Thierry Robberecht

Un petit livre qui ne paye pas de mine mais waouh. j'ai vraiment adoré. quel courage ce petit Chuong. pour 7€ franchement laissez vous tenter

L'aventure de Chuong pour échapper aux intercepteurs est prenante. Le courage du personnage principal a marqué plusieurs élèves. Il est « chanceux » d'avoir des parents qui ont tout sacrifié pour sa survie. C'est d'ailleurs ce qui le motive pour fuir, suite à la séparation avec sa famille. Ce qui a plu également, c'est l'amitié entre Angèle et Chuong, l'entraide avec Richard.

La situation de Chuong a soulevé des questions : Les discriminations peuvent-elles apparaître du jour au lendemain ? Cela pourrait-il arriver ? Comment accueillir des réfugiés ?

Finalement, le monde décrit sur cette nouvelle planète n'est pas si différent du nôtre. Ce qui fait que les non lecteurs de SF ont d'autant moins accroché. Et, plusieurs sont restés sur leur faim car ils attendaient les retrouvailles de Chuong et sa famille, voire même, un chapitre entier sur les derniers hommes accueillis sur Reborn, leurs conditions de vie, la disparition de la Terre....



Elèves de 5e et 4e pour le prix des incorruptibles 2014-15 (18 lecteurs).

2015

J'aime beaucoup la série télévisée ''Joséphine, l'ange gardien''. Quand j'ai besoin de mettre une émission en fond, je me dirige souvent vers l'un des épisodes.



Je me souviens avoir lu cette bande-dessinée il y a plusieurs années. J'avais adoré. Je l'ai lu à nouveau il y a peu de temps. Comme pour les premières fois, c'est toujours le cas. Les dessins sont agréables à regarder. L'histoire est sympathique. J'ai beaucoup aimé cette bande-dessinée.

C'est un livre très intéressant qui parle d' une histoire de la planète qui est à sec et invivable. Les habitants doivent trouver une autre planète : Reborn. Mais le passage entre la terre et Reborn n'est pas gratuit et des personnes dont fait partie le héros doivent passer clandestinement ... Julie 6°1

JE L AI BEAUCOUP AIMER

nos impresssion de lecture :



c'est une histoire qui commence mal et qui est triste,mais elle donne de l'espoir. Les pauvres ne peuvent vivre sur cette planète (REBORN)car le prix du voyage est trop élevé. Cette heureusement une histoire qui finit bien car les riches autorisent les pauvres à venir sur Reborn.

Le roman préféré des élèves de 5eA de St Do qui ont participé au Prix Margot du Polar
Lien : http://www.unallerretourdans..

Chuong, est un personnage très attachant car il se trouve sur une nouvelle planète qu'il ne connaît absolument pas. Il a vu ses parents se faire prendre par des intercepteurs.

Les intercepteurs sont des espèces de robots-machines se déplaçant sur la Terre et également dans le ciel,qui travaillent dans les champs mais qui surtout, arrêtent et renvoient les invasifs comme Chuong, sur la Terre.

Dans ce roman, certains personnages sont attachants, car ils sont dans une situation que l'on peut comprendre et s'imaginer. On se met à la place de ces personnages et on sait ce qu'ils ressentent, comme la peur, le doute et bien plus encore. . A partir de ce moment, on s’inquiète pour ce garçon et on s’intéresse à la façon dont il va s'en sortir. Petit à petit, le personnage grandit et change en étant plus intelligent, donc on a confiance en lui et on est rassuré par ce qu'il devient, mais quelque fois, on ne sais pas quoi penser de lui et on en est vite déçu. Mais parfois le doute vient quand même à nouveau sur le lecteur...

D'autres personnages, comme l'homme de politique Alan Newman et les intercepteurs vivant sur Reborn, ne sont pas clairs et donnent l'impression de vouloir tendre des pièges. Leurs comportements est assez étrange. On se méfie, tout comme Chuong, de ces personnes ayant un esprit malveillant. C'est pour cette même raison, que l'on se met dans la peau du personnage principale, Chuong.

L'histoire de ce roman, est racontée de façon intéressante car il y a souvent beaucoup de suspense, comme par exemple on se demande si Chong va retrouver ses parents ou non, ce qui donne envie au lecteur de lire la suite du livre.

