Puisque nous arrivons à la fin du premier cycle (avant d'entamer celle de la malédiction), il fallait bien que nous sachions enfin quel était ce fameux secret que les Templiers possédaient et qui faisait danser l'Église sous leur musique.
Bon sang, mais c'est bien sûr ! Oui, maintenant ça me revient... Je n'ai pas réussi à oublier le secret du Da Vinci Code alors que celui du Dernier Templier m'était sorti du crâne, sans doute parce qu'il était moins sulfureux que celui de l'autre roman...
Ou alors, plus en phase avec la logique. Entre nous, ce n'est pas vraiment un secret puisque les Musulmans eux-mêmes ne considèrent pas que "patatipatata" soit le "Je-Ne-Peux-Rien-Vous-Dévoiler" !
Une fois de plus, de l'action à gogo, impossible de s'endormir en lisant cette bédé, même s'il n'y a rien d'exceptionnel, hormis la causette entre un cardinal et Sean Reilly : oufti, je ne sais pas si tous les cardinaux seraient aussi direct que celui de la bédé. Si l'un d'eux aurait les cojones de parler comme le fait celui de la bédé. Oui, je sais, c'est de la fiction, limite de la SF, là !
Par contre, ce cardinal aurait été plus juste si, dans son analyse des travers de l'Homme, il y avait inclus ceux des Hommes d'Église... Ok, nous les simples pécheurs ne sommes pas les meilleurs, mais en ce qui concerne la cupidité et l'égoïsme, ils sont champions aussi. Un bon point pour lui puisqu'il reconnaît qu'ils couvrent des honteux abus. Dommage que tout ceci ne soit qu'un dialogue de fiction...
Si les réflexions des personnages sont bien faites, qu'ils sont amenés à se poser des questions, à douter, à revoir leur copie, ils restent malgré tout peu crédibles dans leur rôle.
Mais bon, c'est une série qui se lit sans prise de tête, à la rigueur, si on n'a rien d'autre à faire, que dehors, il pleut où qu'on ne veut pas trop faire fumer son cerveau.
En tout cas, la bédé a réussi son but de divertir et de faire réfléchir à certaines choses, c'est déjà pas mal. Non, rien de plus, malheureusement.
Je ne pense pas que je vais lire la seconde saison et que je vais arrêter les frais ici.
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La révélation tant attendue est enfin arrivée. Après un début assez bavard avec les révélations du Vatican à l'agent Reilly. Puis une phase plutot d'action lorsque qu'il va falloir remonter du fond de l'océan les écrits cachés des templiers.
Les personnages vont être amené à réfléchir sur leur foi, celle de dieu ou celle de la vérité, et chercher la bonne ligne de conduite avec ce fameux trésor des templiers.
Ce tome conclut l'enquête et nous donne toutes les réponses. Mais une seconde saison est prévue pour la saga du dernier templier.
Des dessins fidèles à eux mêmes depuis le début de la série, une jolie ligne claire plutot sympathique même si de facture classique.
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Fin du premier cycle.
Bien qu'étant toujours très agréable, je trouve que le
suspense baisse en intensité.
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Série du tome 1 à 4, au graphisme et à la mise en page classiques au service du scénario. Quête d'un secret présentée sur deux plans, au moyen âge et à notre époque.
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Regardez l'anxiété, la colère, la cupidité qui nous entourent, la corruption qui infecte le monde au plus haut niveau. Regardez le vide moral, la soif de spiritualité, le manque de valeurs.
La bonne parole peut déplacer des montagnes. Ou les raser. Dans notre arsenal, la religion est l'arme ultime, au-dessus de toutes les autres.
Le christianisme n'as pas été bati sur les prêches d'un homme sage. Il l'a été sur quelque chose de beaucoup plus retentissant : les paroles du fils de Dieu.
La résurrection n'est pas simplement un miracle : c'est le fondement même de l'église. Enlevez ça et tout s'effondre.
Nous avons besoin de croire en quelque chose. Nous avons tous besoin de foi.
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"Le Jeu du Chuchoteur" de Donato Carrisi, Éditions Calmann-Lévy - suite de "Le Chuchoteur " en Livre de Poche
"À cache-cache" de M. J. Arlidge, Éditions Les escales - suite de "Oxygène" aux Éditions 10/18 poche
"Victime 2117" de Jussi Adler-Olsen, Éditions Albin Michel
"L'épidémie" de Åsa Ericsdotter, Éditions Actes Sud
"Le Secret ottoman" de Raymond Khoury, Éditions Presses de la Cité
"Fermer les yeux" de Antoine Renand, Éditions Robert Laffont - connu pour "L'Empathie" maintenant en poche aux Éditions Pocket
"Au soleil redouté" de Michel Bussi, Éditions Presses de la Cité
"La punition qu'elle mérite" de Elizabeth George, Éditions Pocket
"La Mauvaise herbe" de Agustin Martinez, Éditions Actes Sud
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