Ruth Ware

Kate, Thea, Fatima et Isa fréquentent toutes une école de la dernière chance. Dans ce pensionnat strict et sans vie, elles défient l'autorité en instaurant un jeu de mensonge sophistiqué. Elles s'affranchissent ainsi des règles de l'institution et vivent une adolescence délurée. Bien des années après, Kate, la tête pensante du groupe, convoque ses anciennes camarades.

Ruth Ware est une nouvelle venue dans le paysage littéraire britannique. En 4 romans, elle a su instiller son style en France. Elle est partout dans nos librairies.

Ruth Ware c’est un peu la continuité de la longue tradition anglaise du roman psychologique à l’anglaise.

Et ce roman ne dément pas mon propos. Car en effet ici c’est avant tout la psychologie des personnages qui prime. Il y est question d’amitié, d’amitiés adolescentes, de celles que l’on croit éternelles. A la vie à la mort comme on dit !

Ici il y est aussi question de souvenirs, des souvenirs qui parfois ont été enjolivés avec le temps qui passe. Et parfois aussi des souvenirs que l’on aimerait oublier.

L’intrigue comme dans tout bon polar psychologique prend son temps pour se mettre en place. Et puis tout à coup ça s’emballe, les rebondissements compliquent l’histoire, ils la rendent plus addictive. Et enfin arrive le final tant attendu. Alors oui au final, Ruth Ware nous livre là un bon cru. Même si je l’avoue je sais que je finirai par vite oublier cette histoire pour passer à une autre qui comme celle-ci me fera passer un bon moment de lecture.


Lien : https://collectifpolar.com/

Un roman policier à la frontière du thriller psychologique. La structure de l'ouvrage s'appuie sur les 5 règles d'un jeu auquel jouaient nos 4 héroïnes lorsqu'elles étaient adolescentes. Ce jeu lancé par Kate et Théa a pour but de lancer des mensonges et des rumeurs au sein du lycée. Elles sont bientôt rejointes par Isa et Fatima, deux nouvelles qui découvrent ce lycée de la deuxième chance. Règle 1 : Dis un mensonge. Règle 2 : Ne change pas ta version. Règle 3 : Ne te fais pas prendre. Règle 4 : Ne pas se mentir les unes aux autres. Règle 5 : Savoir quand cesser de mentir. Mais quand la machine s'enraye, quand les règles ne sont pas respectées et que quelqu'un meurt, l'amitié peut-elle survivre ? Des années après, les adolescentes mènent une vie de trentenaire en essayant d'oublier ce qu'il s'est passé quinze ans plus tôt et cette fameuse nuit où il y a eu un mort et où elles ont été séparées. Mais lorsque Kate envoie un texto à ses copines, elles accourent à son secours et les secrets vont être déterrés. L'atmosphère de leurs retrouvailles dans une maison qui se fissure fait monter le suspens. Le lecteur oscille entre peur de révélations glauques et jeux malsains emplis de mensonges. On ne lâche pas le livre jusqu'aux révélations finales dans un village où plane le mystère. Cependant, je n'ai pas eu d'empathie pour les personnages que j'ai trouvés un peu fades et autocentrés. Une belle découverte cependant. #Lescinqrèglesdumensonge #NetGalleyFrance

4 amies de lycée, un secret…mais 17 ans plus tard ce secret menace d’être révélé.



Le secret, elles en ont fait leur marque de fabrique, leur signe distinctif, leur jeu quotidien…jusqu’au jour où le jeu s’est transformé en nécessité.



Des années après, Isa, Fatima, Théa ont fait leurs vies professionnelles et familiales. En pleine nuit, elles reçoivent un texto de Kate, la seule qui est restée vivre près de leur ancien lycée, dans le moulin de son père, lieu de tous leurs souvenirs. Toutes n’hésitent pas à tout laisser en plan et venir rejoindre Kate. Pourquoi ? Quel est ce secret qu’elles veulent à tout pris cacher ? Gardent elles toutes le même secret ? Après tout, elles ne sont pas sensées se mentir les unes aux autres.



J’ai bien aimé ce thriller qui met nos héroïnes dans une position impossible à tenir entre un secret un garder et préserver leurs vies de famille. Surtout la pauvre Isa qui en plein congé maternité n’hésite pas à venir avec son bébé car en allaitement exclusif, j’avoue que ce ressort scénaristique ajoute une source de stress et d’inquiétude supplémentaire .



