plus profond. Et comme si cela ne suffisait pas, Claire, son amie Claire, est elle aussi à New-York, invitée par une amie. Elle s’est entichée d’un des passagers du paquebot sur lequel elle a voyagé, ce qui n’aplanit pas les différents qui se sont élevés entre eux.







Une histoire burlesque dans laquelle se trouvent confrontés les différents protagonistes, transformant ce récit en une sorte de vaudeville aux situations absurdes. Les dialogues sont souvent très amusants, et le lecteur ne peut s’empêcher de sourire aux bons mots, aux dialogues parfois farfelus, ou aux situations compliquées à l’excès.



P.G. Wodehouse porte au pinacle l’humour anglais, la dérision dans la description des situations, dans les dialogues, dans ce fameux nonsense, sans jouer sur la vulgarité, les jeux de mots laids comme disent les cyclistes.



Et sans vouloir abonder dans le sens d’Eric Neuhoff, qui écrivit dans Madame Figaro en 1985 : Une invention perpétuelle un sens inouï du rebondissement, des dialogues à se rouler par terre…, car il me semble que cette analyse est excessive, on ne peut que se réjouir à la lecture de ces romans qui délassent, qui détendent, qui relativisent, qui offre des moments d’ineffables bonheur dans des circonstances déprimantes et pourtant qui nous montrent la réalité portée à des sommets d’intenses boutades. On peut rire de tout mais pas avec tout le monde disait Pierre Desproges, avec juste raison. Il suffit de savoir se moquer mais avec tact de ses compatriotes et de mettre sous la loupe leurs défauts, leurs dérives, leurs contradictions. Des imperfections dont nous sommes également les représentants, et c’est un peu comme si l’on se regardait dans une glace.



Jeeves a éclipsé bon nombre de romans de P.G. Wodehouse, et c’est dommage car il y a de petits bijoux à découvrir ou redécouvrir.




Lien : http://leslecturesdelonclepa..
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Ça va, Jeeves ?

Bertie Wooster et son majordome Jeeves sont les habituels héros des romans de PG Wodehouse et celui-ci ne fait pas exception à la règle.

L'histoire est cousue de fil blanc : Bertie a décidé de montrer que ses capacités à résoudre les pires difficultés sont au moins équivalentes à celles Jeeves. Il se prendra les pieds dans tous les tapis sans en manquer un seul, mais Jeeves sauvera la mise comme il se doit.

En fait l'histoire ne nous intéresse pas, ce qui compte c'est l'humour des réparties, les situations farfelues et l'excentricité britannique. C'est moins bien que les nouvelles de Saki mais on s'amuse quand même.

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Hello, Plum !

Une fois n'est pas coutume, ce bon vieux Wodehouse se livre ici -quasiment en robe de chambre- pour dévoiler quelques unes de ses batteries et se présente au lecteur, sinon en charentaises, du moins tel que sa pudeur britannique le lui autorise.



Le créateur de Jeeves et de Bertie Wooster, ce fabuleux duo so brittish, prend donc sa palette de couleurs et ses pinceaux d'écrivain compulsif et inspiré pour dresser un amusant auto-portrait, notre peintre en mots prenant soin de nous asperger régulièrement de son humour décapant, sans oublier de tirer quelques plans sur la comète pour ne pas rester trop terre-à-terre.



Abhorrant le côté parfois pompeux et suffisant de ses pairs en écriture, P.G. Prend un malin plaisir à se mettre en boîte pour nous rappeler que l'humilité reste une vertu cardinale, savoir rire de soi permet d'éviter aux autres de le faire à ses propres dépens !



Cette sympathique excentricité nous arrache de bonnes quintes de rire et excite nos zygomatiques avec la régularité d'un métronome. C'est tout l'art de Wodehouse de ne rien prendre au sérieux, et surtout pas lui-même. Quand la simplicité est enrobée d'humour et de subtilité, on ne peut qu'accepter de rebondir sur les digressions joyeuses et funambulesques de l'auteur.



A lire Wodehouse, on ne s'étonne pas que cette chère vieille branche soit partie si tardivement sous d'autres cieux (93 ans), où il doit aussi sévir. On imagine Saint Pierre recevant l'éternel jeune vieillard: "P.G. Wodehouse, je présume?"
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Mon valet de chambre

C'est tout simplement extraordinaire!
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Bonjour, Jeeves

A découvrir absolument !! une pépite d'humour so british.
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Un pélican à Blandings

Dans cette comédie déjantée, nous faisons la connaissance Lord Emsworth et sa truie de concours qui se complait dans sa solitude et ses habitudes au coeur du château de Blandings, avec son majordome pour tout compagnon. De fait il voit d'un mauvais oeil l'arrivée de sa soeur Connie, élément dévastateur capable de terrasser "Attila le Hun et n’importe quel champion de catch poids lourd". Affolé par tant d'agitation en puissance, il demande alors l'assistance de Galahad, son frère. S'ajoutent à la joyeuse communauté le duc de Dunstable et sa nièce Miss Gilpin qui vient de rompre avec son fiancé John Halliday, qui n'est autre que le filleul de Galahad. (Vous suivez ?) Pour aider le jeune Halliday à reconquérir sa "poupée", Galahad l'invite au château en le faisant passer pour un psychanalyste venu guérir Lord Emsworth de ses errances.



