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Citations de Robert Lawrence Stine (200)


Tyler et moi hurlâmes de joie, très fiers d’avoir compris le tour que l’on nous avait joué.
Puis un lourd silence s’abattit à l’intérieur du bus. Tout le monde regardait par les fenêtres, s’attendant à ce que le chauffeur tourne et entre dans le camp de vacances.
Mais l’énorme flèche indiquant l’entrée défila devant nos yeux. Nous venions de la dépasser !
- Vous avez raté le virage ! hurlai-je au chauffeur.
- Faites marche arrière ! s’exclama un garçon derrière moi.
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-Oooooh.
Ce cri m'échappa lorsque j'aperçus un objet rangé le long de la paroi qui me faisait face. Fasciné, je m'en approchai. C’était un sarcophage. Un grand sarcophage de pierre d'au moins deux mètres de long, rectangulaire, avec des coins arrondis. Le couvercle s'ornait d'un visage sculpté, un visage de femme dont les yeux grands ouverts regardaient le plafond. Un masque mortuaire.
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Il fit exprès de placer la créature dans la poche arrière de son pantalon, où il savait que je ne pourrais pas aller la chercher.
Il se rua sur le ballon. Mais il se prit le pied dans une motte de terre. Il tomba et se cogna la tête sur un gros caillou.
Il resta allongé sur le sol, sans bouger, les yeux révulsés. Il était évanoui ! [...]
Le Groll avait frappé. On pouvait reconnaître son style.
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- Ce nouveau pantin est mieux que Totoche ! commenta Maman.
- Mais c'est la même ventriloque, observa cruellement Sara.
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C'était donc ça ! Ces chuchotements qui m'avaient réveillée, ce n'était que le froissement des rideaux. Dans la pâle lumière grisâtre qui traversait la vitre, leur ombre mouvante s'étirait jusqu'à mon lit.
Je bâillai et sautai du lit pour aller refermer la fenêtre. Le froid du plancher sous mes pieds me fit frisonner. Comme j'approchai les rideaux cessèrent soudain de flotter et retombèrent en place, immobile. Je les tirai de côté. Alors j'étouffai un cri : la fenêtre était fermée.
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- Mais non, allez, on y va ! insista Michael. On voulait de l’aventure, non ? Eh bien, partons découvrir les secrets de cette maison.
Alex hésitait en observant l’inquiétante bâtisse, saisi d’un mauvais pressentiment.
Soudain, alors qu’il s’apprêtait à répondre, une forme sombre jaillit des hautes herbes et bondit sur lui.
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Et c’est là que les ennuis ont commencé.
Vous comprendrez pourquoi je dis que c’est entièrement de la faute de Black ?Si cette andouille de chien n’avait pas gratté à cet endroit, on n’aurait jamais découvert la pièce cachée.
Et on n’aurait jamais découvert le secret excitant – et terrifiant – qui s’y dissimulait.
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J'ai aussi adorer le suspense de ce livre et les nombreuses photos je conseille se livre à tous les fans de chair de poule et de frissons
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"Ce sont les histoires les plus terrifiantes que jamais imaginées. Je les ai écrites à l'heure du cauchemar, quand les lumières s'estompent, quand l'ombre envahit la terre entière, quand l'esprit est submergé par des rêves démoniaques et inquiétants.
Dans ce monde infernal, la peur règne en maître, et rien ni personne ne peut la combattre.
Les minutes s'égrènent inexorablement..."
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- Pourquoi tout le monde trouve tellement amusant de me faire peur ? Même toi, ma meilleure amie.
- Pardon, s’excusa Sabrina, sincère.
Tendant la main par-dessus la table, elle la mit gentiment sur celle de Carolyn.
- C’est si facile, avec toi. On a du mal à s’en empêcher. Tiens, tu veux encore des chips ?
Elle poussa le sachet vers son amie.
- Je pourrais bien te faire peur, moi aussi, un de ces jours, menaça Carolyn.
Sabrina éclata de rire.
- Toi ? Impossible !
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"Mais c'est qui le fantôme si ce n'est pas Toi ?"
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— Trouvons vite cet ascenseur et retournons à la réception ! Je n'aime pas cette partie de l'hôtel. Elle me donne la chair de poule.
— Hé ! Ne renverse pas les rôles, ironisa Eddie. D'habitude, le trouillard, c'est moi.
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— Regarde, Eddie, chuchotai-je. D'ici, on ne voit plus rien de la ville. On croirait que nous avons fait un saut en arrière dans le temps.
Il frissonna. Je ne sais si c'était à cause de mes paroles, ou à cause du vent piquant qui balayait la cour.
