Sainte garce

♫Tu additionnes tu multiplies les petits câlins anonymes
Et les cartouches tout en douceur tout en douceur millésime
Si tu savais ce qu'il faut dire pour la faire mouiller la machine
Je m'allume et je passe sur manuel
Sur tes lèvres comme un lipsus­­¹
Et tu caresses ton personnel pour éviter que les bonnes causent
Laisse pas tomber comme ça l'épine
Ça f'rait trop de peine à Rose
Pourquoi faut-il, grand manitou, que le magicien dose?♫
-Bashung-1986-
(1) Reste une interrogation entre lapsus et lipstick, que signifie ce lipsus qui clôt la chanson "La Malédiction" ?
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Lu deux pages avant le linéaire
devant le titre, en petits caractères
"Au termes du Code de la propriété intellectuelle, toute reproduction ou représentation, intégrale ou partielle de la présente 𝓹𝓾𝓬𝓵𝓲𝓬𝓪𝓽𝓲𝓸𝓷¹, faite par quelques procédés que ce soit, sans consentement de l'auteur ou 𝓭𝓮𝓼¹ ses ayants droit ou ayants cause est 𝓲𝓵𝓵𝓲𝓬𝓽𝓮¹ et 𝓬𝓸𝓷𝓽𝓲𝓽𝓾𝓮¹ une contrefaçon sanctionnée [...]"
¹ Lape suce qui a vécu par le pain de fesses
doit se la jouer nunuche et en souplesse
les petits câlins anonymes
pour la faire mouiller la machine
Laissez pas tomber les co-pines
les femmes réfléchissent mieux que certains mecs
Mieux vaut rester vivant que d'aller à ces zobs sec
Sainte Garce, Vénus Délices
Mais un doute m'habite sur le synopsis !?

Pour être Trehonët, petite bourgade du Morbihan,
Avec la Chapelle, Sainte Kerlen, pleine de Grâce,
Même enceinte n'était pas chlôRose mais réunissait Verts ses enfants...
N'en déplait aux nazes
Ils n'ont pas les bases
Qu'allons nous faire avec ces mots olé olé
Entre une Grâce et une Garce, il n'y a qu'une lettre de déplacée
Malgré, cette ambiance un peu Glock
Quoique tu fasses cerise, acide et decoction
A Laurent Maillard, et le bruit de ses talons
A Masse Critique mes remerciements équivoques

J'ai reçu ce livre dans le cadre de l'opération masse critique.

Ce livre aurait pu être intéressant au rayon "mauvais genre", mais pour moi il ne tient pas sa promesse. L'intrigue est en fait assez simple, mais le narrateur nous perd très vite, en raison d'un certain nombre "d'imperfections" : répétitions (y compris de morceaux de paragraphes), fautes de conjugaison, aucune concordance des temps (le récit passe sans cesse du présent au passé simple, ce qui montre un manque de maîtrise dans l'écriture et empêche tout rythme au sens "enquête policière")... Cette maison d'édition relit-elle les manuscrits avant de les publier ? J'en doute...
De nombreux passages sont vulgaires, de manière gratuite, n'apportant rien à l'histoire. La psychologie des personnages n'est pas travaillée, l'ensemble reste très superficiel.
Je suis allée au bout de ma lecture uniquement en vue de cette critique.

Si vous avez aimé Mamie Lüger, de Benoit Philippon, n'hésitez pas à lire Sainte Garce, la dernière création de Laurent Maillard, aux éditions Et le bruit de ses talons !
Résolument parisien dans le langage, inhabituel et singulier, Sainte Garce est ce que j'appelle un OLNI (Objet Littéraire Non Identifié), à mi-chemin entre le polar truculent et la fable humoristique – il suffit de jeter un coup d'oeil à la couverture pour s'en convaincre.
Aurélie, tueuse professionnelle, haute en couleurs, est sollicitée pour mener une enquête : Elsa, une étudiante parisienne, a disparu. Aux dernières nouvelles, elle avait postulé pour être surveillante dans une institution privée à Trehonët, en Bretagne, mais ne se serait jamais présentée à l'entretien d'embauche.
Rafraichissant et fantasque, Sainte Garce a la seule prétention de vous faire passer un bon moment. Et pour ma part, l'objectif a été atteint !

Merci à la masse critique de Babelio de m'avoir envoyé ce livre. J'ai lu ce livre en quelques jours, l'histoire est assez originale, l'écriture est assez crue, ça va bien avec le style mauvais genre. Quelques maladresses dans les phrases, peut être l'auteur a dans la tête toute l'histoire mais parfois j'ai relu quelques passages et pas compris comment ça arrivait.