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Citations de William Shakespeare (3135)


We must starve our sight
From lover’s food till morrow deep midnight.
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Maidens call it Love-in-idleness.
Fetch me that flower : the herb I show’d thee once.
The juice of it, on sleeping eyelids laid,
Will make or man or woman madly dote
Upon the next live creature that it sees.
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Une citation est la reproduction d'un court extrait d'un propos ou d'un écrit antérieur dans la rédaction d'un texte ou dans une forme d'expression orale. Selon Olivier Millet, une citation est « un fait de parole (d'écriture), par définition individuel et
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Valentin. - Je l'ai aimée du jour où je l'ai vue, et je la crois toujours belle.
Diligence. - Si vous l'aimez, vous ne pouvez pas la voir.
Valentin. - Pourquoi ?
Diligence. - Parce que l'amour est aveugle.
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Antoine. - Si votre royauté n'avait asservi le caprice, je jurerais que le caprice c'est vous.
Antoine et Cléopâtre, I, 3
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Shylock
« Un Juif n'a-t-il pas des yeux ? Un Juif n'a-t-il pas des mains, des organes,
des dimensions, des sens, de l'affection, de la passion ; nourri avec
la même nourriture, blessé par les mêmes armes, exposé
aux mêmes maladies, soigné de la même façon,
dans la chaleur et le froid du même hiver et du même été
que les Chrétiens ? Si vous nous piquez, ne saignons-nous pas ?
Si vous nous chatouillez, ne rions-nous pas ? Si vous nous empoisonnez,
ne mourons-nous pas ? Et si vous nous bafouez, ne nous vengerons-nous pas ?
Si nous sommes semblables à vous en tout le reste, nous vous ressemblerons aussi en cela. »

— acte III, scène 1
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Ah! Madame, si ma main réchauffe votre main, vos beaux yeux enflamment mon coeur!

Je me devais de lire cette oeuvre .....
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S 'il se présente sous la figure de mon noble père, je lui parlerai, dût l 'enfer,
bouche béante, m 'ordonner de me taire. Je vous en prie tous , si vous avez
jusqu 'ici tenu cette vision secrète , gardez toujours le silence ; et quoi qu 'il
arrive cette nuit , confiez-le à votre réflexion , mais pas à votre langue . Je recom-
-penserain vos dévouements . Ainsi, adieu ! Sur la plate-forme, entre onze et
minuit , j 'irai vous voir .
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Misérable braillard ! puisses-tu n’être plus qu’un noyé, lavé par dix marées !
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Le monde entier est une scène ; hommes et femmes, tous n’y sont que des acteurs, […] et note vie durant nous jouons plusieurs rôles.
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Que de fois je me suis abreuvé de larmes de sirène.
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(Songe d'une nuit d'été).

Puck, à la fée.
Hé ! Hé ! L'Esprit ! Où errez-vous ?

La fée.
Par monts, par vaux - par buissons, par bruyères - sur les parcs, sur les haies -par le flot, par le feu - j'erre partout, plus vite que les lunaires sphères. - Et je sers la reine des Fées, pour arroser ses cercles sur la verdure - Les hautes primeroses sont ses chambellans - vous voyez sur leurs habits d'or des taches, ce sont rubis, présents de la fée; et en ces rousseurs vivent leurs parfums...
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L'amour, la jalousie, la haine... toutes les passions humaines poussées à leur paroxysme : Shakespeare met à nu le coeur de l'homme de façon remarquable.
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Si une fois fait, c'était fini, il serait bon que ce fût vite fait. Si l'assassinat pouvait entraver les conséquences, et par son accomplissement assurer le succès, si ce coup pouvait être tout et la fin de tout, ici-bas, rien qu'ici-bas, sur le sable mouvant de ce monde, je me jetterais tête baissée dans la vie à venir. Mais ces actes-là trouvent toujours ici-bas leur sentence. Les leçons sanglantes que nous enseignons reviennent, une fois apprises, châtier le précepteur. La justice à la main impartiale présente le calice empoisonné par nous à nos propres lèvres... Il est ici sous une double sauvegarde : d'abord, je suis son parent et son sujet, deux raisons puissantes contre l'action ; ensuite, je suis son hôte : à ce titre, je devrais fermer la porte au meurtrier, et non porter moi-même le couteau. Et puis, ce Duncan a usé si doucement de son pouvoir, il a été si pur dans ses hautes fonctions, que ses vertus emboucheraient la trompette des anges pour dénoncer le crime damné qui l'aurait fait disparaître ; et la pitié, pareille à un nouveau-né tout nu, chevauchant sur l'ouragan, ou à un chérubin céleste, qui monte les coursiers invisibles de l'air, soufflerait l'horrible action dans les yeux de tous, jusqu'à noyer le vent dans un déluge de larmes... Je n'ai, pour presser les flancs de ma volonté, que l'éperon d'une ambition qui prend trop d'élan et se laisse désarçonner...
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Le prince : Car jamais aventure ne fut plus douloureuse que celle de Juliette et de son Roméo.
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Mercutio : Peste sur vos deux maisons!
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Polonius : (...)
Maintenant grave dans ta mémoire ces quelques préceptes. Refuse
l'expression à tes pensées et l'exécution à toute idée irréfléchie. Sois
familier, mais nullement vulgaire. Quand tu as adopté et éprouvé un ami,
accroche-le à ton âme avec un crampon d'acier ; mais ne durcis pas ta main
au contact du premier camarade frais éclos que tu dénicheras. Garde-toid'entrer dans une querelle ; mais, une fois dedans, comporte-toi de manière que l'adversaire se garde de toi. Prête l'oreille à tous, mais tes paroles au petit nombre. Prends l'opinion de chacun ; mais réserve ton jugement. Que ta mise soit aussi coûteuse que ta bourse te le permet, sans être de fantaisie excentrique ; riche, mais peu voyante ; car le vêtement révèle souvent l'homme ; et en France, les gens de qualité et du premier rang ont, sous ce rapport, le goût le plus exquis et le plus digne. Ne sois ni emprunteur, ni prêteur ; car le prêt fait perdre souvent argent et ami, et l'emprunt émousse l'économie. Avant tout, sois loyal envers toi-même ; et, aussi infailliblement que la nuit suit le jour, tu ne pourras être déloyal envers
personne.
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J'ai bien aimé ce livre parce que c'est un très beau récit et il est très bien écrit: on a vraiment l'impression de vivre l'histoire, elle est tragique et romantique en même temps.
L'histoire demeure d'actualité et c'est ça aussi que j'ai aimé.
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Banquo : Souvent, pour nous attirer à notre perte, les instruments des ténèbres nous disent des vérités; ils nous séduisent par d'innocentes bagatelles, pour nous pousser en traîtres aux conséquences les plus profondes.
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Lady Macbeth : Tu es Glamis et Cawdor, et tu seras ce qu'on t'a promis...
Mais je me défie de ta nature : elle est trop pleine du lait de la tendresse humaine pour que tu saisisses le plus court chemin. Tu voudrais la grandeur : tu as de l'ambition, mais tu n'as pas la cruauté qui devrait l'accompagner. Ce que tu veux vivement, tu le veux saintement : tu ne voudrais pas tricher, et tu voudrais une victoire imméritée.
Ton but, noble Glamis, te crie : "Fais cela pour m'atteindre." Et cela, tu as plutôt peur de le faire que désir de ne pas le faire. Accours ici, que, dans ton oreille, j'insuffle le courage, et que ma langue résolue chasse tout ce qui t'écarte du cercle d'or, dont le destin et une puissance surnaturelle semblent t'avoir couronné!
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