Trois entrevues en solo et en rafale avec des auteurs autour d'un même sujet: la musique dans la littérature. Quand des auteur·rice·s mentionnent des titres musicaux ou ajoutent des paroles dans leurs pages, cela amplifie notre compréhension de l'univers du livre et nous amène souvent vers la nostalgie. Pour discuter de musique dans la littérature québécoise, le Salon a invité Hervé Gagnon (Crossroads: la dernière chanson de Robert Johnson), Richard Ste-Marie (Stigmates) et Marie Hélène Poitras (La désidérata) à des entretiens express. Animation: Valérie Roberts.
Avec:
Hervé Gagnon, Auteur·rice
Marie Hélène Poitras, Auteur·rice
Richard Ste-Marie, Auteur·rice
Valérie Roberts, Animateurrice
Livres:
Désidérata (La).
Stigmates
Crossroads
Le Site Web du #SalonDuLivreDeMontreal : https://www.salondulivredemontreal.com/
Retrouve-nous sur tous nos réseaux sociaux
INSTAGRAM: https://www.instagram.com/salonlivremtl/
TIKTOK: https://www.tiktok.com/@salonlivremtl
TWITCH: https://www.twitch.tv/lismoimontreal
DISCORD: https://discord.gg/7MP3veRP
FACEBOOK: https://www.facebook.com/salondulivredemontreal/
#slm2021
Hervé Gagnon
EAN : 9782764439821
Les Éditions Québec Amérique (31/03/2020)
/5
12 notes
Les Éditions Québec Amérique (31/03/2020)
Résumé :
À Montréal, en 1885, en pleine épidémie de variole, des orphelins disparaissent mystérieusement et personne ne semble s'en préoccuper. Tandis que les mensonges se multiplient, Julien Tessier, sa soeur Victorine et plusieurs autres pensionnaires veulent vite comprendre ce qui se passe et trouver une personne qui pourrait croire en leurs allégations et intervenir. Seraient-ils eux aussi menacés ? Est-il trop tard pour retrouver les disparus ? Mensonges, hypnotisme et ... >Voir plus
Acheter ce livre sur
étiquettes
Ajouter des étiquettes
Que lire après Le projet PoxVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (5)
Ajouter une critique
Je ne le savais pas en l'ouvrant mais il s'agit d'un livre jeunesse. Ceci dit, je pense qu'il peut être lu à tout age.
J'ai trouvé l'histoire très sympa : des orphelins dont les compagnons de chambrée disparaissent pendant la nuit, mènent une enquête et tombent sur un secret qui les dépasse.
Bien sur, c'est plutot simple mais je me suis retrouvée prise dans cette aventure avec les protagonistes.
De plus, l'écriture est agréable et entrainante.
Cette 1ere rencontre avec l'auteur a été pour moi une réussite. Je suis contente d'avoir lu ce livre que j'ai vraiment apprécié et donc, je vais vite rajouter d'autres ouvrages d'Hervé Gagnon dans ma PAL.
J'ai trouvé l'histoire très sympa : des orphelins dont les compagnons de chambrée disparaissent pendant la nuit, mènent une enquête et tombent sur un secret qui les dépasse.
Bien sur, c'est plutot simple mais je me suis retrouvée prise dans cette aventure avec les protagonistes.
De plus, l'écriture est agréable et entrainante.
Cette 1ere rencontre avec l'auteur a été pour moi une réussite. Je suis contente d'avoir lu ce livre que j'ai vraiment apprécié et donc, je vais vite rajouter d'autres ouvrages d'Hervé Gagnon dans ma PAL.
Après Sénécal, Colize, et l'excellente Louise Simard, je continue mon exploration des auteurs québécois;
L'action se passe à Montreal, en 1885, sur fond d'une épidémie de variole (attestée historique).
Il faut préciser que ce livre est destiné aux ados. Mais que c'est bon, le temps d'une lecture, de redevenir un adolescent !
J'ai bien aimé ce livre, avec son humour potache, les mots canadiens qui émaillent le récit ; savez-vous ce qu'est une guidoune, ou une bibitte ?? Non, ah bon… En tout cas, ce n'est pas gênant pour la compréhension.
Le livre évoque fortement « les oubliés de Saint Agil », de Pierre ( ?) Véry.
