Pascal Bonafoux/5
1 notes
Résumé :
Au XXe siècle, Paris entame sa métamorphose. Les grands travaux haussmanniens modernisent le paysage, la capitale acceuille pas moins de dix expositions universelles et érige son plus grand symbole : la tour Eiffel. Spectateurs d'une vie urbaine trépidante, les artistes de l'époque tels Monet, Pissarro, Caillebotte, Degas ou Seurat se passionnent pour cette ville dont ils aiment à dresser le portrait. A la fois attachés au Paris bucolique qui s'efface et enthousiasm... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Superbe livre de Pascal Bonafoux.
Ce livre rassemble cent tableaux impressionnistes racontant Paris, sa vie, sa beauté, son élégance. Plusieurs de ces tableaux sont très connus d'autres ont été pour moi des découvertes et des coups de coeur.
Quelle bonheur de feuilleter ce livre et de s'arrêter devant une oeuvre et son commentaire. Je pense que c'est ainsi qu'on en profite le mieux, se promener au grès de la scène et des quartier tandis que l'auteur nous présente des artistes variés et talentueux.
Un livre à garder sur sa table basse et à offrir les yeux fermés.
Ce livre rassemble cent tableaux impressionnistes racontant Paris, sa vie, sa beauté, son élégance. Plusieurs de ces tableaux sont très connus d'autres ont été pour moi des découvertes et des coups de coeur.
Quelle bonheur de feuilleter ce livre et de s'arrêter devant une oeuvre et son commentaire. Je pense que c'est ainsi qu'on en profite le mieux, se promener au grès de la scène et des quartier tandis que l'auteur nous présente des artistes variés et talentueux.
Un livre à garder sur sa table basse et à offrir les yeux fermés.
Citations et extraits (15)
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Il ne suffit pas à paris d'être la capital de l'art. Il commence pendant ces mêmes années d'être un motif comme le deviennent ses faubourgs et ses banlieues. il l'est, après les premiers daguerréotypes de de Daguerre, pour Gustave le Gray, Charles Nègres, pour Edouard Baldus, Charles Manville, Eugène Atget et pour d'autres encore qui ne cesses plus de la photographier.
à l'évidence les choix qu'à fait Cals, ce fils d'ouvrier, de peindre des humbles, des oubliés de la société , des vieillards , de peindre ces bicoques construites qui sont leur refuge sur la butte Montmartre, de se complaire aux yeux des jurys et des amateurs avant Courbet et Millet, dans de telles représentations ne lui vaut pas que des admirateurs.
les toiles qu'il peint alors provoquent d'autant plus de rage et de désespoir de l'institut qu'elles sont peintes au couteau. Elles n'ont donc, et pour cause, rien de commun avec la facture lisse, léchée, finies qu'exigent les membres du jury. Cette peinture qu'il qualifie lui même quelques années plus tard de couillarde, ne peut être que rejetée.
a la différence de ses amis, Sisley dispose d'autres références picturales qu'il est le seul à connaître: à Londres il a découvert entre 1857 et 1859, dans le temps où il était censé faire des études de commerce pour succéder à son père , les oeuvre de Gainsborough, de Constable et de Turner.
Sisley n'est guère concerné par ce paris que l'on pourrait qualifier de Paris d'apparat, celui des quais de la seine, quais au centre de la ville que ne se prive pas de peindre depuis plusieurs années déjà ses amis Monet et Renoir. C'est à l'est de la capital qu'il cherche d'autres motifs
Videos de Pascal Bonafoux (8)
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{Conférence de Pascal Bonafoux}La BnF propose un cycle de conférences pour s'initier aux principaux courants artistiques et comprendre les oeuvres d'art en regard de lectures critiques. La seconde édition est consacrée aux questions d'identités artistiques au XIXe siècle et au début du XXe siècle.Cette séance examine les autoportraits peints au cours du XXe siècle, qui s'est voulu celui de la modernité. Ces autoportraits seraient-ils la tradition de la modernité ?Par Pascal Bonafoux, historien de l'art, spécialiste de l'autoportraitConférence enregistrée le 29 mars à la BnF I François-Mitterrand
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