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Critiques de Philippe Forest (205)
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L'oubli

Un histoire qui se veut poétique, celle d'un mot perdu qui doit être retrouvé.
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Le chat de Schrödinger

Nous avons de la science une image ambivalente. Dans notre cadre spatio-temporel, les lois énoncées par des cohortes de chercheurs, par leur rigueur et leur prédictibilité, sont plutôt rassurantes. Mais lorsque l'on en vient à l'infiniment petit et à l'infiniment grand, la complexité des propos et des raisonnements conduit le commun des mortels à la plus grande confusion.

Reste que la science et les lois qui gouvernent le monde existent en dehors de toute contingence émotionnelle et/ou religieuse... enfin peut-être...

Partant de l'expérience de pensée imaginée par Schrödinger en 1935 – l'histoire de ce pauvre minou, enfermé dans un boîte avec un produit radioactif et qui se retrouve dans un état où il est vivant ET mort en même temps –, Philippe Forest nous entraîne dans une méditation multisujets. Bien sûr, il est question de sciences, mais pas que... Car en tirant le fil de ses réflexions, l'auteur nous fait glisser petit à petit vers une réflexion sur la vie et le deuil, reliant ainsi l'émotion et la théorie fondamentale.

Là où le roman de P. Forest tire son épingle du jeu, c'est qu'il transforme un sujet globalement incompréhensible en source d'apaisement et d'espoir. La science comme nouvelle philosophie pour surmonter le deuil ? Peut-être...

Un texte parfois ardu, mais mené d'une plume limpide, poétique et source d'émerveillement.
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L'enfant éternel

bouleversant !!!!!!!
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L'enfant éternel

Témoignage subtil, profond, aimant et pudique d'un père sur l'épouvantable réalité d'un ostéosarcome particulièrement virulent qui atteint une merveilleuse petite fille de quatre ans. C'est déchirant et beau et on ne peut que faire silence et recueillement en refermant le livre.
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Le nouvel amour

Une œuvre qui nous laisse un empreinte et beaucoup de réflexions : la perte d'un enfant, d'un amour et la redécouverte de l'amour à travers de jolis mots qui nous émeuvent. Ce roman semble être la suite de l'enfant éternel, ce qui est encore plus bouleversant...un récit profond et mélancolique mais qui donne un certain espoir qu'on peut guérir par l'amour
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D'après Proust

Numéro du centenaire de la parution de "Du côté de chez Swann" par la NRF.

Contributions diverses dont certaines assez convenues comme la réception de Proust dans tel ou tel pays.

Mes préférées, celles de Stéphane Audeguy et sa première lecture de La recherche en 2012, Juan Gabriel Vasquez qui définit la Recherche comme la construction d'un écrivain, Laure Murat "Les souliers rouges de la duchesse ou la vulgarité de l'aristocratie française, Christophe Pradeau, "Finir la phrase" et Henri Raczymow qui nous parle avec talent des relations ambigües de Proust avec Flaubert.
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Le nouvel amour

Autofiction sur l’amour naissant, pas un en particulier, mais le dernier, celui qui efface tous les autres. Tout n’est pas si simple chez M. Forest car il trompe sa femme avec Lou qui le trompe avec un autre, qu’il trompe avec sa femme qui le trompe aussi. Il s’agit de l’histoire de la naissance de son amour avec Lou, de l’intimité de leur relation et de la confusion de ses sentiments. Tiraillé entre sa femme et sa maitresse, il se consolera dans les bras d’une troisième avant de retourner vers sa femme et vers sa maitresse. Amoureux de l’amour quoi qu’il en dise; indécis totalement.

Ce roman s’il parle d’amour, parle aussi de souffrance qui sourd en son sein dès sa genèse. Le chagrin, le deuil, l’attachement, le choix, la sensualité, la sexualité, le fantasme, le désir, les regrets, les remords, la vie dans toute sa complexité, sans complaisance pour lui, parfois de manière assez crue il va relater son univers affectif.

Une fois commencé, je n’ai pas pu lâcher ce livre hors norme qui aura su me faire réfléchir sur les raisons de nos choix et du pourquoi de l’amour.
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Toute la nuit

Un bouleversement, au delà des mots, un livre émotion..
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Le roman infanticide : Dostoievski, Faulkne..

