Lire un livre, c'est parcourir un chemin
Il y a des chemins attrayants, des chemins ennuyeux, faciles, tortueux.
Il y en a qui conduisent à des endroits superbes et d'autres qui ne conduisent nulle part.
Lire un livre, c'est pénétrer dans un autre monde.
Il y a des mondes nouveaux et différents, pleins de choses originales et fascinantes qui attendent qu'on les découvre.
Et il y a aussi des mondes répétitifs et médiocres, où tout est pareil, égal et sans nuances.
Il y a des mondes qu'on ne visite qu'une fois et d'autres où l'on veut toujours retourner.
Lire un livre, c'est comme rencontrer une personne.
Il y a des gens qui m'attirent dés le premier instant qui au moindre contact me saisissent, me captivent.
Il y en a qui me paraissent fades et sans intérêt jusqu'à ce que je les connaisse mieux et commence à les apprécier.
Il y a des gens retors, compliqués et élitistes.
Il y a dont le simple contact m'enrichit et d'autres que la vérité ne peuvent pas m'apporter grand-chose. Et heureusement, il y a des personnalités suffisamment transcendantes pour modifier ma vie.
Si je pouvais choisir comment sentir les personnes qui m'entourent, je choisirai de tomber amoureux avec toute l'intensité dont je suis capable. Je choisirai un sentiment qui grandit pendant que la passion diminue. Je choisirais de ne pas nous effrayer (ni toi ni moi) de la disparition de la passion et de savoir affronter le changement de l'intensité pour la profondeur. Je choisirais un sentiment qui soit de l'amour et non seulement du vouloir. Et enfin, je choisirais de retomber amoureux, de temps en temps, de la personne que j'aime.
Nietzsche cuenta que la memoria y el orgullo discutían: la memoria sostenía que así había sucedido, y el orgullo que no podía haber sucedido así. Se mitaron... Y la memoria se dio por vencida.
Nuestro pasado es una suposición, una fantasía, una explicación de como los hechos llegaron a ser los actuales.