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EAN : 9782258135024
312 pages
Presses de la Cité (23/08/2018)
3.81/5   88 notes
Résumé :
Alors que l'ouragan Ophelia menace New York, Ellen est en visite chez sa mère, qui refuse de quitter son appartement. Peter et Ben, deux étudiants en colocation, trépignent d'impatience à l'idée du spectacle et s'installent confortablement chez eux pour voir le phénomène.
Lorsque la tempête s'abat sur la ville, elle emporte tout avec elle et c'est un autre défi qui commence : les survivants doivent affronter l'avenir, réparer les dégâts et panser leurs blessu... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (16) Voir plus Ajouter une critique
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L'ouragan "Ophelia" menace de toucher la ville de New York.
"Ophelia" n'a pas touché New York. Par contre, "Sandy" bien en 2012 si mes souvenirs sont corrects.
Les médias avertissent les habitants les plus concernés afin qu'ils évacuent vers des zones plus sécurisées.
- Ellen, architecte d'intérieur à Londres, décide malgré tout de rejoindre New York. Elle laisse à Londres son mari George avec qui elle essaie depuis des années d'avoir un enfant.
- Grace, sa mère, est architecte et habite une zone en danger.
- Dans l'avion, elle fait la connaissance de Charles qui va rejoindre ses deux filles.
- Deux étudiants sont en danger également.
Daniel Steel nous déroule la vie de tout ce petit monde dans des circonstances dramatiques.
L'ouragan aura vite fait de passer ramenant la vie de tous les jours.
L'auteure a des dons de marieuse et de démarieuse.
Je ne me souvenais pas à quel point.
Il ne manque plus que les photos du roman photo.
Je pensais qu'elle était quand même capable de montrer plus de profondeur.
J'ai encore un roman dans ma PAL : "L'enfant aux yeux bleus" J'ignore si je ferai la tentative de la lecture.

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Voici mon retour de lecture sur Ouragan de Danielle Steel.
Alors que l'ouragan Ophelia menace New York, Ellen est en visite chez sa mère, qui refuse de quitter son appartement.
Peter et Ben, deux étudiants en colocation, trépignent d'impatience à l'idée du spectacle et s'installent confortablement chez eux pour voir le phénomène.
Lorsque la tempête s'abat sur la ville, elle emporte tout avec elle et c'est un autre défi qui commence : les survivants doivent affronter l'avenir, réparer les dégâts et panser leurs blessures.
J'avoue m'être demandé si c'était une bonne idée de lire ce roman alors que je n'ai pas du tout accroché avec Une femme libre.
Mais bon, comme je l'avais sous la main je l'ai lu malgré mes doutes.. et j'aurais vraiment du m'abstenir !
Que c'est mauvais. Désolé mais là, franchement, j'ai du mal à écrire un autre mot.
Nous sommes en 2017, cinq ans après l'ouragan Sandy, à New York. Cette fois-ci, c'est Ophelia qui menace la ville.
Nous suivons plusieurs personnages, dont les destins qui vont plus ou moins se croiser.
L'idée est bonne, pas originale mais bien traité c'est tout à fait le genre de roman que j'apprécie.
Malheureusement, là encore j'ai trouvé ce roman de Danielle Steel très cul cul la praline !
Les personnages manquent de profondeur, certaines actions sont très prévisibles et je me suis ennuyée à de nombreuses reprises.
Déjà le résumé en dit trop, expliquer que ça se passe pendant un ouragan aurait suffit. D'ailleurs j'en ai moins dévoiler que le résumé officiel !
Nous suivons donc Ellen, en visite chez sa maman à New York.
En parallèle, nous suivons un peu Charles et c'est logique car ils se rencontrent dans l'avion.
C'est en priorité l'histoire d'Ellen, qui va vivre un Ouragan dans tous les sens du termes.
Sur cette histoire se greffe un peu celle de sa maman, celle de Charles.
Mais nous suivons aussi Juliette, une urgentiste ; deux étudiants : Peter et Ben.
Je pense que l'autrice a voulu apporter de la profondeur à son histoire en suivant plusieurs personnages mais en fait, ici, cela ne fonctionne pas !
Même s'il y a de nombreux rebondissements j'ai trouvé ça plat, je me suis ennuyée.
Je n'ai rien contre les deux étudiants ou Juliette mais les suivre n'apporte rien, mais alors rien du tout, à l'histoire. L'autrice se disperse en faisant ainsi, quel dommage !
L'Ouragan est le personnage principal, du moins, c'est ce que j'imaginais en lisant le résumé.
En fait, c'est surtout l'histoire d'Ellen et de quelques personnages, gravitant ou non autour d'elle.
Ellen est une femme que j'ai apprécié. L'ouragan va tout balayer sur son passage, autant lors de l'instant présent qu'ensuite. En effet, elle va découvrir des choses qu'elle ne pouvait pas imaginer. Alors que, c'est marrant, dès le début je me doutais de certains trucs la concernant, notamment concernant son couple. C'était évident quand on a déjà lu beaucoup de romans de cette autrice.
Je vais donc m'abstenir pendant quelques temps de lire Danielle Steel, je n'emprunterais pas ses romans si les trouve dans la boîte à livres de mon village.
Cela fait quelques années que je pense qu'elle privilégie la quantité à la qualité.
Dernièrement je m'était un peu réconcilié avec elle mais là, j'avoue, je vais l'éviter pendant un long moment !
Ma note : un tout petit une étoile.
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Lorsque l'on lit la quatrième de couverture d'un roman de Danielle Steel, on sait parfaitement à quoi s'attendre, quels seront les rebondissements mais également le dénouement de toutes les histoires proposées.