Ce roman surfe sur la nostalgie du passé, les amitiés que l’on pense éternelles. La confrontation entre nos souvenirs et la réalité.



Les rebondissement ne manquent pas, les surprises non plus.



Un thriller soft ( pas de scènes gores ) mais prenant, que je peux conseiller au plus grand nombre.



BREF…Ruth Ware est une incontournable du thriller anglais.



MERCI NETGALLEY ET FLEUVE NOIR POUR CETTE LECTURE

Thriller qui est apparue dans mes mains suite à du rangement intensif. J'ai mis du temps à me décider de le lire et je n'en suis pas déçue. J'ai trouvé que Laura Blacklock était un peu spéciale et difficile à s'y attacher. Malgré tout c'est intéressant de voir le déroulement des journées sur un bateau de luxe. Il n'y avait pas trop de descriptions pas trop de personnages j'ai vraiment été submergée par l'enquête. A savoir si Laura a vraiment inventée un meurtre ou si c'est la seule témoin d'une affaire criminelle. La fin m'a surprise, loin de mes theories

Un polar en huis-clos avec une héroïne dépressive un peu alcoolique. L'histoire se laisse lire, le style est fluide. Par contre, les personnages n'étant pas particulièrement sympathiques, on ne ressent pas beaucoup d'empathie pour les personnages. Les dialogues hors de l'histoire aèrent un peu la tension ...

⛵ La disparue de la cabine n°10 - Ruth Ware ⛵

Traduction : Héloïse Esquié



J'ai commencé l'année avec deux romans que j'ai adoré et comme le dit l'adage : "Jamais deux sans trois"... et bien pas là. C'est un flop. Pourtant le résumé était des plus alléchant.

Laura Blacklock, journaliste dans le tourisme, se voit proposer de remplacer sa responsable malade pour la croisière d'inauguration d'un yacht luxueux. Au programme, une semaine sur un bateau proposant les services d'un palace avec une poignée d'invités de marque. Le voyage commence superbement, champagne, repas gastronomique, cabine tenant de la suite royale et puis en pleine nuit, Laura entend un hurlement suivi d'un "plouf". Paniquée, elle avertit la sécurité, la passagère de la cabine n°10 est passée par dessus bord. Sauf que la cabine n°10 n'a jamais été occupée et que personne ne manque à l'appel. Pourtant Laura est sûre d'elle, il y avait une femme dans cette cabine avant le dîner, elle se met donc à enquêter...

Un huis-clos en pleine mer et un meurtre à élucider, ce livre avait tout pour me plaire... malheureusement ça n'a pas été le cas. Tout d'abord je n'ai pas accroché avec la personnage principale, Laura Blacklock, qui se plaint continuellement de ses gueules de bois et de son manque de confiance en elle, à tel point que j'ai fini par sauter des paragraphes entiers où elle ne faisait que geindre. Deuxièmement le reste des personnages s'est révélé plat et très stéréotypé, le séducteur lourd dingue, la journaliste super ambitieuse, l'ancien soldat transpirant la violence... rien de surprenant ni de très fouillé. Et enfin l'intrigue qui, si elle était prometteuse traîne trop en longueur si bien que l'on finit par s'ennuyer. Bref c'est une déception...

Nora est invité pendant un Week-end à l'enterrement de vie de jeune fille d'une ancienne camarade de lycée qu'elle n'a pas vu depuis plus de dix ans. Elle y apprend que Clare va épouser son ex petit ami… L'ambiance est délétère et va amener au drame. Un excellent suspens. On passe un très beau moment dans ce huis clos. Je pense lire d'autres livres de cet auteur ; pour voir...

Moi qui déteste les polars d'habitude, j'ai dévoré celui-ci. Pourquoi je ne lis pas de polars ? Parce que je n'aime pas ce que l'on trouve trop souvent dans les polars contemporains : un déchaînement de violence. La dernière fois que j'ai voulu en lire un, une petite fille se faisait violer par des clochards. Dans l'essai suivant, une femme se faisait accrocher à un croc de boucher par ses parties intimes. Voilà ce que je déteste dans le polar contemporain. Je deviens sans doute de plus en plus sensible en vieillissant... J'aime le polar à l'ancienne, à l'anglaise, ou à la française comme les Maigret de Simenon. Agatha Christie reste ma préférée. Bref, revenons en à ce livre de Ruth Ware.



