Sophie Kinsella

Sophie Kinsella est l’auteur par excellence des étés. Elle est aussi un auteur incontesté des comédies romantiques...mais là j’avoue que je n’ai pas été sensible à ce nouveau roman ... l’histoire et la thématique commençaient bien : une visite chez le médecin qui annonce à nos deux amoureux qu’ils vivront encore 68 ans au moins ensemble et c’est le drame ... mais la lutte contre la monotonie, les farces, les quiproquos sont autant de moments censés être drôles auxquels je n’adhère Pas ... pour une fois .... cela ne remet pas en question le talent de l’auteur, mais j’avoue que ce roman ne m’a pas parlé ...

L'histoire est drôle et pleine de rebondissement. Je vous conseille de lire ce roman pour avoir un petit moment de divertissement.

Très chère Sadie c'est l'histoire incroyable de Lara, une jeune fille des plus normales qui voit son quotidien bouleversé par l'apparition d'une jeune fille qu'elle ne connaît pas. En fait, Lara est en contact avec...le fantôme de sa grand-tante centenaire qui vient de mourir. Lara est alors investie d'une mission de la plus haute importance et va se retrouver dans des situations bien étranges et gênantes.



Ce livre est un cocktail de choses merveilleuses : intrigues, suspens, secret de famille, trahison, amour, amitié. Avec humour Sophie Kinsella nous raconte l'histoire de deux filles que beaucoup de choses sépare (à commencer par la génération), mais qui pourtant, au fil des jours et des événements se rapprochent.



C'est avec les larmes aux yeux que j'ai lu les dernières pages de ce livre. J'aurai adoré continuer un bout de chemin avec ces personnages !



Un livre à lire absolument.



Et comme dernier mot pour la fin, je dirais simplement : Hardi petit !

Après avoir lu plusieurs livres policiers, j’avais besoin de lire quelque chose de plus léger et drôle. C’est pourquoi je lis régulièrement des romans de Sophie Kinsella. Ce que j’aime particulièrement dans ses romans, c’est que l’on peut toutes se retrouver dans ses personnages. Elle peint très bien des portraits de femmes touchantes dans leur normalité, parfois même un peu « looseuses », et embarquées malgré elles dans des histoires abracadabrantes, ce qui crée de nombreux quiproquos et situations cocasses.





Dans Les petits secrets d’Emma, c’est encore une fois le cas. Emma est une jeune femme comme les autres, en manque de confiance en elle, qui a un job ingrat (assistante marketing). Mais elle a une meilleure amie géniale et un petit ami apparemment idéal. En plus du personnage attachant, le contexte me parle puisqu’elle travaille dans le service marketing (qui est mon domaine aussi) d’une grosse boîte. Sophie Kinsella joue très fortement avec les clichés (les marketeurs passent leur temps à glander, ou à brasser du vent dans leurs séances de brainstorming bidons, etc.) et cela m’a fait beaucoup rire.



Par contre, même si elle réussit à créer un peu de suspens, le scénario est assez prévisible et rempli de bons sentiments. Ce n’est pas forcément un point négatif car c’est souvent la raison pour lesquels on lit ce genre de livres. C’est tellement agréable de lire des romans qui finissent dans la joie et l’amour. Cela nous fait sourire et nous fait rêver. Et on a tous (toutes surtout) besoin de rêver d’amour.

Premier roman de Sophie Kinsella que je lis et je dois bien avouer que j'ai eu un peu de mal à rentrer dedans. Les premières pages ne m'ont pas inspirées, d'autant plus que c'est un pavé d'environ 550 pages.

Nous suivons notre héroïne (j'ai déjà oublié son prénom) aux obsèques de sa grande-tante morte à l'âge de 105 ans, pendant ces obsèques, tout le monde s'ennuie et est pressé de passer à autre chose, oui mais voilà, il faut bien faire bonne figure et c'est ce que tout le monde fait.

Tout d'un coup, notre héroïne entend une voix et voit la présence d'un fantôme et il apparaît très vite, qu'elle est la seule à voir et à entendre ce fantôme qui n'est autre que Sadie, la fameuse grande-tante revenue de parmi les morts pour récupérer un collier dont elle tient énormément.