Entre les personnes qui se font assommer par des dindes, d'autres qui suivent les préceptes de Thomas Hardy "On ne savait jamais, lui aurait-il dit, à quel tournant le Destin nous attend avec sa chaussette pleine de sable.", les membres sélects du Pelican Club : "Sous la douce férule duquel j'ai appris à rester calme, à garder le sourire et à toujours penser un rien plus vite que l'homme d'en face.", des hommes fascinés par des tableaux de femmes, on comprend rapidement que les plus fous ne sont pas ceux que l'on croit, et que chacun porte en lui ses tares derrière les convenances...



Cette galerie de personnages décalés crée un roman très divertissant, drôle et enjoué, délicieusement absurde. A découvrir !!
Lien : http://www.lecturissime.com/..
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Au pays du fou rire

Le résumé de ce livre ne correspond pas à l'histoire lue. J'ai été en quelque sorte flouée par l'auteur. L'objectif initial du voyage du comte est complètement passé à la trappe au profit d'une histoire rocambolesque d'échange de vie.
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Oncle Galahad au château de Blandings

Ce roman fait partie d’une série qui se déroule au château de Blandings, paisible village anglais. Il peut se lire seul, il date de 1965.

On y suit les aventures de plusieurs jeunes gens, des aristocrates n’ayant pas vraiment de soucis dans le vie si ce n’est faire la fête, faire des paris sur les prochains mariages des gens connus, trouver une compagne pour l’épouser, ou s’amuser d’un rien.

Ici, il est question de trois jeunes gens dont les unions sont compromises pour différentes raisons et c’est l’oncle Galahad qui va tenter de les aider tous les trois à réparer les dégâts et à finaliser leurs unions. Il y a aussi une ancienne conquête oubliée qui va faire un retour fracassant, un cochon nommé l’Impératrice de Blandings que tout le monde est censé chouchouter, des sœurs assez tyranniques….

Les situations relèvent généralement du vaudeville, il y a des lettres qu’il faut intercepter avant qu’elles arrivent jusqu’à leur destinataire, des personnes qu’il faut éviter comme la peste quitte à inventer des mensonges ridicules, des histoires d’amour qu’il faut rafistoler, des quiproquos qu’il faut éclaircir….

J’ai lu cette histoire avec plaisir, d’autant que certaines situations étaient vraiment drôles, mais je ne suis pas sûre du tout de lire la série entière, je crains la lassitude si tout est dans le même style.
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Bravo, oncle Fred !

Wodehouse nous offre encore un ballet savoureux de bons mots, distillés par des personnages hauts en couleur. Les situations saugrenues s'enchaînent, dans un tourbillon d'humour so british. Ce bon oncle Fred est à consommer sans modération, with a cup of tea of course.
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Au pays du fou rire

Ce n'est pas la meilleure sauce de Wodehouse. Mais quel plaisir de lire ce bienfaiteur de l'humour grinçant british!
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L'inimitable Jeeves

Ce fut ma première incursion dans l'univers de Jeeves et Bertie, respectivement valet impassible et bourgeois oisif. Les deux forment une drôle de paire, entre le valet instruit, débrouillard et malin d'un côté et le maître qui s'exprime comme un paysan et pas très dégourdi de l'autre côté.



Bertie se retrouve toujours embarqué dans des aventures loufoques que ce soit par son ami d'enfance, Bingo qui tombe amoureux en deux secondes ou ses cousins Claude et Eustache.

Heureusement, il peut compter sur Jeeves, le domestique discret, irréprochable et ayant toujours un train d'avance.



Leurs aventures m'ont divertie même si le côté grotesque était parfois trop poussé à mon goût.

Tous les personnages sont un peu caricaturés comme la redoutable tante Agathe ou l'oncle de Bingo.



La british touch qui ressort de l'écriture de P G Wodehouse m'a embarquée malheureusement les aventures un poil trop loufoque de Bertie et Jeeves m'ont empêchée de vraiment accrocher.
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Le petit trésor

Grande lectrice de Wodehouse, je peux dire que cet opus se distingue vraiment de ses autres livres. Toujours de l'humour, mais, aussi de l'aventure et des sentiments. Très agréable à lire, d'autant que le style est beaucoup moins suranné que dans certains de ses livres. Je le recommande, c'est un souffle de fraîcheur.
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Le plus beau cochon du monde

Une somme de clichés maniés avec dextérité et une certaine bienveillance...
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Au pays du fou rire

Que dire de ce roman de P.G. Wodehouse ? Déjà, le style inimitable de l'écrivain anglais, toujours empreint de cet humour pince-sans-rire britannique dont il était l'un des spécialistes, est bien présent. Et c'est tant mieux.

