AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782213686288
130 pages
Fayard (29/04/2015)
3.1/5   5 notes
Résumé :
La jeune femme pouvait rentrer chez elle, en France, sa mission dans la filiale américaine de son entreprise était achevée.
Elle avait pris un taxi pour gagner l’aéroport.
La course avait duré une quarantaine de minutes et s’était passée sans incident de parcours.
Rien d’anormal non plus entre elle et son chauffeur.
Pourtant, sa vie en avait été bouleversée.
Que lire après On pouvait tout lui direVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Un très court roman qui dit une femme ambitieuse, qui a bien réussi dans la vie et écoute un chauffeur de taxi monologué sur sa vie. Ce qui l'agace un peu et ne l'intéresse pas au début.
" Je m'appelle Papa" C'est le nom de l'homme qui remet en question la vie de cette femme.
Un taxi en guise de divan? Car la femme se rend compte qu'elle est juste celle qu'a façonnée ses parents. La réussite? C'est tout ce qui était important.
Papa est touchant avec son histoire de chauffeur noir américain et son parcours, ses enfants, l'Afrique...
Un livre dont je ne me souviendrais surement pas dans quelques temps mais qui m'a tenu compagnie un petit moment.
Commenter  J’apprécie          50
Tout d'abord merci à la masse critique Babélio et aux éditions Fayard, pour ce petit livre de 114 pages. Je tiens à dire que ce n'est absolument pas le type de livre que je lis d'habitude, je suis plutôt SF, mais j'ai pris plaisir à le lire cette après midi tranquille sur ma terrasse. On y découvre l'histoire d'une femme ayant terminée une mission Américaine, pour rentrer chez elle en France, elle s'offre les services d'un taxi, qui changera sa vie. le chauffeur, va lui raconter sa vie, elle va plus ou moins l'écouter et écouter ses divagations, différencier sa vie à Lui et sa vie à Elle. A la fin de ces 40 minutes de courses, elle va en ressortir changé.
J'ai appréciée ma lecture, aérée, ont se retrouve tour à tour dans le taxi et on s'imagine sa vie. J'ai presque même ressentie ce petit pincement au coeur à la dernière annonce du chauffeur.
Commenter  J’apprécie          00

Je remercie Babelio et les Editions FAYARD pour m'avoir fait parvenir ce livre dans le cadre de l'opération Masse Critique.

"On pouvait tout lui dire" est un petit roman de 114 pages.
Après cette lecture je confirme pour ceux qui avaient encore des doutes, que l'on peut faire quelque chose de qualité sans trop en écrire.

Le lecteur fait le trajet en limousine jusqu'à l'aéroport de Washington en compagnie d'une jeune femme et de "Papa" le chauffeur qui l'y conduit.
Cette rencontre va la bouleverser, écouter cet homme lui faire la conversation, va la faire se remettre en question, ses certitudes vont tomber les unes après les autres.

Cette histoire est efficace, j'ai apprécié le huis clos, écouter les pensées de cette femme, l'entendre petit à petit être déstabilisé par ses émotions.

Merci, pour cette lecture.
Commenter  J’apprécie          00
Ce roman est un "petit" livre. Il comporte peu de pages et la présentation est aérée. Il se lit donc très rapidement.
La jeune femme se rend à l'aéroport en taxi. le chauffeur engage la conversation.
Ce roman se partage entre bribes de conversation entre les deux protagonistes et divagations de la jeune femme.
Nous cheminons dans ses pensées, comment les paroles du chauffeur résonnent en elle et la font réfléchir, revoir son parcours, sa vie, ses relations familiales.
Commenter  J’apprécie          00

Citations et extraits (3) Ajouter une citation
On a toujours besoin d'un ennemi, pourtant il serait insupportable d'être seul responsable de sa vie, et de ce qu'on en fait. Il faut bien que quelqu'un d'autre - une mère, un mari, un patron - soir pour quelque chose dans nos malheurs, renoncements, frustrations, échecs, inachèvements. Il faut bien que quelqu'un d'autre porte nos péchés, trop lourds à avouer. Un parent, c'est bien pour ça : ça permet de remonter à loin dans la persécution douce, ou dans la maltraitance perverse, ou dans autoritarisme castrateur, ou dans la gentillesse infantilisante; tous les psychiatres vous le diront.
( p 101)
Commenter  J’apprécie          20
C'est alors que je m'étais sentie dans un drôle d'état. Pal mal, pas triste, pas malheureuse, revigorée au contraire, reconnectée à la vie, aux envies, mais lessivée, aussi, et comme meurtrie d'avoir reçu tant de coups, battue et courbatue.
Commenter  J’apprécie          20
Même le plaisir, le mien, avait été secondaire, à la jouissance près de m'afficher puissante, crainte et même si besoin était, toxique. La grande école m’avait appris ça, qui ne s'oubliait pas.
(p 95)
Commenter  J’apprécie          20

Videos de Michel Richard (2) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Michel Richard
Michel Richard parle de "On pouvait tout lui dire" Partie 2
autres livres classés : huis-closVoir plus
Les plus populaires : Littérature française Voir plus


Lecteurs (9) Voir plus



Quiz Voir plus

Famille je vous [h]aime

Complétez le titre du roman de Roy Lewis : Pourquoi j'ai mangé mon _ _ _

chien
père
papy
bébé

10 questions
1430 lecteurs ont répondu
Thèmes : enfants , familles , familleCréer un quiz sur ce livre

{* *}