AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Robert Lawrence Stine (200)


- Tu te trompes, me corrigea l'un des clones. C'est moi qui suis toi !
Commenter  J’apprécie          50
Un léger bruit me fit tendre l'oreille. Non, rien. Voilà que mon imagination me jouait des tours.
Des tours ? Une idée lumineuse me traversa soudain l'esprit. Et s'il s'agissait d'une autre de leurs plaisanteries ? S'ils se cachaient dans un renfoncement guettant ma réaction ?
Mais la futilité de mon raisonnement m'apparut très vite. Oncle Ben n'avait pas l'humeur à la plaisanterie, aujourd'hui.
Commenter  J’apprécie          50
Ils adoraient tous se payer ma tête. Pour eux, j'étais une sorte d'illuminée, une rêveuse invétérée. Tout ça parce que je voyais et entendais des choses qu'ils ne percevaient pas. J'étais peut-être simplement plus sensible que la plupart des gens.
Commenter  J’apprécie          50
Très en colère, Lucy lui arracha le livre des mains et le referma d'un coup sec.
- Oh ! J'ai perdu ta page ! s'exclama-t-elle. C'était le genre de choses que sa sœur détestait.
Commenter  J’apprécie          50
Au même moment, le vampire étendit sa cape, nous barrant le passage. Avait-il lu dans nos pensées ?
Il s'approcha de mon amie.
-Soif... j'ai tellement soif... murmura-t-il en se penchant vers la gorge de Clara.
Commenter  J’apprécie          50
- Qu’est-ce qu’il y a là-dedans ? cria Lucy.
Caro, occupée à remuer des objets, ne parut pas l’entendre.
- Qu’est-ce que tu fais ? insista Lucy en s’avançant. Caro ne répondit pas. Puis, lentement, elle sortit quelque chose de la benne et le leva à bout de bras. Deux bras et deux jambes s’agitèrent mollement. Lucy distingua une tête brune.
Une tête ? Des bras et des jambes ?
- Oh non ! cria Lucy horrifiée, en se cachant le visage dans les mains.
Commenter  J’apprécie          50
- Je commence à croire que mon oncle m’a bel et bien oubliée, dis-je en fronçant les sourcils. Tu sais comment je peux aller jusque chez lui ?
- Qui est ton oncle ? demanda Greg.
- Le docteur Jekyll Palmer.
Le garçon poussa un cri de surprise. Ses yeux sombres s’écarquillèrent:
- Heidi ! Mais… c’est un monstre !
Commenter  J’apprécie          50
- Cette maison est vide ! Elle est inhabitée depuis le départ de la famille Dodson !
- Eh bien maintenant, elle ne l’est plus. Nous y vivons maman et moi !
« Ca ne tient pas debout, se disait Anna. Comment ont-ils pu s’installer à côté sans que je m’en aperçoive ? Hier encore, j’ai joué dans le jardin avec les jumeaux une bonne partie de l’après-midi et cette maison était fermée, j’en suis sûre !
Commenter  J’apprécie          50
"Mais, c'est leurs tombes !!!
Sa veut dire... qu'il sont MORT !!!"
Commenter  J’apprécie          50
La première fois que je me suis rendu invisible, c'etait le jour de mon douziéme anniversaire
Commenter  J’apprécie          50
Dans ma tendre enfance, cette lecture m'a donné froid dans le dos ! J'étais en quête de frissons et j'ai été servie. Je garde donc un bon souvenir de ce livre. C'est pourquoi je le recommande aux jeunes gens qui ont envie d'avoir la chair de poule. Un livre à lire sous la couette avec une lampe de poche !
Commenter  J’apprécie          50
- Hé! Laisse ça!
Je saisis la bande dessinée que Wilson tenait à la main et lissai soigneusement la pellicule de plastique qui la recouvrait.
- Du calme! Je regardai seulement, grogna-t-il.
- Oui, mais s'il y a une trace de doigts, elle va perdre la moitié de sa valeur!
J'examinai attentivement la couverture, tout en poursuivant mes explications.
- C'est un Vaisseau d'Argent numéro zéro. Tout neuf, en plus.
Commenter  J’apprécie          50
La demi-heure suivante passa rapidement. Après avoir rangé mes affaires, j'embrassai tendrement mes parents.
Dès qu'ils furent partis, je ressentis une grande tristesse : j'étais abandonné dans ce château sombre, planté au sommet d'une colline. Je me retrouvais coincé dans un collège dont les élèves jouaient du violon et étudiaient sans arrêt.
Soudain, je pensai à Harold, mon pauvre perroquet qui n'aurait personne pour lui apprendre de nouvelles blagues.
Commenter  J’apprécie          40
Par moments, la non-violence, c'est carrément frustrant. Vous voyez ce que je veux dire ?
Commenter  J’apprécie          40
Je suis le Gardien des histoires. Ici, dans le recoin le plus obscur du parc, la porte du Château de l'horreur est toujours ouverte.

Les enfants savent trouver le chemin pour y venir. Des enfants terrifiés... hantés, qui ont hâte d'évoquer leur expérience Je suis une oreille attentive et je conserve leurs récits.

Ces visages graves, sur les parois ? Aux yeux exorbités et à la bouche ouverte dans un cri d'horreur ? Ce sont les portraits des jeunes visiteurs venus me raconter leurs histoires effrayantes.
Commenter  J’apprécie          40
- Dites donc, les enfants ...
C'était Docteur G.
- Il est l'heure d'aller au lit. Si vous descendiez gentiment dans vos cabines ?
- On se couche toujours bien plus tard, à la maison, bougonna Sarah.
- Possible. Mais je ne pense pas que vous vous leviez aussi tôt.
Commenter  J’apprécie          40
C'était une triste journée d'hiver : la pluie crépitait sur la fenêtre du bureau, des rafales de vent faisaient trembler les vitres. J'attendais mon émission préférée à la télé quand, soudain, des doigts glacés se refermèrent sur ma gorge.
Commenter  J’apprécie          40
- Il y a peut-être une carte là-dedans, non ?
- Mais non, assura-t-elle, j’ai déjà regardé.
Ils allaient recommencer à se disputer !
Découragée, je m’appuyai sur la banquette, levant les yeux au ciel.
Et je poussai un hurlement.
Juste au-dessus de nous, un monstre hideux s’apprêtait à passer son énorme tête à travers le toit ouvrant !
Commenter  J’apprécie          40
- Regardez, dit maman en désignant l’horloge du doigt. Il est presque 7 heures. Le dîner va être…
Un bruit de gong l’interrompit. Une petite porte s’ouvrit, juste au-dessus du cadran, et un oiseau en sortit.
C’était l’oiseau le plus terrifiant que j’ai jamais vu, et il plongeait droit sur moi.
- Il est vivant ! criai-je, terrorisé.
Commenter  J’apprécie          40
La porte céda enfin. Michaël laissa tomber le pied-de-biche. Tous deux regardèrent dans le placard.
Horrifiés, ils poussèrent un cri en découvrant ce qu'il contenait. (p.83)
Commenter  J’apprécie          40



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Robert Lawrence Stine Voir plus


{* *} .._..