Malgré cette prévisibilité qui ne réserve aucune surprise, je me suis senti totalement happé par ce énième roman du genre de l'auteure. C'est, d'ailleurs, à la limite de l'incompréhension de pouvoir toujours autant aimer un 101ème roman qui reprend les mêmes codes que sa centaine de prédécesseurs. Nous pouvons désigner cela par un mot très simple : le talent !

Danielle Steel nous envoûte dès les premières lignes en nous proposant un scénario catastrophique qui laissera derrière lui de nombreuses victimes. Mais malgré cela, l'auteur aux cent romans parvient à nous donner de l'espoir à travers des personnages très élaborés. Beaucoup la critique, personne d'autre n'arrive pourtant à écrire de telles histoires, à la fois dramatiques et sentimentales.

D'autant plus que l'écriture est simple, à la portée de tous, jeunes comme moins jeunes. En proposant 3 à 5 romans par an, on peut se demander comment Danielle parvient à produire un texte d'une grande qualité. Une fois encore, cette dernière exploite parfaitement ce don de l'écriture qu'elle possède depuis ses débuts il y a déjà plus de 30 ans.

Lorsque l'on parvient à ressentir les émotions d'une histoire fictive, c'est à ce moment précis que l'on se dit : « Waouw ». Cette auteure doit avoir un vécu terriblement lourd pour parvenir à nous rendre tristes, heureux, désespérés, … le tout dans un même roman. Les lecteurs concernés par un chagrin personnel seront bouleversés pendant cette lecture, car ils vont probablement se remémorer des émotions connues et très difficiles à supporter.

Finalement, après une grande partie du roman « émotionnellement difficile », Danielle Steel nous propose un dénouement qui nous permet d'espérer de moments meilleurs, lorsque la tempête est passée.

Les points positifs

- Une écriture simple, mais très efficace. On y trouve un sentiment de réalisme, tout semble réel.
- Des histoires très diversifiées autour d'un catastrophe naturelle.
- Une immersion totale dans les sentiments des personnages.

Le point négatif ?

- Une grande prévisibilité pour les habitués de l'auteure.