L'auteur à non seulement fait une histoire intéressante, mais aussi une histoire qui se finit plutôt bien.

Quand mon papa était le roi ! joue sur une métaphore intéressante : c'est l'histoire d'un papa qui devient roi soudainement et qui grandit physiquement, au fur et à mesure que le domaine de ses responsabilités s'étend. Et plus il grandit, moins il voit son fils et sa femme. Happy end pour cette famille : papa décide de rendre ses responsabilités, retrouve une taille normale et peut s'en retourner jouer à cache-cache avec son fiston. Et pourquoi dans la vrai vie les hommes choisissent presque toujours de vouloir continuer à grandir...?

J'adore ce livre. Il est pour les adolescents qui cherche de l'aventure, et en même temps des histoires d'amour et d'amitié. Cette affaire d'adulte convient en fait très bien aux jeunes lecteurs ;)

Joséphine vient en aide à différentes personnes dans leur vie. Joséphine a un acte héroïque et elle est en quelques sortes "magicienne". Elle a un grand cœur et sauve des personnes inconnus. J'aime bien cette Bande Dessinée, elle change des Bd avec des méchants et des armes. J'ai bien aimé !

C’est le dernier ouvrage dessiné d’après le personnage du journaliste Guy Lefranc, créé jadis par Jacques Martin, disparu il y a peu. Il est dû à l’équipe Thierry Robberecht – Régric – Bruno Wesel. Et, comme toujours, nous revoilà plongés dans l’atmosphère des années de plomb de la Guerre Froide.

J’imagine que cette période ne doit pas évoquer grand-chose aux jeunes lecteurs. Pourtant, cette ambiance de propagande permanente des intellectuels staliniens faisait rage en France, où le Parti Communiste, qui se définissait comme le Parti des Fusillés, régnait en maître dans le monde des Lettres, l’Enseignement et souvent aussi la Recherche scientifique. A l’époque – j’étais jeune mais je m’en souviens fort bien – mon père se rendait souvent professionnellement en Union Soviétique et nous racontait à son retour comment on vivait réellement là-bas. Pas du tout comme on en parlait en France. Et tout à fait comme le décrit la BD qui vient de paraître. Moi-même me suis rendue en URSS en 1962, et j’en ai un souvenir tout à fait précis.

En revanche, le scénario de cette BD qui se déroule au début de l’année 1953 est invraisemblable : les savants russes auraient réussi le clônage humain, et un enfant de 12 ans serait le fruit de cette extraordinaire découverte. Il aurait donc été conçu en 1941 … et serait la copie conforme de Joseph Staline !

A part cette incongruité, les dessins sont très bien documentés, les couleurs réalistes et harmonieuses, l’esprit de l’époque habilement rendu, et l’intrigue menée tambour battant.

Malheureusement, les continuateurs de Jacques Martin ne réussissent pas à égaler l’originalité du récent renouveau du personnage d’Alix Senator, ni le talent des continuateurs de Blake et Mortimer (dont on attend le prochain opus au début du mois de décembre prochain !)
Lien : http://www.bigmammy.fr/archi..

Super Albert ! C’est un nom de super-héros qui, à première vue, ne ferait pas frémir beaucoup de super-méchants. Et pourtant, depuis son satellite, Super Albert n’est pas un usurpateur. Il veille sans relâche sur les petits terriens. Comment ? En les protégeant des monstres imaginaires et des fantômes qui n’existent pas, tout en s’assurant que leur sommeil soit paisible et reposant. Une fois toutes ces tâches effectuées avec soin, notre petit Albert n’oublie pas pour autant que, lui aussi, est encore un petit garçon et heureusement que sa Super Maman est là pour lui… Voilà une bien jolie histoire concoctée par le duo prolifique Robberecht et Goossens qui continue de démontrer que leur complicité et leur complémentarité sont des plus créatives.

C'est l'histoire d'un petit garçon dominé par une colère grandissante ,

prisonnier de cette colère ENORME.



Les caractères typograhiques différents mettent parfaitement en relief la force des mots;

L' illustration est de qualité.

