Mais je tenais à vous dire que je vous aime tellement que la pensée de votre tristesse me fend le coeur, et me cause des larmes qui sont encore des baisers.
Lettre à Louisa de Mornand
juin ou juillet 1909
(p.115)
MARCEL PROUST / DU CÔTÉ DE CHEZ SWANN / LA P'TITE LIBRAIRIE