Un gentilhomme nous dresse le portrait d'un aristocrate qui a fait faillite. L'ayant lu après
le Mur, je ne peux que comparer les deux et malheureusement, je l'ai un peu moins aimé que la précédente.
L'écriture reste très belle mais l'atmosphère du Mur m'avait vraiment dépaysé alors que celle-ci un peu moins.
Malgré tout je suis conquise par l'auteur et je trouve dommage qu'il ne soit pas plus connu / lu....