Réunissant opportunément en un ensemble on ne peut plus cohérent sept textes jusqu’alors dispersés, ce livre d’analyse et de réflexion interroge le rapport de la littérature avec — et à — l’épreuve du deuil, particulièrement d’un enfant, ce «comble», ce «scandale où tout s’abîme», sa fondamentale confrontation à «l’inintelligible énigme du Mal». Avec le style juste et limpide qu’on lui connaît dans tous ses ouvrages, dont plusieurs témoignent d’un drame personnel, Philippe Forest éclaire les vies et les œuvres, liées, de Dostoïevski, Faulkner (qui perdirent chacun un enfant) et Camus (donné pour mort dans son adolescence et qui porta à la scène Dostoïevski et Faulkner) : la mort d’un enfant « — fut-elle naturelle — est toujours un crime. »

Désamorçant les questions perfides (l’ "impudeur" ne serait-elle pas justement là?) qu’on imagine sur l’absence de légitimité morale qu’il y aurait à exploiter une histoire intime pour créer un objet esthétique, l’auteur de L’Enfant éternel, qui écrivait ailleurs «le "je" est plutôt un témoin qu’un héros», pose radicalement : « Bien sûr, n’importe qui a le droit d’écrire sur n’importe quoi. » Au-delà, avec une intelligence, une éthique et une lucidité exemplaires (c’est-à-dire sans illusions), rappelant maints écrits de Bataille, Malraux, Shakespeare, Joyce ou Kobayashi Hideo, Philippe Forest refuse de s’en remettre au « vieux concept de la catharsis [purgation des passions] pour ne pas vouer la littérature à n’être que l’auxiliaire de l’illusion religieuse. » Encore battue en brèche, l’expression galvaudée « faire son deuil » — et l’idée, voire le grigri trop confortable, pratique, dont on use et abuse aujourd’hui afin de rassurer vite fait et à bon compte, thèse si mal convaincante pour ne pas dire inacceptable ou «barbare»: comment céder au « bon sens » qui ordonnait à Clytemnestre, Electre ou Antigone de procéder à l’effacement de leur chagrin ? «Deuil impossible où se révolte l’absurde de la condition humaine […] expérience inédite et cependant répétée de l’impossible». Comment croire à quelque salut par la littérature, à son possible triomphe sur la mort, comment ne pas reconnaître «la pathétique et inquiète impuissance de toute parole devant une tombe ouverte» ? Pour Philippe Forest, qui formule ici d’insolubles paradoxes («la littérature du deuil échoue forcément et […] de cet échec elle tire le principe de sa perpétuelle justification» ; «il n’y a pas de littérature du deuil, […] il n’y a de littérature que du deuil») son seul pouvoir sera de «conserver sa confondante vertu de vertige». Dans un monde où le sacrifice d’Isaac se perpétue encore chaque jour, Philippe Forest conforte l’implacable pertinence de la phrase de Camus: «L’art et la révolte ne mourront qu’avec le dernier homme.»



Critique parue dans une version réduite dans "Encres de Loire" n° 52 page 14, été 2010


Lien : http://www.paysdelaloire.fr/..
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Le siècle des nuages

Philippe Forest est un écrivain ambitieux. Très. Le siècle des nuages, un pavé de 550 pages, ne passera pas inaperçu dans la grande mêlée de la rentrée littéraire. Un prix Goncourt à la clé ? Pas impossible. Difficile de résumer ce roman : disons qu'il s'agit d'un hommage de l'auteur à son père, pilote de ligne, à travers les grandes étapes de sa vie, marquée par la passion de l'aviation. C'est la première couche du livre, la seconde étant constituée par la relecture de Philippe Forest, très personnelle et subjective, de l'histoire de l'aviation, justement, depuis l'origine. Attendez, ce n'est pas terminé : le romancier en profite pour faire un portrait documenté des grands événements du 20ème siècle, la deuxième guerre mondiale tenant le rôle principal. Le siècle des nuages est donc un titre à deux entrées, ceux au-dessus desquels volent les aviateurs, mais aussi qui ont assombri l'horizon de notre histoire, avec son cortège de massacres et de morts violentes. Et puis, il faut évoquer le style de Forest, ample, luxuriant, excessivement exigeant, requièrant toute l'attention de son lecteur, parfois perdu par la longueur de phrases proustiennes. A défaut d'aimer le livre, on ne peut être qu'impressionné par l'ambition (on y revient) littéraire de Philippe Forest, sacré pilote de lignes.
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Le siècle des nuages

La passion d'un homme, le père de l'auteur, pour l'aviation, dont il devint un acteur, alors qu'il n'y croyait plus ; sur fond de grande histoire, depuis le premier vol des frères Wright en 1903, les deux guerres mondiales, l'épopée optimiste de l'Aéropostale, cette utopie d'une fraternité entre les nations qui a finalement donné naissance à un rêve fasciste. Les aléas de la vie ou les opportunismes qui ont entraîné certains dans la résistance, d'autres dans la collaboration. De longues phrases décrivent les événements en boucle et m'ont fait vivre l'histoire en direct. L'auteur revient aux racines du roman qui a donné naissance à sa propre histoire jusqu'à la fin du vingtième siècle à la mort de son père. Il m'a fallu me forcer et passer le prologue et les 50 premières pages pour m'intéresser pleinement au roman, puis me passionner pour le style et le contenu, avant de me lasser durant le dernier tiers.
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Sarinagara