L'histoire va donc tourner autour de cette quête (la recherche du fameux collier) qui va bien évidemment nous emmener vers d'autres aventures où se mèlera amour, trahison, humour...

Je n'ai pas été emballée plus que cela par ce livre, mais je pense que c'est du à mon manque d'intérêt concernant ce style de littérature (la chick lit) car sinon l'auteur a une plume agréable, les personnages sont crédibles et il n'y a pas vraiment de temps mort tout au long du livre.

Punaise plus je lis les accros au shopping et plus je me dis que je vais friser le coup de cœur.



Becky c'est un concentré d'énergie. Et plus j'avance dans ses aventures, plus je suis happé. Je sourie continuellement quand je lis ces livres. Becky a le don de se mettre dans des situations toujours aussi fun et improbable. Et elle s'en sort toujours plutôt bien, son karma ne la quitte pas.



Ici, Becky attend un bébé et elle VEUT absolument Venetia Carter comme gynécologue car c'est la gynéco de toute les stars du moment. Becky se voit déjà siroter un thé avec elles.



Oui mais voilà ça devient beaucoup moins drôle quand elle réalise que Luke son boyfriend est l'ex de la gynéco'. Ça ne va pas lui plaire très longtemps, d'autant plus que la Venetia adore la ridiculiser devant son mari.



Bref, c'est encore un tome où Becky est elle-même. J'aime voir son évolution de jeunes filles à maman dans tout les tomes passés.



Je me demande si au bout d'un moment les suites ne vont pas paraître monotone..



Elise__♥

Je suis une fan de Becky, je ne rate pas ses aventures qui sont toujours amusantes et rafraîchissantes.



Toutefois, ces aventures m'ont laissé de glace ainsi que l'écriture. C'est à se demander si Sophie Kinsella n'a pas prêté sa plume à quelqu'un d'autre.



Notre auteure si vivace a hésité dans ce tome entre humour et suspense légèrement polarisé. Un échec, pour ma part je me suis ennuyée.

Un roman dans lequel j'ai eu quelques difficultés à me plonger.



Une chose est certaine, ce n'est pas pour rien qu'il est signé Madeleine Wickham et non Sophie Kinsella. Ici, pas de jeunes femmes "miss tout le monde un peu gaffeuse qui trouve le grand amour si beau, si parfait". On ne sourit que quelques fois, et surtout d'attendrissement et non d'humour.



L'histoire tourne autour d'un drame : une journée au bord de la piscine dans un but caritatif tourne à la catastrophe lorsque qu'une jeune enfant se retrouve blessée. Sur fond de procès, on pourrait s'attendre à ce que dans ce petit village les potins, les ragots et petites mesquineries aient toutes leur place. Il n'en est rien, l'auteure n'a que peu exploité ce filon et je trouve ça dommage étant donné que les rares scènes qui s'en rapprochent rajoutent du piquant.



Néanmoins je me suis laissée peu à peu happer par l'histoire principale ( et les histoires secondaires, car il y en a), m'attachant aux personnages heureusement pas trop manichéens.



En somme petite déception du début mais lecture qui reste appréciable selon moi.

Quel bonheur de se replonger dans la saga de Becky Blomwood (maintenant Brandon) !! Je crois que je n'avais pas ouvert de tome de cette saga depuis presque un an.. et j'ai été d'autant plus transporter par les péripéties de celui-ci.



Comme toujours Becky dépense sans compter ! Surtout lorsqu'elle trouve THE sac Angel ! Après une belle lune de miel de 10 mois (ah oui quand même!), on retrouve Becky plus pimpante que jamais.



Elle décide de faire une surprise à ses parents et de ne pas les prévenir de son retour ! Mais en son absence ils lui ont cachés une chose : sa sœur !!



Et oui Becky va découvrir qu'elle a une sœur de 2 ans son aîné ! Oui mais voilà Becky rêve en grand et imagine déjà les sessions films romantique, bavardage, manucure et surtout SHOPPING... qu'elles vont pouvoir avoir !!