Cet album, aux éditions Mijade (éditeur belge que je ne connaissais pas ) est parfait pour tous les petits soucis liés au coucher et à la nuit ou tout simplement pour rêver d’être à son tour un super héros !



Maintenant j’aimerais bien découvrir les autres titres des auteurs, Philippe Goossens et Thierry Robberech : Je veux retourner dans le ventre de maman, La colère du dragon, Justin n’a peur de rien ou j’ai perdu mon sourire.

Très bon texte, très belle illustrations.

Un livre qui montre bien les différents sentiments exprimés par un enfant en colère (frustration, colère, repli sur soi, chagrin...).

Mais tout est bien qui finit bien.

Mathieu, 14 ans, ne voit pas souvent son grand-père, mais c’est le seul à le comprendre, un regard suffit. Mathieu est sourd mais pas muet. Il ne veut simplement pas parler. Les adultes de sa famille l’ennuie, mais pas son grand père Hugo.



Après deux ans d’absence Hugo revient. Les deux complices déjeunent au restaurant. Quelques tables plus loin deux hommes les épient Après une brève discussion avec l’un deux, Hugo dit à son petit fils qu’il faut vite partir. Les deux hommes les prennent en chasse. Mais qui sont-ils ?



Course poursuite en voiture dans toute la ville. Ils trouvent refuge dans une maison de repos où Hugo a des amis. Mais les gangsters les rattrapent.



Hugo raconte à Mathieu pourquoi il a fait de la prison et pourquoi les hommes veulent se venger.



Un petit polar, à partir de 7 – 8 ans. Se lit facilement.
Lien : http://mediatheque.tregueux...

J'ai acheté ce livre sans le lire car ma petite fille raffole des loups.

L'idée de cette histoire charmante est excellente mais nous aurions voulu un peu plus de rebondissements. L'histoire se finit en eau de boudin, nous sommes restés sur notre faim, la fin est vraiment décevante, ma petite-fille m'a dit que l'auteur n'avait pas fini son livre !Les dessins sont mignons comme tout, le chat est super bien dessiné mais le loup manque de design.

Comme nous ne sommes pas satisfaites nous avons inventés et terminés l'histoire ! Ma petite-fille a 6 ans et déjà férue de lecture, alors le coup de l'histoire pas terminée, elle a pas aimé !

Bon, nous sommes peut être un peu sévères car nous sommes des lectrices exigeantes.

Un onnuzel, en bruxellois, c'est un empoté, un couillon comme on dit en Wallonie.

Mais ce petit onnuzel de 8 ans en manque de père et de repères est tout sauf un empoté, parce qu'il trouve toujours une explication qui lui donne la force de comprendre et de continuer. Et d'ailleurs, on nous fait croire qu'il ne comprend rien alors qu'il a tout compris, bien mieux que sa mère.

Ca se passe dans les années soixante, dans un appart à Molenbeek la semaine, et chez bon papa et bobonne les week-ends. Un roman dans lequel les non-dits sont tellement bien écrits que nous aussi, on comprend tout !

Pas bien épais, il se lit doucement et en fermant les yeux. Aaah... Bruxelles...

Elisa est handicapée, condamnée à vivre en fauteuil roulant. Elle est fille d'inspecteur et aime mener l'enquête en parallèle de son père, façon Sherlock Holmes. Aidée de son ami Charles, elle va résoudre les mystères de ces meurtres qui laissent des cadavres à la chevelure totalement blanchie.



Elisa et Charles forment un duo sympathique, à la Sherlock Holmes et Dr Watson. Ils bravent les interdits des parents pour arriver à leur fin et mener à bien la résolution de cette enquête. Elisa a des facultés d'observation impressionnantes, elle est donc le cerveau de la bande alors que Charles est beaucoup plus peureux mais magne le fauteuil roulant comme personne.



L'enquête est assez simple mais elle est idéale pour faire découvrir aux plus jeunes l'univers de Sherlock Holmes. Une agréable lecture qui met en avant le handicap. Elisa même si elle déteste être dépendante va au bout de ces objectifs et a une vie remplie d'aventures et de rebondissements.
Lien : http://keskonfe.eklablog.com..