Ma note pour cette lecture : 20/20

Malgré ce énième roman construit selon le même schéma que les 100 précédents, Danielle Steel parvient à nous faire vivre une histoire unique, où l'on se plonge dans un monde totalement fictif pour ressentir des émotions bien réelles.
Lien : https://leparfumdesmots.blog..
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A partir d'un fait réel, l'ouragan Ophélia qui dévasta l'Irlande et l'Ecosse, D. Steel construit une fiction sur l'inondation du Sud de Manhattan.
Avec une écriture, somme toute simple et sans surprise, mais suffisamment évocatrice, l'auteure nous plonge au coeur du drame qui va se jouer « presque sous nos yeux ». Pour certains, à cause de l'inconscience d'une jeunesse trop sûre d'elle, pour d'autres, parce que logeant trop près du fleuve Hudson, dans le quartier de TriBeCa.
Au fil des pages, le dubitatif le dispute à l'incompréhension, puis les évènements distillent l'angoisse, la peur, la panique, le désarroi dans le chaos final…avant l'espoir.
5 ans après l'ouragan Sandy, l'histoire se répète mais deux fois plus traumatisante.
Là-dessus, se greffent quelques rencontres qui, inévitablement parce que prévisibles, se terminent en love story.
Pourtant, l'histoire d'Ellen se suffisait à elle-même. Et, Ophelia aura au moins eu le mérite de lui ouvrir les yeux sur son désir obsessionnel et de la rendre plus forte.
Cependant, j'aurais apprécié que l'auteure approfondisse davantage ses capacités à rebondir lorsque la jeune femme, lâchement trompée par son bourge de mari, décide finalement de rester vivre dans sa ville natale, New York, après avoir habité Londres pendant une dizaine d'année.
Au lieu de presque la jeter dans les bras de l'ami écrivain de sa maman.
Une fin de roman trop rapide qui aurait mérité un développement plus substantiel.
Une lecture sans prise de tête, mais toujours l'impression du déjà lu avec des personnages qui ne viennent pas de la rue.
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Dans ce livre on va suivre, plusieurs personnes différentes, avant, pendant et après, le passage de l'ouragan Ophelia à New York.

C'est vraiment une lecture légère et sans prise de tête malgré la catastrophe naturelle. Je trouve qu'il est écrit d'une façon à ne pas choquer.

Pour moi le problème c'est que les différentes histoires n'étaient pas liées entre elles. Toute ma lecture j'ai cherché le lien entre les personnages alors qu'il n'y en avait absolument aucun.

De plus les différentes histoires étaient tout simplement séparées par paragraphes, donc au début de chaque chapitre nous ne savons pas de qui ça va parler.

Malgré ce petit problème, je trouve que c'est un bon livre.
Il a le pouvoir de nous montrer que l'on peut vivre les plus grosses épreuves dans notre vie, en se disant que nous n'avons aucune issue possible, pour finalement se rendre compte que ce bouleversement, fut à l'origine d'un changement de vie et qu'aujourd'hui nous sommes plus heureux qu'hier "grâce" à cette catastrophe.

On ne sait pas de ce que demain est fait, on ne sait pas ce qui nous attend. Mais on doit y foncer tête la première !

Je n'arrêterai sûrement pas là pour Danielle Steel. J'ai encore quelques livres à elle dans ma PAL.
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Ellen lut le regret dans ses yeux et se sentit désolée pour lui. Grâce à lui, cependant, elle venait de comprendre que le bébé qu'elle désirait si ardemment ne resterait pas toujours bébé, et même ne vivrait pas avec elle très longtemps - surtout si George faisait les choses à sa façon et l'envoyait à l'internat à sept ans.
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Songeuse, Ellen Wharton étudiait les vêtements soigneusement disposés sur son lit en prévision de son voyage à New York. Organisée, méticuleuse et toujours impeccable, la jeune femme ne laissait jamais rien au hasard. En matière d’affaires comme de menu, de garde-robe ou d’agenda social, elle était précise dans tout ce qu’elle entreprenait. Cela lui garantissait une existence lisse, rangée, prévisible, laissant peu de place aux mauvaises surprises. Tous les ans en septembre, elle rendait visite à sa mère. Les billets étaient réservés depuis juin. Elle organisait également – avec cette même rigueur – un voyage au printemps et un en automne pour Thanksgiving, un an sur deux. Cette fois-ci, cependant, une raison tout autre que la tradition motivait son périple…