Oui mais voilà, sa soeur & le shopping : bof !

& les courses : bof !

& les manucures : bof !



Becky va être confronté à son opposé ce qui va donner des situations complexe pour elle..



Je vous laisse découvrir comment Becky va bien pouvoir accepter cette sœur si bizarroïde et si elle va pouvoir être accepter par elle !



Elise__♥

J'avoue que si les premiers chapitres m'ont bien plus, le reste m'a soûlé gentiment. c'est pour moi un vrai roman de gare, comme tous ceux de cette auteures et d’ailleurs les premiers chapitres je les ai lu dans un aéroport....

Ce n'est pas la première fois que je le lis, mais je vois que le sentiment que j'avais eu la première fois n'a pas changé : je suis à la fois ravie par la fin et complètement perturbée par le comportement et les pensées de Rebecca. Niveau forme, il n'y a presque rien à redire. Il est bien écrit, se lit vite, et les personnages sont complets. Niveau fond, cependant… j'aime bien l'idée d'une véritable accro du shopping, et cette partie-là ne me dérange pas (bien que ça me stresse profondément parfois de voir à quel point elle est fauchée). Ce qui me choque, c'est vraiment la construction du personnage. À travers le livre, elle ne change pas ! Elle reste cette femme insipide, arrogante, menteuse et manipulatrice qu'elle était au tout début. Le but d'une histoire, à mon avis, c'est de faire évoluer ses personnages. Ici, on ne voit rien de ce principe.



Du coup, je l'ai bien aimé ; c'est le genre de livre que j'aime bien lire de temps en temps… mais j'attendrai longtemps avant de le relire, parce qu'au final, il m'agace plus qu'autre chose !

Ce livre repose désormais non loin de « Mange, prie, aime » d’Élizabeth Gilbert. À vrai dire, ils se voisinent de très près. C’est contagieux, vous croyez ? Pour ceux ou celles qui me connaissent, c’est donc dire qu’il se trouve sur l’étagère « à proscrire » de ma bibliothèque. Dois-je quand même préciser que mon intention initiale en l’abordant était d’ordre affectif, elle visait à partager une lecture avec ma nièce Amélie, accro du shopping. Qui plus est, nous revenions de New York... Bon, assez les excuses, je l’ai lu, et jusqu’au dernier mot. Oui oui, vous pourrez vérifier, il s’agit de « Félicitations ». Ironique, non?



Le roman débute par une profonde dédicace : « Pour Gemma, qui a toujours su la valeur d’une écharpe Denny and George ». Ça commence fort… Mais parlons du personnage principal, Becky Bloomfield. Elle est experte financière à une émission télévisée, « Morning Coffee », où elle prodigue des conseils d’épargne à des milliers de téléspectateurs. Cordonnier mal chaussé, la dame Bloomfield en question n’arrive pas à payer son loyer, est au bord de la faillite personnelle et croule sous les dettes. Elle est accro à la dépense et aux mauvais placements.



Durant ces 400 interminables pages, nous l’accompagnons dans les plus grandes boutiques de New York, les instituts de beauté, les restos bon chic bon genre. Nous assistons aussi à de pénibles discussions stériles et superficielles. Mais le comble, là où j’ai littéralement craqué, est ce long passage qui vante la consommation au profit de la culture. Attendez, je vous explique… En chemin vers le Musée Guggenhein, l’un des plus grands musées new-yorkais, Becky est déviée de sa route par Chanel, Saks, Yves St-Laurent… C’en est trop, elle craque… La pauvre, si vulnérable… Mais elle n’est pas sans ressource… Quelle imagination ! Elle passe donc par la boutique du dit musée et s’achète le catalogue des œuvres, pour aussitôt repartir soulagée d’un énorme poids, et reconquérir l’univers numéro un du consumérisme. J’avais envie de pleurer…