C'est le titre qui m'a fait penser, "voilà un bon policier à l'ancienne, une disparue, il n'y a pas de sang, pas de viol, pas de torture". Et cela s'est confirmé et c'est bien pour cela que j'ai lu le livre avec avidité !

Un petit bémol, que j'ai retrouvé dans La fille du train, de Paula Hauwkins : l'héroïne est un peu présentée comme irresponsable, incapable de gérer correctement sa vie, ses émotions, son problème d'alcool. Je trouve dommage de retrouver trop souvent ce type d'héroïne. Mais une fois que je l'ai accepté, j'ai pleinement profité du livre.

Les rebondissements claquent comme une balle de tennis jusqu'au bout. La trame narrative est habile, car l'auteur insère dans son récit des extraits de mails ou de forums qui font avancer l'histoire sans dévoiler la suite. Je pense que je vais suivre cet auteur et lire ses autres livres ! Lisez-le, et bons frissons !

Déception.

Un petit air d'Agatha Christie dans le titre et le contexte du roman qui laissait présager un bon moment de lecture haletante dont je me réjouissais à l'avance. Mais ce fut tout le contraire.

Ce livre m'a semblé interminablement long. Seule la curiosité m'a poussée au bout, mais aucun rebondissement ne m'a surprise.

On ne comprend difficilement le fil conducteur. On perd tellement de temps dans des détails inutiles qu'on s'ennuie et on finit le livre en ne sachant rien par exemple sur le lien entre l'agression subie par l'héroïne en début de livre et la suite de son aventure.

Passez cotre chemin, et ne perdez pas vos précieuses heures de lecture dans la cabine n°10, elle ne contient vraiment pas grand chose !

Micro-chronique ici, j'avais adoré tout récemment le dernier de cette auteure "La mort de Mrs Westaway", j'ai donc acheté d'occase les autres romans de Ruth Ware. Celui-ci est son premier roman-thriller, et déjà bien à fond dans le sombre et le suspense, et l'ambiance lourde qui se resserre (du coup, lu cette nuit sans pouvoir le poser). J'ai mis les deux couvertures car j'ai juste vu à l'instant qu'il a été publié en pocket ensuite. J'ai eu l'édition grand format de chez Fleuve Noir, de 2016, le pocket est sorti en 2017



J'ajoute un bon coup de gueule pour le titre français. C'est Promenez-vous dans les bois... pendant que vous êtes encore en vie. Et le titre original est In the Dark, Dark Wood (C'est-à-dire Dans le sombre, sombre bois)... MAIS POURQUOI FAUT-IL INVENTER DES TITRES ? Et à ce point détestables ? Bref.



Je vous recopie UNE PARTIE de la 4e de couv' parce qu'évidemment elle spoile toute l'intrigue. :



Dans la nuit noire du Northumberland, derrière la façade de verre d’une maison isolée, l’enterrement de vie de jeune fille bat son plein. Ils sont cinq autour de la table basse, imbibés d’alcool. La séance de spiritisme va débuter.Mais derrière les sourires convenus, Nora peine à cacher son malaise, tandis qu’une cascade de questions lui torture le cerveau. Que fait-elle là ? Pourquoi a-t-elle été invitée ? Et sur tout, pourquoi a-t-elle accepté de venir ? Voilà dix ans qu’elle n’a pas vu Clare, la reine de la fête, son ex-meilleure amie du lycée. Dix ans de non-dits, de rancune et de souffrance. Comment faire comme si de rien n’était ?Dans la nuit noire du Northumberland, il n’y a pas que la lune blafarde au-dessus des cimes sombres.....



Suspense anglais, donc plus fin que les grosses ficelles des américains qui rassemblent des petits couples dans la forêt, sur le chemin d'un psychopathe. C'est une histoire d'anciennes amies, qu'en fait on n'a pas trop envie de revoir. Et ça peut tourner mal, ce genre d'histoires.