À Londres, Ellen dirigeait une société de décoration d’intérieur très réputée qui comptait des clients dans les plus grandes villes d’Europe. Avec l’aide de ses trois assistantes et d’une color designer, elle composait des univers uniques, mettant en scène les plus beaux tissus et le mobilier le plus recherché afin de s’adapter au mode de vie et aux besoins de chacun, le tout dans des palettes de couleurs originales et novatrices. Ses services coûtaient une fortune, mais elle assumait – pourquoi s’en serait-elle privée ? Après tout, avec sa réputation, ses grands prix de décoration et les couvertures des magazines qui lui étaient consacrées, elle le méritait amplement. Ses chantiers étaient toujours terminés en temps et en heure, une qualité rare dans son milieu, qui l’avait aidée à bâtir une solide réputation de fiabilité et avait largement contribué à son succès fulgurant.

À l’entendre, Ellen était tombée dans la marmite de la décoration intérieure dès sa plus tendre enfance. Sa mère était l’une des architectes les plus réputées de New York, diplômée de la prestigieuse université de Yale ; elle avait commencé sa carrière auprès de I. M. Pei avant d’ouvrir sa propre agence et de dessiner les demeures des clients les plus exigeants des États-Unis. À trente-huit ans, Ellen passait encore beaucoup de temps avec sa mère ; elle disait lui devoir tout ce qu’elle savait en matière d’architecture d’intérieur. À ses côtés, elle continuait d’en apprendre davantage chaque jour, et à l’occasion, elles s’envoyaient des clients – comme pour cette villa à Palm Springs sur laquelle sa mère travaillait actuellement. Ellen avait redécoré le yacht du propriétaire l’an passé.

Les deux femmes étaient très différentes, mais elles faisaient preuve d’un immense respect l’une envers l’autre et adoraient travailler ensemble. Ellen admirait le style très ouvert de sa mère, et ses lignes épurées. Décorer une maison dessinée par elle était un vrai plaisir, et elle lui demandait souvent conseil. Ensemble, elles avaient résolu plus d’un casse-tête architectural. À soixante et onze ans, Grace Madison était toujours pleine d’idées révolutionnaires et géniales. Elle disait que la bonne réponse était souvent la plus simple. Elle n’aimait pas les choses compliquées ni les pièces encombrées, et c’est pourquoi elle dessinait des maisons astucieuses et pratiques – une vision que partageait sa fille.

Ellen essayait toujours d’envisager les problèmes potentiels et gérait sa société avec rigueur. Grace était plus spontanée, plus ouverte aux idées nouvelles – au point d’en devenir un peu excentrique parfois –, un trait de caractère qui la rendait profondément attachante. Femme talentueuse et forte, elle avait survécu à un cancer du sein dix ans plus tôt. Même pendant sa chimio, elle avait insisté pour continuer à travailler. Depuis, elle avait vaincu la maladie et n’avait jamais manqué un seul jour de travail. Pourtant, Ellen se faisait constamment du souci pour elle. Sa mère ne faisait pas son âge, mais en dépit de son apparence juvénile et de son énergie inépuisable, les années défilaient. Le seul regret des deux femmes était de ne pas vivre dans le même pays. Ellen s’était installée à Londres près de onze ans auparavant, quand elle avait épousé George Wharton, un avocat on ne peut plus british, qui avait fréquenté le très classique lycée Eton, avant de poursuivre ses études à Oxford. Sa famille descendait de la même lignée que le philosophe du XVIIIe siècle Edmund Burke, et s’enorgueillissait de ses racines prestigieuses entretenues avec force traditions. Ellen avait fait son possible pour s’intégrer à cette culture, si éloignée de sa vision américaine des choses.
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- Oh, c'est rien ça, répondit l'homme avec un accent étranger marqué. Vous auriez vu Sandy, il y a cinq ans...
Je pense qu'il va se calmer comme Irene. A l'époque, en 2011, tout le monde avait été évacué pour trois gouttes d'eau. On dramatise, et finalement, il ne se passe rien. Mais Sandy, c'était autre chose...Pire que Katrina à La Nouvelle-Orléans...
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Le chagrin a sa récompense. Il ne nous laisse jamais la ou il nous a laissé.
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