En gros, si vous avez envie d’un roman qui manque de style, de profondeur et de raffinement, vous serez ravies. Ajoutez à ce désastre tous les clichés de la femme-objet, nunuche et dépensière, hystérique et impulsive, écervelée… En ai-je oublié ? Ah, si ! Où ai-je la tête… Il y a le charme, les apparences… et je cite, « l’apparence est le secret de toute négociation ». Pour vous situer dans le contexte, Becky devait rendre visite à John Gavin, directeur des services de découvert. Pour l’occasion, elle ne manque pas de prévoir des sous-vêtements sexy... Je crois que Simone de Beauvoir en aurait aussi pleuré…


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Dans ce livre nous allons suivre Audrey qui est une jeune fille différente. En effet suite à un drame subi au lycée elle vit cloitrée chez elle, souffrant de phobie sociale, de crises de panique. Elle est terrifiée par les gens à tel point qu’elle n’ose plus les regarder dans les yeux, ce qui explique qu’elle garde ses lunettes de soleil en permanence, comme une forme de barrière protectrice.

Le drame qu’Audrey a vécu et qui l’a conduit en dépression, c’est du harcèlement scolaire perpétré par un groupe de fille de son lycée. Malheureusement on n’aura aucun détail sur cet événement, ce qui m’a un peu frustré car j’aurais aimé en savoir plus. Ce roman ne s’attarde donc pas sur le passé d’Audrey mais sur son présent et sur sa démarche d’aller mieux. 



Dans la même lignée que Miss Dumplin, c’est un roman assez léger et drôle, tout en traitant d’un sujet de société important : la dépression et le processus de guérison.

Je suis restée sur ma faim car les sujets abordés m’intéressaient mais ne sont pas exploités à fond, ça reste en surface, l’auteur ne va pas au bout des choses et nous apporte une solution express et miraculeuse, très peu crédible.



Audrey est sous antidépresseurs et suit une thérapie. Lors d’une visite chez sa thérapeute, celle-ci lui demande de réaliser un film sur sa famille car cela l’aidera tout doucement à regarder de nouveau les gens en face, à travers la caméra puis en vrai. Munie d’une petite caméra Audrey se lance donc dans ce nouveau projet, sceptique au début car elle ne voit pas ce qu’elle pourrait filmer d’intéressant sur sa famille. Elle se met à les filmer dans des scènes de la vie quotidienne et baptise ironiquement son projet de film « Amour et sérénité en toute simplicité ».



Pourquoi ce titre est-il ironique ? Car ce qu’il faut savoir c’est qu’Audrey a une famille assez particulière. En effet, sa mère est folle, psycho rigide, elle ne jure que par ses magazines féminins qui dictent sa manière de penser. Elle crie tout le temps sur son fils et lui mène la vie dure car elle pense que les jeux vidéo représentent le mal absolu alors que pour lui c’est une passion dévorante. Le père d’Audrey est à l’opposé de sa mère, car il semble peu impliqué dans l’éducation de ses enfants et complètement je-m’en-foutiste. Quant à son petit frère, il est mignon mais a un sacré caractère affirmé du haut de ses 5 ans.



Au milieu de cette famille déjantée et quelque peu caricaturale nous avons Audrey, une ado perturbée, qui est mal dans ses baskets et qui vit renfermée chez elle.

J’ai trouvé Audrey touchante et hypersensible, je pense que beaucoup de jeunes filles se reconnaitront en elle.



Au niveau du schéma narratif on alterne entre récit à la première personne du point de vue d’Audrey et retranscription du script du film qu’elle est en train de tourner.

J’admets que cette alternance m'a plu et rend la lecture fluide, immersive.

Ce fut une lecture agréable mais sans surprise.



Finalement cette lecture ne m’a pas marqué. J’ai une sensation d’inachevé car on ne sait pas ce qu’elle a vécu de si terrible qui l’a fait tomber en dépression, on ne peut qu’imaginer le harcèlement dont elle a été victime.

Le fait que le lecteur ignore jusqu’à la fin ce qui est arrivé à Audrey, c’est bien mais ça a ses limites. D’un côté ça attise la curiosité mais de l’autre on ne peut pas tout à fait comprendre ses réactions et ce qu’elle vit. 



