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Critiques de Robert Ludlum (276)
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L'alerte Ambler

entre James Bond sans les gadgets et Jason Bourne.

un triller sans temps mort.

hal ambler un ancien espion devenu gênant se

retrouve a parrish island

un centre psychiatrique,

où végètent d, ancien espion américain devenus fous. sauf qu'il est pas fou,

il va s, évader avec l, aide

d'une infirmière, pour savoir pourquoi il c'est retrouver la..

sauf que hal ambler n, existe pas.

une histoire riche en rebondissements, de bonne facture.et une intrigue prenante qu'on a du mal à lâcher avant la fin.
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La Mémoire dans la peau

Depuis l'immense succès de la très bonne adaptation avec Matt Damon, personne n'ignore les aventures de Jason Bourne.

J'ai lu ce roman à sa sortie en poche, il y a ... longtemps. Ce qui m'en reste en mémoire (et j'ai pas encore de trou de mémoire à ce sujet) c'est un thriller d'espionnage très efficace, bien bâti autour d'une idée originale : l'amnésie.

D'ailleurs, le grand mérite de Ludlum est d'avoir ouvert la voie. D'abord aux suites que ce livre a générées (celles qu'a écrites Ludlum, et celles que des tacherons ont enchaînées), et ensuite aux scénaristes qui se sont emparés de l'idée, à commencer par Jean Van Hamme avec le personnage de XIII. Depuis, le produit agent secret combattant des organisations secrètes qui cherchent à l'éliminer n'a cessé d'avoir du succès.

L'esprit du roman a bien été traduit à l'écran. Jason Bourne n'est pas un super héros comme James Bond, qui boit du Dom Pérignon au casino, mais un individu banal surentraîné, plein de capacités d'initiative, qui cherche des réponses à ces questions humaines : qui suis je ? D'où est-ce que je viens ? A qui dois-je mes capacités ?

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L'Héritage Scarlatti

un excellent roman d,espionnage haletant poignant.
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La Mémoire dans la peau

Livre long à lire car beaucoup de passages avec des descriptions à rallonge mais néanmoins un livre intéressant à lire avant de découvrir le film.

J'ai malheureusement fait l'inverse. Du coup, je recherchais tout en lisant des similitudes avec le film, donc beaucoup de lectures en diagonale :-(
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Opération Hadès

Roman de 2000 qui met en récit un des grands fantasmes de l’époque , la guerre bactériologique (un virus mutant fabriqué pour infecter l’adversaire ).Mais il apporte une variante qui le rend quasi actuel :la pandémie est provoquée par une firme pharmaceutique qui a fabriqué clandestinement virus mortel et antidote. On n’est pas loin de certains délires complotistes récents. Suivant la règle des thrillers un petit groupe de personnes exceptionnelles (savant , guerrier, génie informatique) va tenter d’arrêter l’entreprise mortelle (comme son nom l’indique) des grands méchants prêts à sacrifier des quantités de personnes dans le but d’accroître richesse et pouvoir.. C’est bien fait et l’on se laisse prendre au suspense malgré les nombreuses invraisemblances .
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Opération Hadès

Ce livre, écrit en 2002, est visionnaire. Il décrit avec 18 ans d’avance ce qui arrive à nos sociétés plongées dans la pandémie du covid 19, virus dont on se demande très sérieusement s’il ne s’est pas échappé d’un laboratoire chinois.

Ce livre est à lire en parallèle avec l’excellent « Big Pharma démasqué ! » » de Xavier Bazin, ou quand la fiction rejoint la réalité ou bien ne serait-ce pas l’inverse ?

Les scandales de l’industrie pharmaceutique font les bons livres ! Ainsi, Marc Levy nous rappelle le scandale de l’insuline dans ses livres « C’est arrivé la nuit », suivis de « Le crépuscule des fauves » tome 2 d’une trilogie dont j’attends avec impatience la livraison du dernier opus. Mais dans la longue liste des scandales de cette sinistre industrie censée être au service de notre santé, il faudrait également évoquer le « sang contaminé », le « médiator », le « distilbène », l’« hormone de croissance », le « vioxx », le « diane 35 », la « thalidomide », la « dépakine », mais je m’arrête là, la liste est encore longue…

Le livre de Robert Ludlum nous éclaire sur cette industrie qui se fiche comme d’une guigne de la santé des personnes.

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La Progression Aquitaine

La Progression Aquitaine tire son nom d'un fait "historique", selon lequel l'Aquitaine aurait pu diriger le monde si la Guerre de Cent Ans avait tourné autrement. Et si ma tante en avait, elle aurait un vélo d'homme...