A lire, que vous soyez adolescent, adulescent, ou complètement déliquescent, comme moi !
L'action se passe à Montreal, en 1885, sur fond d'une épidémie de variole (attestée historique).
Il faut préciser que ce livre est destiné aux ados. Mais que c'est bon, le temps d'une lecture, de redevenir un adolescent !
J'ai bien aimé ce livre, avec son humour potache, les mots canadiens qui émaillent le récit ; savez-vous ce qu'est une guidoune, ou une bibitte ?? Non, ah bon… En tout cas, ce n'est pas gênant pour la compréhension.
Le livre évoque fortement « les oubliés de Saint Agil », de Pierre ( ?) Véry.
A lire, que vous soyez adolescent, adulescent, ou complètement déliquescent, comme moi !
L'été prochain puisque tout le mode sera confiné, pourquoi ne pas lire un roman? Nous vous proposons, évidemment «Le projet Pox». Dans cette critique, vous allez connaitre les raisons pour lesquelles vous devriez lire cet ouvrage en 2021. Tout d'abord, ce récit devrait être lu, car il ne comporte que trois-cent pages. C'est un livre de poche qui se transporte très bien partout en voyage, à l'école, en voiture,etc. Il contient une quarantaine de chapitres qui possèdent à peu près huit pages chacun. de plus, ce bouquin est parfait pour s'évader dans en pensée dans le vieux Montréal pendant l'épidémie de variole.
Vous pourrez partir à la recherche des disparues de l'orphelinat dans les usines, les hôpitaux psychiatriques, etc.
Vous pourrez partir à la recherche des disparues de l'orphelinat dans les usines, les hôpitaux psychiatriques, etc.
lecture sympa dont l'enquête est menée par des enfants
Hervé Gagnon est un romancier qui aime jouer avec l'Histoire et en changer les codes, ce qu'il fait de nouveau avec ce récit dans lequel il invente une cause humaine, et politique, à l'épidémie de variole qui a frappé Montréal à la fin du 19e siècle et a fait plus de 6000 morts au Québec en un peu plus d'un an. D'actualité, vous dites ?
Lien : http://sophielit.ca/critique..
Lien : http://sophielit.ca/critique..
Citations et extraits (5)
Ajouter une citation
La messe matinale fut aussi ennuyeuse que d’habitude. Le père Josaphat, le vieux prêtre barbu, hirsute et bredouillant affecté à l’orphelinat par l’évêché, était un peu gâteux. Julien avait l’impression que le pauvre homme était déjà mort sans que personne n’ait eu la gentillesse de l’en avertir.
— Mais pourquoi il aurait quitté l’orphelinat sans sa jambe de bois ? demanda Bouchard. Ça n’a aucun sens. Il va même pas pisser sans la porter.
Ce fut Julien qui finit par dire ce que tout le monde avait déjà compris.
— Parce qu’il n’est pas parti en marchant.
Ce fut Julien qui finit par dire ce que tout le monde avait déjà compris.
— Parce qu’il n’est pas parti en marchant.
De temps à autre, un gémissement, un rire ou un cri les faisait sursauter. Çà et là, une lampe à huile émettait une lumière blafarde qui rendait le couloir lugubre. En route, ils croisèrent un grand crucifix en bois en haut du mur et, avec amertume, Julien se dit que Jésus regardait sans doute ailleurs pendant qu’on torturait des innocents. (Dans les couloirs de l’asile)
Julien n’a jamais vu son père dans un tel état. Papa n’a jamais peur, d’habitude. Il est fort. Il est médecin, papa. Il sait tout et il comprend tout. Mais là, il a l’air d’un lièvre effrayé.
« Quand on ne voit pas la misère, elle n’existe pas. » (Trepanier, pour expliquer les hauts murs de l’orphelinat)
Videos de Hervé Gagnon (6)
Voir plusAjouter une vidéo
Les plus populaires : Jeune Adulte
Voir plus
Acheter ce livre sur
Les Dernières Actualités
Voir plus
Autres livres de Hervé Gagnon (49)
Voir plus
Quiz
Voir plus
Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )
Roger-Jon Ellory : " **** le silence"
seul
profond
terrible
intense
20 questions
2864 lecteurs ont répondu
Thèmes :
littérature
, thriller
, romans policiers et polarsCréer un quiz sur ce livre2864 lecteurs ont répondu