Le message du livre est simple et parlera à de nombreux ados. La vie n’est pas une courbe droite mais elle est faite de hauts et de bas, savoir se relever n’est pas évident et demande des efforts et du soutien mais surtout de la volonté.
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Louise, maman de deux fillettes, est en cours de séparation de leur papa et est courtisée par un avocat ambitieux.

Leur vie bascule au bord d'une piscine.



Un roman très long ....... les éléments peinent à se mettre en place et à démarrer. Une fois ceci réalisé, on tombe sur des personnages assez stéréotypés, des réactions qui sont prévisibles pour un intérêt de la lecture amoindrie.

J'ai beaucoup eu de mal à accrocher avec Louise, la trouvant assez agressive. Quand à la chute de l'histoire, mouais, évident ...

Un livre creux.

Ce roman, je l'ai dans ma bibliothèque depuis une éternité. Au mois de juillet, je me suis enfin décidé à le sortir et à le lire. La chick-lit est un genre de lecture qui passe généralement bien l'été.



Comme je le présageais cette lecture est légère. J'ai déjà lu un roman de l'auteure et je savais dans quel style de livre je me tournais. Comme à son habitude, Sophie Kinsella m'a fait passer un bon moment de lecture. Ce n'est, par contre, pas une histoire que je garderai en mémoire. Mais durant l'été, c'est réellement le genre de petit livre sympathique à lire.



Dans ce roman, on suit Emma. C'est un personnage que j'ai plutôt apprécié. Elle est loufoque avec ces gaffes. C'est le genre de femme qui en loupe pas une. Je l'ai trouvé peut-être parfois un peu stéréotypé mais, ce n'est pas un point qui m'a gêné.



Emma est une femme comme toutes les autres, elle a ses petits secrets de filles. Elle est en couple avec Connor mais, elle n'est ni amoureuse ni heureuse. Le jeune homme est un homme parfait, l'auteure nous la construit comme l'homme idéal, attentionné, beau et gentil. Mais pourtant j'ai compris l'ennui d'Emma face à cet homme car, il est si parfait qu'il en devient lisse et ennuyant !



Un jour, la jeune femme prendra l'avion et il y aura quelques turbulences durant le vol. Emma va alors dévoiler la totalité de ses secrets à son voisin de siège, croyant ne pas le connaitre. Malheureusement pour elle, il s'agit de Jack le grand PDG de son entreprise. On comprend vite dans quoi l'auteure nous entraîne mais, cela apporte de très bons passages, certains réellement très drôles.



En bref, ce n'est pas un livre que je garderai en mémoire mais, qui grâce à une histoire et des personnages sympathiques a su me faire passer un excellent moment.
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"Ce n'est pas qu'Emma soit une menteuse, non, c'est plutôt qu'elle a ses petits secrets. Par exemple, elle fait un bon 40, pas du 36. Elle ne supporte pas les strings. Elle a très légèrement embelli son CV. Et avec Connor, son petit ami, au lit ce n'est pas franchement l'extase".

Je classe ce livre dans la catégorie "Livre de filles". Je dirai qu'il a tous les ingrédients pour passer un bon moment sans se prendre la tête : un peu d'amour, un brin d'humour, une héroïne touchante avec un sens de l'autodérision et une intrigue simple mais attachante. Bref, ce livre sera idéal pour vous accompagner lors de votre séance bronzage sur la plage, un voyage dans le train ou passer le temps lors d'un dimanche pluvieux.

Un roman agréable à lire, le changement de vie d'une avocate renommée, suite à une erreur... Bon ce n'est pas la littérature que je préfère mais c'est assez plaisant!

Quand j'ai lu le résumé de ce livre, je me suis dit que ça pourrait être divertissant....je n'ai pas été déçue, je me suis même surprise à rire à gorge déployée plusieurs fois!

Quelle impression de vitesse au début du roman. Lors de son retour en avion Emma est prise de panique. Elle croit mourir et dévoile alors tous ses petits secrets à un inconnu assis juste à côté d'elle. J'ai été impressionnée par le débit de parole.... je me suis surprise à lire vite. Le rendu de la situation a vraiment bien fonctionné.

