Philippe Geluck

Entre quelques dessins et quelques gags de son cru, Geluck partage ses idées et ses réflexions sur différents thèmes : l’athéisme, la représentation de Dieu, la féminisation des mots, les armes, les mots interdits de l’iPhone... des textes souvent drôles et plein de bon sens.

Je regarde régulièrement les apparitions de Philippe Geluck à la télé et ses dessins dans la presse. J’aime son humour, ses jeux de mots, parfois absurdes, mais toujours très fins, très drôles, sans jamais être déplacés.

Me voici lancée : j’ai acheté mon premier album. Je ne suis pas déçue : il est fidèle à ce que l’on peut voir de Philippe Geluck par ailleurs. De petites scénettes à juste un petit dessin, tout s’enchaine parfaitement bien et nous fait sourire parfois réfléchir. C’est drôle et intelligent.

Le dessin n’est pas très riche, mais le propos l’est tellement qu’on pardonne à l’auteur.

Un bon album que je vous recommande. Il donne irrémédiablement envie d’en découvrir d’autres.

Un album à l’image des autres : de l’humour, des gags, des bons mots... Geluck a toujours de l’inspiration pour rendre 3 vignettes drôles et parfois un seul dessin pour faire un gag...

Après 2 planches sur la création du Chat par Gelluck, nous retrouvons comme à son habitude les réflexions du chat (très pertinentes), les blagues (très drôles) et les gags (très originaux)... je ne me lasse pas de ce Chat qui, comme il le dit, a des pensées très profondes.

« Le chat », c'est l'art de vivre.



À savourer sans modération.

un album un peu spécial car il est composé de 3 mini-BD. L’un d’entre eux est consacré à Geluck lui-même qui se met en scène face à sa femme qui veut absolument faire une partie de Scrabble. Différentes situations cocasses mais c’est moins marrant que Le Chat.

Les 2 autres, à part leur format, restent dans la même veine que les autres albums : des réflexions, des images d’époque, des gags, de l’inventivité... bref tout ce qui fait le charme de l’humour de Geluck.

Intéressant, fin et belge, cet essai est drôle, caustique, noir et même très noir. Je lui reproche d'être parfois trop facile, et certainement bien trop court.

Le Chat de Geluck ne se critique pas, ne se commente pas.

Il se lit avec passion, on observe les dessins avec minutie, on déchiffre les textes et surtout on prend du plaisir...

Un excellent album, encore plein de réflexion et d’humour : les running gags des statues, des femmes afghanes ou encore l’interview de Lucky Luke, d’Obélix, d’Averell et du Chat sur l’humour sur les gros sont excellents.

Philippe Geluck continue à donner des bons mots à son Chat qui parfois a des réflexions profondes et des autres... beaucoup moins profondes. On sourit, on rit, on s’étonne bref on ne s’ennuie pas et surtout on ne se lasse pas (et ça c’est étonnant !) malgré ce douzième tome.

Philippe Geluck a toujours autant d’inspiration que ce soit avec le Chat, les photos d’époque commentées, les rôles secondaires (le fils du Chat, son épouse, le docteur ou encore Roger)... et en alternant les styles et l’humour.

Philippe Geluck se met régulièrement en scène, notamment avec ce dessin final : vous n’en avez pas marre du Chat ? ...

Les dessins de Geluck sont toujours aussi drôles avec les remarques tantôt philosophiques de bar et tantôt irréalistes du Chat.

Moi, je ne m'en lasse pas même si pour cet album, j'ai trouvé moins de bonnes trouvailles que pour les autres.

C'est de l'humour souvent par l'absurde et certaines planches sont assez délirantes. D'autres, beaucoup moins. L'ensemble donne un petit moment assez sympathique.

CELA FAISAIT BIEN LONGTEMPS QUEJE NE M'ETAIS PAS AUTANT...



Poilé, réjoui, esbaudi à la lecture d'une B.D. humoristique....de franches crises de rigolades répétées larmes aux yeux, m'ont secoué de spasmes gondolants...



Bien sûr, Il faut aimer cet humour non sens, parfois proche du canular, voire de l'almanach Vermot, relevé de pointes acides, teinté de remarques desprogiennes..



Mais là si on apprécie, c'est buffet campagnard gratuit..



Parmi la pléthore de gags, citons :



" Si on était capable de voir à 40 000 kilomètres, on se verrait de dos" ,



"Comment réconforter un daltonien dépressif ? "Je comprends très bien que ça ne doit pas être jaune tous les jours...mais ne voyez pas tout en mauve",



"Le borgne qui ne dort que d'un oeil passe généralement une bonne nuit ; de même que l'unijambiste se lève toujours du bon pied"...



Et tout est comme chat....BTW* pas besoin de vous un faire un dessin pour la couverture de l'album...On dirait une parodie de....!



*By the way

Je ne me lasse pas des blagues du Chat : les running-gag des trapézistes, les images d’époques commentées... Geluck a toujours beaucoup d’inspiration avec peu de gags qui tombent à l’eau.

Comme d’habitude dans ce genre de recueils, il y a du bon et du moins bon.

Rien de tel qu’un court exemple pour vous donner le ton :



- Cher docteur G. La semaine prochaine et pour la première fois de ma vie, je dois passer plusieurs radiographies. Ça a l’air bête mais je ne sais pas du tout l’effet que ça fait. Dois-je sourire ou rester naturel ?

- Ne vous tracassez pas. C’est un peu comme sur les photomatons, on a toujours l’air un peu con. Dans votre cas un air naturel conviendra parfaitement. »

Un tout petit peu moins drôle que les précédents albums que j’ai lu mais toujours de bons mots et de bons gags dans l’ensemble.

Je ne me lasse pas de ces jeux de mots qui peuvent surprendre, étonné, marré ou faire réfléchir.

L’essentiel est de passer un bon (mot)ment.

Encore un excellent album, plein d’humour et qui fait passer un bon moment.

Encore une fois c’est très éclectique : des dessins, des réflexions, des jeux de mots, des gags... toujours en prenant à parti le lecteur.

C’est peut-être ça la force des albums du Chat, c’est que le lecteur est invité à participer aux réflexions du Chat, un album inclusif en quelque sorte.

Encore plein d’humour dans cet album du Chat. Geluck alterne les gags et les jeux de mots, les traits d’humour et les images drôles.

Il arrive que des gags ne fassent pas « mouche » ou ne soit pas drôle, mais cela reste l’exception.

Par contre, si quelqu’un a une explication sur la blague du râteau de Yannick Noah ?!

Un album excellent car particulièrement réussi en terme de jeux de mots et calembours.

Les acolytes au Chat sont de sorti (le fils du chat, Roger, la souris), les vieilles illustrations aussi, ainsi que le fil rouge des siamois. On ne s’ennuie (toujours) pas une seconde à la lecture du Chat de Geluck.