Robert Ludlum déroule son savoir-faire dans un long, très long, très très long thriller politique. 925 pages... Il sait y faire, Robert. A la page 100 je me suis rendu compte qu'on en savait assez peu, en fait. L'auteur pose le décor, en long et large. C'est plaisant. Ludlum est à l'aise avec l'écriture souple, fluide, façon page-turner, avec une dose assez légère (quand même) de remplissage.



L'histoire... un avocat, Joël Converse, va se trouver embarqué -unpeu algré lui- dans une conspiration à l'échelle mondiale. Ex-pilote d'avion, plusieurs fois capturé et évadé lors de la guerre du Vietnam, Converse ne manque pas de ressources. Mais c'est quasiment seul pendant la plus grande partie du livre, qu'il va livrer bataille face à des généraux qui veulent conquérir le monde. Je ne spoile rien... on sait assez vite de quoi il s'agit... Déstabiliser quelques gouvernements afin de susciter une prise de contrôle par l'armée suite à une volonté populaire d'ordre et d'apparente paix.



Le roman date de plus de 30 ans, si mes souvenirs sont bons. Il fait la part belle aux théories du complot qui fleurissent dans pas mal de films avec Bruce Willis, etc. Il existe une sorte de réseaux de militaires nostalgiques de l'ordre martial et avides de pouvoir exercé par eux-mêmes. Pour l'anecdote, en Belgique, des tueurs fous ont semé le chaos dans plusieurs grandes surfaces du Brabant wallon, et quelques pistes crédibles remontaient à des groupuscules d'extrême-droite ayant infiltré la gendarmerie. Leur but semblait être de déstabiliser l'Etat, de créer une vague d'opinion populaire en faveur d'un pouvoir plus fort, voire coercitif. Le propos de Ludlum, quoi.



Evidemment, j'ai terminé cet épais bouquin en regardant Trump pousser ses partisans à envahir le Capitole... et là, le récit de Ludlum est glaçant de prophétie. Mais Trump a failli le faire avec moins de moyens que ceux déployés par les militaires de la Progression Aquitaine.



Bilan: je ne suis pas fan des thrillers politico-diplomatico-strétégiques, mais c'est une lecture plaisante, un peu datée dans le style et qui apprendra aux plus jeunes comment on faisait quand il n'y avait pas l'Euro, les smartphones, Internet et l'Espace Schengen...
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La route d'Omaha

Le personnage central de ce roman farfelu est le Général MacKenzie Hawkins dit le Faucon manifestement inspiré de Mac Arthur (pour le réel) et de Jack Ripper (de Dr Folamour) pour la fiction . Cette caricature de militaire passe sa retraite (forcée) à fomenter des « coups » à rendre dingue le gouvernement US , comme de revendiquer au nom d’une obscure tribu indienne le territoire d’une des plus grandes bases de l’OS Army. Il s’agit d’une pochade mais le problème tient au fait que TOUS les personnages sont des caricatures , les situations sont outrées, l’humour éléphantesque. L’intrigue est boursouflée par d’interminables dialogues ineptes : 635 pages (en poche) alors que 150 aurait largement suffit Je me suis ennuyé.
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La Trahison Prométhée

je n'avais jamais lu de livres de cet auteur, j'ai choisis, celui ci par hasard, malgré qu'il soit pas très bien noté, moi, j'ai bien aimé, il y a beaucoup d'actions ; style James Bond. C'est plutôt additif, on est curieux de connaitre la vérité sur cette organisation d'espionnage très secrète : le directoriat, est ce un agence qui travaille contre le terrorisme, ou au contraire, elle alimente sa réussite.
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L'échange Rhinemann

Comme je dis toujours, j’adore Ludlum. je dois avouer que pour moi, c’est mon moins bon Ludlum a date. le roman est bien. Par contre l’action est longue avant de débuter. la mise en scène est bien pensé, le héros est intéressant, sans être un surhomme. Les éléments pour un bon roman d’espionnage y sont, mais Ludlum a fait beaucoup mieux.
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Le Cercle des Matarèse, tome 1 : Le cercle bl..

A mon avis un excellent roman d'espionnage qui m'a tenue en haleine de bout en bout, un seul regret : la fin. Elle ressemble trop à tous ces films qui ne servent qu'à montrer les prouesses des effets spéciaux ! Malgré ce bémol j'ai passé des heures de bonheur en le lisant.
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Le danger dans la peau : La sanction de Bou..

On ne cesse de s’en réjouir que le héros mythique de Robert Ludlum ait survécu au décès de son créateur survenu en 2001. Jason Bourne est toujours paré des multiples qualités nécessairement attribuées aux agents secrets: sensible mais pas mièvre, intelligent, humble, beau et terriblement mystérieux. Une pointe d’humour british ne nuirait pas à son portrait – mais en littérature comme dans la vie, on ne peut pas tout avoir.