Une fois l'avion atterrit, le rythme redevient normal et on découvre rapidement qu'elles sont les conséquences des aveux d'Emma.



Emma dû mal à décoller professionnellement. Elle est sans cesse rabaissée par une cousine quasi adoptée et préférée par ses parents et dont la réussite professionnelle est éclatante.

Jack,le voisin d'avion, homme très riche, est le PDG de l'entreprise d'Emma.



Ils tombent amoureux....mais leur amour est mis à mal par quelques turbulences...



Le tour est joué, on a sous les yeux un conte moderne.



Certaines situations sont vraiment cocasses et la lecture est plaisante.




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De retour d'une réunion professionnelle, Emma se retrouve surclassée dans l'avion qui la ramène à Londres, grâce à la générosité d'une hôtesse de l'air. Croyant que sa dernière heure était arrivée, en vue des turbulences dans lesquelles se trouve pris l'avion, elle raconte sa vie à son voisin de siège.

Arrivée le lendemain au bureau, bien vivante, elle s'aperçoit que ce fameux voisin est le PDG de l'entreprise pour laquelle elle travaille. Mais loin de lui causer du tourment, Jack de son petit nom, lui manifeste au contraire un réel intérêt.

Les petits secrets d'Emma n'ont rien de méchant, ce sont juste des petits mensonges de rien du tout, même si cela l"oblige à porter un string trop petit! Ces petits secrets l'amènent malgré elle à des situations cocasses qui ne peuvent nous empêcher de sourire.

Emma est une femme attachante qui pourrait être une bonne copine. Comme nous, elle a quelques soucis avec son compte en banque, comme nous, elle aimerait avoir un boulot un peu plus important. Enfin cela, ce serait surtout pour rabattre le clapet de sa cousine qui se la pète (et aussi faire la fierté de ses parents).

C'est une héroïne drôle (bien malgré elle) et sympathique qui a une vie (à peu près) comme tout le monde, ce qui pourrait, pour certains, être dénué d'intérêt, comme sa cousine Kerry justement. C'est donc une héroïne proche de nous mais suffisamment loin tout de même pour rester un personnage de fiction (à moins que vous ne connaissiez quelqu'un comme elle ^^).

Ce roman m'a fait passer un bon moment (malgré une page à demi - arrachée et des omissions et rajouts de mots). C'est une très bonne comédie qui m'a fait beaucoup rire (c'est le principe d'une comédie après tout). Parfois, cela fait du bien un peu de légèreté !Bien évidemment, il n'y a aucun suspense, on sait comment cela va se terminer mais qu'importe! L'écriture légère et drôle de Sophie Kinsella nous transporte gaiement dans la petite vie d'Emma.


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Vous cherchez un livre distrayant, qui se lit sans prise de tête ? Les confessions d’une accro du shopping de Sophie Kinsella est fait pour vous

On partage l’existence de Becky jeune journaliste financière de 25 ans qui comme le laisse suggérer le titre est une inconditionnelle du shopping. Elle est irrémédiablement attirée par les magasins, les marques.

Seul problème : ses finances ne sont pas à la hauteur de ses dépenses immodérées ! l’héroïne doit donc trouver une multitude de stratagèmes pour éponger ses dettes. Elle a le choix entre deux méthodes : Dépenser moins ou gagner plus. Que va-t-elle choisir et surtout y arrivera-t-elle ?

A force de se trouver des excuses inimaginables pour acheter encore et encore (vive les cartes de crédit), elle est harcelée par son banquier. Va-elle faire preuve de bon sens et tenter de remédier à son découvert vertigineux ou fermera-t-elle les yeux sur ses difficultés en espérant qu’elles disparaissent comme par enchantement ?

Au fil des pages, on est également confronté au fait que Rebecca vit dans des rêves irréalistes tel que « je vais gagner à la loterie » ou encore « je vais me marier à un multimillionnaire ».

Pour conclure, je dirai que ce roman est léger, agréable à lire même si j’ai trouvé le dénouement un peu bâclé. Mais ne vous attendez pas à un chef d’œuvre littéraire car ce n’en est pas un d’où mon unique étoile en guise de notation.