Récit émouvant qui mêle, avec harmonie, quatre histoires qui se répondent : celle du poète Kobayashi Issa, du romancier Natsume Sôseki, du photographe de guerre Yamahata Yosuke et de l'auteur, Philippe Forest, en résidence — ou plutôt en exil — au Japon après la mort de son enfant. Une plume précise et délicate pour raconter le malheur, la peine, la vie.
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Le siècle des nuages

Embrasser l'histoire du vingtième siècle à travers celle du père de l'auteur, le tout sur fond de développement de l'aviation, telle est l'ambition de Ph. Forest. Enfin je crois, puisqu'au bout d'une trentaine de pages j'ai reposé ce livre pour ne plus l'ouvrir.



Dommage, j'avais pourtant lu tellement de bien sur ce roman ; mais cette écriture est impossible à lire pour moi, c'est du verbiage, ces longues phrases entrecoupées de considérations pseudo-philosophiques voire moralisatrices m'ont totalement ennuyée, voire énervée.
Lien : http://chezmathilde.canalblo..
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Beaucoup de jours d'après Ulysse de James Joyce

Il s'agit ici de commenter Ulysse de Joyce. Philippe Forest, un des nombreux exégètes du romancier dublinois, a consacré un an à relire le roman car comme l'écrit l'auteur irlandais la vie c'est "beaucoup de jours, jour après jour". L'essai de Philippe Forest est une invitation enthousiaste à s'égarer dans les pas de Bloom. Le roman étant présenté tour à tour comme intellectuel, mais non rébarbatif, puis sentimental. Philippe Forest réussit son pari de faire débuter ou recommencer la lecture de ce classique.
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Pi Ying Xi

Avec douceur et discrétion, Philippe Forest empoigne le monstre de notre siècle : la Chine. Comment parler de la Chine sans tomber dans les clichés et les considérations journalistiques ? En prenant le chemin le plus intime, le plus singulier. Pi Ying Xi est un excellent essai d’écriture de soi, pas vraiment une auto-fiction, mais plutôt un récit de voyage intellectuel et sensuel. Un texte qui prélève dans tous les voyages que Forest a effectués en Chine depuis vingt ans, des éléments particuliers qu’il fait résonner les uns dans les autres : les ombres, les fantômes, les morts, les mythes.



Ce n’est pas un roman, ne nous y trompons pas. La mention « Roman » sur la couverture pourrait égarer des lecteurs. Ce n’est en rien un roman. Il n’y a ni fiction ni intrigue. Les auteurs et les éditeurs tiennent au genre roman car c’est ce qui se vend le mieux, mais ce n’est pas notre problème de lecteurs. Nous, en tant que lecteurs, nous voyons là un essai personnel, qui prend des libertés farouches avec le récit, et qui n’hésite pas à proposer des réflexions littéraires sur des classiques chinois, sur la fameuse Pérégrination vers l’ouest, sur le non moins célèbre Lu Xun, le grand écrivain du XXe siècle, fondateur de la modernité littéraire en Chine. Surtout, Philippe Forest nous fait découvrir le frère de Lu Xun qui fut un auteur plus confidentiel mais très intéressant à bien des égards, plus proche de Forest lui-même.



C’est donc un entrelacs de réflexions, de réminiscences, de portraits, qui se lit extrêmement bien et qui nous fait rencontrer une Chine méconnue.



Car le livre se passe en grande partie dans le monde universitaire chinois, et plus précisément dans le monde des études françaises. Il décrit justement les Chinois docteurs en français qui parlent étonnamment bien notre langue. On rencontre des profs et des étudiants de Nankin, de Shanghai, de Beijing et de Wuhan. À la lecture, on comprend peu à peu combien la Chine est un géant qui se donne les moyens de devenir la première puissance du monde. Notamment dans des domaines d’étude minuscules, comme les études françaises.



L’auteur se montre minable en France et gigantesque en Chine. Coincé dans un appartement minuscule à Paris, il devient un albatros de la pensée dans le nouvel empire du milieu. Inconnu en France, il côtoie les prix Nobel dans les universités chinoises qui l’invitent et lui déroulent le tapis rouge.