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Les écrivains s’inspirant des manuscrits d’auteurs défunts n’ont pas la tache facile car ils subissent immanquablement la comparaison avec l’original. Eric Van Lustbader passe avec succès l’examen de “copycat”, exercice de style d’autant plus frustrant pour un écrivain que les lecteurs ne lui accordent que peu de crédit. Ce qu’ils veulent, c’est du Robert Ludlum : Le Danger dans la peau en a le goût, l’odeur et la couleur, mission accomplie pour Eric Van Lustbader.

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Amour, trahison, terrorisme, meurtres, sociopathes et mafia russe : Le Danger dans la peau – La sanction de Bourne réunit efficacement les ingrédients d’un bon polar, auxquels s’ajoutent une grosse pincée de psychologie (voire de psychiatrie) qui pimente allègrement l’intrigue. En cherchant bien, on pourrait reprocher des dialogues omniprésents et surnuméraires, qui plombent quelque peu le rythme. Évidemment, quand les protagonistes passent leur temps à parler, c’est autant de fusillades et de courses poursuites qu’ils ne font pas. Mais ce serait chipoter. Sans crier au génie, on peut objectivement affirmer que Le Danger dans la peau est un thriller captivant à l’intrigue rondement menée – même pour une lectrice difficile à contenter.
Lien : http://litteratureetchocolat..
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La Mosaïque Parsifal, tome 1

Dans le monde sombre et parfois hémétique de LUDLUM, les espions sont légion, ils se croisent, se tuent, s'aiment, mentent. ils sont russes-américains ou américo-russes, ils voyagent beaucoup, côtoient les étoiles ou se font éjecter.

Ce livre commence en espagne, passe par l'italie, la france, Prague, Moscou...il nous parle de guerre froide, menace nucléaire , chantages internationnaux. Bref, nous courrons avec le héros de la première page à la 827ième (version poche).

Malgré quelques (beaucoup) longueurs, l'histoire est captivante, au final un bon momment.
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La Mémoire dans la peau

Un très bon livre d'action, sans temps mort, avec une intriguer intelligente. Rien à ajouter, le film est également connu de beaucoup. Excellent divertissement qui fait totalement oublier où on est !
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La stratégie Bancroft

Ultime ludlumerie publiée cinq ans après la mort du gars Robert dit “le Surcoté”, ultime aussi en termes de poil dans la main et d'autocaricature de sa production, ce livre s'intitulerait “La stratégie des lieux communs” que ce serait pareil.

Todd Belknap est un super agent secret, un héros solitaire que rien n'arrête. Son meilleur ami est kidnappé. Rien d'étonnant : dans la fiction, être le meilleur ami du héros a toujours exposé aux pires avanies. Lui, il aurait plutôt de la chance, il ne meurt pas pour ouvrir une énième histoire de vengeance. L'heureux veinard est juste enlevé… pour ouvrir une énième histoire d'extraction à la Chuck Norris avec les éléments classiques : personne ne veut lever le petit doigt pour libérer le poteau, Belknap va devoir monter sa propre opération, tout le tableau, quoi.

Pendant ce temps, pas à Vera Cruz mais ça pourrait, Andrea Bancroft reçoit un mystérieux héritage légué par un mystérieux cousin pour peu qu'elle accepte de siéger au sein d'une mystérieuse fondation. Entre le tas de pognon, le parent sorti de nulle part et l'organisation secrète, tiercé gagnant du cliché !

Sans surprise – et si ça vous surprend, consultez d'urgence un neurologue ou un spécialiste en retard mental –, ces fils narratifs déconnectés comme pas permis vont se rejoindre. Grâce à un tas de ressorts narratifs usés, d'heureuses coïncidences et de facilités d'écriture dans le scénario, Todd et Andrea vont unir leurs efforts pour lutter contre un ennemi commun, qui porte bien sûr un nom biblique, parce qu'on n'est plus à un stéréotype près. Génésis ! Tada ! Sauf que moi, un nom pareil m'évoque Phil Collins, pas de quoi trembler de trouille au point de me vider dans mes caleçons. Comme tous les méchants de carnaval et de jamesbonderies à deux ronds cinquante, Génésis veut renverser l'ordre mondial pour dominer la planète avant d'éclater d'un rire maléfique qui se perd dans la nuit…





Une fois pitché, tout est dit sur cette Stratégie qui est au roman d'espionnage ce que la ligne Maginot a été à l'art de la guerre : un plan foireux.