Le château projetait son ombre noire à nos pieds. M. Starkes nous conduisit vers une entrée latérale - une étroite porte de bois massif, à peine entrouverte. Là, il s'arrêta et fit face au groupe. La soudaine dureté de son expression me surprit.
— Désolé, articula-t-il en promenant lentement ses yeux sur nous, mais j'ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer.
— Hein ? Balbutia Eddie. Quelle mauvaise nouvelle ?
— Vous allez être emprisonnés dans la tour, déclara M. Starkes. Et l'on vous soumettra à la torture pour vous obliger à avouer la vraie raison de votre visite.
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Ils avaient tous les deux les cheveux très blancs, et leurs yeux pâles semblaient fatigués. Ils étaient si frêles, si fragiles ... A eux deux, ils ne devaient pas peser plus de soixante kilos.
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Selon son habitude, il parcourait fiévreusement la pile des guides touristiques qu'il emporte partout. Je crois qu'il n'avait pas encore jeté un coup d’œil autour de lui. Il rate la plupart des choses parce qu'il a toujours le nez plongé dans un livre.
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- Taxi ? Vous cherchez un taxi ? demanda-t-il en anglais d’une voix perçante.
- Oncle Ben, m’écriai-je en éclatant de rire. Tu m’as bien eu !
- Taxi, vous cherchez un taxi ? insista-t-il.
- Je suis tellement content de te voir, Oncle Ben !
Je l’étreignis avec empressement. Riant toujours de la face qu’il me faisait, je repoussai la capuche de son Burnous et découvris avec stupeur un homme au crâne rasé avec une large moustache noire. Un homme furieux, que je n’avais jamais vu de ma vie.
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Professeur Bizarre a tendu le doigt.
- Tu la vois, cette clôture ? Cette clôture entre nous, est-ce que tu la vois ?
- Heu… oui.
Il m’aurait été difficile de ne pas la voir : en fer, haute et noire, elle délimitait l’espace entre nos deux maisons.
- Surtout, tu restes chez toi. Ne t’approche pas de ma fille, ne t’approche pas de moi. Ça t’évitera les problèmes.
Il a refermé bruyamment la fenêtre et a baissé le store. Il m’a semblé entendre une clé qui tournait dans une serrure.
Une grosse serrure.
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Il se mit debout, aussi blême qu’un fantôme. Je m’efforçais de ne pas rire et déclarai :
- Demande à Jenny d’enlever sa chaussure gauche.
- Tu mens, je ne te crois pas ! pleurnicha-t-il.
A ce moment, je baissais les yeux. Horreur !
- Re…regarde, hoquetai-je en lui montrant mon pied gauche d’une main agitée.
Gary poussa un hurlement. Je n’avais plus un seul orteil…
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Il s'arrêta au milieu de la salle, devant une pile de vêtements jetés à même le sol. Une peau de gorille trônait au sommet, posée sur une cape de Zorro. Jake s'en empara. Elle pesait une tonne et sentait le moisi.
— Génial ! murmura-t-il en regardant le visage en caoutchouc du singe.
Il s'apprêtait à remettre le costume à sa place quand la cape de Zorro se mit à onduler. Ébahi, Jake la vit glisser le long des autres vêtements. Deux paires de manches surgirent soudain du milieu de la pile. Elles couvraient des bras squelettiques, tendus vers le haut, comme pour agripper quelque chose. Soudain, des visages apparurent, des épaules, des torses... Deux personnages monstrueux - un homme et une femme - s'extirpèrent péniblement de la pile. Ils semblaient sortis du film La nuit des morts vivants. Des lambeaux de peau pendaient à leurs visages, découvrant les os. Leurs yeux sans vie étaient profondément enfoncés dans les orbites. Ils n'avaient pas de paupières, pas de sourcils. Leurs lèvres craquelées s'ouvraient sur des bouches sans dents.
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Maintenant, c'était trop tard.
Trop tard ? A moins que..
BAM... BAM...
La créature marchait droit sur moi. Alors je n'hésitai plus, je me jetai à nouveau dans le laboratoire. Je regardai autour de moi, cherchant désespérément une arme quelconque pour me défendre, quelque chose à lancer à la figure de la créature, quelque chose qui la retarderait et me donnerait le temps de m'échapper..
J'attrapai le premier objet qui me tomba sous la main, une sorte de cube de métal. « Je vais lui jeter ça à la tête » pensai-je en serrant le cube de toutes mes forces.
BAM.. BAM..
A chaque pas de la créature, tout mon corps tremblait.
Oui, lui jeter ça à la tête, et courir, courir droit vers la cuisine, vers la fenêtre ouverte. Retourner chez moi, chez moi..
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