Je n'en dis pas plus, il n'y a rien à gagner à dévoiler trop un thriller. Sachez que c'est très bien écrit (à part le titre), que l'auteure a vécu à Paris (ce pour expliquer les quelques références françaises au début), qu'on plonge très vite avec Nora dans ce week end trop bizarre, trop étouffant. C'est parfaitement maîtrisé de bout en bout. Amateurs de suspense (il n'y a pas de "gore"), ce livre est pour vous !
Lien : https://melieetleslivres.wor..

Harriet est en très mauvaise posture. Depuis la mort de sa mère 3 ans auparavant elle a du mal à joindre les deux bouts. Elle a même dû emprunter à des personnes à qui elle n’aurait pas dû faire confiance ! C’est alors que la Providence sonne à sa porte sous la forme d’un héritage inattendu de sa grand-mère. Le seul problème c’est que Harriet n’a déjà plus sa grand-mère depuis fort longtemps. Qu’à cela ne tienne, elle va se faire passer pour l’héritière... Elle se rend donc à l’enterrement de sa « grand-mère » où elle va rencontrer sa « famille », mais de belles surprises l’attendent !



Je n’ai pas eu un coup de cœur pour ce roman mais j’ai passé un très agréable moment de lecture et j’ai eu du mal à le lâcher, surtout en approchant du dénouement. L’auteur nous mène de surprise en surprise, il y a du suspens et du rythme. On s’attache beaucoup au personnage de Harriet, même si sa situation fait un peu « cliché » et personnellement je n’avais pas deviné la fin. Et puis, j’ai apprécié cette ambiance typiquement britannique, le froid, le vent, la pluie et la neige, on s’y croit vraiment !

Un roman policier fort sympathique et un chouette moment de détente. Que demander de plus ?



Merci à Babelio et aux éditions Fleuve éditions.

J'ai découvert Ruth Ware avec "Promenez-vous dans les bois", un polar glaçant à souhaits, alors quand j'ai découvert "La disparue de la cabine 10" sur les rayonnages de la bibliothèque Italie, je n'ai pas hésité une minute ... 



Et j'ai ainsi découvert q'un huis-clos dans un navire de luxe pouvait devenir très très angoissant ! 



La jeune journaliste Laura Blacklock avait profité du congé maternité de la jornaliste vedette de son magazine pour embarquer sur l'Aurora et sa croisière inaugurale réservée à quelques happy few en échange de bons papiers dans leur journal ... 



Mais le premier soir, elle a vu ce qu'elle n'aurait pas du voir, et le lendemain matin, elle a voulu en savoir davantage )



Bref un suspense qui monte petit à petit et qui se renforce quand apparaissent les extraits de mails et de chats sur des forums qui évoquent la disparition de Laura ...



Une auteur qui sait distiller le suspense, et les retournements de situation ! Les deux dernières pages sont un modèle du genre. 



Bref, j'attend son prochain opus !
Lien : http://les.lectures.de.bill...

Bonjour !

J'ai beaucoup aimé : c'est jeune, moderne ; le style est fluide, l'intrigue sympa et je me suis souvenue de nos week-end entre filles avec les hauts et les bas, les changements de personnalités avec une pointe de nostalgie.. Je conseille !

Belle journée !

Hélène

L’histoire est assez bien menée dans l’ensemble. Si le début est, selon moi, un peu lent et pas très intéressant, en arrivant à la moitié du roman l’histoire devient un peu plus prenante. Il ne faut donc pas se fier aux premiers chapitres.



Les idées sont originales mais réalistes. Ce roman pourrait tout à fait arriver dans la vraie vie.

Concernant les protagonistes je pense que l’on s’identifie forcément à l’un ou à l’une d’entre eux. L’auteure crée des personnages très différents permettant ainsi aux lecteurs de pouvoir se mettre à la place de certains.

Personnellement j’aime bien ce genre de technique même si ici les caricatures sont parfois trop voyantes…

J’aurais peut-être plus apprécié des personnages naturels mais avec chacun leur personnalité un peu plus réaliste. Ici ce sont les particularités qui sont surtout mises en avant.



Les descriptions sont parfois trop sommaires. S’il y en a des assez bien écrites concernant les ressentis des protagonistes ou certains lieux, je ne suis pas arrivée à m’imaginer clairement les personnages et les scènes importantes. J’ai eu l’impression d’être spectatrice mais en voyant un peu flou… C’est frustrant et dommage.

