Nous combattions la police avec tous les moyens à notre portée. Dans la bataille, il pouvait y avoir des morts. On ne combattait pas pour tuer, mais pour gagner, pour terrasser l’oppression. La mort était contingente. C’est cette extraordinaire vérité qui m’apparaît. La mort était contingente, elle n’était ni prévue, organisée, planifiée, ni prioritaire, ni envisagée.
claire Auzias interview : le génocide des Tziganes