L'auteur commence par éclairer la portée des fables
De La Fontaine en se référant au passage à d'autres auteurs comme La Rochefoucauld (connu pour ses maximes),
Descartes,
Montaigne ou
Condillac (citant Buffon).
Il présente et éclaire ensuite successivement : le discours à Mme de la Sablière avec Les deux rats, le renard et l'oeuf, L'Homme et son Image, le Paysan du Danube, L'Amour et la Folie, L'Ivrogne et sa Femme, L'Oeil du Maître, La Tortue et les deux Canards, Les Deux Chèvres, le Chat et les deux Moineaux, le Singe et le Chat, le Milan et le Rossignol, La Chauve-Souris, le Buisson et le Canard, le Combat des Rats et des Belettes, La Cour du Lion, le Loup et le Renard, La Mort et le Malheureux couplé avec La Mort et le Bûcheron, Les Membres et l'Estomac,
le Loup et l'Agneau, L'Homme et la Couleuvre, La Souris métamorphosée en fille, Les Compagnons d'Ulysse.
Les fables
De La Fontaine étaient considérées, sous la IIIe République, comme porteuses de philosophie pour les élèves du primaire. On voit dans cet ouvrage combien en effet, par une réflexion rationnelle et critique, ces textes en vers visent à une compréhension de la vie humaine, à travers la mise en scène très souvent d'animaux.