J’aurais vraiment voulu avoir plus de détails !



Les retournements de situations ne sont pas trop nombreux et juste lorsque c’est nécessaire. L’histoire devient vraiment intéressante à la fin du livre.

J’ai beaucoup apprécié l’épilogue entre révélation et non dits, cela correspond assez au roman.



En résumé si vous allez assister à un enterrement de vie de jeune fille ou à un mariage je vous conseille ce roman avec le risque de ne plus voir les invités comme avant !

Sinon vous pouvez aussi le lire le soir ou la nuit, sous la couette bien au chaud tandis que dehors il fait froid ou qu’il neige.
Lien : https://fais-moi-peur.blogsp..

L'exemple parfait du livre pas mauvais, loin de là .

Mais aussi très loin d’être une pépite .

Le démarrage ainsi que l'idée de base sont sympathiques et originale .

Ensuite c'est un long, on s'ennuie quand même un peu.

Pourtant on veut connaitre la suite et surtout comprendre.

Enfin quand tout s'éclaire, c'est déjà quasiment la fin du bouquin.

Pour certain, justement cette fin est ouah!, pour moi, sans le faire le blasé , je dois dire que je m'y attendais .

Effectivement il y a eu des morts mais très franchement je m'attendais à ce qu'il y en ait plus. Et puis même si la forêt est un endroit important je pensais que ce serait plus montré dans le livre.

Quoi qu'il en soit ça reste une bonne lecture, bien qu'il y ait eu quelques passages un peu longs, la fin est allée très vite. Je ne pouvais plus lâcher le livre. Il faut dire que le début est plus dans l'explication et la fin dans l'action.

Sans oublier que la fin est excellente, j'ai beaucoup aimé voir la lumière se faire dans l'esprit du personnage principal alors que nous en tant que lecteurs avions déjà compris depuis un certain temps.

J'avais très envie de lire un huis-clos, un roman dont l'efficacité repose sur une ambiance soigneusement travaillée. Mon choix s'est porté sur "La disparue de la cabine n10" dont la couverture et le résumé m'avaient tous deux séduite.



Ce roman s'est avéré très agréable à lire. On entre facilement dans l'histoire même si l'auteure prend peut-être un peu trop de temps pour rentrer dans le vif du sujet. L'écriture est simple mais efficace, à l'image de l'intrigue. On pourrait cependant reprocher à celle-ci de manquer d'originalité. L'idée est là mais son traitement manque de piquant, de surprise. Le suspense est là lui aussi, on est incontestablement pris par l'histoire, mais il manque un je-ne-sais-quoi pour être totalement conquis.



Une lecture plaisante mais pas transcendante. Quelques passages retiennent cependant l'attention grâce à la tension et frissons qu'ils communiquent.

Une quatrième de couverture prometteuse ( un enterrement de vie de jeune fille qui va mal tourner ), un décor assez oppressant ( une maison de verre perdue dans les bois) , une tension palpable entre les différents personnages et un style d'écriture agréable font de ce livre un assez bon thriller psychologique.

Le seul petit bémol est que j'ai deviné une bonne partie de l'intrigue et donc le dénouement ne m'a pas surprise.

Cela reste une bonne lecture .

Un thriller " soft " plutôt convaincant et efficace. L'héroïne m'a semblé quelque peu agaçante et pas très attachante mais l'ensemble fonctionne pas mal. J'ai passé un bon moment ce qui est parfait pour ce genre de livre.

La disparue de la cabine n°10 tient ses promesses éditoriales. C'est effectivement un bon thriller que l'on a du mal à lâcher une fois la lecture commencée. Le suspens est là, présent. Lo, le personnage principal m'a un brin agacée, surtout dans les premiers chapitres sur le bateau où picole et migraines vont bon train. Mais c'est justement ce qui m'a fait avancer dans ma lecture. Je voulais absolument savoir où voulait nous mener l'auteur avec cette anti-héroïne pas du tout crédible qui soupçonne chaque personne croisée. Je ne dirai rien de la fin, sinon que je n'ai pas été déçue. A lire pour passer un bon moment, avec ou sans mal de mer.