Du James Bond sans James Bond, mâtiné de Mission: Impossible et d'auto-plagiat de Jason Bourne, rien qui n'ait déjà été raconté mille fois en livres ou en films et surtout en mieux. le genre de texte qu'on verrait plutôt comme le premier roman d'un auteur qui ne s'est pas encore détaché de ses influences et inspirations. Sauf qu'il s'agit d'un roman de fin de carrière écrit par un auteur considéré comme chevronné. Que s'est-il passé ? L'âge ? la fatigue ? la facilité du “ça se vendra sur mon seul nom” ?

Faut être culotté pour se lancer sans trembler des genoux dans l'écriture d'un machin aussi éculé de partout, tant l'intrigue que les personnages ou les péripéties. Un tel aplomb forcerait presque le respect. On n'en dira pas autant du texte final, qu'on se force à lire.
Lien : https://unkapart.fr/la-strat..
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Le manuscrit Chancellor

Encore un succes de l'auteur qui nous offre ici un ouvrage palpitant, dense et comme toujours tres bien agrémenté et realiste: on s'y croit de bout en bout ! Le rythme ne faiblit jamais et on va de surprise en surprise sans jamais perdre le fil de l'histoire.Bravo mr Ludlum !
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L'attentat patriote

Les tensions entre la Chine et le Japon sont au plus haut. Le Japon du belliciste chef d’Etat-major Masao Takahashi aurait secrètement mis au point une nouvelle arme dévastatrice en prévision d’une guerre avec le voisin chinois. Des membres de l’unité Covert-One ont pour mission de récupérer un étrange matériau dans les décombres du réacteur nucléaire de Fukushima qui pourrait être la preuve de l’existence de cette nouvelle arme. Alors qu’un navire de guerre japonais est envoyé au fond des mers, la guerre se rapproche. Covert-One doit empêcher Takahashi de déclencher un conflit qui pourrait détruire une partie de la planète.
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L'agenda Icare

Un pavé d’aventures d’espionnage politique et terroriste avec un super héros doté bien sûr de toutes les qualités. Peu importe, ce roman est passionnant même si parfois on se perd dans les rebondissements complexes.

Je ne sais pas si ces sociétés secrètes existent réellement mais le talent de Robert Ludlum nous rend tout plausible et effrayant. Je suis toujours admirative du travail de recherches fait par un écrivain pour arriver à des scénarios aussi élaborés. Un très bon moment.
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L'échange Rhinemann

Le challenge ABC est pour moi un moyen assez efficace pour faire diminuer ma PAL et surtout pour me permettre de lire des bouquins qui y trainent depuis des siècles.

Je ne me rappelais même pas que j'avais ce livre de Robert Ludlum, ni pourquoi je l'avais acheté. Il est vrai qu'à une période, j'aimais assez cet auteur, ayant lu La mémoire dans la peau après avoir vu le téléfilm du même nom avec Richard Chamberlain .

C'est en lisant ce genre de bouquin que je réalise que mes gouts littéraires ont évolué depuis mon adolescence...

Bon honnêtement, j'ai eu de la peine à " rentrer dans le livre ". Pourtant, en général, j'aime assez les histoires qui se déroulent sous forme de complot à cette période cruciale de l'histoire du XXeme siècle, mais alors là, j'ai vraiment eu de la peine à accrocher.

Une jeune et brillant ingénieur, va être formé pour devenir un redoutable agent secret américain. Alors qu'il officie sous couverture au Portugal et en Espagne, des industriels peu scrupuleux allemands et américains aimeraient procéder à un échange ( de plans et de matériel très spécifique ) qui permettrait aux parties respectives d’évoluer dans leurs domaines de recherche.

Cet échange devrait se dérouler en Argentine, sous le chaperonnage d'un riche industriel , Rhinemann.

Spaulding, notre brillant agent basé au Portugal va être envoyé à Buenos Aires pour procéder à cet échange mais, car il y a évidemment il y a un mais, les choses ne sont pas aussi simples qu'elles ne le paraissent. Tellement peu simples d'ailleurs que j'ai eu de la peine à m'en sortir par moments sur les motivations et les raisons des différents personnages. C'était un peu nébuleux pour moi...

En résumé, je n'ai pas trop aimé cette lecture et j’espère que le prochain livre que je vais entamer d'ici ce soir m’apportera plus de satisfaction.
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Une invitation pour Matlock

Je ne vais pas épiloguer sur cette critique. Je n'ai jamais lu de roman d'espionnage aussi confus et tiré par les cheveux!!! Et pourtant le nom de "Robert Ludlum" force le respect. L'auteur de la série "Jason Bourne" nous pond un navet rarement égalé en termes de médiocrité. On a la forte impression tout le long du livre que l'auteur lui même ne sait pas où il veut en venir ni ce que le héros (un professeur d'université qui se découvre des talents d'espion...) poursuit. Au final, on reste dans le vague avec le terrible sentiment de n'avoir rien compris à l'histoire.
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