Ensuite, le fond. Et c'est là que le bât blesse. "Au pays du fou rire" est en fait une satire du cinéma américain des années 20-30 : l'exploitation des enfants-acteurs, les caprices et les jalousies entre actrices, l'apparition de la communication à outrance (événements créés pour faire le buzz médiatique autour d'un acteur)... Tout cela aurait pu être un bon roman de P.G. Wodehouse, mais cela n'a pas fonctionné pour moi. La touche de fantastique fait tâche, et il est dommage que Wodehouse ait choisi cet artifice (que je ne dévoilerai pas) pour raconter son histoire. Il aurait aisément pu utiliser un autre moyen.



Voilà. Il ne reste que le style et la jubilation qu'il provoque... et les autres romans de l'auteur.
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Bonjour, Jeeves

Un roman loufoque à l'humour pince-sans-rire. J'adore !
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Les célibataires anonymes

Lorsque j'ai vu ce livre à ma médiathèque , j'ai pensé qu'il était grand temps de rencontrer cet auteur qui symbolisait à mes yeux l'humour britannique que j'affectionne tant. De Wodehouse , je savais qu'il avait été scénariste à Hollywood , et vu qu'il était né en 1881 , je m'attendais au style" vieille comédie en noir et blanc" avec Cary Grant , des dialogues qui percutent et un petit côté vieillot...

Et bien c'est tout à fait ça , ça a un peu vieilli...

Déjà le sujet ... Un producteur américain , qui vient juste de divorcer de sa cinquième épouse doit se rendre à Londres et fait appel à des amis ( du Club des Célibataires Anonymes: comme les "A A" !) pour le chaperonner , afin qu'il échappe au mariage dés la première péronnelle croisée. Celui qui est affecté à cette noble mission craque lui-même pour une journaliste laquelle reçoit un héritage . A ce moment là, j'ai senti un frémissement d'intérêt , ça aurait pu s'approcher d'Agatha Christie (série Thomas et Tuppence Beresford...) mais non ! Cette piste n'est pas exploitée .

Quelques jolies répliques, mais tous ces hommes qui proposent le mariage au bout du premier ou deuxième RV, j'ai beau aimer les comédies romantiques, je n'ai pas adhéré.

Pleine d'indulgence , je me suis dit que notre vision des rapports hommes/femmes avait beaucoup évolué depuis la jeunesse de Mr Wodehouse , et par curiosité j'ai regardé la première date de publication de ce tout petit roman : 1973 ! ...

Donc c'est vieillot ! charmant mais vieillot ...

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Le petit trésor

Je l'ai lu à petites doses. C'est un livre suranné mais plein d'humour britannique.

Un couple d'américains fortunés se partage la garde de leur enfant : leur petit trésor. Quand c'est monsieur qui l'a par droit de justice, madame fait tout son possible pour le lui reprendre et l'horrible rejeton en profite !

M. Ford finit par le récupérer et le mettre dans une école anglaise en pension.

Mme Ford cherche un stratagème pour le reprendre. C'est Pierre, l'amie de Cynthia, qui doit s'en charger. Il se fait embaucher comme pion dans le collège pour gagner la confiance du petit et c'est une suite rocambolesque de quiproquos car plusieurs personnes sont aussi intéressés par la capture du petit Lingot d'Or car le père et la mère ont offert une prime conséquente pour l'avoir à nouveau avec eux. C'est très drôle.
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La jeune fille en bleu

"La jeune fille en bleu" raconte au départ le vol et la recherche d'une petite miniature acquise par un notaire anglais, Willoughby Scorpe. Les soupçons se portent sur Madame Clayborne qui est connue dans tout Londres pour sa cleptomanie et qui s'est retrouvée en présence de la miniature la veille de sa disparition. Comme Madame Bernadette Clayborne (dite Bernie) est envoyée dans la campagne anglaise à Mellingham Hall, domaine géré par Crispin Scorpe, frère de Willoughby Scorpe (vous suivez toujours ? :-)) pour l'éloigner de toute tentation, ce dernier charge à la fois son frère, Crispin, mais également son neveu, Jerry West, de récupérer la statuette.

Autour de ce point de départ, nous suivons les histoires d'amour de Jerry West, le neveu, et d'Homer Pyle, avocat d'affaires et frère de l'apprentie voleuse.

P.G. Wodehouse est un auteur classique de l'humour britannique. J'avais déjà lu plusieurs de ses romans, notamment ceux avec le valet de chambre Jeeves, et je n'ai pas été déçue. On retrouve dans ce livre, l'humour britannique de P.G. Wodehouse qui nous sert toujours une galerie de personnages plus savoureux les uns que les autres (le majordome Chippendale est magique). On sourit très souvent des situations de vaudeville et des imbroglios divers qu'invente P.G. Wodehouse dans la "Jeune fille en bleu". Cela me fait penser à l'humour de "Trois hommes dans un bateau" de Jérome K Jérome dans lequel les personnages se retrouvent toujours dans des situations totalement ubuesques.

C'est léger, divertissant et très bien écrit (très bien traduit en l'occurrence). Que demander de plus ?

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