Les Chinois lui parlent avec déférence, ils gardent un ton aimable avec lui, mais il est clair qu’ils se fichent radicalement de ce qu’il a à dire. La Chine qui transparaît dans ce roman est un pays qui est déjà loin devant la France et l’Europe, qui n’a plus aucune raison d’admirer nos cultures. C’est un pays qui n’a plus besoin de nous, qui n’a pas peur de nous, qui n’a plus d’admiration pour nous. Nous sommes devenus décoratifs pour eux, des ombres et des fantômes.
Lien : https://gthouroude.com/2022/..
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Le chat de Schrödinger

Poésie et paradoxes

Avec pour fil conducteur un chat de passage et la physique quantique, Philippe Forest compose un récit contemplatif qui touche le coeur autant que l'esprit.





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L'université en première ligne

J'ai découvert la série des "Tracts de crise" de Gallimard pendant le confinement de mars à mai 2020. La parole était alors donnée par la célèbre maison d'édition à différentes personnalités afin qu'elle s'expriment sur ce que leur inspirait la pandémie en cours. Parmi les auteurs de ces courts essais (alors mis en ligne gratuitement), se trouvent Erri de Luca, Sylvain Tesson, Bruno Lemaire, Pierre Assouline, Edgar Morin, Régis Debray, etc., mais la série comporte aussi des textes d'auteurs disparus tels que Simone Weil et Albert Camus.



Cette série continue d'être alimentée et est désormais mise en vente en librairie à prix modique (3,90 €).



Le numéro de septembre 2020 (n°18) est signé de Philippe Forest qui, en tant que professeur d'université et citoyen s'interroge sur les conséquences de la généralisation du numérique sur l'avenir de l'Université. Il s'appuie pour cela sur la crainte de l'extension puis de la pérennisation de l'enseignement en "distanciel" et estime que les confinements successifs (bien que lors de la rédaction de son tract celui de novembre 2020 n'ait pas encore été annoncé) ne feront que renforcer la "dictature" du numérique.



Son pamphlet traite de la démocratisation de l'enseignement (démocratisation qu'il considère plutôt comme une "massification"), s'en prend au baccalauréat devenu simple formalité qui conduit à la "secondarisation" de l'enseignement supérieur, critique la mauvaise adaptation à l'évolution de notre monde du doctorat et de l'agrégation, regrette la "professionnalisation" de l'Université et le modèle managérial qui l'accompagne (ainsi que le chasse aux financements) et développe des considérations sur les examens à l'heure du numérique en dénonçant l'aggravation de la "générosité" avec laquelle les correcteurs opèrent, les ravages des QCM (questionnaires à choix multiples) et l'usage généralisé du "copié-collé". Il élargit son propos en s'interrogeant sur l'avenir de la propriété intellectuelle, sur celui de la culture et, au-delà, sur la liberté à l'heure du numérique.



Si ce brillant essai éclaire le débat, hélas il n’avance guère de solutions. Le monde universitaire est à un moment de bascule, il est malade. La description des risques qu'il court prépare l'avènement d'une thérapie.
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Sarinagara

En 1997, dans L'Enfant éternel, Philippe Forest a raconté l'insupportable et inconcevable douleur de voir mourir sa fille de quatre ans. Le titre de ce livre de deuil impossible était emprunté à Mallarmé qui lui aussi perdit un enfant. Installé avec sa femme au Japon, Philippe Forest se tourne à nouveau vers des auteurs qui ont traversé l'extrême douleur : le poète Kobayashi Issa et le romancier Natsume Sôseki ont perdu leurs enfants. Le photographe Yamahata Yosuke a été le premier, le 10 août 1945, à Nagasaki, à photographier les corps calcinés.

Si le chagrin ne s'efface pas, Philippe Forest trouve pourtant ("sarinagara" en japonais) au Japon une forme d'apaisement. Le Japon, écrit-il, "fut pour nous le pays d’après, celui où survivre à la vérité reprenait un sens, où il ne s’agissait plus de choisir entre le souvenir et l’oubli mais où l’oubli devenait la condition mystérieuse et nouvelle du souvenir."
Lien : https://balises.bpi.fr/litte..
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L'oubli

Comment à partir d’un mot oublié, le génie de l’auteur en fait-il un roman ! Splendides découvertes sur les mots, l’échange, la mémoire, le souvenir. J’aime cette apparente économie de moyens qui, malgré — ou grâce à — cela, soulève des questions fondamentales sur notre statut humain et social.
Lien : HTTP://direcestfaire.wordpre..
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Crue

Quand à la page 63 je ne sais toujours pas de quoi il retourne, que tout est alambiqué, que rien est nommé et bien j'arrête et je rends le livre. Premier livre de la rentrée.. je me suis perdu avec le chat....
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